Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 41 – La Bite ne fait pas le moine… mais… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 41 – La Bite ne fait pas le moine… mais… par Verdon

On a vu dans le précédent épisode, qu’Adèle a eu peur de se faire briser la porcelaine par Marcus, un jeune curé, sous prétexte qu’il était équipé d’un bâton pastoral qui dépassait la norme ecclésiastique… Aussi le regrette t’elle, d’autant que ce n’est pas tous les jours qu’on peut se faire écarquiller la rondelle tout en se faisant accorder en même temps les bonnes grâces célestes.

Vous avez bien compris qu’Adèle est vaginale bien plus que trou du cul et qu’elle n’aime pas qu’on lui tripote l’entrée des artistes sans lui en demander la permission… (et qu’est-ce qu’elle fait avec Monsieur le Comte, la salope !… ben ! Vous savez bien qu’il en a plein les bourses !).

Maintenant que Marcus est parti, elle regrette d’avoir refusé et elle sanglote en se ‘gansaillant’ le petit trou qui, vous pensez bien, se délectait d’avance de recevoir de saintes ablutions.

Bon, elle ne va pas nous en chier une pendule… elle n’a pas voulu… elle le regrette, tant pis, n’en parlons plus et si ce soir elle a son petit médaillon qui la démange… .un doigt dedans la bouche et la suite vous la connaissez !… au moins elle pourra s’endormir sans avoir mal au cul.

Cependant, avec Gertrude, c’est autre chose. Ce n’est pas tant la beauté de l’hôtelière, qui attire notre saint homme. Elle est une bonne grasse mémère, avenante, joviale et ce sont ses rondeurs qui lui donnent du charme. Si elle a les nichons un peu vacillants, c’est qu’ils sont lourds. Ils manquent à chaque instant de s’échapper de son large chemisier, infime rempart contre tout projet d’évasion. La finesse du tissu laissant apparaître d’ailleurs, la vigueur insolente de deux tétons qui sont sûrement la cause de ce sourire béat qu’affiche le révèrent.

D’autre part, sous ses jupes, l’arrière-train de notre laitière fait valoir un encombrement appétissant. Et nous savons, justement que Marcus a de plus en plus d’appétit pour ce genre d’exubérance !

En vérité, il ne sait pas ce que c’est qu’un derrière. Il n’en a jamais touché (‘le poovre’ !). Il s’est fait maltraiter le sien par des collègues et par son directeur (ce qui ne lui a pas forcément déplu, on l’a vu… ). Mais dans les histoires qu’il lit en cachette, on fait toujours l’éloge des gros culs. Alors il se dit sans doute que plus c’est gros et plus c’est bon… eh ! eh !… Il aimerait bien regarder… toucher… écarter… bref : entrer dans le vif du sujet !

Un jour qu’Adèle est de repos. C’est Gertrude qui sert le potage, et elle lui fait tant d’amabilités, qu’elle vient s’asseoir auprès de lui. Pieusement, il pose sa main sur la sienne…

– Gertrude !… Je peux vous appeler Gertrude ?
– Oh bien sûr, vous m’êtes très sympathique et en tant que curé vous pouvez être aussi mon confident.
– Eh bien Gertrude, si vous avez des confidences ! Je suis là pour faire du bien à votre âme. On peut en parler si vous voulez… Votre service est fini ?
– Oui, Adèle ne doit rentrer que demain matin. J’ai fermé l’hôtel, allons dans l’antichambre, elle est grande. On y sera mieux pour prier et pour parler de choses sérieuses.

Alors dans la chambre, il la confesse. Elle lui en fait des confidences la Gertrude !

Et elle en fait tant de confidences, que bientôt il connaît tout d’elle, le gentil curé.

Il sait qu’elle est une bonne chrétienne, comme lui en fait, certes, un tantinet dévoyée. Mais elle a un grand cœur. Elle est généreuse. En effet elle reçoit des Messieurs pour calmer leurs petites impatiences, quand leur épouse a mal à la tête… En somme, grâce à son dévouement, elle soulage des mères de famille qui ont autre chose à faire que d’écarter les jambes tous les soirs pour faire plaisir à leur gentil mari. (rien de très anormal, après tout, chacun prend ou ne prend pas son plaisir là où il se trouve).

Le bon curé se dit que, décidément ces deux femmes, sont pareilles. Ce sont de bonnes samaritaines qui s’usent le cul pour le bien-être de maris malheureux et la tranquillité de leurs épouses !
Elle a un peu honte de raconter tout cela…

– Que voulez-vous mon Père… ils ne font pas de gros péchés… et moi je ne fais de mal à personne !
– Certainement ! Gertrude (il connaît la musique, le curé… ). Dieu a créé la femme pour être la fidèle servante du mari et lui apporter tout le bien être dont il a besoin après son dur travail. De mon avis (le salaud !), ces Dames n’étant pas toujours assez aimables, quelques bonnes fessées devraient remettre les choses en place. C’est normal que par bonté et pour la soulager, ils viennent vous voir… vous êtes si compréhensive et accueillante !
J’espère bien que vous ne vous faites pas sodomiser… C’est défendu par le tout puissant ! (il se renseigne, le faux-cul !).
– Par le cul, mon père ?… oh non, pas par-là (la menteuse… ), mais vous savez les hommes sont tellement impatients et surtout maladroits… alors, dans le noir, il leur arrive de se tromper de trou, les cochons… Humm !
– Comment ça ! Humm !… Vous ne les laissez pas faire, malheureuse !
– Bien sûr que non, monsieur l’abbé, mais c’est que… ça glisse en cet endroit, vous savez bien… euh ! pardon, vous ne savez pas !
C’est que le créateur… il a mis les deux trous si près l’un de l’autre !
– Vous devez beaucoup en souffrir, ma pauvre dame ! (il veut en savoir un peu plus, le saint homme !).
– Pas tant mon père, pas tant… ils font cela si bien…
– Ah bon ! Même ceux qui en ont une grosse ! (humm ! ça devient intéressant… ).
– Oh qu’est-ce que vous dites !… Mais c’est qu’ils me comblent, mon père… oh si vous saviez comme c’est fort !
– Malheureuse ! il ne faut plus les recevoir ces païens !
– Mais c’est qu’ils ont aussi leurs bourses pleines, mon père… je veux dire leur portefeuille. Ça me permet en les vidant, de donner quelques sous aux œuvres de la paroisse, voyez-vous !
– Oui je vois… voilà qui vous rachète !… vous avez un sens profond de la générosité, je vous comprends… et j’imagine qu’un tel dévouement doit vous apporter un peu de réconfort, sans doute !
– Oui je m’y donne corps et âme, monsieur l’abbé… humm, c’est bon pour le corps et tant pis pour l’âme car le bon Dieu est là pour me pardonner.
– Péchés avoués sont déjà pardonnés… mais n’en faites pas trop quand même !
– Je ne compte pas… Juste un peu mon père… C’est tellement bon, monsieur.
– Nous allons demander à Dieu de vous accorder son pardon et de fermer les yeux s’il sous arrive de faire encore quelques petits écarts (ben, voyons !).
– Donnez-moi votre main et prions ensembles… .Au nom du Père et du…

Gertrude ne sait pas très bien prier. Pourtant elle est prise d’une très grande émotion, surtout quand les mains posées sur les genoux du prêtre, elle ressent une impressionnante grosseur se soulever sous la soutane du prieur.

– Oh je devine que vous êtes un homme, vous aussi monsieur le curé !
– Oui, c’est naturel. Vous avez la main si chaude, Gertrude !
(Chaude et curieuse, certainement)… Je peux toucher sous votre soutane ?… vous pouvez me le montrer votre agrément ‘naturel’ ?… Ce ne doit pas être un péché, puisque vous n’êtes pas marié !
– Très juste réflexion, ma chère… un petit péché quand même ! mais si doux… vous savez bien que les hommes sont des pécheurs.
– Oui, tous des salauds ! Sauf vous mon père… vous devez être un bon pécheur !
– C’est que les dames sont salopes. Mais pas vous, vous êtes tellement bonne !
– Oh, si peu !… dit-elle en ouvrant son chemisier sous lequel se trimballe une paire de mamelles qui lui tombe sur le nombril…
– Qu’ils sont lourds, bonté divine !

Il les soupèse et il lui pince en même temps ses longs tétins.

Elle fait un sourire crispé… (ben oui… c’est normal… il est un homme !)… Humm !

– Alors, elle dégrafe sa robe et la laisse tomber, tout en faisant un demi-tour… (elle n’a pas de culotte, la salope !).
– Bon Dieu (oh pardon !)… quel vache de cul, s’écrie-t-il.
– Un peu de respect, s’il vous plaît ! C’est mon cul !
– Euh ! Pardon, dit-il en se précipitant pour malaxer les deux grosses miches qui se présentent devant lui.
(Elle se tord de plaisir, l’hôtelière)… Vous avez les mains très aimables, mon cher. Mais montrez-moi donc pour commencer, vos prétentions, s’il vous plaît !

Tout doucement, bouton, après bouton, il dégrafe sa soutane (il n’a rien dessous, lui aussi, le salaud !), laissant la bonne dame suffoquée devant l’insolence du bel instrument qu’il lui tend, le bon ‘diable’… Elle s’en empare immédiatement pour le tripoter, le branler et bien lui dégager le gland qu’elle avale dans sa fine bouche si peu habituée à sucer d’aussi grosses gratifications.

On sait qu’il est là, pas tellement pour une pipe le gourmand, mais plutôt pour le cul. Cependant elle fait cela en connaisseuse. Elle est une bonne suceuse. Il apprécie et se laisse faire. Sa pine grossit et durcit de plus en plus… et il se dit que pour un si gros cul, il va lui falloir une grosse pine !

– Oui, c’est bon ! tu suces bien, fait-moi bien bander et tu vas voir ce que tu vas te prendre dans le cul, salope ! (il le pense, il ne le dit pas tout haut).
– Oui, qu’elle est bonne cette pine ! (tu vas me la mettre au cul, mon salaud ! … c’est ce qu’elle pense aussi. Comment voulez-vous qu’elle parle avec la bouche si pleine !)… .

Ça y est, il ne tiens plus, il faut qu’il l’encule. Elle s’accroupi, le nez dans la poussière et avec une admirable absence de pudeur, elle lui présente prosternée, son bon gros cul, béant, juteux comme un fruit mûr.

– Voilà un beau cul, se dit-il… rien à voir avec la porcelaine d’Adèle ! Merci mon Dieu d’avoir donné tant de volupté aux Dames !

De ses deux mains, Gertrude ouvre en grand ses fesses, pour offrir au petit curé submergé par l’émotion, le sublime spectacle de son orifice anal qui miroite au fond de sa raie culière.

Elle apprécie de sentir un peu d’air frais sur la corolle de son anus, à moins que ce soit tout simplement le regard concupiscent du révèrent, qui lui taquine le bourrichon et fait bouillir sa libido.

Aussi, sans le dire, ils en pensent des bonnes choses, nos deux personnages :

– Diable ! je vais me faire enculer par un curé !…
– Une bite de curé, lui dit le diable, c’est comme une autre… mais c’est meilleur parce que c’est défendu !
– Bon Dieu pardonne-moi, je vais enculer une pécheresse !… mais c’est si bon !
– Va s’y, lui répond, Dieu… punis-la cette traînée !… (ça ce n’est pas vrai… hi, hi, c’est moi qui en rajoute !).
– Oh le fameux trou mignon ! Merci mon Dieu d’avoir créé en cet endroit un aussi joli médaillon !

En fait de médaillon, c’est plutôt un grand trou, un antre, un entonnoir, une bouche dans laquelle notre saint homme enfonce une langue démesurée. Ce n’est pas quelques vilenies de la dame cochonne qui lui tirent soucis. (on sait bien qu’à cet âge elle a du mal à l’essuyer son cul… ) Elle geint comme une jeune chatte.

Mais qu’importe la taille de l’orifice, il est à la mesure du bâton pastoral qui déjà se présente devant la fesse gourmande.

Ah ! Il est heureux le curé ! Depuis le temps qu’il voit ces bonnes chrétiennes trimballer leur gros postérieur dans l’allée de l’église, il en a un à portée de bite… il va enfin se permettre d’assouvir ses envies!

– Dieu vous bénisse ! s’écrie le bon pasteur en pénétrant le large troufignon. Bonté divine, que vous l’avez bien chaud, Madame !

