Chalet de fantasme 2 – En attendant Ludo…. par Sylvain_Zerberg

Chalet de fantasme 2 – En attendant Ludo…. par Sylvain_Zerberg

J’étais resté en contact avec Tommy, il ne s’agissait pas d’une liaison à proprement parler mais on était content de se retrouver deux ou trois fois par mois… Il avait toujours le projet de dépuceler son cousin et l’affaire put se concrétiser à la fin du printemps. Je me rendis donc chez mon ami, excité à l’avance par cette expérience qui promettait d’être curieuse.

Il m’accueille vêtu d’un simple bermuda avec le sourire, il n’est pas seul. Un autre homme assez brun de peau est déjà dans les lieux. Je suis assez surpris car il ne m’avait pas du tout décrit son cousin comme ça :

– Je te présente William, un ami, je me suis dit que pour le dépucelage de mon cousin, plus on serait de fous, mieux ce serait ! Mon cousin a eu un petit empêchement, il ne sera là qu’en fin d’après-midi…
– O.K. Enchanté !

Le mec me regarde de la tête au pied, c’en est gênant !

– Tu sais que William a les plus belles fesses de la région ! Me précise Tommy d’un ton égrillard.
– Ah ! Ah ! C’est vrai ça ? Répondis-je, histoire de dire quelque chose…
– Tu veux juger par toi-même ?
– Pourquoi pas ?

Le gars ne fait ni une ni deux, il se débarrasse à la vitesse grand V de son bermuda et de ce qu’il y a en dessous, et le voilà avec ses fesses à l’air. Jolies, même s’il n’y a pas de quoi hurler au miracle !

– On peut caresser, embrasser, lécher… surtout ne te gêne pas !

Une invitation donc ! Alors, je ne me gêne pas, je caresse, elles sont effectivement très douces.

– Embrasse-les !

C’est presque un ordre ! Mais ce n’est pas une corvée !

– Voilà c’est bien ! Tommy m’avait bien dit que tu étais une petite salope…

Et tout en parlant, il s’écarte les hémisphères de ses fesses, me dévoilant son anus !

– Et maintenant tu me lèches le trou, et tu as intérêt à faire ça bien, je veux sentir ta langue ! Hein petite salope !

Non mais, il se prend pour qui celui-ci ? Du coup je me redresse…

– On verra peut-être ça plus tard… m’excusais-je !
– C’est comme tu veux ! Mais c’est peut-être dommage, parce que ça, tu n’y auras pas droit….

« Ça » c’est son sexe, à demi bandé qui me nargue, bel organe, que je ne peux m’empêcher de regarder avec une certaine convoitise.

– Ne me dis pas que tu n’aimerais pas la sucer ?
– C’est vrai qu’elle est belle !
– Oui, mais faut la mériter !

Je ne sais pas quoi répondre et cherche du « secours » en direction de Tommy. Mais le beau blond se contenta d’ôter à son tour son bermuda et de se branler lentement son joli sexe.

– Déshabille-toi ! Finit par me dire ce dernier !

Dans sa bouche, cela n’avait rien d’un ordre, plutôt une suggestion. Je n’avais cependant pour ainsi dire pas d’alternative ! Ça démarrait sexe. Ou bien je plantais ces deux-là ou bien je me pliais à leurs jeux.

– Déshabille-toi, Sylvain ! Tu ne vas pas me dire que tu ne veux pas jouer avec nous ! Regarde, deux belles bites pour ta bouche et pour ton cul… et tout à l’heure tu en auras peut-être une troisième…

C’est un argument comme un autre, je me débarrasse donc de mes vêtements à mon tour… j’ai à peine fini que le William vient m’inspecter les fesses…

– Un joli petit cul d’enculé ! T’aimes ça qu’on t’encule ? Hein !
– Ce n’est pas désagréable !
– Et tu te fais enculer souvent ?
– Non, juste quand je viens voir Tommy… mais tu en poses des questions toi…
– Et moi, tu aimerais que je t’encule ?
– Pourquoi pas ?
– Je t’ai dit faut le mériter ! Si tu ne me lèches pas le trou du cul, tu ne me suces pas et je ne t’encule pas…
– C’est du chantage ?
– Pas du tout, c’est un jeu !
– Alors si c’est un jeu…
– Et on va le reprendre le jeu… mais comme tout à l’heure tu n’as pas été sage, tu vas avoir un gage.

