Troisième mi-temps par PHM

La Coupe du Monde…

Trente jours de football, tous les amateurs sont gâtés avec deux à trois
retransmissions télévisées quotidiennes : le spectacle total, quoi … Cela
fait quelques jours que je suis littéralement scotché devant ma télé ;
complètement accaparé par les exploits de nos tricolores ! J’en arrive à
organiser mes après-midi et soirées uniquement en fonction des matches
programmés ; je ne pense désormais plus qu’à cela ! ! A tel point que ma
copine Nathalie en a déjà une sérieuse overdose ; considérant que je la
délaisse totalement au détriment de  » vingt-deux idiots qui courent après un
seul ballon  » comme elle se plaît à qualifier les artistes de la pelouse. Je
lui ai bien demandé de patienter, j’ai bien essayé de lui expliquer que cela
ne durerait pas éternellement et que je m’empresserais de m’occuper d’elle à
nouveau dès que les circonstances me le permettraient ; que pour le moment,
seul le foot comptait pour moi…mais rien n’y fit, le ton monta franchement
la semaine dernière !

Ne voulant plus rien entendre, elle alla même jusqu’à me menacer de  »
s’offrir au premier venu qui ne serait pas omnubilé par le Mondial  » ! !

C’est la crise mais cela passera me disais-je…

La situation évolua pourtant de manière très inattendue ce vendredi soir…

Pour suivre une importantissime rencontre à la télé, j’avais invité deux
copains à venir me rejoindre pour se faire une petite soirée  » télé, foot,
bière, chips,…  » Nathalie était encore plus furax à l’idée qu’elle se
retrouverait à nouveau seule mais avec trois mecs cette fois…je craignais
franchement qu’elle finisse par mettre ses menaces à exécution ! Mais
qu’importe, le foot, c’est le foot ! !

Alors que l’un des deux se décommanda juste un peu plus tôt (prétextant
qu’il préférait rester à la maison auprès de sa femme ! !), à l’heure dite,
l’autre arriva mais, oh surprise ! accompagné d’une très mignonne demoiselle
à la peau couleur miel…

Manifestement très jeune, cette jolie fille au visage enfantin dégageait un
air aussi mutin que coquin ; cette impression de provocation était encore
accentuée par l’extrême transparence de sa longue tunique de lin couleur
sable dont l’indiscrète fente sur le côté laissait apparaître, à chaque pas,
des longues jambes splendidement galbées… En plus, cette ravissante robe
d’été me laissait deviner déjà une volumineuse poitrine dont les aréoles
sombres transparaissaient impudiquement à travers la mince étoffe…
Lorsqu’elle s’approcha de moi pour me faire la bise, je remarquai le fort
parfum de vanille qu’exhalaient ses cheveux et son visage… Elle me précéda
pour entrer dans l’appartement ; j’eus l’œil attiré par ses fesses bien
dessinées et ne pus distinguer la moindre trace de sous-vêtement sous sa
robe… J’étais déjà totalement conquis et séduit par tant de charme !

– Salut, Philippe, je te présente Laetitia ma nouvelle copine ; j’ai pensé
qu’il valait mieux l’emmener avec moi plutôt que de la laisser seule à la
maison et puis je me suis dit que ce serait plus chouette aussi par
Nathalie…

Toujours sous le charme, je lui répondis simplement :

– Tu as très bien fait, Louis, tu as très bien fait ; venez vous
installer…

J’appelai Nathalie dont le visage s’éclaira aussitôt d’un large sourire à la
vue de la jeune femme…

– Enfin une autre fille avec moi, s’écria-t-elle. Salut, moi c’est Nathalie,
viens, on va faire connaissance pendant que nos hommes s’excitent devant ce
stupide match de foot…

Visiblement surprise mais pas décontenancée pour autant, Laetitia saisit la
main que lui tendait Nathalie pour la suivre à l’autre bout de
l’appartement…

– Sympa ta copine, dis donc Louis, ne pus-je m’empêcher de dire.
– Oui, elle vient de Guadeloupe et a tout juste 19 ans…

Elle est chouette, mignonne et a du tempérament, si tu vois ce que je veux
dire…

– Tu ne dois pas t’ennuyer avec elle…
– A qui le dis-tu ; surtout qu’elle aime aussi les femmes et les parties à
plusieurs… C’est bien simple : depuis six semaines que je la connais, je
n’ai pas encore eu la moindre soirée de répit ; autant te dire que je suis
crevé… Et avec Nathalie, ça va ?
– Bof, elle n’aime pas trop le foot, alors tu sais pour le moment…

