Femme objet 1 – Je m’aventure plus loin par Fafalecureuil

(suite des aventures de Fabienne, Anne & Clarisse)

Lorsque je me levais, Anne était déjà partie au travail, je regardais dehors, il pleuvait… Je passais aux toilettes où je décidais de retirer les anneaux qui ornaient mon clitoris. Délicatement je les ôtais et massais mon bouton rougi. Puis, je me lavais et passais une jupe et un chemisier. Après un rapide petit déjeuner, je consultais mes messages et contactais mes collègues pour les informer de l’avancée de mon travail. Anne me téléphona, me disant que je lui manquais et elle me demanda de mettre la voiture au garage pour la révision. Elle me communiqua un numéro auquel appeler.

Vers midi j’appelais le garage et on m’informa que je pouvais déposer la voiture de suite. La voix était familière et sympathique. Je chaussais mes escarpins, enfilais un imper léger, pris la clé et descendis au parking. Après 15 minutes, je m’arrêtais devant un petit garage, il semblait fermé, je me garais et entrais dans le bureau. Une secrétaire aux courts cheveux noirs était en train de fermer son sac et m’annonça que le garage fermait pour midi. Une voix derrière elle retentit, la porte s’ouvrit sur Hervé. Quelle surprise, je ne l’attendais pas ici.

– Hervé ?
– Alors ta voiture a des problèmes ?
– C’est celle d’Anne, c’est pour la révision.
– Ok suis-moi, Agnès, tu peux prendre ta pause…
– Bien à tout à l’heure…

Je suivis Hervé dans son bureau, posais mon imper sur un siège. Il me tendit un message dont je pris connaissance. Anne souhaitait que je fasse réviser son véhicule à mes frais en quelque sorte, je devais obéir à Hervé en tous points et faire ce qu’il me demanderait. Tout en lisant la lettre j’écartais largement les jambes dévoilant à Hervé ma chatte nue. Il me pria de passer derrière son bureau et de le sucer. Je ne me le fis pas dire deux fois et me penchant sur lui j’embouchais rapidement sa belle queue alors qu’il pétrissait mon cul. Après une belle fellation, il me pria d’ôter ma robe, mon chemisier et de revêtir uniquement mon imper pour chercher la voiture et la garer à l’intérieur. Je laissais tomber ma jupe, mon chemisier, et écartant les pans de mon imper pour dévoiler mes seins, je sortis.

Je montais dans la voiture et démarrais, puis entrais dans le garage. Je sortis de la voiture, Hervé n’était plus seul, trois mécanos s’avançaient vers moi. Hervé, d’un ton sec me dit que je si je voulais qu’il révisent ma voiture, je devrais être très sage. Il vint vers moi et m’ordonna d’ouvrir mon imper, ce que je fis, dévoilant mon corps sans aucune pudeur. Il caressa mes seins et comme j’écartais les jambes, il glissa un doigt inquisiteur sur ma fente déjà luisante. Après m’avoir masturbée quelques minutes il me demanda de me retourner et de soulever l’imper pour montrer mon cul. Je lui obéis et sentis bientôt ses mains sur mes fesses, un doigt glissant à l’entrée de mon petit trou.

Puis, il me demanda de me redresser et de quitter mon imper et appuya sur mes épaules et me présenta son sexe, je le léchais avec application devant le regard envieux des mécanos. Je frottais mon visage contre sa queue tendue. Puis, il me dit que tout le monde ici faisait partie de notre club et je devinais que j’allais passer un excellent moment. Bientôt quatre queues dressées autour de moi s’alternaient dans ma bouche, des mains calleuses me caressaient et me palpaient sans ménagement. Ils me félicitèrent pour mes talents de suceuse, ce qui me motiva davantage… Leurs sexes gonflés et tendus n’allaient plus tarder à exploser à ce rythme, je prenais parfois deux queues en bouche, si leur taille le permettait. Et d’un coup je me retrouvais couverte de sperme, ils s’étaient appliqués pour éjaculer en même temps, me maculant le visage, la poitrine, le cou. Je décidais de les exciter davantage et commençais à me caresser le corps étalant le foutre sur ma peau, léchant mes doigts. Alors je nettoyais un à un les sexes poisseux, la secrétaire du garage entra et me vit, un peu penaude, nue au milieu du garage, sans un mot, elle me sourit et entra dans son bureau. Hervé s’approcha de moi et me demanda de le suivre. Je me levais et lui obéis, le suivant dans le bureau. Il me présenta à la secrétaire et lui indiqua qu’elle avait tout pouvoir sur moi. Docile, je baissais les yeux sur elle, elle devait avoir mon âge, habillée d’un cache coeur, d’une jupe. J’étais un peu surprise par son apparente sagesse. Elle se leva, vint à côté de moi et passa sa main sur mes fesses, je me cambrais. Je lisais dans ses yeux… un truc du genre  » quelle salope, elle est vraiment en rut… »

Elle m’emmena dans la pièce d’à côté où elle m’indiqua un siège de métal et un petit bureau. Je m’assis invitée par Agnès, elle se baissa et lia ma cheville droite au bureau métallique à l’aide d’une longue chaîne. Puis elle me dit de classer un paquet de factures et sortit en me recommandant de travailler vite et bien. Le métal froid ne calmait pas ma chatte en feu, je me branlais doucement, léchant les dernières gouttes de semence sur mes doigts. Agnès me surprit, les doigts dans la chatte, elle ne paraissait pas étonnée et me fit me lever. Elle me demanda

– Pile ou face ?
– … ?
– Pile ou face ?
– Face…

Elle s’approcha de moi, me fit mettre les bras sur la tête et sortit. Elle revint rapidement avec une règle de plastique. Devant moi, elle releva sa jupe et révélant une toison fournie, fit glisser une fine culotte échancrée qu’elle plaça dans ma bouche. Son odeur était forte et salée et je la regardais droit dans les yeux alors que le premier coup claquait sur mon sein gauche. Assez modérée, la punition d’Agnès acheva de m’exciter et je la suppliais de me laisser m’occuper d’elle. Pour toute réponse elle se tourna et se tint debout. Je m’approchais alors qu’elle soulevait sa jupe et je m’agenouillais pour embrasser littéralement ses fesses menues. Elle se cambra et écarta de ses mains ses deux globes dévoilant un sillon où je laissais courir ma langue avant d’embrasser son oeillet, puis son sexe. Sa chatte poilue m’excitait, elle me rappelait le sexe d’Anne à notre rencontre. Je la sentais goûter la caresse de ma langue, se crisper sous mes assauts de plus en plus hardis. Agnès me demanda de me m’allonger sur le bureau métallique qu’elle débarrassa rapidement, une fois allongée, elle utilisa la chaîne pour immobiliser ma seconde jambe en la maintenant écartée, puis attacha mes mains avec du scotch. Puis elle me regarda et me dit

– Où en étions-nous ?
– J’embrassais …
– Alors reprenons !

Elle ôta sa jupe et m’enfourcha et s’assit sur mon visage, masturbant sa chatte dégoulinante et son trou humide de ma salive sur mon visage. Elle me malaxait les seins en même temps et pour lui montrer que j’aimais ça, je redoublais d’ardeur plongeant ma langue en elle. Soudain alors qu’elle chevauchait ma bouche, je sentis un coup sec s’abattre sur mon clitoris, elle assénait de petits coups brefs et je me cambrais pour m’offrir. Elle jouit après quelques instants, plaquant sa chatte sur ma bouche et m’inondant de mouille.

Pour me remercier elle m’embrassa simplement et me libéra, puis, elle me passa des vêtements propres et me demanda d’aller me laver et de me vêtir, mais sans en profiter…

Elle me surveillait, aussi je me dépêchais de me laver et de me sécher dans les vestiaires du garage. Les vêtements qu’elle me passait étaient étrangement à ma taille et je les enfilais, un body de dentelle crème léger mettant en valeur mes seins, des bas jarretelles de la même couleur, un string assorti, un tailleur assez court dont la veste s’ouvrait généreusement sur ma poitrine. Je passais mes escarpins et Agnès m’indiqua la suite des opérations. Des bons clients du garage devaient acheter un véhicule et il fallait que je m’assure qu’ils soient bien disposés. Elle me remit des préservatifs et me recommanda d’être aussi ingénieuse que convaincante.

J’entrais dans le garage et serrais la main à trois costards-cravate, Agnès me présentant

– Voici Léa, notre assistante commerciale, elle va se faire un plaisir de vous accompagner pour l’essai du véhicule !
– En route Mademoiselle,

Je les précédais, et tendis une clé à un des hommes, il ouvrit un monospace et m’invita à m’asseoir à l’avant.

– Non, je vais passer à l’arrière ainsi, un de vos collègues pourra mieux juger de la conduite de la voiture.

Et je m’engouffrais à l’arrière, déjà mon voisin jetait un oeil intéressé dans mon décolleté. Son collègue démarra et embraya, après 10 minutes à vanter les qualités du véhicule (que j’inventais en partie) je remarquais que l’attention du copilote et du collègue assis à mes côtés étaient effectivement centrée sur mes jambes et j’en profitais pour me couler un peu plus dans le siège moelleux et de ce fait montrer l’attache de mes porte-jarretelles. Mon voisin rougit mais n’osait pas aller plus avant. Le conducteur me demanda si on pouvait jeter un oeil au moteur, je lui dis de s’arrêter où il voulait. Son collègue, qui ne quittait plus mes jambes des yeux lui indiqua la route. Il stoppa la voiture au fond d’une impasse sur un grand parking désert, je sortis et lorsqu’il ouvrit le capot, je me baissais pour leur montrer non pas le moteur mais surtout mes fesses et mes seins. L’attention du conducteur était également centrée sur moi désormais, je contournais le véhicule et ouvris le coffre, leur vantant la moquette et l’espace disponible.

Je m’assis sur le rebord du coffre, les jambes légèrement écartées, les invitant à vérifier d’eux-mêmes la douceur de la moquette. Ils n’osaient toujours pas, aussi, je décidais de leur montrer comment basculer les sièges et je me mis à quatre pattes pour leur montrer mon joli cul et accessoirement le levier permettant de basculer les sièges. Je sentis une main sur ma cuisse, je ne dis rien et cambrais les reins, une deuxième main se posa, puis une troisième, je les laissais faire et m’abandonnais à leurs caresses. Des doigts ne tardèrent pas à se glisser sous mon string, touchant ma fente trempée puis mon anus. Je leur offrais mon cul et dégageais les pans de ma veste, aussitôt des mains se plaquèrent sur mes seins. J’adorais être palpée et malaxée de tous côtés. Je me redressais, ôtais ma veste et ma jupe pour me retrouver en dessous, le string écarté, laissant voir mes lèvres gonflées. A en juger par les bosses déformant les pantalons, je leur faisais de l’effet. Je sortis donc les préservatifs et l’un après l’autre les enfilais sur les queues que je libérais. Une fois les 3 queues à l’air libre et couvertes, je me mis à les sucer agenouillée entre mes amants. De taille normale, je sentais leurs sexes bien tendus et leurs commentaires allaient bon train. Je les encourageais même…

– Vous aimez les salopes comme moi ? Vous avez vu comme j’aime sucer de belle queues ?
– Tu es vraiment une cochonne, suce-nous à fond, après on va t’enculer si tu es sage…
– J’espère que vous allez me défoncer… je le mérite bien non ?

Un des hommes fit jaillir mes seins et me tritura les tétons, puis il décréta qu’il allait commencer par ma chatte. Sur ce, je me relevais et me couchais sur la moquette du coffre, jambes en l’air et écartées. Après m’avoir doigtée quelques minutes sa queue rentra facilement, il me limait et je le sentais déjà grossir en moi, il n’allait pas tarder à jouir et je l’encourageais ;

– Oui, vas-y à fond, j’aime te sentir dans ma chatte !

Il explosa rapidement suite à mes compliments et se retira. Je lui fis signe de s’approcher et pris sa queue un peu molle en bouche léchant le préservatif plein de foutre chaud, puis le vidais sur ma poitrine en l’étalant bien sur mes seins. Ses deux collègues décidèrent d’investir mon cul que je leur offris. Après avoir enfoncé mon propre majeur enduit de salive dans mon anus, ils ne tenaient déjà presque plus et lorsque le premier entra dans mon cul, le deuxième me présenta sa queue que j’embouchais. Ils explosèrent rapidement, un dans mon cul et l’autre dans ma bouche. Comme pour leur camarade, je les pris en bouche puis retirais le préservatif et le vidais cette fois-ci dans mon cou, laissant les filets de sperme couler sur ma peau. Puis en me caressant, je leur dis que j’adorais être leur jouet et que j’étais prête à aller très loin s’ils le voulaient. Je leur proposais de réaliser un de leurs fantasmes en tirant au sort. Ils approuvèrent mon idée et après avoir cherché des petits papiers, ils gribouillèrent dessus quelques mots. Pendant ce temps je me branlais devant eux, debout, jambes écartées, un doigt dans le sexe, un autre dans le cul. Avant le tirage au sort, pour officialiser la chose, je leur proposais de me bander les yeux. Ils trouvèrent un mouchoir et je devins aveugle, je sentais du bout des doigts les petits papiers et en saisit un. Puis, avant de leur tendre, je leur proposais autre chose.

– Pour être sûrs que je ne me sauve pas, vous devriez peut-être m’attacher… non ?
– Pourquoi pas ? Mais avec quoi ?
– On doit pouvoir trouver quelque chose dans le coffre…

Je sentis le contact d’un scotch souple sur mes poignets qu’ils lièrent dans mon dos.

– Vous voulez bien m’attacher les seins, j’aime ça… Ne serrez pas trop quand même…

Ils ne se firent pas prier et entourèrent mes seins avant de les serrer l’un contre l’autre.

– Je crois que je suis prête… quel fantasme vais-je réaliser ?
– Double pénétration.
– Alors allons-y… D’ abord la bouche, ensuite ma chatte ?
– Ok, commençons, à genoux ! On enfile les capotes !

Et je m’exécutais, toujours les yeux bandés, un puis deux sexes dans ma bouche. Puis après les avoirs tous sucés et resucés, ils me basculèrent sur la moquette et je m’empalais à tour de rôles sur une queue avant que l’autre ne me pénètre. Je pris encore plus de plaisir lorsqu’ils commencèrent à me pincer les tétons et à me laisser sucer une queue de passage, je léchais aussi leurs couilles, descendant presque jusqu’à leur anus. Ils appréciaient mes caresses et m’encourageaient. Ils n’avaient certainement jamais goûté à ça et moi non plus, les poils me rebutaient un peu, mais en même temps je me sentais tellement pute que je m’enhardissais et léchait carrément tout ce qui était à portée de ma langue. Les deux sexes dans mon con me faisaient trembler de plaisir à chaque coup de boutoir. Puis je sentis un sexe dans mon cul et un autre dans ma chatte, ils me comblaient et je redoublais d’ardeur à les lécher sous toutes les coutures. A ce rythme ils explosèrent à tour de rôle dans ma bouche puis souillèrent eux-mêmes ma peau de leur semence. Je sentais le foutre couler sur mon visage. Enfin, je leur demandais de me libérer, lorsque le téléphone sonna. C’était Agnès apparemment et elle demandait si tout allait bien. A en juger par les commentaires des trois compères, la réponse était éloquente. Je n’entendis pas la suite de la conversation, mais peu de temps après, j’entendis les gars se rhabiller, puis, ils me demandèrent de m’asseoir derrière, au milieu.

Enfin les portes claquèrent, quelqu’un s’assit à côté de moi et le véhicule démarrait. Un peu paniquée, je me rassurais en pensant aux vitres teintées qui devaient cacher ma nudité. Une main sur ma nuque me força à me baisser et je sentis bientôt un sexe un peu flasque recouvert d’un préservatif sur le bord de mes lèvres. Naturellement je le pris en bouche, ravie de me cacher un peu quand même. La voiture s’arrêta alors que je suçais de plus en plus vite la queue de mon voisin. Sa main sur ma tête me força à continuer bien que la porte du véhicule s’ouvrait. Et ce ne fut que lorsqu’il explosa dans le préservatif qu’il se retira et qu’une main me saisit au poignet pour me faire sortir.

Immobile, je sentais la caresse du soleil sur ma peau, la voix d’Agnès me rassura un peu, j’étais en terre plus ou moins connue. Elle me guida vers l’intérieur, mes talons claquaient sur un sol de béton, il faisait plus frais. On me détacha les poignets et Agnès me demanda de m’accroupir, en écartant les jambes. Puis, elle ouvrit délicatement ma bouche pour y glisser un drôle d’objet maintenant ma bouche grande ouverte, ça tirait un peu sur mes lèvres et la sensation était bizarre. Puis Agnès prit la parole.

– Je crois qu’il est grand temps de nettoyer tout ça, pas vrai ?

Plusieurs voix approuvèrent, je sentais contre ma jambe le cuir d’une botte montante, puis je sentis tout prêt de mon visage, l’odeur d’un sexe, j’essayais d’approcher la langue, j’étais presque sûre que c’était Anne, je reconnaissais son odeur douce et forte à la fois. Ma langue toucha un sexe doux et humide, maladroitement je léchais la fente de celle que je pensais être ma compagne. Puis, elle se retira vivement, une main agrippa mes cheveux, basculant ma tête un peu en arrière et je reconnus sa voix :

– à vous…

Et je sentis presque d’un coup plusieurs jets brûlants sur mon visage et mon corps, je m’étouffais presque, ne pouvant tout avaler. Je prenais une véritable douche de pisse, il n’y avait pas d’autre mot. Grognant de plaisir, je massais mes seins et mon corps sous les jets odorants. Puis, la douche prit fin et Agnès plaqua son sexe contre ma bouche pour m’offrir les dernières gouttes que je léchais avec application. On me laissa me redresser et on m’enleva le scotch qui emprisonnait toujours mes seins et le bâillon qui maintenait ma bouche ouverte. Puis, on m’emmena vers les sanitaires où je dus me laver sous toutes les coutures, des mains douces me lavaient en même temps et alors qu’on m’ordonna de me baisser, je sentis quelque chose de froid entrer dans mon petit trou. Je pensais à un gode mais je me trompais, c’était un lavement qu’on me faisait, l’eau tiède me remplit le cul de façon fort agréable. La sensation était nouvelle et différente d’une sodomie, c’était chaud et doux. J’expulsais le liquide au dessus des toilettes guidée par une main de femme. Je me sentais un peu sale et lorsque je sentis des doigts effleurer mon anus je me raidis un peu, les doigts ensuite passèrent dans ma bouche et on décida de réitérer l’opération. Après le deuxième lavement, on me doucha à nouveau et c’est une langue agile qui titilla mon petit trou. Je sentais la jouissance monter et suppliais pour qu’on me fasse jouir… Sans résultat…

Ensuite on m’habillait, enfin je devrais dire qu’on me paraît, je sentis le métal froid de collier emprisonner mon cou, mes poignets, mes chevilles et ma taille. Puis, des chaînes passèrent dans des anneaux, j’étais surprise par leur poids. On me fit chausser des chaussures à talons, on me maquilla et me coiffa. Quelqu’un me massa les tétons pour les faire gonfler et j’entendis le déclic d’un appareil photo. On me fit prendre des poses, debout, jambes écartées, bras sur la tête, penchée en avant… Puis quelqu’un glissa à mon oreille

– Tu seras le clou de la vente de ce soir, ma chérie…

Fin de l’épisode…

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2 réponses à Femme objet 1 – Je m’aventure plus loin par Fafalecureuil

  1. Rominet dit :

    Bonne idée de ressortir de l’oubli cet excellent récit

  2. Heurtebise dit :

    Putain ! C’est chaud

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