Camille, ma femme – 1 par Lucius Honorus

Camille, ma femme – 1 par Lucius Honorus

Lundi matin, je prenais mon café en surfant sur ma tablette, assis sur un tabouret au bar de la cuisine américaine.

L’angoisse du lundi matin, aujourd’hui, ce n’est pas pour moi ! Je ne travaille pas, une journée de congés qui trainait et voilà !

Moi, c’est Steph, 38 ans, clerc de notaire. J’allais passer la matinée à glander sur le canapé, à chercher une fille sur les sites de rencontres pour une petite séance de baise dans l’après-midi.

Je les aime, jeunes, avec de gros seins, voilà mes critères de recherche …

– Tu passeras au pressing reprendre mes affaires

Ma femme ! Camille, 41 ans.

Ah Camille, au début de notre mariage, c’était l’amour fou. Depuis les choses s’étaient un peu tassées. Il faut dire que Camille n’avait qu’une seule passion, son travail, qui lui prenait presque tout son temps. Et puis avec son air un peu revêche (elle ne se mettait pas trop en valeur), ses lunettes à montures noires, son éternel chignon, ses tailleurs gris ou noirs, elle ne me faisait plus rêver !

Si au moins, elle raccourcissait ses jupes !! Si au moins, elle se maquillait un peu plus, si elle lâchait ses cheveux ! Un petit décolleté de temps à autre !

Mais non, Camille la sévère … Elle avait un corps encore très bien pour son âge (même pour moi qui aime les jeunettes), on ne baisait plus trop souvent, mais je regardais encore son cul dans la salle de bain de temps en temps. Pas mal. Pas un cul de fille de vingt ans, mais pas non plus la cata. La poitrine avec des seins en forme de pomme aurait pu encore me plaire aussi. Quelques petits bourrelets sur le ventre, rien de méchant pour une femme de 41 ans.

Mais voilà, Camille ne me faisait plus d’effet. C’est ainsi. On ne baisait quasiment plus. La dernière fois, c’était …. Je ne m’en souviens même plus, c’est pour vous dire.

Elle ne m’excitait plus avec ses dessous blancs trop sages, ses collants chair (noirs, pour les grands jours !!!). Son cul lui permettait de porter encore des strings. Mais non …

Ce n’était pas uniquement une question de physique, ni de libido. Il y avait surtout son intonation de voix, légèrement cassante, ses habitudes (toujours à râler, jamais satisfaite)., sa manière d’être quoi …

Camille ne me faisait plus bander ! On ne va pas tourner autour du pot !

Donc, lundi matin 8 h 30 :

– Tu passeras au pressing reprendre mes affaires
– Quoi ?
– Je t’ai demandé de passer au pressing chercher mes affaires ! Si tu avais au moins la délicatesse de m’écouter quand je te parle, tu m’aurais entendu !!
– Oui, bon, on ne va pas s’engueuler dès le matin
– Non, on ne va pas s’engueuler, tu ne bosses pas aujourd’hui, tu peux prendre un quart d’heure pour passer au pressing, je ne vois pas où est le problème
– Moui, on verra
– C’est tout vu !! De toute façon, je ne travaille pas non plus aujourd’hui, donc, je verrai bien si tu y vas ou pas !!
– QUOI ????

Horreur, mon programme pour ce lundi s’effondrait. Camille ne bossait pas non plus. J’allais l’avoir dans les jambes toute la journée. Elle allait me prendre la tête. Lundi foutu, j’aurais mieux fait d’aller bosser moi …

Elle enchaine :

– J’ai un programme chargé pour toi, comme pour moi !

Je m’attendais au pire …

– Tu ne vas pas être déçu, je te le promets

Aïe aïe aïe, qu’est-ce qu’on va se faire chier !

– Je reviens tout de suite, ne bouge pas, me dit-elle en quittant le séjour et en refermant la porte de la chambre derrière elle.

Merde, moi qui comptait baiser un petit cul, je vais devoir subir Camille toute la journée … Qu’est-ce qu’elle a encore prévu, je crains le pire …

Le bruit de la porte de la chambre qui s’ouvre me fait me retourner, et là … c’est tout juste si je ne tombe pas de mon tabouret de bar !

Camille m’apparait dans une tenue complètement inédite : un corset en cuir noir qui relève sa poitrine nue, une jupe aussi en cuir noir très courte et très moulante qui laisse voir des bas résille (enfin quand je dis une jupe, c’est quasiment une jupette à raz du cul), des bottes noires, le tout relevé par un une ceinture cloutée qui pend autour de sa taille. De la Camille que je connais, il ne reste que le chignon et les lunettes.

– Camille ?
– Oui Camille !! Enfin c’est Madame pour toi maintenant !! Approche, me dit-elle d’un ton sec

Eberlué, je me lève et je m’approche de ma femme.

– A genoux, et dépêche toi !!

Je m’exécute, dans un état second, Plein de choses et d’images me traverse l’esprit. Oublié la jeunette que je comptais m’envoyer cet après midi. La voix autoritaire de ma femme m’emmene ailleurs.

– Bien ! Aujourd’hui va être une journée spéciale pour toi. Tu vas te découvrir vraiment ! Et par la même occasion me découvrir vraiment ! Tu vas devoir faire tout ce que je te dis de faire. C’est compris ?
– Euh oui

– Eh bien, dis-le !! Je ne suis pas vraiment sûre que tu aies bien compris !! DIS-LE
– Oui, j’ai compris

Une gifle m’atteint au visage

– J’ai compris MADAME
– Oui j’ai compris Madame, je vais faire tout ce que vous voulez

Encore réticent trente secondes avant, je bascule à ce moment là. Camille a gagné, elle m’a hypnotisé, je m’abandonne, je sombre sans m’en rendre compte.

– Bien !! Nous nous comprenons maintenant. Mon chéri, tu vas d’abord te foutre à poil et ensuite tu iras chercher mon attaché case dans l’entrée.

Je m’exécute, enlevant mon polo, mon jean.

– Tu enlèves tout, ça aussi, me dit-elle en tirant sur mon caleçon, j’ai dis à poil. J’en ai marre de devoir tout répéter sans arrêt avec toi !!
– Voilà, tu es tout de même mieux la bite à l’air, non ? Eh !! Mais on dirait que je te fais bander à nouveaux

Mon sexe commence en effet à être en érection. C’est vrai qu’elle est plutôt excitante Camille dans cette tenue. Et quand je dis excitante, c’est un euphémisme !

– En tout cas, ne compte pas me baiser aujourd’hui !! Tu es ma chose, c’est moi qui décide de tout ! Et on a un paquet de choses à faire, toi et moi !!! Mon attaché case, dépêche toi !! Bouge-toi le cul !! Me dit-elle en me donnant une claque sur les fesses

Je cours vers l’entrée, trouve l’attaché case, celui qu’elle prend tous les jours, qui contient ses affaires de boulot et le ramène à Camille.

Je la retrouve assise sur le canapé les jambes croisées haut, découvrant ses cuisses presque complètement.

– Tu pose ça sur la table de salon et tu te mets à genoux, Dépêche !!

Je m’exécute, attendant la suite des événements. Camille décroise les jambes et se penche vers l’attaché case qu’elle ouvre. De là où je suis, je peux voir son entre-jambe avec sa jupe en cuir ultra courte. Allant de surprise en surprise, il semble évidant qu’elle ne porte pas de culotte et mieux, comme elle se tient les jambes biens écartées, je vois que son sexe est épilé. Ca fait longtemps que je ne m’en suis pas intéressé, mais elle avait une toison brune avant !!

– Ma chatte t’intéresse ?

Je suis interloqué ? Ce genre de vocabulaire, c’est la première fois que je l’entends dans la bouche de Camille. Elle, d’éducation bourgeoise et catholique, avec ses intonations un peu BCBG, n’utilise jamais ce genre de mots.
– Euh, oui
– OUI QUI ?
– Oui Madame
– C’est mieux, que je n’ai pas à le répéter, j’en ai marre. Cesse donc de t’intéresser à ma chatte. Elle n’est pas pour toi aujourd’hui, tu ne la mérite pas !! On va plutôt s’intéresser à ce que j’ai là-dedans, dit-elle en tapotant son attaché-case.

Elle l’ouvre. Etant à genoux devant la table de salon, le couvercle m’empêche de voir l’intérieur.

Camille en sort différents articles qu’elle aligne côte à côte sur la table basse : une paire de menottes, un martinet avec des lanières en cuir, une cravache, une lanière en cuir avec une boule rouge au milieu, ce que je pense être une espèce de bâillon, un gode, un autre gode, plus gros, un plug anal. Puis elle exhibe un collier, manifestement canin, en cuir noir avec deux rangées de clous argentés :

– Ça c’est ton collier de chienne, tu vas le porter toute la journée, et ça c’est ta laisse, continue-t-elle en exhibant une chaine qui se termine par une poignée en cuir.

– Mais ce n’est pas tout !

Elle me tend des bas et un string noir :

– Mets ça. Ça a déjà servi, c’est ce que je portais vendredi, quand je me suis faite défoncer par deux inconnus dans des toilettes publiques. Ah oui, parce que tu ne le sais peut être pas, j’ai des amants, plusieurs, quand ça ne me suffit pas, je me donne à des inconnus !!

Je n’en crois pas mes oreilles …. Camille !!! Ma femme !!!

– Je sais ce que tu pense !! Ma femme !! C’est pas possible !! Pas elle !!! HAHAHAHAHA … Mon pauvre !! Eh oui ta femme est une salope qui se fait prendre par tous les trous !! Sauf par toi ! Mais peut être que je te ferai mater une fois ou deux, tu pourras bander et te branler …

Elle poursuit :

– Ce n’est pas tout, quand j’en ai assez des bites, c’est rare, mais ça arrive, je me tape des femmes. J’adore me faire bouffer la chatte par des gouinasses aussi. Bien sur je leur rends la pareille, je les broute également. Je les préfère bien vulgaires, voir même un peu négligées sur elle. Hmmm, une chatte et un cul mal lavés, c’est toujours un plaisir ! Personnellement, ça fait une quatre jours que je ne me suis pas lavé l’entre-jambe. Il faudrait que je te présente Samantha, elle et moi, on joue à se pisser dessus souvent ! Me dit-elle avec ses intonations distinguées.