Nous fûmes alors si rapidement absorbés par le match qui venait de commencer
que nous n’avions pas continué à discuter de cela plus longtemps…

A la mi-temps, je me rendis à l’autre bout de l’appartement pour aller à la
cuisine et nous servir quelques bières fraîches quand je passai devant notre
chambre dont la porte était étrangement close… A travers celle-ci, je
pouvais entendre Nathalie et Laetitia faisant pas mal de bruit ; elles
semblaient s’amuser comme des petites folles… Je voulus entrer pour voir
ce qu’il s’y passait mais la porte était fermée à clé de l’intérieur…

– Nathalie, Laetitia, mais qu’est-ce que vous fabriquez ? ! Demandais-je en
collant mon visage contre la porte.
– N’entre pas, on essaye de la lingerie et on est toutes nues…C’est
interdit aux hommes, ici… Retourne plutôt voir ton match, tu risques de
louper un but…on se verra plus tard, et peut-être bien qu’on vous
réservera une petite surprise…me répondit-elle alors que j’entendais
Laetitia qui s’esclaffait de plus belle.

Revenu au salon, je surpris Louis l’oeil allumé par les gros plans de jolies
suporteresses étrangères que proposait la télé française…

– Franchement jolie celle-là, me dit-il en désignant une grande brune aux
longs cheveux soyeux dont les énormes seins ballottaient joyeusement au gré
des mouvements de son corps pris dans l’ambiance de la foule…
– Oui, je me demande parfois comment il se fait qu’il y a tellement de
jolies filles dans les tribunes des stades et que la mienne n’a rien à faire
du foot…
– Bah, me rassura-t-il, Nathalie est une délicieuse petite blonde toute
mince et a certainement d’autres côtés bien plus attractifs encore, non ?

Le match repris et nous fûmes à nouveau complètement absorbés par ce qui se
passait sur le terrain…

Les 45 minutes de la deuxième mi-temps s’écoulèrent si rapidement que nous
ne vîmes pas le temps passer et lorsque l’arbitre donna le coup de sifflet
final (célébrant une nette et indiscutable victoire de nos couleurs), je me
rendis compte que Nathalie et Laetitia étaient toujours enfermées dans notre
chambre…

Mon premier réflexe fut de leur crier que le match venait de s’achever et
qu’on aurait aimé qu’elles viennent vite nous rejoindre au salon… Ce à
quoi je m’entendis aussitôt répondre :

– On arrive dans trente secondes, installez-vous confortablement…

La scène qui suivit nous fit passer du monde futile, populaire, veule et
rigolard du football à celui beaucoup plus élaboré, sensuel et émoustillant
du sexe ; avec des scènes d’amour que nous ne sommes, Louis et moi, pas
prêts d’oublier…

Quelle ne fut pas, en effet, notre stupéfaction lorsque Nathalie et Laetitia
sortirent de la chambre, main dans la main, en dessous sexy ; pratiquement
nues. Elles entrèrent dans le salon, éteignirent la télé et s’affalèrent à
même le sol devant l’écran devenu sombre en s’enlaçant aussitôt comme deux
gouines visiblement très éprises l’une de l’autre… Leur bouche s’était
soudée pour d’interminables baisers langoureux et leurs seins
s’entrechoquaient joyeusement, leurs mains vagabondaient impudiquement sur
leur corps… Ce silencieux mais très érotique duo féminin prit encore une
toute autre dimension lorsque nous entendîmes :

– Tu es un joli fruit des îles. J’ai très envie de savoureux ton jus
d’amour, laisse-moi te goûter toute entière…que prononça Nathalie en
s’empressant de glisser la main dans le minuscule string jaune, seul
vêtement qui couvrait encore Laetitia.
– Moi aussi, je veux que tu me manges de partout, répondit-elle en écartant
impudiquement le string en question et en laissant surgir à l’air libre une
étonnante toison frisée dans laquelle Nathalie vient fourrer son visage…

Nous étions abasourdis, stupéfaits, soufflés, interloqués, interdits…ne
pouvant esquisser le moindre geste de réaction… Nathalie avait entamé une
belle séance de léchage et de sussions sur le sexe de Laetitia dont elle
écartait impudiquement les lèvres pour mieux s’y introduire… Si bien que
l’abondante toison qui recouvrait celui-ci ne tarda pas à se perler d’une
multitude de minuscules gouttelettes, odieux mélange de sueur, de salive et
de cyprine qui venait consteller ce sombre friselis de poils. Laetitia,
apparemment très satisfaite de ce doux traitement, ne demeura pas en reste
et entreprit de délester Nathalie du déshabillé transparent qui ne cachait
plus rien de ses charmes mais l’empêchait encore d’être entièrement nue sous
nos yeux ébahis.

– Viens ici, jolie petite blonde, moi aussi j’ai très envie de te dévorer ta
belle chatte toute rose et toute rasée…

Tout naturellement, les deux amies s’étendirent en inversant leur position
de façon former un délicieux 69. Alors que Nathalie suçait Laetitia avec
passion, délectation et presque recueillement même, celle-ci prit d’assaut
son entrejambe pour en avaler littéralement toute la saveur… Saisissant
ses jolies petites fesses bien dures à pleines mains, Laetitia se plut à les
écarter au maximum pour faire surgir le petit trou froncé de son derrière…

Ainsi révélé, le cul de ma compagne était une véritable invitation à la
pénétration anale: Laetitia s’empressa de se lécher un doigt qu’elle
introduit au plus profond avant de dessiner des mouvements concentriques
grandissants qui firent rapidement décoller Nathalie…

– Oh oui, oui, plus loin, encore, encore, défonce moi par derrière…
souffla Nathalie dont les hanches avaient pris le rythme de la possession,
lents et progressifs mouvements d’avant en arrière que dessinait son bassin
sous l’effet des caresses de plus en plus pénétrantes de Laetitia.

Celle-ci lui susurra avec tendresse :

– Grosse cochonne, tu aimes que je te doigtes comme cela, n’est-ce pas ?

Notre invitée ponctua sa phrase en introduisant un deuxième, puis aussitôt
après, un troisième doigt dans le fondement de ma chère amie …qui,
laissant échapper de bruyants soupirs trahissant une réelle excitation,
commença à hurler des mots sans suite avant de vouloir pénétrer, elle aussi,
d’un index inquisiteur, le vagin de Laetitia… Juste avant d’atteindre le
paroxysme du plaisir, Nathalie se mit encore à griffer de ses longs ongles
les imposants globes bruns formant la poitrine de Laetitia…elle grimpait
au plafond !

Ces deux chattes en chaleur étaient tellement occupées à se brouter le minou
et à se doigter les orifices qu’elles en avaient complètement oubliées notre
présence ; malheureux spectateurs calés dans leur fauteuil et réduits non
pas à l’impuissance (vous le vérifierez ci-dessous !) mais à nous en
remettre momentanément à nos mains pour soulager l’immense envie qu’avaient
fait naître en nous nos deux amies totalement délurées…

Me tournant vers Louis, je constatai immédiatement qu’une énorme bosse
déformait l’avant de son pantalon, sentant mon propre sexe prendre
d’imposantes dimensions dans mon slip… Pas gêné le moins du monde, mon
ami, soucieux de se soulager au plus vite, se déboutonna, sortit son engin
et commença à se masturber de manière parfaitement audacieuse… Très à mon
affaire, moi-aussi, je ne vis aucun inconvénient à l’imiter et pris mon sexe
en main pour lui imprimer de savantes et apaisantes caresses…

Dans cet état, nous pouvions continuer à contempler le ballet lesbien de nos
compagnes…

Entre-temps, nos saphiques libertines étaient arrivées à leurs fins…

Poussant un feulement de panthère, Nathalie explosa d’une violente et
intense jouissance qui lui fit décharger une impressionnante quantité de
liquide vaginal venant inonder la bouche et le menton de Laetitia toujours
vissée au bas-ventre de Nathalie…

– Et bien, tu es une vraie fontaine, ma chérie…Tu as vraiment joui très
fort, pas vrai ? ! Dis, tu ne m’avais pas crue lorsque je t’affirmais que
les femmes entre-elles peuvent aussi se donner beaucoup de plaisir… Mais,
aimerais-tu que nous laissions participer nos hommes, maintenant ?
– Oh oui, après ce que tu viens de me faire, j’aimerais beaucoup sentir un
bonne grosse queue dans ma moule toute trempée…

Je ressentis cette sentencieuse parole comme un appel et me levai d’un bon,
le sexe fièrement dressé à la main, tout heureux de pouvoir enfin passer à
l’action et me soulager dans l’accueillant orifice de ma légitime lorsque
Laetitia me repoussa doucement en disant simplement :

– Non, non, attends un peu, Philippe… Nathalie t’avait bien menacé de
s’offrir à celui qui ferait passer le sexe avant le foot ? Eh bien je pense
que Louis sera celui-là, n’est-ce pas Nathalie ? !
– Oui, c’est vrai ! Louis, viens vite m’enfiler, je veux te sentir bien au
fond de ma grotte…

Quel affront pour moi !

Mais si j’étais passablement déçu, en même temps, je me trouvais très excité
à l’idée de voir Nathalie se faire prendre par quelqu’un d’autre…sous mes
yeux ! Ne prenant pas le temps de tergiverser aucunement, Nathalie se
déplaça pour faire face à Louis, s’accroupit devant lui, saisit son sexe et
l’engloutit immédiatement au plus profond de la gorge…

– Il faut que tu sois parfaitement lubrifié ! Lança Laetitia à Louis, trop
heureux de se faire ainsi pomper par Nathalie…
– Tu as bien raison, viens donc donner un coup de main à ta copine et
sucez-moi comme deux belles salopes que vous êtes…ajouta-t-il de plus en
plus excité !

Sans se faire prier, Laetitia rejoignit le couple et disputa à la bouche
avide et gourmande de Nathalie le sexe de Louis ; maintenant au mieux de sa
forme… Je regardais ces deux diablesses s’activer frénétiquement sur le
gland de mon invité ; sans omettre de bien humecter cette hampe de chair sur
toute sa longueur pour qu’elle coulisse parfaitement dans le tunnel d’amour
de Nathalie. Ce délicieux rituel ne dura finalement que quelques minutes.
Sans attendre plus longtemps, Laetitia décréta que le moment était venu et
ordonna à Louis :

– C’est bon, tu es prêt maintenant, viens pénétrer Nathalie…

Louis s’attendait sans doute à rester assis et à ce qu’elle vienne tout
simplement s’empaler sur son vit turgescent, mais, toujours aussi
imprévisible, Nathalie préféra commencer par une position plus adéquate et
décida de tourner le dos à Louis pour se mettre à quatre pattes et lui
présenter une croupe bien ouverte en confirmant :

– Prends-moi en levrette comme une chienne, j’adore être baisée par derrière
! !

Subjugué par tant d’audace, Louis présenta une barre de béton à l’orifice de
Nathalie.
D’une main experte, elle guida l’imposant mandrin dans l’axe exact de son
vagin et l’aida à y glisser sans la moindre difficulté…

Louis s’accrocha aux hanches de Nathalie qu’il prenait grand plaisir à
malmener en la projetant en avant à chaque coup de boutoir ; son ventre
venant claquer sur les fesses de la jeune femme à chaque fois qu’il
s’enfonçait de plus en plus profondément en elle… La chevauchée fut
rapidement fantastique, tant et si bien que, rapidement menée au grand
galop, Nathalie ne tarda pas à céder sous les vas et viens violents de son
étalon et se laissa volontairement aller à une deuxième jouissance
certainement aussi bruyante et intense que la première ! Juste après, Louis
aussi déclara qu’il allait  » décharger  » et qu’il avait bien l’intention de
le faire sur les fesses de sa monture… Aussitôt dit, aussitôt fait ; il
sortit son sexe de l’orifice gluant de Nathalie et aspergea généreusement
l’arrière-train de celle-ci avec de longues projections d’un sperme
particulièrement blanc et consistant… Toujours aussi gourmande, Laetitia
se précipita pour récolter les dernières gouttes qui suintaient encore de
son gland et annoncer lubriquement :

– Maintenant j’ai le goût de Nathalie mélangé à celui de la queue de mon
Louis !

Nathalie était étendue sur le dos, savourant pleinement les derniers
soubresauts de son second orgasme laissant encore, de manière presque
instinctive, ses doigts s’égarer dans sa fente pourtant inondée de
sécrétions… Louis s’était affalé sur le fauteuil et récupérait doucement
de sa violente galopade au tréfonds des entrailles de Nathalie. Innocemment,
Laetitia s’approcha de moi, prit mon sexe en mains et commença à me
masturber très câlinement en me disant à l’oreille :

– Tu as l’air tout triste, mon amour. On ne t’a pas oublié, tu sais ; c’est
de toi qu’on va s’occuper maintenant…

Continuant à me branler progressivement de plus en plus fort, elle se
chargea elle-même de me lubrifier le dard par de longs et insistants coups
de langue sur toute la longueur de mon vit… Comme elle l’avait fait
auparavant avec Louis, elle décréta bientôt que j’étais  » assez tendu et
mouillé pour bien lui rentrer dedans  » et, après m’avoir calé le dos dans le
fond du fauteuil, à l’inverse de Nathalie, choisit de venir s’empaler sur
moi mais en me faisant face… Immédiatement amenée au bon rythme, elle se
laissa lascivement monter et descendre sur ma tige en s’accrochant à mes
épaules… Me faisant face, elle prenait un vicieux plaisir à me masser le
torse de ses gros seins et n’hésitait pas la moindre minute à m’enfourner sa
langue frétillante dans la bouche ; c’était d’une totale impudeur mais
j’adorais cela ! !

Impossible de résister à pareil traitement, surtout après avoir patienté si
longtemps.

J’annonçais donc que j’allai moi-aussi me répandre dans les secondes à venir
; ce qui eut pour effet de forcer Laetitia à se retirer et à venir placer
son visage à hauteur de mon sexe en disant :

– Vas-y, gicle-moi tout ton foutre en pleine figure ; je veux être souillée
de ta semence…

Elle n’eut pas le temps d’ajouter le moindre mot car, ici encore, c’est une
torrentielle averse de sperme chaud qui s’abattit sur son visage et ses
cheveux…inutile de préciser qu’elle se réjouissait de pareille offrande !

Pour lui renvoyer l’ascenseur de tout à l’heure, Nathalie s’empressa de me
bondir dessus et d’avaler les derniers jets de mon pylône en déclarant à
l’adresse de Laetitia :

– Pour moi aussi, c’est délicieux de goûter le jus de cette petite vicieuse
sur le sexe de mon ami !

Je pensais naïvement qu’on aller en rester là…

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises car, juste après, Laetitia
déclara sentencieusement :

– Nathalie avait promis de s’offrir…c’est chose faite, mais en partie
seulement… Louis a peut-être déjà eu les honneurs de sa bouche et
l’accueil de son vagin ; mais il lui reste à investir ses fesses …

– Maintenant, Nathalie, tu vas te faire enculer ! Avertit-elle sa congénère.

Pas du tout effrayée, celle-ci gloussa de plaisir à l’idée de se faire
sodomiser de la sorte.
Elle se courba donc en avant et écarta largement les fesses pour présenter
une ouverture maximale et recevoir le sexe de Louis dans son petit orifice
froncé. Patient et attentif, Louis se donna la peine de d’abord bien
préparer l’étroit passage en y introduisant un, puis deux doigts mouillés de
salive. A nouveau parfaitement rigide, son gros rouleau de chair pénétra
ensuite sans la moindre difficulté dans l’arrière-train de Nathalie ;
totalement comblée de ce parfois douloureux mais au combien bénéfique
traitement !

A la vue de Louis se démenant sur elle, j’eus l’idée de ne pas rester
inactif et décidai de me joindre à leurs ébats. Je m’arrangeai donc pour me
glisser part terre, sous Nathalie, l’attirai vers moi pour la prendre par
devant…alors que Louis, tout naturellement, suivit le mouvement en restant
fiché dans son derrière… Mon sexe plongé au fond du ventre de Nathalie, je
sentais l’impressionnant volume de celui de Louis qui lui occupait l’anus ;
elle était entièrement remplie par nos deux redoutables engins !

Quel splendide trio nous formions ainsi !

Laetitia vint compléter ce tableau lubrique en s’asseyant sur mon visage,
offrant ainsi son intimité à ma bouche dévorante et présentant ses seins à
Louis et Nathalie qui ne cherchaient qu’à les agripper …

Au bout de quelques minutes de ces extraordinaires contorsions, nous
éclatâmes tous les quatre presque simultanément…ce fut vraiment très
jouissif !

Il restait beaucoup de positions à essayer… C’est donc avec une excitation
redoublée que nos deux amies offrirent leurs corps magnifiques à tous les
caprices de notre imagination débridée…
Prises par devant ou par derrière, quand ce n’était pas des deux côtés en
même temps, Nathalie et Laetitia s’en donnèrent à cœur-joie, sans oublier de
partager un maximum de plaisir entre elles aussi ! Ainsi, la bouche, le sexe
ou l’anus de nos nymphomanes étaient immédiatement sollicités, occupés et
remplis dès que l’un des trois autres acteurs décidaient de changer de
position…
Nous n’avons pas hésité à mélanger les goûts de nos sécrétions à ceux de nos
orifices dans nos bouches respectives…

Ce fut absolument divin ! !

La soirée ne se termina pas… Pas avant le petit matin où, après avoir
sans – doute épuisé la plupart des variantes possibles d’une partie carrée à
quatre, nous finîmes par nous endormir ; chacun dans les bras de notre
conjoint légitime…

De tous les matches de foot que j’ai vus ou vécus, celui-ci me laissera sans
aucun doute le meilleur souvenir de ma vie…
Principalement pour sa troisième mi-temps !

PHM – phm@mail.be

Juin 1998

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