Ça devient n’importe quoi, ce mec m’énerve ! Au moins avec Tommy les rapports sont simples, mais d’un autre côté je suis quand même assez excité… et surtout j’ai envie de sa bite, à l’autre…

– Tommy va te donner dix coups de martinets, et après tu t’occupes de mon trou !

Ce n’est que cela, je suis un tout petit peu maso, j’espère simplement qu’il ne va pas me taper trop fort.

– Bon d’accord !

Et pendant que Tommy est parti chercher l’instrument contondant, William me confie :

– J’adore ça dominer des mecs, tout à l’heure on dominera Tommy tous les deux, il aimera ça…

Je ne réponds pas, ce mec m’excite sans doute physiquement mais pour le reste il aurait tendance à m’énerver…. N’empêche que quand le blondinet revient avec le martinet, je me mets en positon, les fesses tendues, légèrement relevées, et j’encaisse la flagellation au martinet promise… Mais comme je le pressentais Tommy ne frappe pas trop fort… Reste à savoir si je vais continuer le jeu : du côté des inconvénients : être le jouet de ce type m’agace, du côté des avantages, profiter de son sexe m’excite… Alors, que croyez-vous que je fisse ?

Le cul tout rouge et tout chaud, je me suis avancé vers le fondement de William que j’ai entrepris de sucer avec application, jusqu’à ce qu’un quart d’heure après, lassé sans doute de ma volonté de bien faire, il se retourna la bite dressée comme un étendard, devant ma bouche qui n’attendait que ça…

Alors je l’ai prise entre mes lèvres, sans faire de dentelles, l’engloutissant carrément, la coulissant en de longs va-et-vient. Tommy vint se placer aux côtés de son ami, mais je refusais l’offrande de sa bite, voulant montrer à l’autre de quoi j’étais capable, jusqu’où je pouvais aller… La queue de William était très dure dans ma bouche, il bandait vraiment à fond, et la sucer dans cet état était un plaisir redoublé. Un moment, je la sentis tressaillir, je savais pertinemment ce qui allait se passer, il hésita un bref instant puis se retira, pris quelques secondes de répit, avant de revêtir une capote, de me demander de me tourner puis de me fourrer son dard dans l’anus. Pas très douce, cette introduction, j’ai failli lui dire de se retirer mais après quelques instants pas trop agréable, cette curieuse sensation de « rempli » quand on se fait sodomiser m’envahit et me provoqua des frissons de plaisir. J’avais une bonne bite dans le cul et j’aimais ça ! Tommy se positionna devant moi, la pine dressée. Bien sûr je m’en emparais et m’en délectais de ma bouche gourmande ! Quel plaisir d’avoir une queue dans la bouche et une autre dans le cul !

William finit par décharger, et laissa la place à Tommy !

– Je n’ai pas pu me retenir de jouir… Allez, à ton tour d’enculer cette salope ! Dis-le-nous toi que tu es une salope !
– Oui, je suis une salope, j’aime les bites, j’aime qu’on m’encule, je suis un enculé….

Après tout si ce genre de propos leur fait plaisir…

C’est Tommy qui me besogne à présent, délicatement comme il sait si bien le faire mais, il est vrai que nous sommes maintenant habitués l’un à l’autre. Après une petite séance de va-et-vient, il se retira sans avoir joui, et sans enlever la capote, positionna sa queue devant ma bouche. Une queue qui sort d’un cul n’est pas toujours très propre…

– Nettoie et suce !

Cela aurait été William, j’aurais sans doute refusé, mais c’était Tommy, je respirais un bon coup et fis ce qu’il me demandait jusqu’à ce qu’il jouisse dans le condom d’une abondante giclée.

Je suis donc le seul à ne pas avoir joui, et comme personne ne semble vouloir s’occuper de moi, je me décide donc à me branler…

… et voilà que le portable de Tommy se met à sonner…

– Marcel ! Oui tu peux passer Marcel, je suis avec des amis, mais ce n’est pas un problème…
– Qui c’est Marcel ? Demande-t-on.
– Marcel, mais je ne vous ai pas raconté ?

L’histoire de Marcel par Tommy

C’était un après-midi, l’été dernier, on sonne à la porte, c’est Marcel un voisin d’une quarantaine années, il a des problèmes avec sa tronçonneuse, il a travaillé toute la journée et elle est tombée en panne, il me demande de me prêter la mienne pour finir le travail.

– Je vais vous la chercher, entrez cinq minutes, installez-vous dans le salon, vous prendrez bien une bière ?
– Avec cette chaleur, ce n’est pas de refus !

Je vais dans la cuisine, à ce moment-là on m’appelle sur le portable, rien d’important mais ça prend un peu de temps. Du coup quand je reviens le voisin a tué le temps en piochant dans mon porte-revues, et devinez ce qu’il a dans les mains : une revue porno gay !

– Vous avez des ouvrages passionnants ! Me dit-il avec un petit sourire entendu.
– Vous aimez ce genre-là ?
– Ça change… c’est pas trop mon truc, mais là c’est pas mal… Ils choisissent bien leurs modèles, ils ont des belles bites…

Je me rapproche du lui tandis qu’il continue à feuilleter et à commenter le magazine. Il n’est pas difficile de constater qu’il bande comme un cerf.

– Ça m’excite votre truc !

J’avais remarqué…

– C’est fait pour ça ! Répondis-je.
– Comme il lui suce bien sa belle queue, celui-ci… bon faut que je me calme…
– Vous aimez ça, sucer des belles queues ? Demandais-je
– Je suis hétéro, mais ça ne me déplairait pas, il y a des années que je n’ai pas eu l’occasion…
– T’aimerais peut-être me sucer la mienne ! Proposais-je tandis que je lui foutais la main sur son attirail.
– Parce que toi aussi…
– Ben, oui… dis-je ne me débraguettant et en exhibant mon sexe déjà tendu !
– Oh ! Que c’est beau !
– Oui, mais il y a juste un petit problème !
– Un problème !

Il devient anxieux le mec !

– Je me fais payer !
– Quoi, tu fais la pute ?
– Ça m’arrive, oui !
– Bon on laisse tomber… si vous pouviez aller me chercher votre tronçonneuse, il va falloir que j’y aille.
– On y va… et pour le reste si ça vous tente un jour, et que je suis libre, vous ne le regretterez pas… Je suis très doux et très discret.
– Ça m’embête de faire ça pour de l’argent… Heu, sinon tu prends combien ?

Je lui indique le prix.

– Et pour ce prix-là, je peux te sucer, on se suce tous les deux et… plus…
– Les plus c’est avec préservatif, mais tu m’encules ou je t’encule c’est comme tu veux.
– Bon alors d’accord…

Alors il m’a donné l’argent, et il m’a caressé la queue, puis il me l’a sucé… après il a voulu que je l’encule… je l’ai enculé et je le revois de temps en temps, ça me fait de l’argent de poche… c’est plus pour le principe que pour l’argent, je ne baise pas avec n’importe qui, mais s’il y a une compensation…

Retour au récit principal

– Ne jouis pas ! Me demande Tommy, comme ça tu pourras enculer Marcel.
– Hein ! S’il me plait pas, je n’y touche pas.
– Mais c’est toi qui vas gagner xxx euros.
– M’en fous ! Je ne te promets rien.

Et voilà Marcel ! Il n’a rien d’horrible cet homme, il n’est pas de notre génération, c’est tout. On ne s’est pas rhabillé et il reluque nos queues avec concupiscence.

– On vient de faire une petite partie, là, on est plus tout à fait au top… sauf Sylvain qui est resté en pleine forme… ça te dit de faire ça avec Sylvain !

Et tout en disant ça Tommy me tripote la queue pour la faire rebander.

– Oui, mais on fait ça où ?
– Ben ici !
– Vous allez regarder, alors ?
– Sauf si ça te gêne…
– Non, non !

Reste que je ne sais pas si je vais suivre… Me voilà un peu devant le fait accompli… Certes il n’a rien de repoussant mais il ne m’attire pas du tout… Et le voilà déjà en train de se déshabiller… Puis il m’attrape la queue, la branlotte quelques instants avant de la mettre en bouche. Je suis bien obligé de constater qu’il suce bien l’animal et que ma queue est redevenue parfaitement dure en très peu de temps. Bon dieu quelle langue de démon il a, le voisin, du coup, je lui dis :

– Tu suces bien dis donc !
– Tu me diras quand tu seras prêt à m’enculer…
– T’inquiète !

Il s’enhardit, me suce les couilles, me fait tourner, veut me sucer l’anus.

– Il n’est peut-être pas très propre, je viens de me faire enculer deux fois et je ne me suis pas lavé.
– C’est encore plus excitant.

Puisqu’il le dit…

Il fait ça très bien, une bonne surprise, ce type…

– Allez tourne-toi !
– Oui, dis-moi des choses cochonnes quand tu vas m’enculer, j’aime bien.

S’il aime bien…

– Ok, grosse pédale, tu vas bien la prendre ma bite dans ton cul de salope !
– Oui….

Je m’encapote, puis le pénètre assez facilement.

– Vas-y c’est bon !
– Tu la sens ma grosse bite, hein pédale ? Tu veux que je le dise à ta femme que tu fais enculer par des putes ?
– Ne jouit pas dans son cul ! Me demande Tommy. On va faire comme avec toi tout à l’heure.

Je décule, la capote est parsemée de taches de merde. Mais Marcel n’en a cure et fourre tout ça dans sa bouche.

– Nettoie bien, nettoie toute la merde, salope !

Je finis par jouir sous les coups de sa langue agile….

– Tu veux jouir comment ? demande Tommy
– Je vais me branler en lui léchant le cul.

L’affaire se conclut en trois minutes. Le gars se rhabille, me tend un billet et disparaît en prenant congé très rapidement…

– Et bien voilà une journée qui commence bien ! Dit Tommy, On va peut-être prendre une douche…
– Ok on y va ensemble, propose William.

Nous voilà dans le carré à douche, un peu à l’étroit…

– Qui veut mon pipi ? demande Tommy
– Moi, moi ! Répondis-je

Je m’assis alors sur le sol du carré, tandis que le jet doré de mon ami m’atterrissait sur le torse, sur le sexe et bientôt dans la bouche. William ne voulant pas être en reste me gratifia également de sa douche spéciale…

Quel après-midi ! J’ai été dominé, enculé, j’ai sucé des bites, me suis fait sucer, on m’a pissé dessus, j’ai même fait la pute… et maintenant on fait quoi ?

Ah ! Oui on attend le cousin….

(À suivre)

Sylvain – Juin 2006

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

8 réponses à Chalet de fantasme 2 – En attendant Ludo…. par Sylvain_Zerberg

  1. Senior Oliveira dit :

    Mon super trip c’est quand j’ai une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Et j’aime bien faire ça devant du monde, au sauna je fais ça dans la salle de projection, jamais en cabine.

  2. Wolfang_bi dit :

    Un très bon récit gay rédigé par un auteur qui sait de quoi il parle. Ah, la douceur d’une bonne bite dans la bouche. Ah, la délicieuse sensation d’une queue qui vous ramone le trou de balle…

  3. Charleville dit :

    Je suis le grand prêtre du culte de la bite. J’adore la bite et j’adore le sperme. J’aime sucer. J’aime avaler. J’aime me faire enculer. Je ne suis jamais rassasié. Il n’y a rien de meilleur qu’une bite !

  4. sexaccro dit :

    se faire enculer est un plaisir très intense

  5. Heurtebise dit :

    Quand je lis ce genre d’histoire il me vient une envie folle de sucer une bite !

  6. Orlando dit :

    Vraiment du bon texte gay, décontracté, léger et humain
    Dommage cette fin genre « comédie romantique » qui ne sert pas à grand chose, il ne manque que la musique et les violons

Répondre à Orlando Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *