Un élève nommé Bernard (Maud la prof – 3) par Bernard_le_photographe

La saison avançait, il faisait de plus en plus chaud et cette liaison entre
cette prof coquine et moi était aussi de plus en plus chaude…
J’avais la permission de lui téléphoner chez elle le mercredi, et un jour
elle m’annonça que c’était fini pour elle ce remplacement, qu’elle avait un
poste plus proche de son domicile, ce qui était mieux pour moi également.
Elle avait la date de son dernier cours, un matin, et me demanda un service
:
– Ce jour là, je prendrais ma voiture pour charger mes bouquins et autres.
Est-ce que je peux compter sur toi pour m’aider ?

J’acceptais, ce serait un midi, elle m’offre même le restau pour la peine !
On ne put se rencontrer avant, et le jour dit à midi, j’étais devant
l’établissement. Elle vint me chercher, vêtue d’une robe un peu ample, en
tissu léger, décolleté carré, blanc cassé. En s’approchant de moi, je
compris qu’elle n’avait pas de soutien-gorge et un oeil exercé pouvait
deviner les petites aréoles… ça me surprit… Elle se penche par la portière,
m’embrasse à pleine bouche puis me dit qu’elle est heureuse que ce soit fini
ici. Je sors de la voiture :
– Dis-moi ? Tu as fait tes cours comme ça, ce matin ?
– Ben oui, pourquoi ? Parce que je n’ai pas de soutien-gorge ?
– Ben oui… ça se voit !
– Oh ! Pour le dernier jour, je l’ai fait exprès, qu’ils gardent un bon
souvenir de moi !

On se dirige vers sa classe, en fait des  » préfabriqués  » ajoutés vers
l’entrée. Tout est désert, élèves et profs partis ou à la cantine de l’autre
côté du bâtiment en dur. Elle a garé sa 504 devant, ouvre le coffre et les
portes et on pénètre dans cette classe après trois marches larges. J’ai
toujours une émotion en entrant dans une classe, une certaine odeur, des
souvenirs lointains et pas tous désagréables. Elle me montre plusieurs
cartons empilés au fond, je ne pensais pas qu’il fallait tant de choses. On
s’embrasse un peu avant de déménager et je lui dis que j’aurais voulu être
un de ses élèves ce matin pour la voir évoluer dans cette robe et deviner
ses seins, surtout qu’elle se pencha sur un carton, je voyais la moitié de
sa poitrine !
– Tu te rends compte, tu as du les rendre fous ce matin !

Je passais une main par le décolleté, saisissant un sein à pleine main…
– C’est de la provocation, ce soir les mecs vont rêver de toi et peut-être
plus ?
– Tant mieux pour eux, et je sais qu’il y en a un ou deux qui se
souviendront de leur dernier jour avec moi !
– Et pourquoi ?
– Je t’en ai parlé, je crois, il y en a deux que j’ai repéré, je sais que je
leur plais, j’ai entendu des indiscrétions, et ce matin je leur en ai montré
un peu plus en me penchant sur leur table, exprès pour qu’ils en profitent !
– Mais tu es une vicieuse, une prof lubrique qui dévergonde ses élèves !
– Oh ! Tu sais, ils pourraient peut-être m’en apprendre !

Ça m’excite d’entendre tout ça, mais on range d’abord ses affaires dans la
voiture, j’en profite pour la toucher un peu partout, en regardant bien, on
devine aussi sa culotte blanche, bref, quand on a fini, je suis super excité
et ce qui est bien c’est que nous sommes absolument seuls ! Je l’embrasse
contre le bureau, une main sous la robe, elle est aussi très chaude, très
câline, me laisse faire et répond à mes caresses. Puis, je lui dis :
– Au fait, la place de tes élèves, les deux dont tu me parlais, c’est où ?
Celui qui te plairait par exemple ?
Elle me montre :
– Là, au deuxième rang !
Je vais m’y asseoir.
– Madame, s’il vous plait, comme c’est votre dernier jour, on ne se verra
plus, je voulais vous dire que je garderais un super souvenir de vous !
Elle va s’asseoir au bureau :
– Oh, c’est gentil de me dire ça ! C’est tellement rare, mais tu te
souviendras précisément de quoi, Gérard ?
(Je crois que c’était le prénom, mais…)
– De vos yeux et de vos seins, Madame !
– Oh ! Quand même tu exagères, on est en classe !
Elle joue l’effrontée :
– Oui, mais comme on est seul, je préfère dire ce que je pense, je rêve de
vous depuis le début de l’année, tout à l’heure j’ai bien vu que vous
faisiez exprès de vous pencher, j’ai regardé votre décolleté ! Superbe ! Et
j’ai envie de voir vos seins, Madame, ils doivent être très beaux !
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Oui, mais c’est ma dernière chance, je vous en supplie, et puis j’ai bien
travaillé, ce sera la plus belle des récompenses !
– C’est vrai que tu es bon élève, bon, j’accepte, mais vite, on pourrait
nous voir !
– Merci Madame !

Elle descend une bretelle, toujours assise et le sein gauche apparaît.
– Oh ! Qu’il est beau, Madame, comme je l’avais rêvé, mais il faut que je
vois les deux, s’il vous plait ?
– Tu veux tout, toi, hein ?
Elle fait le geste idem et les deux seins sont presque posés sur son bureau
!
– Madame, vous pourriez vous approcher pour les voir de près ?
– Non, viens plutôt ici, si quelqu’un vient, on le verra !
Ça c’était vrai, on dominait la cour. Je me lève, faisant le timide et je me
mets à côté, debout :
– Vous savez, j’en ai pas vu beaucoup à mon âge, je m’en souviendrais toute
ma vie, mais je n’en ai jamais touché, vous permettez ?

Je me piquais au jeu, c’était curieux car on jetait des regards au dehors au
cas où, et elle jouait la comédie :
– Parce que c’est toi, Gérard, le dernier jour, je te permets juste un peu !
– Oh ! Merci Madame, vous êtes sympa !
Et j’avance une main comme si c’était la première fois, j’effleure sa peau,
son téton, puis je m’enhardis, le prend à pleines mains :
– Que c’est doux, c’est souple, ça me plait de faire ça ! Et vous Madame ?
– A vrai dire, tu sais, c’est agréable, et en général, il faut que tu saches
que les femmes aiment ça !
– Je vous remercie !

Puis je passe derrière sa chaise, lui caresse les épaules et mes deux mains
descendent vers sa poitrine. Je la vois respirer plus fort, je la sens
troublée.
– Oh, madame, que c’est bon de caresser votre poitrine, c’est la première
fois, vous savez et si j’osais…
– Si tu osais quoi ? Ça ne te suffit pas ?
– Comme après on ne se verra plus, je voulais vous dire, ça me gêne… Un
jour, j’arrivais en retard, vous étiez en haut des marches, il y avait du
vent, j’ai vu votre culotte, Madame !
– Ah, oui ? Ça arrive dans la vie, j’espère que tu en verras d’autres, tu es
jeune !
– Oui, mais c’est la votre que je voudrais revoir, blanche, comme celle que
vous portez aujourd’hui !
– Et bien, toi, tu iras loin, tu sais ce que tu veux, hein ?
– Madame, s’il vous plait !
– Tu es un gentil garçon, je veux bien !
Elle se lève, écarte la chaise et face à la cour, relève sa robe sur ses
fesses, moi je suis derrière.
– Oh, que c’est beau, Madame, c’est ce que j’ai vu, vous pourriez vous
tourner s’il vous plait ?
– Après c’est tout, hein ?
Elle se tourne et montre son ventre. La culotte est opaque au milieu avec
les bords transparents, très sexy.
– J’ai jamais vu une femme de près, Madame !

J’allais me mettre à genoux, mais elle me fait signe de venir derrière le
bureau, en fait sur le côté pour qu’elle se place face à la cour, le bas
caché par le meuble et je mets à genoux entre elle et le bureau et on
reprend notre jeu :
– Tu n’as jamais vu une minette, encore ? Bon, tu regarde, mais sans
toucher, hein ?
D’une main elle tient sa robe à la taille et de l’autre elle écarte la
culotte.
– Je vois rien, Madame !
– Je ne vois rien, on dit ! Attends !

Elle descend alors le fin tissu sur le devant et montre toute sa toison.
– Que c’est beau, vous êtes une vraie blonde, alors ? Je l’avais parié avec
un copain !
– Vous avez parié la-dessus ?
– Ben, oui, et j’ai gagné. Ça sent bon aussi, hum !
J’approche mon nez, touche sa toison et la hume, puis lui fait des bises sur
le ventre en mettant mes mains sur les cuisses. Je la sens réagir et
l’entends respirer fort :
– Madame, c’est ça qu’on appelle une chatte, à cause des poils ? C’est doux,
ça me plait, vous êtes gentille et ça me fait plein de choses !
– Qu’est ce que ça te fait, mon petit Gérard ?
– J’ai mon sexe qui me démange !
– Il devient dur, c’est normal, tu sais à ton âge, mais tu n’as jamais fait
l’amour encore ?
– Non, Madame, à part en photo, je ne sais pas ce que c’est !
– Et quand ça te démange comme tu dis, tu fais quoi ?
– J’ose pas le dire, oh, tant pis, je me branle, Madame !
– Et ça te fait quoi, c’est bon ?
– Oh, oui, très bon, j’aime ça !
– Bon, parce que c’est toi, mais tu ne le diras à personne, c’est très
dangereux tu sais, je vais te montrer, mais enlève ma culotte d’abord !

Je fais glisser le tissu, je lui enlève, le respire.
– Je peux la garder en souvenir, Madame ?
– On verra après, je vais te montrer une vraie chatte !

Elle va prendre la chaise, la place aussi sur le côté du bureau, s’y assoit
la robe relevée et cuisses grandes ouvertes, elle garde ainsi la vue sur la
cour. Je m’agenouille face à elle, caresse ses cuisses, puis touche ses
poils que j’écarte.
– Oh, c’est beau, c’est tout rose, je ne savais pas que c’était comme ça,
Madame !
– Si ça te plait alors tu peux la toucher, et si tu veux aussi la goûter !

