Clotilde 21 – Ma volonté par Fafalecureuil

Clotilde
21 – Ma volonté
par Fafalecureuil


La venue de Gaëlle et Angélique ne me surprit pas, par contre, leur distance et la dureté de leur regard n’étaient pas habituelles. Sans un mot, elles s’approchèrent de moi et me saisirent par les poignets. Un homme apporta une table gynécologique sur roulette et la plaça au milieu de la pièce, Gaëlle me poussa vers la table et j’y pris place. En moins de deux minutes, je me retrouvais solidement attachée par des liens de cuir, jambes écartées au maximum. La table séparée en deux permettait un accès à mes orifices impatients d’être malmenés. C’est Angélique qui mit en place un spéculum dans mon sexe et l’écarta au maximum, bien face à la caméra. Pendant ce temps Gaëlle plaça sur mes tétons des ventouses aux bords métalliques et les actionna sans douceur, m’arrachant un cri de douleur. Puis elle enserra mes seins à l’aide d’un carcan de bois, les serrant l’un contre l’autre. La souffrance montait, tout comme mon plaisir. Lorsque Angélique plaça une ventouse sur mon clitoris, je me raidis et un cri de douleur m’échappa en même temps qu’une sensation de chaleur dans mon ventre…

Gaëlle plaça ensuite des pinces munies de fils électriques sur les ventouses métalliques et sur le spéculum. Angélique enfonça dans mon anus un plug de belle taille lui aussi métallique et y fixa les mêmes pinces.

Gaëlle plaça dans ma main un boîtier.

– Clotilde, tu as ici quatre boutons qui actionnent les pinces sur tes seins, sur ton clitoris, dans ton sexe et dans ton anus. C’est compris ?
– Oui…
– Ensuite tu peux modifier l’intensité des décharges en tournant le bouton juste au-dessous.
– Oui, merci Gaëlle…
– Attends, avant de me remercier, ce ne sera pas toi qui décidera mais tes admirateurs, tu devras leur obéir et t’infliger ce qu’ils t’ordonneront de faire, sans hésiter et sans discuter, sinon la punition sera exemplaire.
-… Bien…

A ce moment, Claire entra, vêtue de cuir et munie d’un martinet.

– Je vais veiller à ce que tu obéisses ma belle Clotilde…
– …
– Commençons, tu vas suivre les indications et les ordres que je te donnerai.
– Oui Claire…
– D’abord puissance minimale sur tes seins.

J’appuyais sur le bouton après avoir choisi la puissance. Un léger picotement traversa mes tétons distendus, pas du tout douloureux.

– Même chose pour ton clitoris.

Là c’était déjà plus délicat, les picotements étaient plus marqués, mais très supportables.

– Ton anus, maintenant…
– Oui…. Mmmmmmm

La chaleur gagnait mon ventre alors que Claire m’ordonna d’actionner les électrodes placées sur le spéculum. Aussitôt, je sentis mon sexe se contracter doucement au rythme des impulsions.

– Bien maintenant coupe tout ! Puissance 2 sur tes seins !

J’obéis, légèrement douloureux mais très supportable… Puis de même dans mes orifices qui se contractaient délicieusement, enfin mon clitoris plus sensible se tendit violemment… Claire jugea que je n’avais pas obéi assez vite et sans me prévenir, cingla mes fesses. Je criais de surprise sous la morsure du cuir. Mais elle ne me laissa pas le temps de récupérer, elle me fit passer à la puissance supérieure et m’ordonna d’actionner toutes les électrodes en même temps. J’hésitais un peu et le martinet siffla à nouveau, cette-fois ci entre mes cuisses ! Je criais de douleur et obéis de suite. Tout mon corps se tendit sous les impulsions, la douleur sur mon clitoris était importante mais encore supportable, mon sexe ruisselait, mes tétons dardaient de plus belle.

– Sans rien arrêter, passe à la puissance supérieure ! Je compte jusqu’à 3.
– B…bien…

Elle passa derrière moi et plaqua sa main gantée sur ma bouche y enfonçant trois doigts.
– 1, 2, Voilà c’est bien !

Mon corps se tendit rudement sous les décharges maintenant importantes et douloureuses. Je transpirais beaucoup, mon clitoris me brûlait, mon sexe me faisait mal, mon anus aussi et mes tétons semblaient durs comme du bois.

– Baisse maintenant, coupe tout.
– Oui….

Elle me laissa récupérer, me caressa quelques instants, m’embrassa, lécha mon sexe distendu et se redressa,

– On reprend, puissance maximale dans ton petit trou que j’aime tant.
– Bien.

Je sentais mon anus se contracter violemment, la douleur était forte, Claire plaça un bâillon boule dans ma bouche. Lorsque mon sexe fut à son tour « électrifié » je me cabrais de toutes mes forces, tirant sur les lanières de cuir. Mes cris étouffés, mes larmes ne changèrent rien, implacable elle m’ordonna de continuer par mes seins.

La douleur sur mes tétons était presque intolérable, c’était brûlant et glacé en même temps. Et pourtant, je sentais ma jouissance monter, je me calmais un peu malgré la douleur et lorsque Claire actionna elle-même l’électrode placée sur mon petit bouton, je sentis la douleur fulgurante et le plaisir mêlés me terrasser, je sentais mon sexe couler en continu, je hurlais non plus de douleur mais de plaisir, un plaisir intense comme je n’en avais pas beaucoup vécus… Claire coupa le courant et s’approcha de moi. Elle enleva avec soins tout l’attirail qui occupait mes orifices puis délicatement, elle ôta les ventouses me laissant découvrir mon clitoris gorgé de sang, énorme, distendu et mes tétons qui n’étaient pas en reste. Sans me laisser de répit, elle plaça autour de mon clitoris une bague métallique qui enserrait mon bouton le maintenant totalement étiré. Elle serra bien cette espèce de bague avant d’y fixer un petit anneau métallique. Elle tira dessus, m’arrachant un cri de douleur.

– Il est bien en place, c’est parfait, c’est très joli en plus, tu ne le quitteras plus sans mon autorisation. Bien compris ? Je vais retirer ton bâillon maintenant.
– Oui Claire.
– Je vais te détacher, tu vas me suivre, je veux te faire goûter des plaisirs nouveaux.

Elle me détacha et me soutins alors que je vacillais sur mes talons. Elle fixa ensuite une laisse à mon clitoris et me fit lécher ses chaussures, comme une bonne chienne soumise. Ensuite elle me fit faire le tour de la maison et je fus exposée et palpée, sondée, doigtée. A de nombreuses reprises on me fit sucer des sexes tendus, et j’obéissais sans hésiter, en bonne esclave. Je léchais avidement et souvent on flattait mes talents de soumise. De temps à autres le martinet claquait, manié par un invité, mon sein gauche fut zébré par une des deux lesbiennes de tout à l’heure, la douleur cuisante fut apaisée par sa langue agile ensuite. Mais Claire me voulait pour elle et m’emmena vers les toilettes de l’étage, carrelées de blanc. Une caméra était fixée dans un coin de la pièce et elle me la désigna.

– Mets-toi en position, à genoux, jambes écartées, bouche ouverte. Pour qu’on te voie bien pendant que je t’inonde.

