Nuit d’ivresse… de tendresse… par Lulu
Lorsqu’il entra dans la chambre elle dormait déjà. La pleine lune éclairait la pièce, ses rayons pénétrant directement par la fenêtre grande ouverte
Après s’être déshabillé il se coucha près d’elle. Il la regardait tranquillement en fumant sa dernière cigarette de la journée. Elle était toujours aussi belle pour lui. Il aimait ses cheveux épais aux reflets de cuivre, ses seins pleins et ronds, ses cuisses fuselées. Doucement, il se mit à lui caresser les cheveux, en faisant bien attention de ne pas la réveiller.
L’idée de la prendre pendant qu’elle dormait l’excitait beaucoup. Du bout des doigts il lui caressa un sein jusqu’à ce que le mamelon devienne crispé et gonflé comme une framboise juteuse. Elle se réveilla doucement, mais ne bougea pas, encore enfoncée dans un demi-sommeil. Il mit alors la tête sur son ventre chaud, près de sa toison sauvage, et caressa ses cuisses qu’elle écarta peu à peu. Son désir d’elle, de la prendre là, immédiatement, augmentait. Se laissant envahir par ses fantasmes, il commença à se branler, sa tête sur elle, humant l’odeur de son sexe. Puis, il se mit à embrasser son charmant triangle poilu. Le contact soyeux de cet amas de poils sombres, mêlé à l’odeur douçâtre de son sexe l’excita encore plus.
Tout en continuant à jouer avec sa verge qui se dressait de plus en plus dure, il passa délicatement sa langue sur les lèvres ourlées de sa chatte. La femme gémit et avança le bassin pour coller sa fente sur la bouche de l’homme. Il goûta avec le bout de sa langue le jus un peu épais et à l’odeur suave qui commençait à envahir le sexe de la femme. Elle gémissait de plus en plus en avançant et soulevant le bassin avec un rythme langoureux, pendant que la langue et les lèvres de l’homme agaçait son bouton de plaisir.
La femme repoussa la tête de l’homme et déplaça son corps pour parvenir à la même hauteur que lui. Elle baisa ses lèvres, et enfouit ardemment sa langue dans la bouche de son amant. Celui-ci frémit et colla son corps contre celui de la femme, écrasant ses seins sur sa poitrine. Avec une lente reptation, elle continua de glisser sur le corps de l’homme, l’embrassant et le mordillant tout le long de son parcourt, jusqu’à ce qu’elle atteigne son sexe en érection. Elle agaça la verge avec sa langue, puis l’engloutit d’un coup dans le fourreau humide de sa bouche. Prenant le membre gorgé le plus loin qu’elle pouvait dans sa bouche, elle le ressortit très lentement en exerçant une douce succion. Elle sentait la respiration de son partenaire s’accélérer, et il eut une longue expiration lorsqu’elle laissa libre sa queue. Aussitôt il recommença à gémir en sentant son sexe emprisonné entre les seins de la >jeune femme. Elle lui embrassait sensuellement le ventre et la poitrine, redescendant pour mordiller les cuisses et effleura, du bout des lèvres, son pénis et ses testicules.
Son amant avança le bassin afin de garder la bouche de la femme collée à son sexe afin qu’elle le reprenne dans sa bouche gourmande. Elle sentait son désir monter, et elle aimait l’exciter jusqu’à ce qu’il perde le contrôle. Brusquement, il prit entre ses mains la tête de sa partenaire et plaqua sa figure sur sa queue bandée. Elle glissa alors sa langue sur son pénis avant de la remettre au fond de sa gorge. Avec un rythme de plus en plus endiablé elle lui suçait le gland, et l’homme pouvait voir ses joues se creuser, entendre le son mouillé de la succion et sentir son plaisir qui lui montait entre les reins. Il tenait toujours solidement la tête de la femme entre ses mains, l’agrippant aux cheveux, tout le bas de son corps se balançant de jouissance contenue. Sa respiration devint de plus en plus frénétique et il sentait un plaisir rapide, incontrôlable et délicieux, monter en lui.
