Une petite exhib sympa ! Par Clovis
Quelques temps après notre rencontre, Bénédicte et moi sommes allés au cinéma. Nos fantasmes partagés, elle être vue, et moi l’exhiber, restent notre principale occupation les jours ou nous partons à l’aventure. Notre désir et plaisir de vivre des situations insolites montaient à l’unisson, et Béné, en confiance, se révélait une vraie petite salope. Nous avions décidé de commencer notre soirée par un bon film. Arrivés dans la salle pratiquement vide, nous choisissons une place au fond, éloignée de l’allée centrale. Béné, toujours très sexy, porte une jupe courte évasée, les seins nus sous un chemisier largement échancré. Ses seins superbes sont sa fierté et la mienne. J’aime autant qu’elle voir les hommes la déshabiller du regard, et elle fait tout pour cela. Quelques minutes après le début de la séance, je suis penché sur elle et la caresse… J’ai ouvert son chemisier juste en dessous de sa poitrine et je tète ses boutons roses. Ma main pelote à travers le slip minuscule sa petite chatte déjà toute gonflée et son clito qui bande sous la dentelle. Elle est tellement sensuelle qu’elle démarre au quart de tour. A la lueur de l’écran, j’aperçois deux ombres se glisser dans notre rangée, à quelques sièges de nous. Nous constatons vite quèil sèagit dèun couple, et que leur occupation est assez similaire à la nôtre… Ils s’embrassent à pleine bouche, et l’on devine la main du garçon se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est, elle, la plus proche de nous. A priori cette main ne cherche pas encore à s’immiscer sous les vêtements. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne :
– Ils ont l’air plutôt sages ! Tu crois que notre présence les intimide ? Ils n’ont pas dû nous voir en arrivant.
– Demande-leur ! Me dit elle en riant.
– Je vais plutôt les mettre à l’aise.
Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j’entreprends de défaire un à un les derniers boutons de son chemisier. Béné sent bien ma manœuvre, et se contente d’enfoncer sa langue dans ma bouche. J’écarte largement le pan de son vêtement et le maintien de ma main passée derrière ses épaules. Je masse le joli sein découvert. Je remarque que le garçon, s’il ne cesse d’embrasser sa compagne, s’est positionné de façon à nous voir, et que son regard ne quitte plus Bénédicte. Je sais que ce sein, de profil, est superbe, et le gars doit se rincer l’œil !. Ma compagne, loin de s’offenser de mon manège, lance de fréquents coups d’œil à son admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine, comme un melon, et de l’autre main, pelote sa cuisse, en remontant sa jupe. L’accoudoir doit en partie cacher mon geste, mais le garçon ne peut ignorer que je branle ma compagne. La position de ses jambes, très écartées, est sans équivoque Il a du le faire remarquer à son amie, car elle aussi se tourne souvent vers nous, mais nous la voyons réagir quand il cherche à s’immiscer sous sa jupe. Elle n’est visiblement pas prête à s’exhiber, et je remercie à nouveau le hasard qui m’a permis de rencontrer Bénédicte. D’une pression de la main, j’invite Béné à écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu’à la poser sur l’accoudoir de son fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position est totalement indécente. J’en profite pour glisser la main dans son slip et branler son bouton dressé. La tète au creux de mon épaule, elle se laisse branler. Son sillon est humide, et quand je plonge un doigt à l’entrée de son vagin gluant, elle gémit et se cabre dans mes bras. Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. Si la situation les gênait, je pense qu’ils auraient changé de place. Je caresse Béné de plus en plus profondément, et j’ai maintenant deux doigts qui s’agitent au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapet tout à fait obscène, mais très excitant. Je ne crois pas qu’ils puissent l’entendre, pourtant ils doivent percevoir les gémissements de ma petite pute. Elle me caresse à travers mon pantalon, et je sens ses doigts s’attaquer à ma ceinture. Je l’aide à me dégrafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et nous pousse à aller plus loin. D’autant que nous sentons leur regard sur nous, et que la fille, jambes écartées, a autorisé son compagnon à la trousser et se laisse visiblement branler, en partie protégée par son accoudoir, hélas pour moi. Nous sommes à la limite de l’explosion. Béné mouille comme une fontaine en tortillant son bassin à la rencontre de mes doigts fichés dans son ventre. Il semble, à ses soupirs, que notre voisine apprécie particulièrement le traitement que lui inflige son compagnon, qui a l’air lui aussi très excité. Je demande alors à Bénédicte :
– Enlève ton slip et viens t’asseoir sur mes genoux !
Son geste pour se déculotter est évident. Courbée en avant, soulevant sa jupe, elle m’enjambe et vient écraser sa chatte ruisselante sur ma queue raide. Bien emprisonné entre les lèvres de son sexe, je me laisse branler dans son sillon, touchant son clito et ses nichons. Le garçon a l’air de peloter sa compagne avec vigueur. Elle est enfoncée dans son siège, cuisses ouvertes au maximum. Béné se soulève, saisit ma queue et la pointe à l’entrée de son vagin. Elle s’empale lentement, et me fait pénétrer avec délice dans son trou chaud et gluant de foutre. Le léger balancement de ses hanches est bien visible, et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baisons devant eux et que ma petite pute en a plein la vulve. Béné sait faire durer ce genre de pénétration, et me procure un extraordinaire massage de ses muscles intimes. Je bloque ses fesses dès que je sens que je vais décharger. Je lui glisse à l’oreille :
– Tu es bien ?
– Oh oui, je te sens bien, et toi ?
– Je voudrais qu’on reste comme ça jusqu’à la fin du film. Tu veux ?
– Oui, mais je vais jouir
Je la sens se tendre, pratiquement immobile, tremblante. Bien enconnée, elle va chercher jusqu’au fond de ses reins un orgasme qui la secoue, et elle me décharge d’un coup sa mouille sur ma queue, affalée sur le dossier du siège qu’elle étreint à plein bras, tandis que je lui astique le clitoris et lui pince un téton. J’ai réussi à contrôler mon plaisir, et je la sens peser de tout son poids, jambes tremblantes, reprenant son souffle. Mais au bout de quelques instants, je sens mon éjaculation monter, et n’y tenant plus, je la lime à coup de reins que je suis vite obligé de ralentir tant grince mon fauteuil. Béné reprend son mouvement et sa cramouille aspire littéralement ma queue. Les yeux fixés dans ceux de ma voisine qui semble, elle aussi proche de l’orgasme sous les doigts de son compagnon, pétrissant les seins de ma cavalière, jèexplose dans son vagin. Je crois quèelle aussi a jouit. Je me sens tellement bien dans son ventre que je n’arrive pas à débander, et ça n’a pas l’air de lui déplaire Nous observons nos voisins. La fille semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses, et soudain se tend dans un soupir. Cèest très excitant, mais Béné a des crampes dans les jambes, et je la pousse à s’asseoir de l’autre coté de moi pour me pas faire écran. Je lui glisse à l’oreille
– Tu as été super…C’était divin ! Ils ont l’air d’avoir apprécié, mais je ne sais pas s’ils vont nous offrir le même spectacle.
– Demande-leur ! C’est toi le voyeur !
– Et toi, tu aimes bien qu’on te regarde te faire mettre, ma petite salope !
– Oui, j’aime ça ! Tu sais, j’ai jouis deux fois !
Et elle se penche sur moi pour me sucer. Je n’en peux plus, mais la situation est tellement excitante et sa bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidité, les yeux fixés dans ceux de la fille pour lui faire comprendre que je voudrai moi aussi voir. Le garçon semble parler à l’oreille de sa compagne, mais elle a l’air hésitante. Je leur fais signe de s’approcher. Visiblement il est partant et essaye de la convaincre, fourrageant sous sa jupe, tandis qu’elle me fixe toujours. Je lui souris en réitérant mon geste. Elle bouge enfin, et presque poussée par lui, se lève et se rapproche, laissant malgré tout un fauteuil vide entre nous. Elle est assez jolie et semble très émue. Son compagnon ne détache pas ses yeux du visage de Béné qui aspire ma queue, et il replonge la main sous la jupe de sa compagne qui ouvre à peine les cuisses. Je ne fais aucun geste vers elle pour ne pas la brusquer, mais mon sexe a retrouvé sa rigidité, et j’aperçois, entre les jambes de la fille, l’étoffe claire de son slip sous lequel s’est insinué son compagnon. Je me penche légèrement vers eux. C’est très excitant de voir quelqu’un faire l’amour à coté et en même temps que soi !
– Vous êtes très jolie !
Elle me sourit. J’invite Bénédicte à reprendre sa place sur mes genoux, la troussant jusqu’à la taille tandis qu’elle m’enjambe. Sitôt qu’elle est empalée, j’écarte son chemisier pour leur permettre de découvrir de près ses seins. Le garçon a l’air fasciné. Il faut dire que je le comprend. Sa compagne a visiblement une poitrine menue, et celle de Béné est superbe, généreuse, et très ferme. Il n’y a du reste que durant nos sorties qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La fille se soulève enfin pour se laisser déculotter par son compagnon. Puis il se dégrafe dévoilant une belle érection, et oblige sa compagne à se lever pour se glisser derrière elle, dans le fauteuil. Elle se laisse guider. Il soulève sa jupe et me révèle son très joli cul, tout rond, bien fendu, et il l’assoit sur lui. Elle se cabre lorsqu’il la pénètre. Les deux filles, jambes l’une contre l’autre, courbées en avant, se laissent baiser. Ce fauteuil vide entre nous me gène un peu, mais je hasarde une main sur la cuisse de ma voisine qui ne se dérobe pas. J’avance jusqu’à son sexe très poilu, et je déniche son clito que je caresse du bout des doigts, sentant le sexe de son partenaire quelques centimètres plus bas. Elle a la fente bien mouillée et les lèvres gonflées De l’autre main je palpe les seins de Béné, essayant de maintenir son chemisier ouvert pour satisfaire mon voisin qui semble très attiré vers cette poitrine et se contorsionne pour l’apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement. Alors d’un geste je l’invite à mesurer par lui-même la consistance de ces belles mamelles, ce qu’il fait à pleines mains, pendant que je continue à branler les deux clitoris que j’ai sous les doigts. J’essaye de caler mon plaisir sur celui de la fille qui se trémousse de plus en plus violemment, et je sens mon plaisir et celui de Bénédicte monter à l’unisson, tant elle me chevauche bien. La fille jouit dans une crispation presque imperceptible, alors que je décharge à nouveau en sentant Bénédicte me masser les couilles pendant que je lui astique le bouton et lui défonce le cul a coup de reins. Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal, puis brusquement, ma voisine se lève, entraînant vers la sortie son compagnon sans même lui laisser le temps de se rajuster correctement. Tant pis, nous ne faisons aucun geste pour les retenir… Le garçon se retourne et nous sourit, puis ils disparaissent. Nous avons trouvé cette expérience très sympa et excitante
C’était au dernier rang d’un grand cinéma de la Place de Clichy, je m’y assois, j’entends des bruits bizarres sur ma gauche, Une nana d’une cinquantaine d’année était occupée à turlutter un bonhomme. Voyant que je les avais vu, la nana m’invite à me rapprocher. Je le fais, je me débraguette, pensant que le dame va me sucer aussi. Mais ce n’était pas ça, elle m’a demandé si je serais intéressé pour sucer la bite du bonhomme. Ben oui ça m’a intéressé ! Vachement même !
Ça nous parle d’un temps que tout le monde n’a pas connu. Nostalgie, nostalgie