Echos dans la montagne par Claire_N

Echos dans la montagne par Claire_N

ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

Je suis Laurie, la trentaine, petite brune décolorée auburn, petite poitrine, on dit de moi que j’ai une jolie frimousse et c’est vrai que je plais… on me dit aussi coquine, et c’est vrai que le sexe ne m’indiffère pas et que j’aime bien le conjuguer dans beaucoup de variantes.

Je devais en ce joli mois d’Août, rejoindre Josée, une collègue un peu nympho dans son chalet de montagne. La journée avait été exténuante, le TGV de Paris à Lyon qui avait du retard, puis attendre un tortillard jusqu’à la frontière italienne, puis un car, puis le reste à pied.

Josée a été une superbe femme, que dis-je, un canon, elle a aujourd’hui la cinquantaine, elle a néanmoins de très beaux restes. Son visage est resté remarquable, sa taille fine et sa poitrine arrogante. Elle s’est fait un chignon avec ses cheveux décolorés en blond cendré, cela lui va à ravir. On s’embrasse d’abord de façon relativement chaste, avant que la baiser devienne fougueux, à ce point que l’on bave et que de la salive nous coule sur le menton

– Je te présente, Sylvain, c’est mon fils !
– Enchanté !

J’embrasse le Sylvain, il n’est pas mal, blond à lunettes, assez fin, joli visage, la vingtaine…

– Tu dois être crevée, ma pauvre chérie ? Tu veux boire quelque chose ?
– De la flotte !
– D’accord, si tu veux, tu peux prendre une douche !
– Oui, mais avant, je vais souffler un peu !
– Et un petit massage, ça te dirait, si tu veux Sylvain peut te masser, il fait ça très bien… et c’est un coquin, il me masse à poil, ça l’excite !
– Et ben ! Tu ne perds pas de temps, toi !
– Il a une très belle bite ! Continue-t-elle et il sait bien s’en servir ! Ce matin, il m’a superbement enculé, c’était divin !
– Tu te fais enculer par ton fils ? Demandais-je innocemment ?
– Bien sûr, il est vicieux comme tout, il aime bien lui aussi se faire enculer, alors de temps en temps, je lui mets un petit gode ! N’est-ce pas que tu adores ça, Sylvain.
– Oui, maman.
– Et bien, quelle famille !
– Allez, Sylvain montre ta bite à ma copine Laurie, elle aime bien les belles bites.

Le Sylvain, ne fait ni une ni deux et envoie son bermuda sur ses chevilles, libérant ainsi une très jolie quéquette. Sa mère la branlotte un petit peu avant que je m’empresse de prendre en main. Après quelques mouvements de masturbation, la bite devient toute raide, un joli cylindre de chair parcouru d’une veine nerveuse, et terminé par un joli gland luisant et violacé. Je me penche et prends tout ça dans la bouche. Je suce, je lèche, je pompe et j’aspire. Le Sylvain n’en peut plus et me lâche toute sa purée dans la bouche.

Je n’avale pas tout et quémande la bouche de Josée. On se régale tous les deux du sperme de ce beau jeune homme

– Il est un peu rapide, dommage ! Maintenant je suis tout excitée, il va falloir que tu assumes, Josée.
– Pas de problème, mets-toi à poil sur le transat, j’arrive et je vais te faire sauter au plafond.

Quelques instants plus tard, la voici qui arrive et qui me fout ses gros nichons à hauteur de la bouche, je les tète bien sûr et les caresse. Elle se recule un petit peu puis bave sa salive sur ses seins, jusqu’à ce qu’il en deviennent presque visqueux. Je lèche tout ça et m’en régale. Elle redescend ensuite mon corps en l’effleurant de ses tétons, voilà qui me donne des frissons de plaisir. Elle s’amuse même à toucher mon clitoris avec son bout de sein… Mais bientôt c’est sa bouche qui est là, elle me lape, elle m’aspire, elle me lèche, elle me suce, et moi je pars au quart de tour. Quelques secondes de répit et je lui rends la politesse.

Le lendemain on avait décidé de faire une randonnée en montagne, on s’était vêtu légèrement mais en se couvrant de façon à se garder des coups de soleil. Josée avec son large chapeau, ses lunettes noires et son tee-shirt jaune qui lui moulait la poitrine faisait très star.

Il n’y a pas grand monde et les rares personnes que nous croisons nous saluent, traditions de la randonnée obligent !

– Bonjour !

