Chanette 34 – Le cas Jérôme – 4 – Intermède avec Carole

Chanette 34 – Le cas Jérôme – 4 – Intermède avec Carole

Alors j’ai appelé Carole et lui ai raconté toute l’histoire.

Carole est une jolie fausse blonde frisée et très légèrement potelée que j’ai rencontrée dans des circonstance rocambolesques (voir Chanette 15 – La Bergerie). Son visage finement découpé est magnifique, les lèvres sont superbement ourlées et le nez joliment dessiné. Et encore, elle n’est pas maquillée. Elle est grande, de belles formes sont là où il faut, quelques kilos de moins en aurait fait un top-modèle. Elle vit en ménage libre avec Valentin, un écrivain chômeur, elle vit de petits boulots, n’hésitant pas à monnayer ses charmes de temps à autre pour arrondir ses fins de mois.

– Et tu voudrais que je fasse quoi ?
– Le contre-feu ! Tu le séduis, jusqu’à ce qu’il m’oublie….
– Tu me croit capable de faire ça ?
– Oh oui !
– Et s’il devient collant avec moi ?
– Je ne pense pas qu’il soit collant avec toutes les femmes qu’il rencontre, mais si c’était le cas on arrêterait les frais.
– Ça demande une élaboration sérieuse. Tu ne veux pas que je passe chez toi pour en parler ?
– J’allais te le proposer, passe pour 20 heures.

Nous sommes allées au restaurant et on a essayé de construire un scénario qui tienne la route en y incluant plusieurs variantes suivant les réactions que pourraient avoir le bonhomme.

Sans doute la bouteille de rosé y était pour quelque chose, mais arrivées au dessert nous nous dévorions des yeux. Entre nous, nous n’allons pas nous embarrasser de préliminaires verbeux. Nous avions envie toutes les deux. Donc l’addition vite fait et on remonte chez moi.

Et aussitôt la porte refermée nous nous sommes embrassées et pelotées comme deux vraies furies.

Et c’est complétement débraillées que nous avons repris notre souffle…

– T’es déchaînée ? Me dit Carole.
– Non, c’est toi !
– Ah bon ? On va dans ta chambre ?

Bien sûr qu’on y va et on se dessape complétement (y compris les godasses, on n’est pas dans un film X)

– Attends-moi, je vais pisser ! Précisais-je à ma complice.
– Je t’accompagne ! Répondit-elle.

Carole s’est accroupie dans le carré à douche, elle ouvre une large bouche et attend que mon jet doré jaillisse. Et c’est qu’elle se régale, cette belle gourmande !

Elle se relève, cherche ma bouche, la sienne est encore pleine d’urine. Si ce n’est pas un baiser pervers, ça, c’est quoi ?

Alors ensuite on a permuté, et c’est moi qui ai reçu sa pisse… c’était délicieux.

On s’est un peu essuyées et sur le plumard, chacune veut brouter l’autre… et dans ce cas il y a une solution miracle, le soixante-neuf. Je suis en-dessous, Carole au-dessus Sa chatte est contre ma bouche… et elle est trempée.

Je me régale d’autant qu’elle me rend la pareille avec tellement d’efficacité que j’en ai des vibrations dans tout le corps…

Je sens que je vais jouir (Déjà ? Ben oui !) Du coup je n’arrive plus à me concentrer sur la chatte de ma copine, je me laisse aller, je me crispe, j’essaie de retenir l’orgasme pendant quelques instants, impossible, je pars dans les étoiles en gueulant comme une malade.

– Eh ben dis donc ! Commente Carole. Tas pris des cours ou quoi ?
– Non, c’est de l’appétence ! Me laisse pas comme ça, occupe-toi de moi !

C’était justement dans mes intentions, je replonge ma langue dans son con dégoulinant, et histoire de faire bonne mesure je lui enfonce profondément un doigt dans son petit trou du cul.

– Oh, oui encule-moi avec ton doigt ! Tu n’aurais pas un gode qui traîne ?

Il ne traine pas, il est dans le tiroir du chevet, je m’en empare et sodomise ma copine après avoir activé le vibrateur intégré.

– Oh c’est trop bon, continue, continue…

Doublement sollicitée par ma langue sur sa chatte et par le gode dans son cul, Carole ne résiste pas longtemps et finit par jouir dans un geyser de mouille.

Moment calme, avec petits câlins et cigarettes, puis la douche.

Nous avons dormi ensemble, nues et lovées l’une contre l’autre.

Quand je me suis réveillée, je m’étonnais de son absence. Je me dis alors qu’elle devait satisfaire un besoin naturel dans mes toilettes… Mais ça commençait à durer… Inquiète je me levais et allais voir du côté de la salle de bain et des toilettes. Mais il fallu bien que je me rende à l’évidence, Carole avait disparu avec ses fringues et son sac à main.

Je me posais mille questions ! Un coup de tête ? Mais pourquoi donc ? Je l’appelais sur son portable et tombais sur sa messagerie.

N’y comprenant décidément rien du tout, je me dirigeais vers la cuisine afin de me préparer un café, quand j’entendis la porte d’entrée grincer.

Je vais voir… C’était Carole bien sûr !

– Ben t’étais où ?
– Je suis allé chercher des crissant chauds !
– C’est gentil, mais tu as été longue, je me demandais ce qui se passait !
– Il y avait une de ces queues ! Je ne te dis pas !
– Tu n’aimes pas les queues ?
– Si mais pas celles-là !

Et la voilà qui me met la main aux fesses…

– Tu reste à poil ?
– Je viens de me lever et je n’ai pas froid !
– J’aime bien ton cul !
– Coquine :

Et la voilà qui me plote le cul avec obstination… Je me laisse faire, j’aime bien que l’on s’occupe de mon cul…

Et la voilà qu’elle se baisse, m’écarte les globes et vient me titiller l’anus de sa douce langue !

– On dirait que tu as envie de refaire des galipettes ? Lui dis-je
– Ma foi, pourquoi pas !
– Mais les croissants vont refroidir !
– Et alors tu as un micro-onde, non ?
– O.K ! Alors regalipettons

Et nous avons regalipetter.
A suivre

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