Le couvreur par James01

Le couvreur par James01

Bonjour, c’est moi James qui vient vous narrer une autre de mes aventures sexuelles. J’habite avec Isabelle, ma femme et Marie, ma mère dans une fermette à la campagne.

Ceux qui ont lu mes précédentes aventures savent que depuis son accident dont elle est actuellement remise, je baise avec ma mère, et j’en suis fort satisfait car c’est une excellente suceuse de bites.

Mon épouse n’est pas jalouse et ne dédaigne pas de lécher le minou de ma mère quand ça lui prend.

Il y a toujours quelque chose à réparer dans ces vieilles baraque et aujourd’hui j’ai fait appel à un couvreur qui va venir réparer notre toit.

Il se pointe à 8 heures, regarde ce qu’il y a à faire, me dit qu’il peut faire tout ça de suite mais que ça lui prendra la journée.

– Je prendrais juste une pause à midi, si vous pouviez me préparer un sandwich…

C’est donc ce que j’ai fait et en le lui apportant, je lui précise que s’il le souhaite il peut s’installer dans le grenier pour prendre sa pause.

En redescendant, ma femme Isabelle me fait remarquer que le sandwich que j’ai apporté à l’ouvrier n’était pas bien gros et que je serais bien avisé de lui en apporter un autre.

OK, on fait comme ça ! Je suppose qu’il est toujours au grenier, je monte les escaliers, et allez savoir pourquoi, au lieu d’entrer carrément j’entrebâille la porte.

J’aperçois alors le couvreur en train de se branler comme un malade.

J’entre en sifflotant, le mec ne sait plus où se foutre.

– Oh ! Excusez-moi, je enfin excusez-moi, c’est la chaleur…
– Mais non, ne vous excusez pas, il n’y pas de mal à se faire du bien ! Je vous apportais un autre sandwich.
– C’est gentil !
– Vous avez une bien belle bite ! Lui fis-je remarque innocemment.
– Ah ! Vous trouvez ?

Je jette un coup d’œil sur la table et comprend les raisons de son excitation. Il a dégoté une poignée de revues gay et manifestement ça ne l’a pas laissé indifférent.

– Je ne suis pas gay, mais ces photos, quand même… Précise-t-il.
– Vous aimeriez être à la place du type qui suce ?
– Oui, j’avoue, de temps en temps, ça me prend.
– T’as raison, c’est super de sucer des bites !

Du coup, je me débraguette et lui demande s’il veut sucer la mienne.

– Si tu fais ça bien, je te présenterai ma femme et ma mère, ce sont des belles cochonnes.
– Ta mère ?
– Ben oui, ma mère !

Je sais, ça surprend toujours.

Le mec commence à me sucer comme un chef.

– Tu ne voudrais pas m’enculer ? Me demande-t-il
– Si mais on va faire ça en bas, viens que je te présenter à ma petite famille.

Rien d’érotique en bas pour le moment, Isabelle fait la vaisselle tandis que ma mère fait des mots fléchés.

– Je vous présente Cédric, c’est le couvreur, et il m’a bien sucé la bite.
– Encore un petit cochon ! Commente Isabelle, mais ça tombe bien, ici on aime bien les petits cochons. Dit-elle en s’approchant de lui, ça te dirait de me tripoter mes gros nichons.
– C’est vrai je peux ?
– Puisqu’on te le dit, attends, je vais enlever mon haut.

Et pendant que Cédric lèche les tétons de ma femme, ma mère s’assoit sur le canapé pour profiter du spectacle et me demande de la rejoindre, ce que je fais, elle me sort la bite de ma braguette et me la branle de sa douce main maternelle.

– Ça t’excite de voir ta femme avec un autre ! Hein !
– Bien sûr !
– D’autant qu’il ne va pas s’arrêter là, j’espère qu’il va l’enculer cette salope ! N’est-ce que tu vas l’enculer, Cédric ?
– Ben moi, je veux bien ! répond-il
– Moi aussi je veux bien ! Renchérit Isabelle.

Mais elle ne se met pas de suite en position, Isabelle n’est pas le genre à découvrir une belle bite sans commencer par la mettre dans sa bouche gourmande.

Et pendant ce temps, ma mère s’est mise à poil, ses grosses mamelles à l’air m’excitent et je me régale de ses bouts bien durcis.

– Ah, c’est trop bon ce que tu me fais, regarde ta poufiasse de femme, regarde ce qu’elle fait !

Ce qu’elle fait ? Isabelle s’est mise en levrette, le cul bien tendu attendant que Cédric la sodomise.

– Claque lui les fesses avant de l’enculer, ça lui apprendra à jouer les nymphos ! Dit ma mère.

Cédric n’hésite pas une seconde et lui balance baffes sur baffes sur son joli postérieur !

– Oh, oui vas-y, fais-moi un cul tout rouge ! Aïe !
– Je t’ai fait mal !
– Oui, mais je ne t’ai pas dit d’arrêter ! Brutalise-moi, insulte-moi, je suis ta chienne !
– Tiens salope, pute lubrique, garage à bites !

Puis excité comme un pou, il encule ma femme.

De mon côté, je demande à ma mère de se retourner ayant une subite envie de lui embrasser les fesses, ce qu’elle fait volontiers.

– Oh quel beau cul ! S’exclame Cédric en découvrant celui de ma mère.
– Toi, tais-toi et continue de bourrer ma belle-fille.

J’approche les mains et ma langue du petit trou de ma génitrice.

– Ça sent un peu le caca ! Fis-je remarquer.
– Entre un doigt !

Je le fais, je sens une masse molle et je touille, je ressors mes doigts et les lèche. C’est trop bon, j’adore le jus du cul de ma mère.

Un cri ! C’est Cédric qui vient de jouir dans le cul de ma dulcinée, il décule, se demande où aller se nettoyer !

– Par ici, jeune homme lui indique ma mère.

Il dégage sa bite du préservatif, elle est toute gluante de sperme. Ma langue et celle de maman nettoient tout ça. On adore nettoyer les bites qui sortent d’un cul !

– Bon, tu peux retourner bosser ! Indiquais-je au couvreur.
– Mais tu m’avais promis de m’enculer ! Objecte-t-il
– Oh, le gros pervers ! Me moquais-je, mais une promesse est une promesse, quand tu auras fini le boulot je t’enculerai.
– Devant ces dames ?
– Bien sûr !

fin

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3 réponses à Le couvreur par James01

  1. Perlipopette dit :

    Ecrit trop vite sous l’effet de l’excitation et non relu ! Dommage !

  2. Marylu dit :

    Les trois récits précédents avaient le mérite de l’originalité, ici on sent nettement la panne d’inspiration

  3. Sanders dit :

    Bâclé et mal structuré, l’auteur ne se rend même pas compte qu’il a oublié la sodomie promise, et au lieu de corriger son texte, nous la promet pour plus tard, c’est à dire jamais, je rêve

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