Ça c’est un couple, une heure et demie plus tard, ils doivent avoir à peine la trentaine, la femme est très belle, genre grande brune aux cheveux courts, lui n’est pas mal non plus pour qui aime le genre tennisman.

– Je me demande si on ne s’est pas perdu, on allait vers la Goupillière et on a dû rater un chemin. Nous explique la dame.
– On y va aussi, mais on s’est peut-être trompé nous aussi. Répond Josée. J’ai une carte, elle n’est pas très claire, mais on va regarder.

Pendant que Josée sort la carte de son sac à dos, le gars nous propose du jus d’orange que nous acceptons volontiers.

Effectivement, on s’est tous trompés, il nous faut donc revenir en arrière. On redescend ensemble, on cause un peu, on sympathise. Des groupes se forment, Josée et Sylvain discutent avec Claire, la femme. Moi, je reste un peu en arrière avec l’homme qui se prénomme Maxime. Il est plein d’humour, ce mec, vraiment super sympa, même si ce n’est pas trop mon genre.

Deux nanas arrivent à notre rencontre, des bombes ! Grandes, blondes, bien faites et peu vêtues, des hollandaises ou des allemandes. On se regroupe tous pour les laisser passer, on se salue et elles continuent leur chemin en tortillant du cul, sous l’œil égrillard de Maxime qui en ce moment ressemble au loup de Tex Avery !

– Ben, alors, faut-vous remettre ! Plaisantais-je.
– Oh ! Excusez-moi, vous savez, je suis un peu obsédé, mais ne craignez rien, je sais me tenir !
– Ce sont des choses que l’on peut comprendre, nous aussi on est un peu obsédés ! Croit alors judicieux de préciser Josée qui nous a rejoint.

C’est malin, ce genre de réflexion, maintenant toute la conversation tourne autour du sexe.

– Vous aimez les petites fantaisies, alors ? Demande Maxime.
– Les petites fantaisies, les grosses fantaisies, les surprises, les improvisations… toutes les bonnes choses quoi. Répond Josée.
– Humm, vous savez que ça m’excite ce genre de conversation ! Reprend-il
– C’est la conversation qui vous excite ou se sont mes gros nichons ?
– Les deux peut-être ?
– Vous aimeriez les voir ?
– Oui, bien sûr !
– Mais, il y a votre femme…
– Elle est aussi coquine que moi, vous savez !
– Claire, est-ce que cela vous dérange si je montre mes seins à votre mari ?

Et comme cette dernière n’y voit aucun inconvénient, même que ça la fait rigoler, Josée après s’être assurée que personne ne vient, retire son haut dévoilant un joli soutien-gorge en dentelles. Elle fait alors mine d’en rester là.

– Ils sont magnifiques ! Admet Maxime.

Josée fait alors semblant de vouloir remettre son tee-shirt. Il faut voir alors la tête de cocker malheureux que nous fait le Maxime !

– Tu es vache, tu aurais pu les montrer mieux ! Intervins-je en entrant dans son jeu.
– Ben, pourquoi, on les voit déjà pas mal comme ça, non ?
– J’sais pas, moi, mais je pense qu’il aurait aimé que tu retires ton soutien gorge !
– Quel drôle d’idée ! Vous en pensez quoi Maxime ?
– Ben, heu…
– Ben, oui pas facile à dire, mais je crois comprendre. Dégrafez-moi donc ce soutien gorge, ça à l’air de vous faire tellement plaisir !

Le pauvre ! Son cœur ne va jamais résister, il passe derrière Josée et s’acharne à essayer de décoincer l’agrafe, il doit s’y reprendre à plusieurs fois.

– Et bien voilà, ça vous plait ?
– Quelles merveilles !

Il bande le Maxime, le bermuda en est tout déformé.

– Vous pouvez toucher, mais juste un peu ! Propose Josée

Il ne se le fait pas dire deux fois et caresse les nichons offerts à pleines mains.

– Et vous, madame, ils vous plaisent ? Demande-t-elle à Claire qui les lorgnait d’une curieuse façon.
– Ils sont très beaux, mais ce n’est pas un peu lourd à porter ?
– Oh, vous savez, je suis habituée !

Josée se rhabille. Maxime tente de rester dans l’ambiance :

– C’est dommage que je ne puisse pas me soulager, j’ai une de ces triques ! Confie-t-il
– Oui, on a vu répond Josée, en lui mettant la main là où ça bande, ce petit chemin qui bifurque, il à l’air d’aller vers ce gros rocher, on pourrait se planquer derrière !

L’idée est adoptée à l’unanimité et on se rend à l’endroit proposé. Effectivement à moins de venir exprès, personne ne peut nous surprendre.

– Alors tu vas te soulager comment ? Demande Josée.
– Et bien je vais demander à Claire si elle est d’accord pour que l’on fasse ça ensemble, c’est un de nos fantasmes de faire l’amour devant des gens.
– Ça me paraît une excellente idée ! Approuve Josée.

Claire est d’accord, nos deux tourtereaux se foutent à poil, et étalent une serviette sur le sol. La femme se met à genoux et commence à sucer son mari avec avidité. On se met tous autour et on regarde. Sylvain a sorti son sexe et se met à se masturber en jouissant du spectacle.

Claire s’allonge ensuite sur la serviette et Maxime vient mettre son visage entre ses cuisses pour lui sucer la chatte, la nana réagit au quart de tour et bientôt l’écho des montagnes renvoie le cri de sa jouissance. Elle souffle une seconde, puis se positionne en levrette.

Sylvain s’approche de plus en plus, il est désormais à cinquante centimètres, bite en avant, du visage de Claire, c’est ce qui s’appelle une demande d’invitation implicite.

Claire lui fait signe d’approcher et lui suce la queue, tandis que son mari la pilonne par derrière.

– Change, viens dans mon cul, lui dit-elle !

Bien sûr qu’il y va, le Maxime, mais il jouit rapidement et décule.

– Il a une belle queue ton mari ! Commente Sylvain toujours occupé à se faire sucer.
– Tu aimes bien les queues ? Lui demande Claire.
– J’aime tout !
– Et bien suce là… nettoie-là, Maxime est un peu bi sur les bords aussi, ça tombe bien.

Et du coup nos deux mecs se retrouvent sur la serviette en 69. Chacun suçant l’autre, Sylvain, pas vraiment gêné de sucer une queue qui sort d’un cul, jouira assez vite, mettant fin à cette petite fantaisie bisexuelle.

– Le spectacle vous a plu ? Demande Claire en s’adressant à Josée et à moi !
– Bien sûr !
– Quels cochons ces mecs… continue-t-elle, le mien ça lui prend de temps en temps de sucer des bites quand on va au sauna, je trouve ça excitant.
– Moi aussi ! Répondis-je. Mais il suce seulement, il n’a jamais essayé la sodo ?
– Il ne dirait pas non, mais on n’a jamais eu vraiment l’occasion, par contre à la maison je l’encule bien avec un joli gode ceinture.
– Humm… qu’est-ce que tu en penses Sylvain…
– Et bien le temps que mes batteries se rechargent et je pourrais lui rendre ce service ! Répond ce dernier.
– Et toi qu’est ce que tu aimes comme grosse cochonnerie ? Me demande Claire.
– J’aime bien pisser ! Justement j’ai une petite envie… ça te dirait ?
– Waouh, tout ce que j’aime, tu veux me pisser dessus ?
– Bien sûr que je vais te pisser dessus !

Pas très évident, cependant, se coucher sur le sol sans la serviette n’est pas évident à cet endroit, alors Claire choisit de s’accroupir, les mains projetées au sol en arrière afin de présenter son corps de façon oblique. J’avance et dirige mon jet sur son ventre, et sur ses seins, puis je comprends qu’elle ne serait pas contre le fait d’en boire un petit peu, je m’avance au-dessus de son visage et lui offre ce cadeau.

– Maintenant, il faut bien me nettoyer la chatte !
– Mais avec grand plaisir ! Répondit Claire, j’adore nettoyer les chattes pleines de pisse.
– Et tu en profiteras pour me lécher le trou du cul…
– C’était justement dans mes intentions.

Maxime me propose de m’allonger sur la serviette, je m’installe en levrette et Claire vient derrière moi me rafraichir la chatte à grandes lampées, je me demande si elle veut me faire jouir de suite, non elle change de trou et me lèche à présent le trou de balle.

– Humm, quelle odeur ! commente-t-elle
– Comment ça « quelle odeur » ? Il n’est pas propre mon cul ?
– Si ! C’est moi qui fantasme !
– T’aurais aimé qu’il soit un peu sale ?
– Disons que ça ne m’aurait pas dérangé !
– Tu aimes les culs qui sentent la merde ?
– Ça ne me déplait pas.
– Et bien, rentre-moi un doigt…

Elle ne se le fait pas dire deux fois, et me doigte le cul avec frénésie ! Humm c’est bon ce qu’elle me fait ! Elle le ressort ensuite et se le lèche comme s’il s’agissait de la meilleure des friandises.

