Mes plus beaux souvenirs de baise sont ceux où j’ai fait l’amour à une femme en lingerie. Soulever la jupe et découvrir des bas, arracher la culotte et prendre la partenaire en levrette, en voyant ses fesses soulignées par les jarretelles tendues par la cambrure et surtout éjaculer sur le satin. Mais depuis quelques mois, cela ne me suffisait plus. En effet, même si mon épouse est très féminine, elle ne porte que rarement ce genre de dessous et de plus, elle se lassait un peu de me voir toujours chercher à la caresser les fesses à tout moment dès que je savais qu’elle portait des bas. En plus depuis l’adolescence, j’ai pris la (mauvaise ?) habitude de me masturber. Depuis mon mariage, je m’étais calmé mais il m’arrivait encore de m’isoler dans les toilettes du bureau pour me soulager.
Quand ma femme a commencé à travailler le week-end, j’ai eu plus de temps libre et donc d’oisiveté. C’est là que j’ai commencé à explorer ses tiroirs de lingerie. Ils étaient abondamment garnis car cela fait partie des cadeaux que je lui fais fréquemment. J’essayais ses porte-jarretelles, ses guêpières et me masturbais. Le simple contact du satin ou de la dentelle suffisait à me faire exploser. Je n’osais porter ses bas de peur de les filer ou de les déformer. J’ai commencé à m’en acheter des paires dans les grandes surfaces. Je passais d’abord dans le rayon par hasard pour les repérer. Puis je revenais et les prenais directement et le mettais au fond de mon chariot. Je n’osais pas regarder la caissière. Je les enfilais en cachette dans la voiture sur un parking désert et me branlais deux ou trois fois de suite. Ensuite, je les jetais, tout honteux et de peur de me faire prendre. Et puis je me suis enhardi. J’ai toujours eu une paire de bas cachée dans mon attaché-case. Je les ramenais chez moi et les portais quand j’étais seul. Ma tenue préférée était composée d’un bustier blanc et d’un serre taille en dentelle. Lorsque j’enfilais ensuite le string coordonné, j’avais l’impression d’être un autre et toute mon attention se portait sur ma jouissance.
J’ai franchi une nouvelle étape il y’ a trois mois. Toujours de peur de me faire prendre, et obsédé par mon fétichisme pour la lingerie, je me suis acheté mon premier ensemble et cela a été une aventure inoubliable. J’avais repéré dans la ville voisine un petit magasin à la vitrine discrète mais qui semblait avoir un choix étendu. Cela allait des gaines pour mamies à la lingerie la plus affriolante. Toutes les grandes marques (Aubade, Scandale..) s’alignaient dans des boites allant du sol au plafond. Une jolie dame rousse, la quarantaine s’est approchée de moi. :
– « C’est pour un cadeau, un anniversaire, une occasion particulière .. ? » –
– « Oui, enfin, non juste un cadeau comme ça mais c’est la première fois que je lui en achète (menteur). »
– « Vous connaissez ses mensuration ? »
– « Elle fait du 95 C »
Il me fallait au moi ça pour être à l’aise et pas blessé par les armatures.
– « Je voudrais un ensemble avec porte-jarretelles, en dentelles. Avec un brésilien ou un string et un bustier ou alors un beau soutien-gorge. »
Je ne savais pas pourquoi j’étais si ému. Je devais avoir les joues en feu alors que j’avais déjà acheté des sous-vêtements auparavant.
– « Et quelle taille faites vous en culotte ? »
– « 42 » répondis-je rapidement et je me rendis compte immédiatement que sa question montrait qu’elle avait deviné.
Je rougis encore plus.
– « Il ne faut pas rougir me dit-elle. Vous n’êtes pas le seul client qui se fasse plaisir. Je trouve cela plutôt agréable de m’occuper d’hommes comme vous. Et puis cela fait marcher le commerce. »
Elle donna un tour de clef à la porte et mis le panneau FERME.
– « Comme cela, dit elle, vous pourrez choisir en toute tranquillité. D’ailleurs, je n’ai pas tant de clients que cela l’après-midi, les gens d’ici ne semblent pas aimer les belles choses. Voyons si un ensemble pourrait répondre à vos désirs. »
Elle me montra un mannequin mais il portait un déshabillé froufroutant avec un Boa.
– « Je ne cherche pas une tenue pour lupanar mais quelque chose d’un peu chic. Celui-ci existe-t-il en noir ? »
Elle eut un sourire en coin et commença à déboutonner son chemisier.