– Revenons à nos moutons, tu mets ce que je viens de te donner et n’oublie pas ton collier, petite chienne …

Je mets le string de ma femme, indéniablement il a été porté, les taches blanchâtres en sont la preuve. Et oui, elle ne s’est pas lavé récemment, le tissu est imprégné d’une odeur acre. Comme, au niveau taille il est peu juste pour moi, la ficelle entre profondément dans ma raie.

J’enfile les bas, l’un après l’autre, c’est vrai que ça me fait de jolies gambettes ! J’accroche le collier, la boucle à l’arrière de mon coup. Il y a un anneau devant, surement pour tenir le clébard en laisse. Je ne sais pas si Camille va me tenir en laisse. Je ne vais pas plus loin, dans mes pensées, la voix de Camille me rappelle à l’ordre :

– Ce n’est pas tout, mets ça aussi, me dit elle en me tendant une guêpière noire lui appartenant (un cadeau que je lui ai fait il y a longtemps, du temps où on fêtait la Saint Valentin, que je ne pense pas lui avoir vu porter) …

– Et ça.

Elle me tend une perruque brune.

Je la mets, coupe mi longue au carré, les cheveux noirs me retombent sur les épaules.

– Ça j’ai eu plus de mal pour trouver ta taille, mais c’est bon, me dit-elle en me tendant des escarpins à talons aiguilles.

Je me sens haut perché et mal à l’aise avec ça au pied …

– Remets toi à genoux, je vais te maquiller, pour finir.

Elle sort une trousse à maquillage, je la sens m’appliquer du fond de teint avec ses doigts, puis du blush avec un pinceau, du rouge sur mes lèvres.

– On n’a pas le temps de t’épiler les sourcils, mais on peut te maquiller un peu les yeux tout de même me dit-elle en approchant un pinceau des sourcils, suivi d’un crayon avec lequel, elle dessine autour de mes yeux.

Tout ça a un effet dévastateur sur moi, je bande et mon sexe sort au dessus de l’élastique du mini string de ma femme, que je porte.

– Arrange toi pour débander ou bien c’est moi qui m’en occupe, me dit-elle an m’attrapant le gland et en le pinçant assez fort entre ses doigts.

Ça a aussitôt l’effet escompté, mon sexe dégonfle et se rétracte dans la dentelle du string.

– Bien, nous en avons terminé avec ta préparation. Je suis assez fière de moi, tu ressemble aux femmes que j’aime, une bonne grosse pute prête à tout. Tu peux aller te voir dans la glace.

Je me lève et me dirige vers le miroir de l’entrée. Je n’ai vraiment pas l’habitude de marcher avec des talons aiguilles, je manque deux fois de me tordre la cheville, et de tomber.

La voix de Camille, ricanant me dit :

– Il va bien falloir que tu t’y fasses aux talons ma chérie. Quand tu iras tapiner dans les bois ainsi vêtue, tu feras comment ?

Devant la glace, je me regarde avec les sous-vêtements de ma femme, des talons hauts, le maquillage, la perruque, je me trouve assez sexy. Ma main, vient même caresser mon ventre et ma hanche.

Camille arrive derrière moi :

– Pas mal ! La prochaine fois, on fera mieux avec une épilation complète. Pour aujourd’hui ça suffira, me dit elle en me flattant la croupe.

Un doigt se positionne sur le haut de ma raie et descend, s’attardant sur ma rondelle. Elle ne va, tout de même pas me le….. Non, son doigt se retire, mais c’est sa main qui passe entre mes cuisses, et me pince l’entre jambe, Je grimace de douleur.

Elle me lâche, mais sa main passe devant moi, elle agrippe à travers le string mon sexe et mes testicules. Elle me tient par les couilles comme le dit si bien l’expression, dont je mesure maintenant toute la portée.

Camille s’est collée à moi dans mon dos, je sens sur ma peau le cuir de son corset et de sa jupe. Elle se frotte à moi, son bassin se met à onduler comme si elle me pénétrait. Son visage s’est approché du mien, elle me lèche la joue …

– Tu es prête petite salope, maintenant, on va s’amuser. Tu es à ma disposition pour le reste de la journée, et j’ai l’intention d’en profiter …

A suivre …

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6 réponses à Camille, ma femme – 1 par Lucius Honorus

  1. Transmonique dit :

    Pas mal dans le genre

  2. Lesdeta dit :

    Une très belle histoire qui m’a fait bien bnader la bite

  3. galwenne dit :

    génial… vie la suite…….. je suis en transe

  4. Jame dit :

    Bon scénario et belle illustration

  5. Mélanie dit :

    J’adore, vivement la suite.

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