Arrivèrent les spasmes annonciateur de l’explosion, il repoussa la tête de la femme, mais il était trop tard et celle-ci reçut le premier jet de foutre sur le visage. Alors, au plaisant étonnement de son amant, la femme reprit rapidement la verge dans sa bouche, la suçant goulûment, et avalant la décharge de son amant. Quand l’orgasme de ce dernier fut terminé et que la femme eut parfaitement nettoyé son sexe avec sa langue, elle leva la tête, lui sourit, et passa sa langue sur la commissure de ses lèvres afin de recueillir les gouttes de sperme qui s’y trouvaient. Il prit sa compagne par les épaules, la ramena à sa hauteur, et l’embrassa. Leurs langues se mêlèrent dans un fougueux baiser, et il goûta son propre foutre dans la bouche de son amante. Puis, il glissa vers le bas de son corps et enfouit sa tête entre les cuisses chaudes de la femme. Il se mit à lui lécher et sucer le con comme un forcené et ne tarda pas à recueillir sur sa langue le jus de sa chatte humide.
Lorsque le souffle de la femme se fit haletant, excitée par cet assaut de caresses, il glissa un doigt vers l’entrée de sa grotte et le fit pénétrer jusqu’au bout. Puis un deuxième doigt suivit, et enfin un troisième. Il la fourrait vigoureusement avec ses doigts, allant et venant de plus en plus rapidement dans sa chatte.
Pendant ce temps, son autre main ne resta pas inactive car il posa un doigt sur la zone frontière entre son con et son cul. Laissant glisser son doigt d’un orifice à l’autre il humecta l’entrée de l’anus. Quand son trou du cul fut bien lubrifié il commença lentement, mais inexorablement, à le faire pénétrer entre les fesses rondes et joufflues de la jeune femme. Surprise par cette intrusion, le souffle de la femme s’interrompit, et il sentit qu’elle se crispait. Il intensifia son mouvement de va-et-vient dans sa chatte et glissa sa langue sur le clitoris gonflé. Sa compagne se détendit et se remit à gémir de plus belle. Il continua alors à enfoncer son doigt dans son cul brûlant, et la femme, plutôt que de résister gémit de plus en plus fort en gigotant les fesses pour s’empaler plus loin.
C’est alors que la femme s’arracha à son emprise et, étendue sur le dos, écarta largement les cuisses en les ramenant vers sa poitrine, offrant ainsi son sexe poilu et trempé de jouissance à la vue de son partenaire.
– Viens! Fourre-moi! Je veux sentir ta grosse bite dans le fond de ma chatte !
Alors il se jeta sur elle, et d’une seule estocade enfonça son pieu jusqu’à la garde. Il la ramonait furieusement, son bassin et tout son corps soudé à elle. Soudainement, la femme se retira d’un mouvement, repoussa son amant, se retourna et s’accroupit sur le lit, tendant ses fesses vers l’homme, la tête enfouie dans les oreillers. Il approcha son visage de la croupe ainsi offerte, et passa sa langue entre les rondeurs de la femme, passant sur l’anus, puis glissant vers l’entrée du vagin. Il fourra sa langue dans celui-ci, en suçant le liquide. Puis il se redressa et appuya son gland contre l’entrée baveuse du sexe de la femme. Il s’enfonça alors profondément dans sa chatte accueillante, jusqu’à ce que les os de son bassin cognent contre les fesses de son amante. Celle-ci poussa un gémissement rauque et il commença à aller et venir de plus en plus rapidement dans sa chatte. Elle poussa un cri sauvage lorsqu’elle jouit et il pouvait sentir sur sa verge les contractions de son sexe plongé dans l’orgasme
Lorsque la femme sentit que son amant allait venir de nouveau, elle se retira d’un mouvement sec du bassin. Avant que l’homme fut revenu de sa surprise, les mains de la femmes partirent vers l’arrière et pendant qu’une de ses mains écartait largement ses fesses, l’autre se saisissait de la queue rigide de son amant et l’entraînait vers son cul.
– Aller ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul !
L’homme s’enfonça entre les fesses de la femme, qui de la main l’aidait à glisser sa queue dans son cul offert. Il se mit à la sodomiser, d’abord prudemment, puis de plus en plus vigoureusement. Il ne tarda pas à sentir la sève monter le long de sa verge, excité à l’idée de lui fendre le derrière, et encouragé par le spectacle de sa compagne qui, en appui sur la tête, caressait ardemment son clitoris d’une main, et de l’autre empoignait ses boules qui se balançait.
Sur le point de venir, il s’arracha au cul de la femme et éclata sur sa croupe et son dos. Il lui lécha ensuite tout le corps, puis l’embrassa, laissant couler sa salive et son sperme dans la bouche de son amante.
Le p’tit trou, le p’tit trou, toujours le p’tit trou]
Bien sûr que l’on peut associer la sodomie à la tendresse, il suffit de savoir s’y prendre