– « Vous avez beaucoup de goût, regardez, il ressort bien sur une peau claire. Et puis il existe en 95 D si vous le souhaitez. Touchez comme il est doux, enlevez le moi pour l’essayer.»
J’avais remarqué qu’elle avait une magnifique poitrine mais de la voir comme cela dénudé, j’étais ébloui. Ses tétons bruns pointaient au milieu de sa peau laiteuse.
– « Ou se trouve la cabine ? »
– « Au fond de la boutique, mais attendez, je vais vous sortir le reste de l’ensemble. »
Elle approcha un escabeau de la pile du mur et commença à grimper vers le haut du rayonnage. J’eus alors une vue imprenable sur le dessous de sa jupe plissée. Elle portait des bas évidemment. Je pouvais apercevoir la dentelle de la jarretière. Elle se pencha pour attraper une boîte, ce qui révéla les deux arrondis blancs de ces fesses séparés par un string de dentelle noire. Elle me regarda en se retournant et me sourit
– « Le reste de la parure vous plaît ? »
– « Beaucoup »
Je l’aidais à redescendre en lui prenant la main qu’elle sera fort. Nous nous dirigeâmes vers le fond de la boutique. Elle écarta le rideau de la cabine et me dit :
– « Allez y et n’hésitez pas à m’appeler si vous avez le moindre problème. »
Je me déshabillais rapidement. J’ouvris les boîtes qu’elle m’avait données. A la vue de cette magnifique dentelle, mon sexe commençait à se raidir. J’agrafais le soutien gorge et le porte-jarretelles. Puis, prenant courage dit
– « S’il vous plaît.. »,
Elle devait guetter mon appel car le rideau s’ouvrît instantanément.
– « Je peux faire quelque chose pour vous ? » dit-elle en fixant du regard mon sexe dressé.
– «Je vais avoir du mal à enfiler le slip dis-je. »
Elle me regarda en souriant et dit :
– « Cet ensemble vous va à ravir et semble vous plaire ; Je crois que je peut faire quelque chose pour vous. »
Elle se mit à genoux devant moi et commença à embrasser mon sexe. Puis elle lui donna de petits coups de langue comme ceux d’un chat qui lape son lait. Elle engloutit enfin mon dard et commença à le pomper goulûment, ses mains me pétrissaient les fesses et je lui caressais sa chevelure rousse. Je ne pus résister longtemps à cette pipe experte et lui explosait au fond de la gorge. Elle se releva et me dit :
– « Le client est roi. Vous pouvez maintenant enfiler la culotte, vous devriez essayer le string, il met mieux en valeur les fesses » et elle se retourna en relevant sa petite jupe plissée.
Je passais le string, elle recula et dit :
– « Il manque quelque chose, vous préférez les bas en résille, à couture.. »
Je fis oui de la tête et elle me rapporta une paire de bas couture noir ornés d’une large dentelle fleurie.
– « C’est dommage que vous n’ayez pas les jambes épilées, ce serait bien plus joli ».
Elle m’aida à ajuster les jarretelles puis m’amena vers un miroir à trois glaces. Me voir ainsi me fit renaître mon érection. Elle le vit et dit,
– « Cette fois tu vas me faire jouir moi aussi » et elle commença à déboutonner sa jupe.
Je pris sa main pour l’arrêter, la retournais et la courbais sur le comptoir de son magasin.
– « C’est comme cela que je te préfère. »
Je retroussais sa jupe et baissais son string. Sa chatte de fausse rousse était touffue mais son sexe humide était déjà entrouvert et rougeoyait au milieu d’une touffe sombre. Je m’introduisis d’un coup au plus profond ce qui la fît gémir et commençais à aller et venir de plus en plus rapidement. Son premier orgasme fût violent et elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Elle se dégagea et me dit :
– « Allonge-toi. »
Elle m’enfourcha et s’accroupit sur mon sexe en commençant un mouvement de bas en haut tout en se caressant le clitoris. Nous jouîmes presque en même temps et elle se retira très vite pour voir mon foutre gicler sur mon ensemble de dentelle. Après quelques instants elle dit :
– « Je te le ferais nettoyer si tu veux ». Et elle commença à me déshabiller.
Je remis ma veste et ma cravate. Et m’avançait pour payer mon ensemble.
– « Je vous offre ce premier ensemble à titre commercial mais je sais que je vous aurais comme fidèle client. »
Elle me mît presque dehors mais quand je me retournais, je vis qu’elle me guettait au loin.
TIM
Précédement publié sur le site de Sophiexxx et réedité ici à l’identique
Hum, ça me frétiller !
J’ai adoré
Pourquoi pas ? D’autant que l’illustration est à tomber !