Je commence à peine à la toucher qu’elle pousse un gros soupir et ne dit
plus rien ! Je lui caresse la fente et touche son clito :
– Oh, oui touche-le ! Oh, j’ai envie Bernard ! Dans ma classe en plus, ça me
rend folle ! Suces-moi vite !

Elle me force la tête, s’ouvrant totalement, je sens sa mouille, un régal.
– Oh, oui, vas-y ! Ta langue ! Oui, je vais jouir tout de suite, j’en peux
plus !

Secouée de soubresauts, elle fait craquer la chaise et ses cuisses me
serraient fortement.
– On est fou, tu te rends compte de ce qu’on fait ? Mais ça me plait, j’ai
envie, prend moi Bernard !
Elle se lève.
– On ne joue plus, Madame, ça me plaisait vous savez ?
– On joue encore Gérard, tu as vu ma chatte ? Fais voir ton sexe s’il est
bien dur. Tu sais que pour entrer dans ma chatte, il faut qu’il soit bien
raide, sinon rien !
J’ouvre ma braguette et sort mon sexe.
– Ça va comme ça, Madame, il est assez dur ?
Elle avance une main, l’apprécie.
– Pas tout à fait, branle-toi un peu que je vois comment tu fais !
Je m’exécute mais elle le prend en main :
– Attend, je vais t’aider un peu !
Elle me branle pendant que je lui caresse les fesses tournées vers la cour.
– Madame, c’est vrai qu’on peut le faire durcir avec la bouche, aussi ?
– Oui, bien sûr, je vais te montrer !
Comme elle adorait cela aussi, elle me le démontre et me suce avec un grand
plaisir réciproque puis se relève.
– Bon, maintenant on va passer aux travaux pratiques, tu va voir, c’est
facile, tu va le glisser tout doucement dans ma chatte, tu vas voir, c’est
très bon mais attention, il faut te retenir, tu ne pars pas tout de suite,
hein Gérard ?
– Oui, Madame, mais comment on fait ?
– Comme ça ! Je m’appuie au bureau et toi derrière, allez vas-y !

La robe relevée à la taille, elle m’offre son superbe postérieur ! Je
m’approche de sa fente, regarde autour de moi, je ne rêve pas, je suis dans
une classe avec la prof qui se donne, la porte est ouverte, sa voiture
pleine de cartons devant, le chaud soleil éclabousse la cour déserte.

Je n’avais imaginé faire ça un jour et pourtant !

J’ai une envie folle de la faire jouir, je présente mon gland et pousse
doucement, elle gémit en soupirant et bientôt, je suis en elle totalement.
Je sens sa chatte palpiter, c’est chaud et trempé, je glisse mes mains sous
ses seins que je dénude pour qu’elle se sente encore plus perverse. A part
la robe à la taille son corps est nu, plié en deux sur son propre bureau.
Elle me dit que c’est trop bon, qu’elle va jouir encore, que je la prenne
fort… on perd la notion du temps, on jouit ensemble comme des bêtes, je
n’en finis plus de me vider en elle, une merveille !

Puis à regret on se sépare, je ramasse sa culotte, lui passe au pied et la
remonte, sachant qu’elle adore ça maintenant ! Elle descend sa robe et
remonte le haut puis on s’enlace :
– Toute ma vie je me souviendrais de ça, tu sais, ce n’était pas un vrai
élève, mais dans ma tête c’était pareil, il ne saura jamais ça, Gérard,
hélas !
– Je m’en souviendrais aussi, je crois que ça n’arrive qu’une fois dans une
vie, mais peut-être y avait-tu pensé quand tu m’as demandé de t’aider ?
– Oh, non pas du tout, après le restau, oui, mais dans la classe, ça non !
– Au fait, tu m’invites alors ? J’ai faim d’avoir tant travaillé !

Et on part avec ma voiture vers le village, tout heureux d’avoir vécu ça. En
tout, cela n’a duré que vingt minutes en fait et sans être dérangé du tout,
une aubaine qu’effectivement je n’ai jamais revécu.
Mais on fera bien d’autres choses ensemble sur plusieurs années de
fréquentations. Quand deux coquins se rencontrent, tout est possible surtout
qu’elle était un peu délaissée par son mari.
Il y eut une suite immédiate après le retour où l’on a parlé beaucoup de ce
qu’on venait de faire et du futur de nos relations facilitées par la
proximité. Puis en la raccompagnant, on fit vraiment l’école buissonnière,
un petit détour par la colline juste pour s’isoler car on ne trouva pas
d’herbes assez douces, on remit ça dans la voiture. Elle voulut « me
remercier » en faisant tout : fellation d’abord, puis elle se mit sur moi
sans la robe mais AVEC sa culotte trempée ! C’est la première femme que je
connu aimant garder assez souvent sa culotte en se faisant prendre. Et
j’avoue trouver ça très excitant !

D’autres lecteurs ont-ils vécus la même chose ? En tous cas, merci à tous
ceux (et celles) qui m’apprécient !

Avec mes complices amitiés.

Bernard

(c) Bernard photographe 11/01.
Première publication sur Vassilia, le 09/12/2001

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *