Dans le salon ovale par Stéphanie01

Le bruit de l’interphone retentit dans l’office. J’écoute alors la voix de
ma maîtresse qui me demande de passer dans son bureau. J’abandonne la
vaisselle sale et me dirige sans tarder vers l’endroit en question. Dans la
vaste demeure où j’officie comme domestique, on appelle cette pièce le
bureau ovale, par analogie avec celui du président des Etats-Unis
d’Amérique. Il est richement décoré de hautes boiseries murales, de
remarquables meubles anciens et d’épais rideaux en velours rouge. C’est dans
le cadre de ce somptueux bureau qu’elle règle toutes les questions
administratives inhérentes à ses fonctions. Avant de pénétrer dans la pièce,
je remets un peu d’ordre dans ma tenue. Je porte en effet, durant une bonne
partie de la journée, l’archi-classique tenue de soubrette. Je suis
conscient que cela n’a rien de très original, mais je n’ai dans cette
matière (comme dans toutes les autres d’ailleurs !) de toute façon pas droit
au chapitre. Je me contente de faire honneur à ce must incontesté de la
soumission tant féminine que masculine. Je m’empresse de vérifier l’absence
de plis disgracieux dans ma robe ou dans le petit tablier blanc en fines
dentelles qui l’accompagne. Je m’assure que mes bas n’ont pas filé, que mon
porte-jarretelles est bien positionné (le petit nœud doit se trouver au
centre) et que mes chaussures à talon plat sont bien vernies. Une coiffe
tressée que j’ai tendance à oublier, couronne cet ensemble. Quant à la
petite culotte, c’est un luxe dont je suis sensé me passer !. Je dois
néanmoins reconnaître qu’à certaines occasions, je suis autorisé à en
revêtir une. Mais il s’agit exclusivement d’un slip qui a déjà été porté par
ma maîtresse ou par l’une de ses amies. Quand je dis porté, c’est plutôt
gentil !. Le terme de souillé me paraît nettement plus approprié. Il va de
soi que cela ne me dérange pas le moins du monde et que je suis à même
d’apprécier ce type de faveur à sa (très) juste valeur… Toujours est-il
que je me présente aujourd’hui avec le sexe et les couilles qui pendent sous
ma jupe.
– Stéphanie, entre ici immédiatement !
Je m’avance à petit pas feutrés sur l’épaisse moquette, en évitant de
croiser son regard.
– Approche pus vite, petite conne et lève ta jupe !
Je prends les bords en tissu de ma robe et les soulève doucement.
-Tes poils, Stéphanie !! Qu’est-ce que c’est que cette horreur !! Me
lance-t-elle.
– Je t’ai demandé mille fois d’entretenir cette toison pubienne. Je suis
beaucoup trop laxiste avec toi et si cela continue, je serai forcée
d’imposer le rasage intégral !
J’ai en effet oublié de signaler au lecteur que ma maîtresse autorise les
membres de son personnel à garder un petit carré de poils pubiens au-dessus
du sexe. Chez les soumis, le pénis, les testicules, le périnée et la région
anale doivent impérativement être glabres. La règle est strictement la même
pour les femmes (soumises, bien entendu) qui peuvent exhiber un discret
rectangle de poils au-dessus de leur fente.
Je dois avouer que ces derniers temps, j’ai eu tendance à négliger cet
aspect de ma toilette et il est logique de me le voir reprocher. Je deviens
rouge de confusion et n’arrive pas à bafouiller un seul mot d’explication.
– Mais non seulement elle bande, et en plus elle commence à mouiller cette
petite pute !
Cette inspection « pilositaire » ne me laisse pas de marbre et je ne puis
dissimuler une solide érection combinée à la présence d’un peu de liquide
spermatique sur mon méat.
– Lèche mon doigt, me dit-elle après avoir prélevé cette goutte de liquide
transparent apparu sur le bout de ma bite de plus en plus tendue. Je suce et
enroule ma langue autour de son doigt de façon suggestive mais pas trop
bruyante.
– Petite suceuse et en plus tu aimes ça ! Arrête ! Me lance-t-elle, en
serrant vigoureusement mes couilles avec sa main restée libre.
– J’espère que ça va te faire débander, petite branleuse !
Sous la vive douleur occasionnée par cette torsion, j’esquisse
involontairement un mouvement de recul et plie un peu les jambes.
– C’est cela, mets toi à quatre pattes, comme une chienne !
Je me doute de ce qui se prépare et tente de dissimuler au mieux mon
érection considérée comme impertinente. Elle enfile ensuite un gant en latex
en me narguant du haut de son incontestable supériorité. J’ai la présence
d’esprit de relâcher au maximum mon sphincter anal avant de recevoir dans le
fondement un, puis deux et enfin trois doigts effilés. Il est exact d’écrire
que mon rectum n’a plus de secret pour elle. Elle a déjà tellement souvent
parcouru ce chemin qu’elle s’y trouve un peu chez elle !! Il faut néanmoins
savoir que ce n’est pas ma maîtresse actuelle qui a emporté mon précieux (et
ridicule !) pucelage anal. En fait, c’est une de mes ex- petites amies qui,
à l’époque, m’avait proposé, dès le moment d’entamer des relations
sexuelles, le « marché » suivant:
– Je veux bien te sucer la queue, si en retour, tu me lèches la chatte et
d’autre part, si tu désires m’enculer, je puis faire la même chose avec toi
!
Elle appelait cette théorie « l’égalité des sexes » qui était née, selon elle,
de la révolution culturelle (et surtout sexuelle !!) survenue à la fin des
années 60. N’ayant que peu d’expériences de ces choses et aucun préjugé,
j’avais volontiers accepté cette proposition (pas indécente!!). Dans la
foulée, elle avait acquis à mon intention plusieurs types de godemichés.
Avec le temps, elle se mit à les utiliser de plus en plus souvent au point
que cette activité a pris une place de choix dans nos joutes amoureuses.
Elle contribua très certainement, par ces séances de sodomie, à me révéler
une partie importante de ma sexualité… mais ceci est une autre histoire…
Ma maîtresse s’occupe toujours très activement de mon rectum. Ses doigts
rentrent et sortent de mon orifice à cadence rapide. Je n’ose pas montrer de
façon trop significative ma satisfaction et je me contente de pousser des
petits gémissements. Elle ôte alors sa main et inspecte le gant.
– C’est bon, il n’est pas sali de merde ! Tu échappes par conséquent au
lavement !
Là encore, en levant la tête dans sa direction, j’essaie de ne pas montrer
mes sentiments et la remercie d’un respectueux « merci maîtresse ».
– Lève toi et sert moi un whisky; ensuite, tu vas t’allonger sur la table
basse !
Pendant que je m’exécute, elle s’empare du téléphone intérieur et appelle
Anne.
– Anne, rejoins-nous dans mon bureau et prend avec toi le matériel de
rasage!
A ce stade-ci du récit, je me rends compte que je n’ai pas encore mentionné
l’existence de cette chère ANNE.
Anne, c’est en fait mon alter ego féminin, si je puis m’exprimer ainsi,
compte-tenu du fait que j’assume, dans cette demeure, une bonne part de la
féminité ambiante!
C’est une très jolie fille, sur laquelle tout homme (ou femme !) normalement
constitué(e), se retourne en rue, tant elle est mignonne. Elle est blonde et
possède à peu près la même taille que moi (1m72). Elle est pourvue de deux
adorables petits seins très fermes. Son ventre est plat et elle présente,
selon le principe explicité ici plus haut, un splendide petit rectangle de
poils pubiens (blonds!) au dessus de sa fente.

Cette dernière arbore des petites lèvres délicatement
ourlées, tandis que son anus est joliment plissé. Mais (oui, il y a un MAIS
!!) ANNE n’apprécie que très moyennement les charmes de la gent masculine
(bref, elle est plutôt homosexuelle). C’est sous la contrainte de notre
maîtresse qu’elle accepte de « jouer » avec un mâle, même féminisé!
Personnellement, je me montre plus opportuniste et chaque fois que j’en
reçoit l’ordre, je ne me gêne pas pour lécher sa vulve avec application, la
baiser de façon plus classique ou encore, le cas échéant, l’enculer…
Il n’empêche que pour le moment, le contact du marbre froid sur lequel je
suis impudiquement allongé, me fait frissonner. Le regard que me lance Anne
en pénétrant dans la pièce est encore plus glacial.

-Tu vas lui raser tous les poils qui dépassent ! Lui demande la maîtresse.
Anne s’empare alors d’un rasoir jetable et, à sec, s’attaque aux poils non
autorisés, en respectant l’intégrité du carré pubien. Sans ménagements, elle
écarte ma verge raidie et mon scrotum pendant qui la gêne dans son travail.
Aucune surface n’est épargnée et à la fin, j’ai la peau toute rouge. Il y a
même quelques minces filets de sang qui s’écoulent de certains follicules
pileux qui ont littéralement été rabotés par la vieille lame.
– Parfait Anne, tu as fait du bon travail ! Je vais y mettre la touche
finale afin que cette séance te serve de leçon! Elle répand alors un peu du
whisky contenu dans son verre sur toute la région qui vient de subir le
rasage hot de cette chère Anne.
Je ne peux m’empêcher de crier tant la sensation de brûlure est intense; ça
chauffe très fort !!. Comme seule réponse à mes beuglements, je reçois le
manche du rasoir dans le cul…
– Lèves toi et arrête de te plaindre comme une pucelle. Tu n’as eu que ce
que tu méritais ! Venez, suivez-moi sur la terrasse.
Nous suivons la maîtresse à l’extérieur de la maison. Le vent frais me fait
frissonner et soulage un peu ma peau brûlante. Je n’ai pas remarqué d’emblée
que ma maîtresse emporte avec elle deux verres à vin. Nous attendons les
instructions avec fébrilité. Elles ne tardent pas à venir:
– La première qui remplit son verre d’urine pourra le faire boire à l’autre
!
En prenant le mien, j’ai d’emblée envie de crier à l’injustice physiologique
! La nature masculine est ainsi faite qu’il n’est pas évident de pisser
quand on présente une forte érection. Et après toutes ces manipulations,
c’est plus que jamais mon cas. Je me concentre au mieux, mais il est
manifeste qu’à cet instant précis, j’ai plus envie d’éjaculer que
d’uriner… Anne, de son côté, a tôt fait de remplir son verre. J’ai quand
même la satisfaction de pouvoir l’observer à l’œuvre et le spectacle en vaut
la peine : elle plie légèrement les genoux, bascule son bassin vers l’avant,
approche les bords du verre de sa vulve rasée et s’exécute efficacement.
Quatre yeux lubriques se tournent alors vers moi; mon verre est
désespérément vide, ma pine turgescente pointe vers les nuages et je n’ai
pas réellement soif…
– Stéphanie, tu vas boire le contenu du verre ! Soif ou pas soif, cette
injonction ne soufre d’aucune discussion.
Et glou, et glou et glou… tout en buvant ce liquide jaunâtre déjà un peu
tiédi, je me demande en moi-même si Anne ne s’est pas retenue, en
connaissance de cause, de pisser depuis ce matin ?
– Stéphanie, tu te rends compte qu’il n’y a pas de papier de toilette sur la
terrasse; tu devines ce qui te reste à faire; tu lèches Anne jusqu’au moment
où elle est propre, et au galop, petite salope !
Je m’agenouille prestement aux pieds de Anne qui daigne écarter un peu les
jambes. Mes genoux trempent dans les petites flaques de pisse tombées sur le
dallage de la terrasse. Comme elle a éclaboussé l’intérieur de ses cuisses,
c’est par cette région que je commence ma tâche. Je lape à grands coups de
langue ses jambes avant de remonter vers son sexe. J’y décèle encore
quelques gouttes d’urine dont je ne fais qu’une bouchée. J’en profite après
pour mordiller ses grandes lèvres, aspirer ses nymphes et suçoter son
clitoris encore mou. Ensuite, je dirige ma langue dans son vestibule vaginal
et la pousse le plus loin possible à la rencontre de ses sécrétions
sexuelles. Je mélange ma salive à son jus intime qui commence à couler. Les
effluves d’urine s’allient à celle de sa mouille pour mon plus grand
plaisir.
– Stop, ça suffit maintenant ! Retournez tous les deux à vos ouvrages, clame
notre maîtresse.
Je regagne donc la cuisine avec trois verres vides en main…

Stephanie

wama4443@wanadoo.be
Première publication sur Vassilia, le 09/12/2001

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Une réponse à Dans le salon ovale par Stéphanie01

  1. TransMonique dit :

    Un petit délire qui m’a bien excité le machin !

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