La perte de la semence était considérée comme un crime impardonnable.
Les punitions étaient nombreuses et une des plus fréquentes était la punition donnée par des femmes
Pour un homme jeune (de 14 à 20 ans en général) les femmes qui procédaient à la punition avaient entre 30 à 45 ans en moyenne.
On ne saura jamais si ces femmes punissaient aussi pour faire regretter encore le manque de plaisir que cela provoquait chez elles, cela est resté un petit secret de cette époque.
Et immédiatement après, avec beaucoup d’autorité, elles lui liaient les poignets et les attachaient à une corde solide, qui descendait de la poulie accrochée au plafond.
Après une dizaine de coups, les maîtresses commençaient à poser leurs questions fort indiscrètes, où elles prenaient un malin plaisir à se renseigner sur les pratiques dites honteuses, avec un maximum de gêne pour le jeune homme.
Les deux autres regardaient avec gourmandise et intérêt la punition accompagnée de commentaires en général assez osés sur la nudité ainsi que sur la taille du sexe et son mauvais usage, qui allaient être punis avec sévérité. Ces commentaires faisaient partie de la punition et le jeune homme devait promettre de bien se conduire et de cesser ses pratiques honteuses. Elles lui faisaient avouer un certain nombre de faits assez gênants il est vrai pour le jeune.
Une autre s’approchait de lui et décalottait avec gourmandise le membre, en général assez raide. Ensuite elle se mettait devant lui et commençait une deuxième flagellation par le devant, en visant surtout le membre à punir. Là, en général le jeune homme commençait à se tordre et à gémir sous la douleur. Ces femmes étaient réputées assez dures et plutôt cruelles, elles prenaient de plus un grand plaisir à donner ce genre de punition.
Celle qui fouettait le membre viril en érection, connaissait bien les réactions des hommes et après quelques coups, elle venait vérifier les modifications sur l’extrémité de la verge. En bonne connaisseuse, elle voyait que le bout de la verge se couvrait de liquide par lequel elles savaient toutes que l’homme était en train de s’exciter. En général les femmes aiment l’odeur et le goût de ce liquide qui est le produit séminal de l’homme. Donc régulièrement elles passaient le doigt sur le bout pour récupérer ce liquide et le porter à leurs lèvres, ce qui avait le don de les exciter au plus haut point. Ces femmes donc en fait donnaient le fouet pour leur propre plaisir sexuel.
Il faut préciser que ce liquide n’est pas le sperme mais qu’il sert à lubrifier lors des rapports. Tout comme certains hommes adorent le goût du mouillé du sexe de la femme et que cela les met aussi en état d’excitation. Sans doute par le manque de plaisir provoqué chez elles, donc un manque d’intérêt de l’homme pour la femme. Comme la revanche du sexe faible sur le sexe fort.
La sensualité de la situation avait tendance à donner plus de force à leurs coups. En fait elles y prenaient un grand plaisir. Les supplications et les gémissements de la victime avaient tendance à les énerver et le bruit fait par les cuirs et les courroies renforçait encore cet effet.
Les coups de martinet sur la verge décalottée provoquaient chez ces femmes une excitation qui profitait en plus de la honte du jeune. Cette humiliation provoquait chez elles un plaisir trouble. Souvent celle qui fouettait la verge suivait sur le visage de la victime la progression de la douleur qui, il faut le dire était en général assez violente car l’extrémité de la verge décalottée est la partie la plus sensible de l’homme , tout comme le clitoris ou l’extrémité des seins chez la femme.
Parfois l’une partait se caresser sous sa jupe tant la tension pouvait être forte. Et l’autre prenait le relais.
Il arrivait parfois que ces femmes qui punissaient, n’y tenant plus, massaient l’organe sexuel endolori et se faisaient prendre par le jeune. Les sexes de ces femmes étaient fort mouillés, on s’en doute, et le jeune échappait ainsi à la punition finale en prenant un plaisir nouveau et inconnu de lui. Ces femmes savaient que la jouissance dans ces conditions pouvait être très forte, tant le jeune pouvait être excité au plus haut point et elles se rendaient bien compte que la verge du jeune pouvait être infiniment plus raide que celle de leurs compagnons habituels.
Elles ne se gênaient pas pour en profiter, bien sûr.
Le danger de ce type de punition était que fréquemment les punis y prenaient un plaisir et qu’ils fautaient . Volontairement pour recommencer si possible avec une fin heureuse, ce qui n’était pas systématique. Cela explique aussi le nombre de maîtresses qui exercent à présent en Angleterre, les hommes et les femmes y ayant pris un goût pervers.
Lymphatique1
Ça m’a fait bander ce truc là !
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ce qui n’a aucun rapport avec le texte dont il est question ici, mais c’est gentil quand même 😉