– Je me demande si je n’ai pas une petite envie de faire caca. Déclarais-je à la cantonade.
– Tu vas faire ça où ?
– Je ne sais pas trop, je ferais bien ici sauf si ça dérange quelqu’un.
– Moi je veux bien regarder ! Déclare alors Claire.

C’est surréaliste, ils sont quatre autour de moi en train de me regarder. Je m’accroupis.

– Vous n’allez pas être déçus ! Dit Josée, cette salope fait des beaux boudins.

Je sens que ça vient, je me lâche, un bel étron commence à sortir de mon cul, Claire tend la main, le recueille, le regarde d’un air attendri et le lèche quelques instants !

– Humm, j’adore ça lécher la merde ! Il y a d’autres amateurs ?

Josée s’amène et lèche un peu à son tour, puis s’en étale un peu sur les joues et autour des lèvres, avant de m’attirer contre-elle afin que je l’embrasse.

Sylvain passe derrière Maxime et lui flatte le cul.

– Si tu veux que je t’encule, ça devrait le faire !
– D’accord on essaie !

Et devant les trois femmes passionnées par le spectacle, Sylvain dépucela le cul de Maxime.

– Me voilà marié avec un enculé ! S’amuse Claire

Du bruit, nos deux nordiques ont dû se perdre elles aussi et nous surprennent alors qu’on allait se rhabiller.

– Oh ! Fit la première, vous avez fabriqué une orgie !
– Ben oui, faut bien se détendre un peu ! Répond Maxime, égrillard.
– On aurait bien regardé ! Reprend l’inconnue.
– Trop tard, la séance est terminée !
– Dommage, nous on voulait juste faire caca derrière le rocher !
– Vous allez pouvoir y aller, on s’en va, on vous laisse la place !
– Oh, mais il y a déjà un caca !
– Oui, ça vous gêne ?
– Non mais c’est bizarre, il n’y a pas de papier, la personne a dû oublier de s’essuyer, il faut absolument la prévenir ! Quand on s’essuie mal, ça gratte le cul !

Elles rigolent ou pas ? Impossible de savoir ! Je me fais provocatrice :

– Ben oui, c’est moi, Intervins-je, j’attendais que quelqu’un me lèche le cul

Alors la nordique se tourne vers sa copine et lui dit

– Maak zijn ezel, slaaf schoon !

C’est quoi ce charabia ?

– Ça veut dire « Lèche lui le cul, esclave » ou quelque chose d’approchant. Précise Sylvain qui en bon bruxellois parle un peu le flamand et comprend le néerlandais.

La traduction devait être bonne puisque la seconde nordique vient derrière moi et me lèche le cul !

Mon dieu quelle langue, ça fait du bien !

Après cette petite fantaisie, les deux énergumènes se mettent en position pour faire leur pipi caca. On est tous là à les regarder.

– Non, non ! Proteste la première, en se relevant,

Elle fouille dans son sac et nous présente la carte de leur hôtel.

– Chambre 212 ! ce soir ?

Moi j’ai dit oui, les autres aussi et on est reparti chacun de son côté.

FIN

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11 réponses à Echos dans la montagne par Claire_N

  1. De Candé dit :

    Extrêmes mais extrêmement bandant

  2. Fef dit :

    Superbe recit, tellement excitant

  3. Xtra dit :

    Il faut mieux chier dans la montagne que d’y laisser trainer des papiers gras

  4. Marylu dit :

    Quand je suis très excitée il m’arrive de faire dans les trucs scato comme lécher un cul bien merdeux.

  5. Nina dit :

    Je n’aurais jamais du lire ça ce matin, je vais maintenant avoir du mal à me concentrer sur mon télétravail. Inutile de préciser que j’ai adoré !

  6. Zap50 dit :

    Un peu fouillis, mais bandant !

  7. Chastaing dit :

    Claire t’es une cochonne ! ♥ ♥ ♥

  8. Gervaise dit :

    Délicieuses cochonnes ! J’ai adoré !

  9. Milord dit :

    N’importe quoi mais ça excite bien la chose

  10. André dit :

    Cochon mais bon

  11. Ferdinand dit :

    Cette randonnée des cochons et des cochonnes est véritablement bien décrite et très excitante

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