Je me mis en position et Claire ouvrit sa robe découvrant son sexe gonflé. Elle s’approcha et presque aussitôt, elle m’inonda. Je grognais de plaisir, être ainsi humiliée, sachant que j’étais filmée et vue par tous ces gens décuplait mon humiliation et mon plaisir. Je bus le nectar de Claire avec délectation et nettoyais son sexe avec application. Elle me fit lécher le sol et ses chaussures luisants. Je me frottais contre le carrelage humide et froid oubliant tout le reste. Lorsqu’elle se tourna pour me présenter son cul, je n’hésitais pas et y posais ma bouche en bonne esclave prête à tout pour obéir à ma maîtresse. Je léchais longuement son anus et lorsque Claire m’ordonna de me doigter en même temps, j’obéis. A ce moment, Angélique entra, nue, vêtue uniquement de talons hauts. Claire lui ordonna de nous doigter également et de nous lécher. Claire me sourit et se cabra un peu plus. Angélique enfonça ses doigts en elle puis en moi, sa langue passait longuement sur nos trous palpitants… Le majeur d’Angélique se posa le long de ma langue et je l’engloutis et le ressortis presque aussitôt, conquise. Alors Angélique me fit lécher ses autres doigts avant de m’enlacer violemment, frottant son corps contre le mien, léchant avidement ma poitrine, mon ventre, partageant ensuite des baisers passionnés et inouïs. A mon tour, je doigtais Claire et enfonçais mes doigts dans la bouche d’Angélique. Claire décida de passer aux choses sérieuses et nous plaça côte à côte, sur le dos, jambes écartées, offrant nos intimités à ses pulsions. Sa main disparut bientôt dans nos sexes ruisselants, nous criions notre plaisir, sans retenue et lorsque Claire nous ordonna de nous fister, l’une comme l’autre nous plongeâmes nos mains dans nos petits trous distendus. Je crois que je jouis plusieurs fois sous ses caresses douloureuses et intenses, ivre de plaisir. Enfin, Claire nous laissa nous reposer, après quelques instants, elle nous mena au jardin et elle nous désigna un poteau près de la terrasse. Gaëlle et Virginie étaient assises dans des fauteuils d’osier, entre leurs jambes écartées, deux jeunes filles en tenues de soubrettes étaient en plein cunnilingus… Claire nous désigna le poteau, Angélique et moi, nous n’avions pas besoin de plus de détails, nous tendîmes nos têtes et Claire passa à nos cous de très lourds colliers de métal qu’elle venait de ramasser sur le sol, puis elle y passa une lourde chaîne, très longue. Enfin, elle fixa la chaîne en haut du poteau. Nous avions pas mal de « mou » et Claire nous laissa là en nous ordonnant juste de tenter de nous reposer. Nous nous allongeâmes à même le sol, dans l’herbe fraiche alors que ni Gaëlle, ni Virginie ne faisaient attention à nous. Virginie à l’aide d’une cravache ne cessait de donner de petits coups sur les reins de la petite soubrette qui la léchait. Gaëlle caressait ses seins lourds, les yeux fermés.

Angélique se rapprocha de moi, je la pris dans mes bras et l’embrassais. Gaëlle désigna un beau gode à la soubrette qui s’occupait d’elle, elle s’en saisit, l’enduisit de salive et pénétra le sexe accueillant de sa maîtresse qui ne tarda pas à gémir de plaisir. Un second gode ne tarda pas à jaillir dans la main de la soubrette et força le petit anneau de Gaëlle qui semblait adorer cela.

Virginie avait elle aussi passé la vitesse supérieure et se faisait fister par la jeune fille qui visiblement y prenait beaucoup de plaisir à en juger par ses demandes répétées pour avoir davantage de coups de cravache…

Angélique restait blottie dans mes bras alors qu’en moi je sentais l’excitation remonter. Voir Gaëlle et Virginie au bord de la jouissance m’obnubilait. Ma main se glissa entre mes cuisses. Soudain, Virginie m’ordonna d’arrêter et se releva brusquement. Gaëlle absorbée par sa jouissance ne fit pas attention. La cravache de Virginie vola et s’abattit sur ma cuisse.

– Petite traînée, qui t’a permis de te caresser ?
– ….
– Je vais te punir, chienne !
– … Oui Virginie…
– 10 coups pour toi, cambre-toi !

Je présentais mes fesses, instinctivement…

– Non, je veux ta poitrine !
– …

J’obéis, prête à souffrir… le premier coup cingla sur mon sein droit, je criais, la peau était zébrée d’une fine trace rouge.

– Cambre-toi mieux, sinon, je double !
– B…bien…
– Angélique, maintiens-lui les bras dans le dos.

Angélique obéit et prit mes poignets pour les maintenir dans mon dos. Le deuxième coup m’arracha lui aussi un cri de douleur.

Mauvaise idée, les invités, alarmés par mes cris arrivèrent en masse. Comme par enchantement, ils se regroupèrent autour de moi, munis de badines, de cravaches, de martinets, de fouets !

Les coups de Virginie diminuèrent d’intensité, elle avait fait exprès bien sûr, pour attirer tout le monde. Maintenant, elle proposait à ses invités de nous punir moi et Angélique.

– Regardez ces petites rouquines vicieuses, le stupre leur colle à la peau ! Elles respirent le vice ! Il faut les punir.

La suite ne tarda pas, je dus à mon tour, maintenir Angélique à genoux pendant qu’un gros homme ventru lui asséna 10 coups de martinet. Doucement, mais fermement. Je sentais son corps se tendre contre le mien, ses muscles lutter pour qu’elle reste en place. Ensuite, c’est mes cuisses qui furent fouettées, d’abord l’extérieur puis l’intérieur. Aucun coup ne marquait mes chairs, mais la douleur rayonnait, de même que mon plaisir… Durant de longs instants nos corps furent fouettés pour le plus grand plaisir de nos maîtresses et … le nôtre. Lorsque nous nous mîmes côte à côte, jambes écartées pour recevoir des coups de martinet, je serrais la mains d’Angélique dans la mienne et m’abandonnais au plaisir de n’être qu’un objet, sans volonté si ce n’est celle de me soumettre totalement. Je jouis intensément, alors que mon sexe explosait sous le cuir mordant.

La jouissance que m’apportait la souffrance était extrême. Je ne sentais plus mon corps, je flottais dans l’espace sans rien pour me faire atterrir. La douleur et les morsures du cuir étaient pour moi un outil, un moyen fantastique pour accéder à cet état. Je m’endormis allongée dans l’herbe, dans les bras d’Angélique qui caressait mes cheveux. Je me réveillais, toujours enchaînée mais seule cette fois-ci. Angélique avait disparu durant mon sommeil. On avait également mis des fers à mes chevilles et à mes poignets. Lorsque j’ouvris les yeux, Claire se tenait devant moi. Elle se baissa et agaça mes tétons qui aussitôt réagirent en se dressant. Puis elle agaça mon clitoris, toujours encapuchonné et douloureux, étiré au maximum. Enfin, elle me présenta ses pieds chaussés de haut-talons, je les embrassais et les léchais avec application, Claire me fit ensuite sucer ses talons avant de se tourner et de me présenter son superbe cul. J’écartais les deux globes charnus et Claire m’encouragea à continuer et m’ordonna de la préparer… Une minute plus tard, elle était nue et cambrée sur une des chaises de rotin. Plusieurs hommes arrivèrent, nus eux aussi et déjà prêts à la prendre. Claire m’ordonna de les sucer à tour de rôle et ensuite, une fois qu’ils auraient joui en elle, de les nettoyer… Je fis alors du mieux pour sucer et lécher ces superbes queues dressées devant mon visage. Claire se faisait alors sodomiser et après avoir joui dans son petit trou, chaque homme revenait vers moi pour que je le nettoie. Je goûtais alors aux sécrétions de Claire, mais rien ne m’arrêtais et je ne rechignais pas à lécher ces queues poisseuses et souillées. Claire jouit à plusieurs reprises alors que je me caressais et que je continuais à sucer et à nettoyer ses amants. Enfin, ils partirent et furent remplacés par Virginie et Angélique. Angélique était tenue en laisse, harnachée de cuir et de métal, un mors entre les dents. Ses seins saillaient, serrés l’un contre l’autre par une lanière de cuir épais, ses tétons étaient ornés de pinces et de chaînes auxquelles pendaient des poids, étirant la pointe de ses seins. De même pour son sexe, dans lequel une lanière de cuir s’enfonçait, faisant saillir ses lèvres munies de nombreuses pinces. Virginie s’assit et Angélique, se mit à genoux devant elle. Claire m’attira vers elle et se tourna après m’avoir mise à genoux. Je n’avais pas besoin d’ordre… Pour commencer, je déposais un baiser sur son œillet humide, gluant de sperme. Puis j’embrassais carrément son anneau aspirant le nectar poisseux avec délice. Je n’étais pas non plus indifférente aux odeurs fortes et émoustillantes de Claire, en bonne soumise, j’étais même fière de pouvoir nettoyer ma maîtresse ainsi. Lorsque je la sentis se contracter, je plaquais ma bouche dans son sillon et aspirais comme une ventouse, je dégustais le nectar blanc et crémeux comme si c’était le meilleur des champagnes. Une fois ma maîtresse complètement nettoyée, je me remis en position pour attendre ses ordres. Elle me fit signe de me lever et j’obéis. Elle rajusta la chaîne au poteau et me mis en position debout, mains sur la tête et jambes écartées. Une jeune fille arriva avec un sac noir et le donna à Claire. Ma maîtresse en sortit un gode énorme au gland difforme et très épais. Elle le fixa très adroitement sur une ceinture de cuir et fixa ensuite la ceinture sur le poteau, juste entre mes cuisses. Mon sexe reposait sur ce gode de latex monstrueux, 25 centimètres au moins et surtout, très gros, sa surface très irrégulière et nervurée excitait mes sens. Claire se mit à ma droite et glissa à mon oreille :

– Tu sais comment ça s’appelle ?
– Non Claire…
– Moi j’appelle ça un horse, tu vois ce que je veux dire ?
– Oui… Claire…
– Tu aimerais bien y goûter ?
– O…oui…
– Tu y auras droit, mais d’abord nous allons l’essayer sur Angélique.
– …
– Angélique, vient lécher, ma pouliche !

Virginie fit claquer sa cravache et Angélique se retrouva à genoux devant moi, sa langue pointait pour lécher le gland énorme, elle y frottait son beau visage, le mors l’empêchait de sucer ce superbe sexe de latex. Virginie, desserra le mors et appuya sur sa tête pour qu’elle embouche le gode, puis alors qu’Angélique le suçait, elle lui assénait des coups de cravaches pour rythmer sa « fellation ». Moi, les mouvements du gode entre mes lèvres faisaient monter mon désir, je m’appuyais dessus, écrasant mon sexe avec plaisir. Puis Virginie ordonna à Angélique de se mettre en position. Elle se tourna et présenta son beau cul séparé par la lanière de cuir. Virginie la desserra et positionna le gode en face du sexe béant de ma compagne. Puis, elle la saisit par les épaules et l’empala d’un seul mouvement, lent mais inexorable… Angélique suppliait Virginie, mais je ne savais pas si c’était pour qu’elle arrête ou pour qu’elle continue…

– Tu vois comme tu aimes ça ? Hein petite pouliche, il te faut bien ça pour te remplir…
– Ooooooooooooui, maîtresse, je mmmMMMMmmmmm…

Le sexe s’enfonça totalement en elle, comme je gênais sa progression, Virginie détacha le gode et le mit autour de ma taille. Ensuite je pus pénétrer mon amante, comme me l’ordonna Claire, brusquement. Angélique criait son plaisir sans retenue alors que je sentais mon pubis claquer sur son cul. Son sexe béant avalait le gode avec facilité, étiré au maximum, comme quand j’y glissais ma main… Je fis jouir ma compagne longuement, et le plaisir que je lui donnais ainsi me récompensait de ma frustration. Lorsqu’Angélique ne put plus se tenir debout, elle tomba presque en avant, retenue par Claire qui l’allongea sur le sol. Virginie qui avait horreur du vide, glissa sa main entre les cuisses d’Angélique qui se remit aussitôt à gémir… Claire s’approcha de moi et se tourna avant de guider ce sexe gluant du plaisir d’Angélique vers son anus. Elle s’empala doucement sans pousser un seul soupir. Lorsqu’il disparût totalement en elle, je sentis par contre qu’elle tremblait de tout son corps. Alors que Virginie fistait Angélique sous mes yeux, je sodomisais Claire avec vigueur lui arrachant des petits cris. Soudain, elle se tétanisa et jouit longuement, son corps parcouru de soubresauts. Angélique était elle aussi au bord de la jouissance, mais tellement épuisée qu’elle ne semblait presque plus réagir. Virginie, à contrecœur, se retira et lui ordonna d’aller se reposer, dans sa chambre. Angélique sans un mot, obéit et s’en alla, le pas hésitant, éreintée. Claire s’était retirée et installée dans un fauteuil, visiblement sa jouissance l’avait elle aussi assommée. Virginie se tourna vers moi et à son tour s’empala sur le gode monstrueux qui pénétra son sexe avec beaucoup de facilité. Elle mit peu de temps à jouir et ensuite, pour mon plus grand plaisir me détacha avant de ceindre elle-même le gode-ceinture. Je me mis à genoux et aussitôt elle le poussa dans ma bouche, il avait beaucoup de mal à rentrer, mais je fis quelques efforts et me retrouvais avec ce gland énorme qui occupait toute ma bouche. Virginie me baisa la bouche un moment avant de se retirer et de me mettre à quatre pattes. Puis elle s’enfonça dans mon sexe, brutalement, m’arrachant un cri de douleur, très vite remplacé par des cris de plaisir. J’étais totalement « remplie » et la violence de la pénétration augmentait mon excitation de façon incroyable. Quand Virginie fit claquer la cravache sur mes fesses, à ma grande surprise, je m’entendis l’encourager, je la suppliais de me défoncer et de me fouetter, que j’étais sa chienne, sa pute, sa chose… Virginie demanda alors à Claire un nouveau gode et je sentis quelque chose de gros pénétrer mon cul.

– Oui, Maîtresse, enculez-moi, défoncez-moi,
– Ne t’inquiète pas, dans quelques instants, tu vas me supplier…

La douleur ne comptait plus, alors que le gland énorme passait mon petit trou distendu, je n’avais plus qu’une volonté, me soumettre à la douleur et au plaisir. Le gode s’enfonça en moi, centimètre par centimètre, je me cabrais, m’empalais dessus. Virginie l’enfonça jusqu’à la garde et ensuite le fit bouger en moi. Cette double pénétration avec des godes aux mensurations dignes de celle d’un cheval faisaient se bousculer les images les plus folles dans ma tête. Soudain, je fus submergée, je jouis longtemps alors que Virginie cravachait mes fesses en me traitant de tous les noms. La douleur me tira de mon petit nuage lorsque le gode sortit de mon cul. Claire et Virginie décidèrent que moi aussi je devais avoir du repos et elles m’emmenèrent dans ma « chambre ». Ma chambre était tout simplement une cellule, munie de barreaux, d’un lit de fer… Dans la « chambre » d’à côté, Angélique dormait à poings fermés, nue sur la couverture rêche. Je fus moi aussi démunie de mes bracelets, chaussures et autres colliers avant que la porte se referme. Je m’allongeais sur le lit et après quelques instants, alors que la lumière s’éteignit, je ne pus plus lutter contre le sommeil et m’endormis profondément.

Au matin, une jeune asiatique me réveilla, à côté Angélique était debout devant la grille, on m’ordonna de faire de même. J’obéis… Trois hommes entrèrent, Angélique et moi étions tout simplement leur « petit-déjeuner », Angélique dut s’agenouiller et sucer leurs sexes à tour de rôle, puis ce fut mon tour de m’activer, derrière les barreaux sur ces queues tendues. Ils demandèrent à notre geôlière laquelle de nous avait déjà été préparée, l’asiatique désigna la cellule de gauche et ils choisirent Angélique et après lui avoir passé un collier, une laisse et un masque de cuir ne laissant que sa bouche d’accessible, ils partirent avec elle. Je pus retourner me coucher, mais le sommeil ne vint pas. Après une bonne heure Angélique reparut, toujours en laisse et « cagoulée », mais menée par la jeune asiatique. Elle regagna sa cellule sans un bruit. La jeune fille se tourna vers moi, elle me fit signe de me lever. J’obéis et m’approchais de la grille, elle me demanda de me plaquer contre. J’obéis à nouveau. Elle positionna mes seins de façon à ce qu’ils passent de chaque côté d’un des barreaux de la porte, ensuite elle sortit un cintre à pinces et présenta les pinces ouvertes devant moi, elle me fit un signe pour que j’offre moi-même mes tétons à la morsure des mâchoires… Après un moment d’hésitation, je m’avançais, pris mon sein gauche dans ma main et posais le téton sur le bord de la mâchoire. La morsure fut très douloureuse, les larmes au bord des yeux, je pris mon sein droit et l’offrit à ma geôlière… Une fois prisonnière, j’étais contrainte de rester contre les barreaux. Ma geôlière ouvrit la porte, en me faisant avancer à petits pas. Elle flatta ma croupe, glissant un doigt le long de mon sillon. Puis, elle prit une paire de menottes à sa ceinture et la passa à mes poignets, en prenant soin de les passer derrière un des barreaux, maintenant de cette façon, mes bras au-dessus de ma tête. Puis elle guida mes jambes de part et d’autres entre les barreaux de façons à ce qu’elles reposent sur une barre horizontale, Je me retrouvais plaquée contre les barreaux, dans une position très inconfortable. Pour corser le tout, la belle asiatique plaça sur mes lèvres des pinces métalliques et à nouveau utilisa savamment les barreaux de ma prison pour les soumettre à une tension douloureuse. Dans cette position, elle avait accès à ma poitrine et surtout à mon joli petit cul qui ne tarda pas à être palpé et fessé. A côté, Angélique se releva, entendant les coups et mes cris. A chaque coup, mon corps entier se tendait et évidemment, mes seins et mon sexe prisonniers étaient cruellement éprouvés. Après la fessée, la belle asiatique se baissa et me lécha longuement avec beaucoup d’entrain. Sa langue fouillait mon petit trou et juste avant l’orgasme elle s’arrêta, me laissant pantelante. Elle sortit de la cellule, laissant la porte ouverte. Peu de temps après, deux hommes entrèrent et sans aucune autre précaution, me sodomisèrent brutalement. La souffrance infligée à ma poitrine et à mes lèvres écartelées était terrible et en même temps elle décuplait mon plaisir… Ils se relayaient pour me pistonner sans relâche pendant de longs instants. Au moment de jouir, le premier se vida en moi alors que le second choisit d’éjaculer sur mon ventre. Ils me laissèrent ensuite seule. Angélique m’appela :

– Clo c’est toi ?
– Oui…
– Comment vas-tu ?
– Bien mais je commence à avoir des crampes…
– Ah ?

Je lui décrivis ma position très inconfortable et la morsure des pinces sur mes chairs. Puis pensant à ce qui s’était passé plus tôt, je lui posais une question.

– Dis-moi, qu’entendaient-t-ils par « préparation » ce matin ?
– Je ne sais pas si je peux te le dire…
– Allez…
– C’est que…
– Quoi, tu es plus perverse que moi ? Ca m’étonnerait…
– Tu serais surprise de ce que j’ai fait ce matin…
– Comment ça ?
– C’est très, comment dire…
– Dis-moi, allez, avec qui tu l’as fait ?
– Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu…
– Alors qu’as-tu fait ?
– Je… je me suis fait
– Mais je vais montrer à Clotilde ce que tu as fait ce matin… Et tout de suite !

Soudain Claire entra, Angélique se recroquevilla. Claire apportait sur un petit chariot un ordinateur portable et le roula juste devant moi. Elle lança une vidéo où on voyait Angélique toujours en laisse à l’extérieur, marchant vers une grange. Elle y entra. On la guida vers un couloir jonché de paille. Il n’y avait pas de son, mais on devinait facilement qu’Angélique était dans le couloir menant vers une écurie. On l’arrêta devant une stalle et un homme la mena auprès d’un gode fixé sur une espèce de promontoire, on lui retira son masque. J’étais fascinée par cette scène, Angélique, nue dans cette stalle, elle semblait un peu nerveuse. Angélique se caressa longuement et doucement, se baissa un peu et glissa au-dessus du gode, la caméra suivit son mouvement et je découvris un sexe énorme au gland rouge et difforme… Angélique le caressa doucement, le sexe se dressait énorme, devant son visage. Puis, elle s’accroupit et sans aucune hésitation, embrassa cette queue monstrueuse, la lécha, la suça, frottant son visage et son corps contre ce vit énorme. Puis, quelqu’un lui fit un signe. Angélique prit place dessus et écarta les jambes, au plus près du sexe tendu, elle se contorsionna de plus belle pour se l’enfoncer dans le con, au plus profond. Elle s’empalait sur cette superbe queue sans aucune retenue et les gros plans sur son sexe écartelé loin de m’écœurer, me fascinaient totalement. Lorsque soudain elle jouit un liquide épais jaillit de son sexe, le gode avait explosé dans son ventre, Angélique jouit en se mordant les lèvres, son sexe et ses jambes coulant de foutre épais et gluant. Elle se redressa et le lécha longuement nettoyant toutes les traces de ce nectar qu’elle semblait adorer. Puis elle recueillit ce qui avait coulé sur ses jambes et son ventre et le porta à sa bouche. Elle se releva et un homme reprit sa laisse pour la mener vers un autre box où on lui désigna un autre gode suspendu au plafond, elle commença ses caresses buccales sur ce sexe factice gris-rose et plus gros encore que son prédécesseur. Cette fois-ci, elle se limita à le lécher et de le sucer tout en le branlant sans relâche. Ses efforts furent couronnés de succès, et elle guida le membre au bord de l’explosion vers un récipient de plastique dans lequel il expulsa à longs traits un liquide semblant très proche du sperme. Puis Angélique fut conduite dans une salle annexe où se trouvaient des hommes réunis en cercle, 15 ou 20 d’après moi. Elle fut placée au milieu, à genoux et les suça, les lécha à tour de rôle, un sexe dans chaque main, un dans la bouche, elle redoublait d’effort pour contenter tout le monde, pour la récompenser ils éjaculèrent sur elle après lui avoir demandé de s’allonger sur le sol. Son beau visage, ses cheveux, sa poitrine, son ventre furent couverts de sperme chaud et gluant. Enfin, elle dut se nettoyer et remplir le récipient déjà bien plein. Elle le tendit ensuite à Claire qui la reprit en laisse et la confia à la jeune asiatique. Maintenant, Claire se tenait devant moi, elle me tendit le récipient.

– Alors, tu es prête ? Tu sais, ce n’est que du naturel… Si tu comprends ce que je veux dire…
– ….

J’avais compris que ce n’était pas du sperme factice qui remplissait ce bol et pour toute réponse j’ouvris la bouche et elle versa sur mon visage et mon corps ce nectar fantastique, ce jus à l’odeur puissante et enivrante. Loin d’être écœurée, je bus tout jusqu’à la dernière goutte. Je n’avais qu’une idée en tête, la prochaine fois, ils m’emmèneraient moi…

Ensuite, Claire me libéra doucement de mes instruments de torture et elle libéra ensuite Angélique, elle nous félicita pour notre obéissance et notre soumission sans faille et nous libéra en nous rappelant que nous devions à la moindre sollicitation revenir pour obéir à nos maîtresses. Elle nous tendit nos vêtements et nous indiqua la sortie.

– Au fait, interdiction de vous laver jusqu’à midi… Vous devrez rentrer ainsi, pour montrer quelles chiennes vous êtes. Vous avez le droit de passer votre robe et vos chaussures, mais pas de la boutonner.
– Bien maîtresse…

Nos robes n’avaient pas besoin de boutons, elles collaient à notre peau poisseuse. Sans plus de cérémonie Claire nous reconduit vers ma voiture et nous congédia. Le trajet fut assez rapide, à un feu, un homme nous dévisagea, se demandant ce qui maculait nos visages et nos cheveux… Lorsqu’il rougit en croisant mon regard, je sus qu’il avait compris, je démarrais en trombe et le laissais loin derrière. Arrivées au château, il était déjà presque 11h, comme nous étions seules, nous nous retrouvâmes dans la cuisine pour nous préparer un petit déjeuner. De temps à autres nous nous embrassions, léchant nos visages et nos corps maculés avec délice. Le petit déjeuner passa très vite et ensuite, nous nous lavâmes mutuellement, nous embrassant goulument. Une fois habillées, une fois séchées, Angélique se blottit contre moi.

– Ca ne t’a pas écœurée ce que j’ai fait ce matin ?
– Non, étrangement tu étais tellement belle et tellement naturelle… C’était vraiment ce que je pense ?
– Oh, oui, je crois, et pour être franche, je me demande si je ne serais pas prête à faire ça pour de vrai !
– Non ? Vraiment ?
– Si tu savais ce qui te passe par la tête quand tu fais ça, tu ne serais pas surprise…
– Dis-moi…
– J’imaginais que j’étais vraiment avec un…
– Avec un quoi ?
– Avec un… animal…
– Tu plaisantes.
– Je te garantis que j’étais tellement excitée que je l’aurais fait.
– Vraiment ?
– Je crois… oui, ça t’écœure ?
– … non, je ne crois pas, je ne sais pas si à ta place j’aurai passé le pas ou non…
– Honnêtement, regarde-nous, nous sommes des esclaves sexuelles de plusieurs maîtresses et maîtres, ce n’est presque pas surprenant que nous en arrivions à ce stade.
– Je ne sais pas.
– Quand Claire te fais lécher son petit trou, ne me dis pas que tu n’irais pas jusqu’au bout…
– Comment ça ?
– J’ai goûté comme toi à son cul et je sais bien qu’elle aurait pu aller loin dans cette situation.
– Tu penses ?
– Non, j’agis ! Tu es de mauvaise foi. Mets-toi à quatre pattes.

Je me mis à quatre pattes, aussitôt Angélique glissa un doigt dans mon petit trou, puis deux. Je me dandinais déjà… Puis elle les porta à sa bouche, les lécha avec délice. Je me cambrais pour lui offrir mes globes charnus. Ses doigts me fouillèrent à nouveau et cette fois ce fut à mon tour de les lécher. Angélique me toisa…

– Tu imagines ce que tu es en train de faire ?
– …
– Dis-le-moi…
– Je lèche tes doigts
– Et ?
– Et j’aime ça…
– Tu aimes quoi ?
– Ton, ton …. intimité, ton odeur…
– Et quoi,
– Le fait de faire quelque chose d’un peu interdit… ?
– Et encore ?
– Arrête de parler et continue de me doigter s’il te plaît…
– Non, à ton tour maintenant !

Angélique se tourna et me présenta son superbe cul, après avoir enduit son petit trou de salive, j’y enfonçais un doigt. Mmmmmm, cette chaleur, ce sentiment de pénétrer un lieu interdit, j’adorais ça et je la doigtais longuement, joignant ma langue et ma bouche au mouvement de mes doigts. Angélique se cambrait pour moi, s’offrait totalement, sans tabou et sans honte, me laissant la fouiller, la lécher sans fin.

Son pied s’était glissé entre mes cuisses et de son talon, elle appuyait contre mon sexe, mon clitoris toujours prisonnier de sa gangue métallique me faisait délicieusement souffrir. Angélique se déroba et me prit par la main, nous sortîmes nues dans la cour, elle m’entraîna vers le jardin.

– Viens, suis-moi, sortons nous promener…
– Comme ça ?
– Bien sûr, pourquoi pas ?
– Mais si nous croisons quelqu’un ?
– Mais, j’espère que nous allons croiser quelqu’un !

Elle reprit ma main et m’entraîna sur un petit sentier. Nues et libres, au milieu des arbres, c’était fantastique, le sol doux et lisse sous nos pieds nus, la caresse du vent sur nos corps exposés. Cela me plaisait beaucoup et Angélique semblait elle aussi ravie.

Nous nous promenâmes sans rencontrer personne, sauf un âne dans son pré. Angélique chercha à le caresser mais il semblait être en pleine sieste. Nous continuâmes notre route, Angélique m’avoua qu’elle n’aurait jamais imaginé se sentir aussi libre et heureuse, ni aussi perverse.

– Tu sais, c’est la même chose pour moi, au début, je n’aurais jamais eu l’idée de me faire prendre par derrière, ou même de toucher une femme !
– Et que préfères-tu ? Homme ou femme ?
– Oh, pour être honnête… je crois que je préfère les hommes mais en même temps je suis très attirée par les femmes et toi ?
– Je préfère les femmes Clotilde, mais j’avoue que je suis très attirée par les hommes et aussi …
– Et aussi ?
– Par tous les tabous qui existent, la transgression me fascine, les interdits transcendent mon plaisir.
– Comme la douleur ?
– Oui, mais pas de la même façon
– Moi, la douleur sublime mes sensations…
– Je pense que c’est surtout l’humiliation qui te transforme en bête de sexe Clotilde…
– L’humiliation ?
– Oui, lorsque tu n’es plus qu’une chose, prête à tout subir pour obéir.
– …
– La servitude, l’humiliation sont à la base de tes fantasmes !
– Tu as raison Angélique, je le reconnais, mais pourquoi alors, ce n’est pas mon caractère pourtant ?
– C’est une facette de ta personnalité, tu aimes être soumise à la volonté d’un maître ou d’une maîtresse.
– Oui…
– Car tu sais qu’ils t’ordonneront un jour de faire ce que tu n’oses pas faire toute seule.
– …
– Si tu veux, je te le prouve quand tu veux.
– Je ne sais pas si j’ai besoin de preuves…
– Agenouille-toi sur le sol
-…. oui
– Ecarte bien tes jambes, voilà comme ça !
– Et maintenant ?
– A toi d’imaginer ce que je pourrais te demander de pervers, d’humiliant,
– Mais ? Je ne sais pas !
– Cherche, réfléchis
– De pincer mes tétons ?
– Alors fais-le…

Je pinçais doucement mes tétons qui durcissaient déjà… Puis je malaxais durement mes seins, les tordant entre mes mains, les étirant au maximum. Angélique se posta devant moi.

– Et maintenant ?
– Tu pourrais me faire lécher tes pieds…
– Belle image de soumission, alors vas-y lèche !
– Mmmmm

Elle me tendit ses pieds sales et poussiéreux, comme j’hésitais, elle empoigna mes cheveux et du coup, je me mis à lécher ses pieds, à sucer ses orteils… Angélique me repoussa à nouveau.

– Et maintenant ?
– Tu pourrais m’ordonner de lécher ton sexe…
– Trop classique !
– De lécher ton petit trou ?
– Tu en rêves hein, mais non, pas encore…
– Je pourrais me doigter devant toi ?
– Pas mal mais trop simple…
– Enfoncer des choses dans mon sexe ?
– Bien mieux, mais quoi ?
– Mes doigts, ma main ?
– Bof…
– Je ne sais pas…
– Lève-toi et trouve quelque chose !
– ?

Je me levais, un peu chancelante… rien qui ressemble à un gode, soudain, je vis des grosses pommes de pin, je m’accroupis et en choisit plusieurs de formes variées… Puis je plaçais ma jambe contre une pierre pour bien dégager l’accès à mon sexe et doucement j’y enfonçais une petite pomme de pin, la sensation étrange d’avoir un corps étranger en moi mais pas du tout comme un gode… Je me trémoussais déjà. Angélique se mit devant moi, à genoux. Elle prit une autre pomme de pin, et l’enfonça en moi rudement, ce n’était pas douloureux mais elle était très ouverte et mon sexe était comme piqué de l’intérieur. Angélique ensuite appuya sur mon sexe, y plongea ses doigts pour me tourmenter. La jouissance monta d’un coup et j’inondais son corps de mouille. Je tremblais comme une feuille. Angélique se releva m’embrassa et me prit par la main. Nous nous redirigions vers le château, l’âne dormait toujours, Angélique ne disait rien, elle m’avait obligée à conserver les pommes de pin et chaque pas propageait une onde de chaleur dans mon ventre. Nous étions en vue du château, Angélique m’arrêta et se plaqua dans mon dos, ses mains agrippèrent mes seins et les malmenèrent cruellement, soumise, je m’abandonnais à ses caresses. Une main se glissa entre mes cuisses écartées et étira mes grandes lèvres, ses doigts glissèrent en moi et elle retira les pommes de pin, m’arrachant un orgasme incroyable ! La sensation de vide en moi était incroyable, la sortie de la deuxième, la brutalité d’Angélique me terrassèrent. Tremblante, chancelante je dus reprendre la route. Dix mètres plus loin, elle me prit par les cheveux et me mit à genoux.

– Et maintenant ?
– Tu vas m’ordonner d’ouvrir la bouche et …
– Et quoi ?
– Comme une bonne soumise, je vais boire
– Boire quoi ?
– Ton… urine…
– Bien !

Et le jet inonda ma bouche grande ouverte, brûlant et odorant, interminable, elle inonda ma tête, mes cheveux, mon corps entier. Puis, je dus me relever… Dix mètres plus loin, elle me mit à genoux. Elle se tourna et enfonça son majeur dans son petit trou. Sans qu’elle me le demande je m’avançais et le pris en bouche. Une fois nettoyé, je dus recommencer à plusieurs reprises.

– Tu aimes ?
– … oui…
– Alors attends un instant.

Angélique me laissa un instant et partit sur le chemin, pendant de longs instants, je me caressais faisant monter mon excitation au plus haut point… Lorsqu’elle revint, sans un mot, elle se tourna et écarta ses fesses. Une chaînette que je connaissais bien en sortait.

– Et maintenant ?
– Tu vas m’ordonner de le sortir…
– Alors qu’attends-tu !
– …

Je tendis ma langue, hésitante et touchais sa peau blanche, je léchais d’abord ses fesses douces et salées, puis je descendis dans ce sillon doux et enivrant. Ma langue et ma bouche s’activèrent, mon esprit était totalement désinhibé, je léchais Angélique, goûtant son intimité, son odeur forte, puis je tirais avec mes dents, faisant sortir la première boule que je gobais aussitôt. Les autres suivirent alors qu’Angélique jouissait en poussant des gémissements. Moi aussi, je jouis intensément en nettoyant le chapelet qui sortait du petit trou de mon amante.

Lorsque j’eus fini, elle me releva et lécha ma bouche, suça mes lèvres amoureusement, puis elle plongea sa langue dans ma bouche pour un baiser passionné.

– Allez, à ton tour maintenant !
– Mmmmm, merci Angélique.

Je me cabrais et m’offrais sans pudeur, rapidement je fus remplie pour mon plus grand plaisir. Puis Angélique, sans me laisser de répit, me remit sur pied et nous rentrâmes au château. Chaque pas inondait mon cul de chaleur, c’était totalement délicieux.

Une fois arrivées au château, nous nous douchâmes à côté de la piscine et nous nous jetâmes à l’eau. Tendrement enlacées dans l’herbe, Angélique et moi gouttions les plaisirs que deux femmes peuvent se donner mutuellement. Angélique soudain se retourna et me plaqua sur le sol. Comme d’habitude docile et soumise je la laissais écarter mes cuisses, pour qu’elle puisse y plonger son visage. Mais cette fois-ci, je la sentais fébrile, alors que sa langue se faufilait dans mon con trempé, ses doigts visitaient mon petit trou, bien ouvert et détendu. Angélique se mit alors à l’envers sur moi, m’offrant son intimité. Je ne me fis pas prier et léchais immédiatement son sexe et sa raie avec délice alors qu’Angélique tirait doucement sur le chapelet. Elle faisait sortir et entrer les boules m’arrachant des soupirs de plaisir. Je la sentais se contracter, alors que ma langue la pénétrait, Angélique s’offrait à ma bouche avide et de mes mains, je la fis jouir longuement et lorsqu’elle fut remise de ses émotions, elle m’enlaça à nouveau. Nous gagnâmes notre chambre où je m’écroulais à ses côtés. Une nuit de sommeil collées l’une à l’autre, regonfla nos batteries et nous nous réveillâmes reposées et prêtes à assouvir de nouveaux phantasmes. Après un passage à la salle de bains, Angélique choisit des vêtements pour moi : bas résille, string minimaliste, bustier échancré, mini-jupe et talons hauts…

– Tu es très sexy, comme ça, ça m’excite de te voir habillée ainsi… Je t’enverrai bien faire un peu le trottoir…
– Oh ?
– Je suis sûre que tu aurais beaucoup de succès.
– Je veux bien essayer si tu me l’ordonnes…
– Le souci ce sont tes seins.
– Pourquoi ?
– Ils sont trop petits, je pense que s’ils étaient plus gros tu aurais bien plus de succès.
– Tu crois ?
– C’est comme le miens, ils ont beau être plus gros que les tiens, ça reste trop petit pour beaucoup.
– Je ne suis pas si sûre, pourtant…
– Faisons le test, suis-moi !

Et Angélique passa à son tour une tenue provocante, avec un wonderbra lui faisant une poitrine ultra sexy, elle chaussa ses haut-talons et m’emmena vers la voiture, mit le contact et démarra. Quinze minutes plus tard, elle se gara dans un parking souterrain et m’ordonna de sortir.

– Allez, vas-y, tu as des préservatifs dans ton sac, c’est un parking avec pas mal d’habitués,
– Que veux-tu que je fasse ?
– D’après toi ? Je veux que tu cherches quelques clients !
– Mais ?
– Je vais faire pareil de l’autre côté, tu verras bien que j’ai raison. Nous nous retrouvons dans une heure ici.
– …

Je sortis de la voiture, un peu hésitante, et pas très sûre de la marche à suivre. Jusque là tout était toujours organisé par Gaëlle… Je marchais entre les voitures, je croisais une prostituée qui attendait, adossée au mur. Elle me fit un signe amical que je lui rendis…

Un peu plus loin, je m’adossais au mur et instinctivement, remontais un peu ma jupe. Quelques minutes après, un homme passa et me reluqua avec insistance, je lui dévoilais un peu plus mes jambes, mais il continua et rejoignit l’autre prostituée. En deux minutes, l’affaire fût négociée et ils se carapatèrent entre deux camionnettes. Seule, je m’imaginais le plus naturellement du monde offrir mes talents et mon corps à des étrangers. Alors que je rajustais mon bustier pour mettre en valeur ma poitrine, un gros homme s’approcha de moi.

– T’es nouvelle ici ?
– Oui…
– Combien ?
– Ca dépend pour quoi…
– Pour une pipe ?
– 50…
– C’est chérot pour le quartier tu sais…
– 50 mais je te promets que tu ne seras pas déçu…
– On peut toucher pour ce prix ?
– Ok…
– Marché conclu, on va là-bas ?
– D’accord.

Il me précéda et prit place derrière un monospace garé contre le mur du fond. Je m’approchais et rapidement ma main gagna sa braguette déjà tendue. Je sortis son sexe et le caressais longuement, l’enduisant de salive, titillant le gros gland violacé avec mes ongles. A entendre ses soupirs il appréciait mon traitement. Lorsque ma main glissa sous ses bourses velues, il m’encouragea à continuer. J’aimais ça et alors que sa main se posait sur ma tête, je lui enfilais un préservatif rapidement. Il pénétra ma bouche d’un coup et je le gobais assez facilement, il buttait au fond de ma gorge, mais j’avais l’habitude maintenant. Je le branlais et le suçais encore de longues minutes avant qu’il explose dans la capote. Je le laissais se rajuster, empochais l’argent et regagnais ma place…
Quelques minutes plus tard, un autre homme m’approcha, plus timide, il n’osait pas trop, je lui facilitais la tâche.

– Un petit tour derrière une voiture ?
– Euh, pourquoi pas ?
– Qu’est ce qui te plairait ?
– Tout…
– Tout ? Ce sera 200 alors
– 200 ? Même par derrière aussi ?
– Oui, t’es partant ?
– On y va…

Je regagnais l’arrière du monospace et aussitôt, les mains de mon client libérèrent mes seins, il les suça adroitement alors que ses mains remontaient ma jupe. Ses doigts avaient déjà pénétré mon minou juteux et je dus le freiner un peu pour ne pas qu’il me prenne sans préservatif. Je me mis à genou devant lui et pris son sexe en main, je glissais un préservatif et le pris en bouche. Ma langue courait sur son sexe court mais épais. Impatient, il me repoussa et s’enfonça dans mon sexe, pas trop désagréable finalement, mais un peu rapide à mon goût… Curieux de voir mon clitoris prisonnier, il le titilla un instant. Après quelques va-et-vient il voulut prendre mon cul. Bien sûr je le lui offris volontiers en me tournant pour qu’il me prenne en levrette. Il s’enfonça dans mon petit trou d’un seul coup m’arrachant un petit cri de surprise. Alors que je craignais qu’il explose rapidement, il me lima longuement, sa main passant entre mes cuisses, il malmenait mon clitoris encapuchonné. Pour mon plus grand plaisir il me fit jouir en me pilonnant de plus belle. Comme il n’avait pas encore joui, je lui demandais ce dont il avait envie. Il me demanda s’il pouvait joui sur mes seins. Pour toute réponse, je baissais mon bustier, libérant totalement ma poitrine. Il se retira et je me mis face à lui, pris son sexe dans mes mains et retirais le préservatif un peu souillé. Je salivais sur son sexe tendu et le masturbais titillant mes tétons avec son gland. Il éjacula sur mes seins, se frottant contre eux avec délice. Ensuite je lui tendis un mouchoir, me nettoyais et encaissais son argent… L’heure étant passée, je cherchais Angélique qui était absente. Quelques instants plus tard, elle apparût, décoiffée et accompagnée de trois hommes.

Ils se dirigèrent vers moi. En me voyant ils sifflèrent d’admiration. L’un deux demanda si nous étions sœurs… Angélique me sourit.

– Ces messieurs aimeraient bien un plan avec deux filles.
– Pourquoi pas… on y va ?

Et nous nous retrouvâmes dans un réduit technique où Angélique se mit à me peloter devant eux. Elle me demanda d’ouvrir mon bustier, puis d’ôter ma jupe, puis mon string. Nous nous donnâmes ensuite du plaisir avec nos doigts et nos langues. Le spectacle devait réjouir nos spectateurs qui nous traitaient de tous les noms. Ensuite, après une tournée de préservatifs, ce fut le moment des fellations suivi par des pénétrations à répétition de tous nos orifices offerts ! La situation était excitante et elle et moi nous donnions tous pour satisfaire nos clients… Ils explosèrent sur nos visages alors que nous nous embrassions… Avant qu’ils ne nous paient, Angélique leur demanda leur avis sur nos poitrines… Sans équivoque, mignon, mais trop petit !

– Tu vois ?
– Oui, mais on ne va pas non plus…
– Et pourquoi pas ?
– …
– Combien de client as-tu eu ?
– Deux…
– Et moi cinq !
– Mais…

J’avoue que ce n’était pas la première fois que l’idée me passait par la tête. Angélique semblait décidée… Nous rentrâmes au château. Après un repas rapide nous nous changeâmes et Angélique m’emmena en ville. Je n’étais pas surprise de la destination. La maison de Virginie où nous retrouvâmes Virginie et une femme d’une quarantaine d’année. Virginie nous emmena dans le salon où elle nous ordonna de quitter nos vêtements.

Comme toujours j’obéis docilement. La femme accompagnant Virginie nous regarda longuement avec de se mettre à discuter avec Virginie à voie basse. Elle nous plaça Angélique et moi, dos à dos, puis face à face. Elle malmena nos seins, tira sur nos tétons. Puis elle reprit sa discussion avec notre maîtresse. Virginie nous demanda de l’attendre à côté.

Une fois à côté, la configuration de la pièce nous renseigna aussitôt sur la suite des opérations : menottes et croix de Saint André… Nous nous approchâmes lorsque la jolie asiatique entra. Elle nous entrava rapidement l’une et l’autre et s’activa ensuite sur nos poitrines les faisant saillir à l’aide de carcans de métal. Nos tétons furent ensuite cruellement mordus pas des pinces métalliques et étirés sans pitié. Virginie et la femme entrèrent à nouveau. La discussion fut rapide, Virginie nous demanda notre accord tout en torturant nos tétons… Angélique répondit la première, pendant ce temps, Virginie ôta le capuchon qui emprisonnait mon petit bouton et me félicita de l’avoir gardé si longtemps. Elle libéra Angélique et lui ordonna de jouer avec mon clitoris, au milieu de mes cris de jouissance, je m’entendis dire oui à mon tour.

Ensuite tout alla très vite, Après plusieurs visites chez le chirurgien, je pris contact avec Ronan, je lui demandais son avis, et il me dit que j’étais libre de mes choix mais qu’il ne voulait pas non plus que je me transforme en pouffe à gros seins. Il m’écouta patiemment, nous fîmes l’amour à distance, il me décrivait ce qu’il me faisait, seconde par seconde et je me caressais pendant de longs moment, rêvant au moment où il me ferait pour de vrai tout ce qu’il me promettait. Avec Angélique, nous en parlâmes beaucoup aussi, nous critiquions chaque paire de seins que nous croisions, trop petits, trop gros, trop lourds, trop pointus, trop ronds… Au final nous tombions enfin d’accord et nous insistâmes auprès du chirurgien pour que nos poitrines soient le plus semblables possibles. Elle semblait peu surprise de notre demande et nous avoua qu’elle avait déjà vu ce genre de question dans le cercle d’amis de Virginie… Puis, l’hôpital, la chambre avec Angélique à mes côtés, l’impatience, les craintes, les hésitations… Les opérations se passèrent très bien, deux semaines (de quasi abstinence) plus tard nous étions déjà de retour au château. Nos passages chez une esthéticienne, chez un coiffeur et l’opération nous avait transformées en sosies parfaites ! Dans le hall, je pris Angélique par la main et sans un mot, je dénouais les bretelles de sa robe, puis, je la tournais devant le miroir. Derrière elle, je glissais son string le long de ses cuisses. Puis, je me mis à côté d’elle et déboutonnais ma robe, comme à mon habitude, je n’avais pas d’autre vêtement… Je lui pris la main. Nues devant un miroir, nous admirâmes le résultat de notre choix… Je pris la main de mon amante et la posais sur mon sein, puis, je posais la mienne sur le sien. L’image était troublante, sosies quasi parfaites, nous étions comme des jumelles, notre nudité, la situation me bouleversait. Soudain, Angélique m’embrassa et se mit derrière moi, longuement elle massa mes seins, les enduisant régulièrement de salive, mes tétons dardaient à me faire mal, mon sexe ruisselait de désir. Ses doigts agiles gagnèrent mon entrejambe et rapidement, s’insinuèrent dans mon sexe avide. Angélique me fit l’amour sur le carrelage de l’entrée je retrouvais enfin son corps brûlant, ses mains, ses doigts, son sexe, son odeur… Jusque tard dans la nuit nous nous acharnâmes sur nos corps brûlants, sans aucun tabou, goûtant nos intimités oubliant toute retenue. Notre poitrine maintenant saillante et ronde, ne cessait de nous émerveiller et de nous inspirer de nouveaux jeux et de nouvelles turpitudes. Plus tard dans la journée, j’envoyais des nouvelles et quelques clichés à Ronan. Il était toujours absent pour l’instant mais j’espérais que mon message le ferait revenir plus vite…

En attendant, nous étions souvent seules au château, Angélique et moi profitions du soleil, de la nature, nous partions souvent totalement nues sur les chemins environnants. Le soleil faisait ressortir nos tâches de rousseurs et nous nous sentions libres. Très souvent, nous finissions enlacées à nous aimer à même le sol, sur l’herbe ou la terre, près d’un arbre, dans un champ de maïs (d’ailleurs les épis de maïs font des godes bio fantastiques !!!), près de la rivière, au milieu des bois. Un jour Angélique prit avec elle un sac à dos et me promit des émotions fortes. Après 20 minutes de marche je retrouvais l’endroit où nous avions fait l’amour peu de temps après notre rencontre, je me rappelais l’avoir attachée, avoir presque violé ses orifices, l’un après l’autre et avoir subi le même traitement en retour avec délices… Cette fois-ci, Angélique m’allongea sur le sol, elle attacha mes jambes très haut pour dégager l’accès à mes orifices, elle écarta ensuite mes jambes au maximum pour pouvoir aussi accéder à ma poitrine offerte. Ensuite elle banda mes yeux. Soudain, j’entendis des pas, tout près, ils s’approchaient. J’entendis Angélique bouger et discuter un peu plus loin. Les pas se rapprochèrent. Angélique me glissa à l’oreille.

– Tu as trois admirateurs, Clotilde, nous allons les faire profiter du spectacle.
– Oui Angélique…

J’entendis le déclic d’un appareil photo, puis un autre. Angélique se blottit contre mon corps nu. Pendant de longs moments, elle m’excita à me rendre presque folle, ses doigts, sa langue me titillaient, me fouillaient. Elle me faisait embrasser ses pieds, lécher ses orteils, ce qui m’excitait encore davantage. Ensuite, je sentis la morsure de très larges pinces sur mes lèvres gonflées qui furent ensuite étirées au maximum. Mon sexe était écartelé, douloureux et impatient de subir tous les outrages qu’Angélique préparait. Un bâillon boule bloqua net mes gémissements de douleur et de plaisir. La main d’Angélique me fouillait, s’enfonçant totalement dans mon con qui semblait l’aspirer toujours plus loin. Mais ce n’était que le début. Je sentis bientôt sa deuxième main se joindre à la première pour m’écarteler, Angélique était douce et ferme à la fois, elle s’enfonçait inéluctablement en moi, ensuite ses mouvements de va-et-vient inondaient mon ventre de chaleur. Lorsqu’elle serra ses poings en moi, je gémissais de plus belle, jusqu’à ce qu’un orgasme me terrasse. Ne contrôlant plus rien, j’inondais mon amante. Surprise par mes jets brûlants, elle se retira un peu rapidement m’arrachant un râle de douleur.

Mais mon sexe ne resta pas inoccupé, Angélique y enfonça un plug énorme, rugueux et muni de picots qui titillaient mes chairs, je gémis à nouveau et me contorsionnais de plus belle. Je sentis une ceinture de cuir passer autour de ma taille, Angélique l’ajusta et la serra. Puis mon petit trou fut lui aussi comblé par un plug dont je sentais les picots. Enfin je sentis une lanière de cuir entre mes cuisses, Angélique la serra au maximum en m’expliquant qu’ainsi, les plugs resteraient bien en place. A nouveau j’entendis des bruits d’appareils photo. Angélique me libéra de mes liens et m’aida à me redresser un peu, puis, elle me mit à genoux et ôta mon bâillon, aussitôt, un sexe dur et tendu força ma bouche, je le pompais comme une dingue, alors que les plugs en moi me consumaient de plaisir. Soudain, il explosa dans ma bouche, une quantité incroyable de jus brûlant coulant dans ma gorge. Il resta au fond de ma bouche un long moment, alors que je l’aspirais pour le nettoyer. Puis, un deuxième sexe, plus petit à l’odeur forte remplaça le premier, je le suçais avec la même ardeur tout en prenant ses couilles dans mes mains. Je le sentis rapidement grossir dans ma bouche et il se vida sur mon visage et dans mes cheveux, il essuya son sexe sur ma poitrine et je le léchais pour le nettoyer. Un troisième sexe suivit aussitôt, court mais très large, j’avais du mal à le prendre en bouche, mais il prit ma tête entre ses mains et s’enfonça entre mes lèvres. Il baisait ma bouche violemment et j’aimais ça, son jus épais coula bientôt sur mon visage et ma poitrine. Je le nettoyais à son tour et restais là à attendre sagement. J’entendis Angélique

– Vous voyez, elle en veut encore, je suis sûr que vous êtes prêts à recommencer. Mettez vous autour d’elle. Clotilde, sers-toi de tes mains, voilà, comme ça.

Au milieu d’eux, j’avais un sexe dans chaque main et un dans la bouche, suivant les ordres d’Angélique, je léchais aussi leurs couilles et les gobais en les aspirant. Ils semblaient tous les trois ravis par mon traitement. De temps à autres, ma langue partait un peu plus loin, s’aventurant après leurs bourses gonflées. Angélique m’encouragea à continuer sur cette voie et un des hommes se retourna. Je l’avais déjà fait à plusieurs reprises, notamment avec Ronan, et ici, en pleine nature avec ces inconnus, cela m’excitait davantage, mon sexe ruisselait d’excitation alors que ma langue s’activait de plus belle. A tour de rôle je les léchais comme une vraie chienne avant de les reprendre en bouche et de les « finir » pour qu’ils me couvrent le visage de foutre poisseux sous les encouragements de mon amante. Je les nettoyais une dernière fois et ils partirent. Peu de temps après, Angélique enleva mon bandeau et m’aida à me redresser. Elle prit ma main et m’emmena sur le chemin du retour. A chaque pas, les plugs inondaient mon ventre de chaud, de froid, de plaisir. Je marchais très difficilement. La douleur et le plaisir ne cessaient de me faire trébucher. Après 200 mètres, je m’écroulais sur le sol, incapable d’aller plus loin, Angélique me fit avancer à genoux, ce qui ne changeait rien à mes souffrances. Je me redressais et repris le chemin, à tout petits pas. Mon amante sortit de son sac une laisse et une badine, une minute plus tard, je la suivais comme une chienne obéissante. Lorsqu’elle força le pas, je crus que j’allais m’écrouler. Mon sexe coulait le long de mes jambes, écartelé, malmené. Dès que ma jouissance montait, Angélique s’arrêtait un instant pour m’empêcher de jouir enfin. Après une heure nous arrivâmes au château. Angélique m’attacha à un arbre en m’interdisant de me toucher, puis elle alla chercher un bol en inox. Elle le posa sur le sol et s’accroupit au-dessus. Après quelques instants, elle posa le bol devant moi, sans un mot. Je me baissais, me mis à quatre pattes et approchais mon visage, puis lapais le liquide à l’odeur enivrante. Angélique flattait ma croupe alors que je plongeais mon visage dans le bol, donnant de grands coups de langue, au bord de la jouissance. Elle défit la ceinture de cuir qui maintenait les plugs en moi, je me cambrais. Elle sortit le gode à picots de mon petit trou et le porta à sa bouche. Elle darda sa langue gourmande et le lécha de bas en haut.

– Viens partager avec moi !
– Oui…..

Je me redressais et me mis face à elle, Angélique plaça le gode entre nos visage et posa ses lèvres dessus, je fis de même. Puis sa langue se mit en action, comme la mienne. Elle l’enfonça ensuite dans sa bouche, puis dans la mienne, elle se frottait contre moi, excitée, en sueur.

De retour au château, nous nous écroulâmes dans notre lit et Angélique, insatiable munie d’un gode-ceinture de belle taille m’attacha aux barreaux du lit et me fit jouir à plusieurs reprises…

Le lendemain matin, nous étions au bord de la piscine lorsque le bruit d’une grosse voiture retentit dans la cour, je jetais un œil, c’était Ronan !!! Je sortis de l’eau et deux minutes plus tard, j’étais dans ses bras. Il m’embrassa passionnément, il palpa mes seins avec application, les lécha longuement alors que mes mains avides, attaquaient la ceinture de son pantalon. Deux secondes plus tard, son sexe déjà dur était dans ma main, trois secondes plus tard, il était dans ma bouche. J’adorais sucer et lécher des sexes mais là, c’était ma préférée, je la connaissais par cœur, délicieuse, grosse, tendue… Les mains de Ronan sur ma tête rythmaient ma fellation. Soudain il me souleva de terre et je me retrouvais tête en bas, la bouche de mon amant sur mon sexe et son sexe à quelques centimètres de la mienne… Un 69 debout c’est très excitant, au beau milieu de la cour du château. Un seul mot, fantastique ! Je n’en pouvais plus et je le suppliais de me prendre, ce qu’il fit en quelques mouvements adroits. Je me retrouvais empalée sur son pieu brûlant. Il butait au fond de mon ventre à chaque mouvement. Je jouis sous ses coups de boutoir. Mais il n’avait pas fini ! Il me retourna et sans autre forme de précaution, il planta son sexe dans mon trou béant et me prit rudement, bien sûr la douleur n’était qu’accessoire et j’étais bien préparée à ses assauts, néanmoins sa brutalité était telle que je me mis à crier de plaisir. Au moment où je le sentais grossir en moi, il se retira et me demanda de le prendre dans ma bouche. J’obéis, un peu surprise de son autorité, mais tout à fait disposée à gober ce sexe tendu et diablement excitant. Il explosa longuement dans ma bouche, puis se retirant soudain, sur mon visage, ma poitrine. Je bus tout son nectar et ensuite, le nettoyais intégralement pour son plus grand plaisir. Il me prit à nouveau dans ses bras, m’embrassa et me souleva de terre, m’emmenant au bord de la piscine où Angélique se caressait doucement, une main entre les cuisses.

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3 réponses à Clotilde 21 – Ma volonté par Fafalecureuil

  1. Claire dit :

    Dommage que le texte ne soit pas plus aéré, parce qu’il ya de ces passages ! Oh Ma mère !

  2. Carminez dit :

    C’est presque du gonzo, mais bizarrement ça passe bien, d’ailleurs j’ai bandé en lisant

  3. Rina dit :

    Un peu trop hard a mon goût

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