Grande première sous l’œil de la caméra par Roland C

Ces événements se sont déroulés il y a un peu plus de deux ans, à l’époque
j’étais encore célibataire et toujours plus ou moins à la recherche
d’aventures en tous genres. J’avais également découvert à quel point
l’Internet pouvait être un formidable outil de rencontre et je hantais les
chats et les sites de rencontres à la recherche de belles partenaires
coquines. Paradoxalement c’est un jour où je ne cherchais pas
particulièrement que je fis une rencontre que je n’oublierai jamais. C’est
sur un chat que je fis la connaissance d’une jeune femme au profil des plus
excitants, si excitant que je me demandais si il ne s’agissait pas d’un
canular.

Je vous laisse en juger : la belle, âgé de 21 ans, répondant au doux prénom
de Noriko, se disait un quart asiatique et annonçait un physique de rêve. De
longs cheveux noirs de jais des yeux marrons, elle ne mesurait que 1 m 53,
mais avait des mensurations alléchantes qui devaient être du style, 83 D,
57, 84, si mes souvenirs sont exacts. Pour compléter ce tableau idyllique
elle m’envoya une photo sur laquelle je découvris le visage légèrement
triste d’une superbe femme asiatique aux doux yeux de biche. Tout cela était
presque trop beau pour être vrai. Ne voulant pas l’effrayer, même si son
discours était celui d’une femme aimant les plaisirs de la vie, je me mis à
discuter avec elle de choses et d’autres. J’appris au cours de la
conversation que la belle étudiait l’anglais et le commerce, ayant quittée
ses parents elle survivait par ces propres moyens. Elle me précisa également
qu’elle vivait en ménage avec une jeune femme d’origine marocaine, avec
laquelle elle avait dû fuir sa région d’origine. Car l’entourage de son amie
acceptait très mal la liaison entre les deux jeunes femmes. C’est un peu
prés tout ce que j’appris ce jour là sur la belle Noriko et je n’étais
toujours pas sur qu’il ne s’agisse pas d’une imposture destinée à rire aux
dépens de gens un peu trop naïfs.

Par la suite j’eus la chance de rencontrer plusieurs fois sur le même chat la belle asiatique et celle-ci me confia que pour vivre et payer ses études elle participait occasionnellement à des
orgies et à des films pornographiques amateurs. Si l’argent était sa
principale motivation elle reconnaissait une passion sans limite pour le
sexe, sans toutefois se faire d’illusion sur le milieu de la pornographie et
en restant très prudente. Elle finit par reconnaître que l’une des raisons
de sa présence sur le chat était la recherche d’acteurs et d’actrices
amateurs en vue de futurs tournages, et elle me demanda si cela
m’intéressait. Je dois admettre que l’idée m’excitait, d’ailleurs Noriko
m’excitait, j’aurai payé chère pour goûter aux charmes de cette magnifique
jeune femme. Mais de prime abord je refusais son offre, car n’étant pas
exhibitionniste je souhaitais nullement voir en vente un film porno me
mettant en scène. Mon interlocutrice vint à bout de mes craintes très
rapidement en me spécifiant que ces films étaient peu diffusés et qu’il
était possible pour les acteurs amateurs de se déguiser pour ne pas être
reconnus. Après que j’eus dit oui, excité comme je l’étais par la
perspective de faire l’amour avec une femme si belle. Elle me demanda de lui
envoyer un portrait de moi et une photo où j’étais nu afin qu’elle puisse
convaincre d’éventuels investisseurs et acteurs. Je dois avouer qu’avant de
lui envoyer les fichiers j’eus un moment de doute, si la personne avec
laquelle je conversais n’était pas ce qu’elle prétendait être j’étais bien
parti pour me ridiculiser. Finalement je me dis que même si c’était le cas,
quelqu’un qui avait su me plonger dans un tel état d’excitation méritait
bien ces fichues photos. Après avoir reçu les fichiers Noriko me demanda mon
adresse Email et promis de me tenir au courant du projet.

C’est un peu près deux semaines après, alors que je finissais par me dire
que je n’entendrais plus jamais parler d’elle, que Noriko m’envoya un
courrier électronique. Elle me confirmait qu’elle avait réuni tout ce qui
était nécessaire pour tourner le film et qu’il ne restait plus qu’à fixer
les dates et les modalités du tournage, mais pour cela il fallait que l’on
se rencontre. La décision fut rapidement prise, il fut convenu que nous nous
rencontrions le week-end suivant sur la terrasse d’un café de la ville où
elle résidait. Bien que cette ville ne soit pas trop loin de mon lieu de
villégiature, je dois reconnaître que le trajet me paru extrêmement long et
c’est le cœur battant, comme un adolescent allant à son premier rendez-vous,
que j’arrivais sur la terrasse du café. Après une dizaine de minutes d’une
attente à la limite de l’insupportable je vis avec bonheur la magnifique
Noriko arrivée vers moi, encore plus belle que sur la photo, encore plus
excitant que dans mes rêves. En cette période estivale elle portait un petit
tee shirt moulant à merveille sa poitrine magnifique et un jean tout aussi
moulant qui mettait en valeur une chute de reins à damner un saint. J’étais
littéralement sous le charme et n’en croyait pas mes yeux.

Noriko était là en face de moi en chair et en os, belle, souriante, vraiment désirable et
elle était là pour me parler de tourner des scènes de sexe avec elle. Après
avoir refait rapidement connaissance autour de quelques rafraîchissements,
elle se mit à me parler du film, de mon rôle, des autres acteurs et des
dates envisageables pour le tournage qui devait prendre moins d’un week-end.
Je ne vous parle pas du scénario tout de suite pour vous laisser le plaisir
de le découvrir dans les paragraphes à venir. Comme hypnotisé par la beauté
de la belle Noriko je convenais rapidement de la date avec elle et répondait
par l’affirmatif à quasiment toutes ses demandes. Notre entrevu, bien que
trop courte à mon goût, dura assez longtemps, elle me posa une multitude de
questions pour s’assurer qu’elle pouvait compter sur moi et que tout se
passerait bien.

Le week-end suivant, je rencontrais les autres acteurs du film dans un petit
appartement, nous étions trois acteurs, deux actrices et un caméraman. Les
deux autres hommes étaient plus jeunes que moi et assez sportifs, du coup je
me félicitais de m’être tenu en forme depuis un certain nombre d’années, ce
qui m’évitait ce jour là le ridicule. La seconde actrice, répondant au
prénom de Rose, était de grande taille, très mince, son corps était nerveux
et athlétique, son crâne rasé orné d’une Rose écarlate tatouée sur la gauche
ne laissait pas indifférent. Il émanait d’elle une sorte de sensualité
sauvage et animale. La pièce dans laquelle nous nous préparions à tourner
était entièrement vide à l’exception d’anneaux qui avait été ancrés au sol
et dans les murs. Mon costume était des plus simples, puisque je ne portais
qu’un masque de cuir qui dissimulait mon visage, il comportait des trous
pour mes yeux, mes narines et l’accès à ma bouche étaient défendus par une
fermeture éclaire condamnée par un petit cadenas. A l’aide des anneaux je
fus attaché au sol par les bras et les jambes, situation, qui en plus de la
perspective d’être un jouet sexuel entre les mains expertes de Noriko,
m’excitait au plus haut point. Après que la caméra eut fait le tour de ma
personne, Rose fit son entrée, elle avait pour seuls vêtements un collier,
des jambières et des bracelets en cuir clouté. A ses côtes se tenaient les
deux autres acteurs, nus, portant des espèces de muselières et des colliers,
ils étaient à quatre pattes et Rose les tenait en laisse. Dans son autre
main Rose avait une mallette noire au contenu mystérieux. Elle amena les
deux hommes dans un coin de la pièce et les attacha par leurs laisses au
mur, restant à côté d’eux elle se tourna vers la porte. C’est alors que
Noriko fit son entrée, perchée sur des talons à aiguille prolongés par des
cuissardes, ses seins déjà volumineux ressortaient encore plus sous la
pression d’un harnais qui les enserraient, son maquillage lui donnait un air
sévère ainsi que ses cheveux tirés en arrière en une grande natte. L’arrivée
de cette véritable bombe sexuelle renforça mon excitation et eut pour effet
de donner de vigoureuses érections aux deux hommes chiens. Aussitôt Rose
ouvrit la mallette pour en extraire un fouet à plusieurs lanières, et se mit
à fouetter les hommes chiens.

 » Comment osez vous bander sans l’autorisation de Maîtresse ! ! Vilaines
bêtes, vous devez aimer le fouet !  »

Les deux hommes chiens reçurent leur châtiment avec un regard et des
gémissements qui trahissaient leur plaisir. Quand elle eut fini Noriko lui
donna un ordre en me désignant.

 » Prépare-le vite !  »

Rose sortit de la mallette une bombe de mousse à raser et un rasoir avant de
s’approcher de moi. Elle s’agenouilla prés de moi et se mit à étaler
lentement et généreusement la mousse sur tout ce que mon corps comptait
comme pilosités. Une fois la mousse étalée elle commença à me raser en
commençant par les jambes, puis le torse, pour finir par mon sexe et mes
testicules. Je pris en grand plaisir à ce rasage qui se déroulait sous le
regard sévère de Noriko et le regard envieux des hommes chiens. Après avoir
fini de me raser Rose se tourna vers notre maîtresse de charme avec un
regard interrogateur, la réponse ne tarda pas.

 » Prépare les chiens ! Et fait le comme il faut ou ta punition sera sévère !
 »

 » A tes ordres maîtresse.  »

Rose rejoint aussitôt les hommes chiens, elle les fit se mettre debout pour
mieux empoigner les sexes et les masturber doucement. Pendant ce temps
Noriko approchait de moi, elle avança son pied droit devant mon sexe puis le
glissa sous mes testicules pour les soupeser, mon érection était à son
comble. Elle tourna ensuite autour de moi en me regardant d’un air méprisant
avant d’extraire une petite clé d’une de ses cuissardes et de se pencher
vers moi pour ouvrir le cadenas puis la fermeture éclair défendant ma
bouche. Après cela elle s’accroupit au-dessus de moi son sexe prés de ma
bouche en me donnant un ordre.

 » Lèche esclave, lèche.  »

C’est avec volupté que j’obéis à l’ordre de la dominatrice, je commençais
par titiller les lèvres de son sexe avec ma langue, puis son clitoris. Le
résultat ne tarda pas, Noriko mouillait abondamment et j’enfonçais ma langue
encore plus loin entre ses jambes pour ne pas perdre une goutte du liquide
coulant de son intimité. Je parcourais à grand coup de langues son sexe
magnifique faisant le tour des lèvres, flattant le clitoris et m’abreuvais à
grands bruits à l’orifice de sa chatte humide. Lorsque les premiers
tremblements de plaisir commencèrent à secouer son corps, Noriko posa
littéralement son sexe dégoulinant sur ma bouche m’écrasant le visage,
m’inondant de secrétions vaginales. Cela me fit redoubler d’ardeur et elle
ne tarda pas à pousser un langoureux gémissement de plaisir en faisant
onduler son bas ventre d’avant en arrière. A peine remise de cet orgasme
elle m’ordonna avec sévérité :

 » Ne t’arrête pas !  »

Devenu totalement fou de désir je continuais à flatter son sexe de vigoureux
coups de langue avec l’ardeur d’un fanatique. Au bout de quelques minutes je
senti un liquide salé sortir du sexe de ma partenaire alors qu’elle poussait
un cri de plaisir. Elle était en train de m’uriner sur le visage et
j’accueillais sa pisse comme si il avait s’agit du plus merveilleux des
nectars divins. Pendant ce temps Rose s’était mise au devoir de sucer les
hommes chiens et allait de l’un à l’autre avec agressivité, n’hésitant pas à
tordre leur sexe lorsqu’ils semblaient trop proches de la jouissance. Noriko
me donna un nouvel ordre en présentant son anus au-dessus de ma bouche.

 » Lèche mon cul et fais ça bien, esclave !  »

Avec délice je m’exécutais léchant d’abord du bout de la langue pour ensuite
lécher goulûment le trou de ce cul qui me faisait tant fantasmer. Je léchais
bruyamment et avec passion ce cul en essayant d’y faire pénétrer ma langue
et c’est au moment au j’étais sur le point d’y parvenir que Noriko se leva
en ordonnant.

 » Les chiens vite !  »

Pendant que les hommes chiens se rapprochaient Noriko plaça un préservatif
sur mon sexe et vint empaler dessus cet anus que j’avais léché. A ce moment
je ne fus pas loin de jouir immédiatement dans le refuge chaud, humide et
étroit constitué par son anus. Heureusement elle en pris conscience et
attendit un instant pour entamer un délicieux va et vient. Les hommes chiens
étaient de chaque côté d’elle et se masturbaient dirigeant chacun leur sexe
vers l’un des magnifiques seins de notre dominatrice. Noriko alternait, pour
mon plus grand plaisir va-et-vient rapides et mouvements lents, si bien que
j’avais du mal à ne pas céder à l’envie de jouir en elle. Mais le désir de
la voir jouir à nouveau me donna une motivation suffisante pour résister.
Difficile de dire combien de temps dura cette sodomie, car j’avais
l’impression d’être au paradis et perdis toute notion du temps. Tout ce que
je sais, c’est qu’au fur et à mesure la respiration de ma  » cavalière  »
devenait de plus en plus haletante. Elle prit dans ses mains les couilles
des hommes chiens qu’elle pressa en une caresse à la fois ferme et sensuelle
en leur donnant un dernier ordre.

 » Allez-y !  »

Les deux esclaves accélérèrent le rythme de leur masturbation jusqu’à
éjaculer sur les seins de Noriko. Celle-ci accéléra également le rythme et
alors qu’elle poussait un hurlement de jouissance, je jouissais en gémissant
de plaisir, un plaisir si grand que je cru en perdre conscience. Après
quelques secondes d’arrêt Noriko amena son cul au-dessus de mon torse pour
se mettre à me déféquer dessus, alors que d’une main elle m’enlevait le
préservatif et triturait mon sexe jusqu’à me faire éjaculer une seconde
fois.

La caméra fit une nouvelle fois le tour de ma personne et le caméraman finir
par dire :

 » C’est dans la boite, bien joué les enfants, des vrais pros. Dit Rose tu
pourrais pas faire quelque chose pour moi j’ai une gaule d’enfer ?  »

Elle lui répondit en désignant sa chatte.

 » Tu me prends pour qui mon petit ? Tout ce que tu auras le droit de faire
c’est de me brouter en te branlant.  »

Ce qu’il fit, mais j’étais encore en transe suite à l’orgasme et serai bien
incapable de vous donner des détails. Alors que je n’étais pas encore
totalement de retour dans la réalité, la belle Noriko avec un visage
radoucit et fatigué vint me libérer et m’aider à nettoyer les excréments
qu’elle avait déposé sur moi. D’un air inquiet elle me demanda :

 » Ca va ? Pas de regret.  »

Avec une mine réjouie par le plaisir intense que je venais d’éprouver je lui
donnais ma réponse :

 » Je suis pas très pipi caca, mais j’ai jamais pris un tel pied tu es
vraiment une bombe Noriko, une bombe. Ta copine à de la chance, mais je vais
peut être considérer l’idée de changer de sexe.  »

Et c’est avec un grand éclat de rire que je suis parti à la douche alors que
notre caméraman se branlait en léchant Rose.

Plus tard et par chance pour moi, suite à la défection d’un collaborateur de
Noriko j’eu le privilège de l’aider à poursuivre l’élaboration du film
jusqu’à sa commercialisation. C’est lors de ces moments que je fis
véritablement sa connaissance et nous sommes restés amis depuis. Sachez que
si un jour vous croisez la belle Noriko, en réel ou en virtuel, qu’au-delà
de la déesse du sexe qu’elle est, cette femme est une véritable princesse.

Roland C

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Une réponse à Grande première sous l’œil de la caméra par Roland C

  1. Gaston dit :

    Froid, morgue, sans humour, on se croirait dans histoire d’O et justement je n’aime pas histoire d’O. L’érotisme n’a pas fonctionné (ou si peu)

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