Il enfouit à fond sa bite intransigeante dans l’alcôve bouillante de la grasse hôtelière. Saisie par les anches, elle se laisse faire, ravie d’être bourrée par ce gros sexe qui entre et qui ressort en boudinant la collerette de son anus. Elle pousse de petits cris… des ‘ouille’, des ‘aïe’ et puis des Oui ! C’est bon ! Encore ! Chaque fois qu’il sort et qu’il y retourne.

Il y va de bon cœur le bienfaiteur. Il cogne son pubis contre l’épais charnu. Elle geint, mords l’oreiller, crie des insanités et elle en redemande.

Il se régale de turlupiner la jolie ventouse avec son gland. Et il prend plaisir à voir la grosse rondelle se dilater quand il pousse et se resserrer à la sortie, comme une bouche qui vous fait un bisou…

– Oh ! Aïe ! Humm Qu’elle dit…
– Alors ! On faite sa douillette !… et il remet ça le bon gars …

Ça fait des ‘flop’ !… des ‘pschitt’ !… des ‘prouts’… et des ‘clap’… ’clap’… .’clap’…

On entre dans les grands classiques… hi ! hi ! Je ne sais pas si c’est du bel canto, mais en tous cas le chef saisissant le corps du ballet à pleines mains, se déchaîne avec sa baguette.

Rien ne manque au concert : le cul fait la grosse caisse, les cymbales sur les fesses, la raie pour le violon… sans oublier, bien sûr, une paire de castagnettes et le trou du tromblon…

À tout cela s’ajoute, pour le bonheur d’un éventuel auditeur, le vibrato des fesses, le souffle de l’évent aux harmonies diverses et le ravissement de miaulement humides d’une chatte en folie.

Donné par la pédale de grosse caisse, le tempo qui va s’accélérant, amplifie les stridents trémolos de la Belle qui se pâme et s’essouffle sous le corps du bon pasteur. !

Il remet la gomme… des claques fusent sur les fesses de notre Diva !… ça la stimule… Elle le remue son popotin !… elle jouit…

Lui aussi va juter… il pousse à fond… il éjacule…

Et, vlan !!!

… Ouah !… C’est la porte de la chambre, qui vient de s’ouvrir !

Adèle entre. Effarée, elle découvre l’abbé sur sa Tantine !

Surpris, juste au moment où il éjacule, Marcus ‘décule’, se redresse en aspergeant le dos de l’hôtelière et en se retournant, crache le reste aux pieds d’Adèle qui fait son écœurée (dommage de gâcher si bonne marchandise, doit-elle penser !).

– Salaud, tu fais quoi, là, avec ma tante ?
Tatie tu te fais niquer !
Salope, avec un curé !

Le cureton, lui n’en mène pas large. Il ramasse avec précipitation, ses fringues et une main sur son sexe, le courageux décampe et va se réfugier dans sa chambre, sous les quolibets de la nièce en fureur.

Alors, elle saute sur le dos de Gertrude. Elle la frappe, lui plante ses ongles dans les épaules, la bourre de coups de poing, lui agrippe les cheveux et la traîne jusqu’au sol, sur le tapis pour continuer à la maltraiter.

Mais cette dernière se défend. Elle profite d’avoir le cul de sa nièce, sous la main pour lui foutre une fessée carabinée. Elle monte sur son dos. L’autre ne peut plus bouger sous le poids de la vieille. Les claques lui font rougir les fesses. Elle crie quand elle sent les doigts de sa tante lui triturer le trou de balle.
Elle arrive à se relever et retourne sa tante allongée sur le dos. Assise sur son ventre, elle lui tourneboule les seins comme des sacs de noix.

À toutes les deux, elles poussent des hurlements, à ameuter tout le quartier.

En entendant ce chahut, le curé commence à paniquer et se dit qu’il faut les calmer ces gonzesses, elles sont insupportables !

Il saisit une batte de lavandière accroché sur le mur de sa chambre (mais qu’est-ce qu’elle foutait là, cette batte ?… ), et il s’en va les corriger les tigresses !

Quand il arrive, Adèle est à cheval au-dessus de sa tante. Elle lui pisse sur les nichons, la cochonne. Puis, les cuisses ouvertes, elle s’assoit sur le visage de la vieille en lui collant sa pacholle trempée, sur le nez.

Ce faisant elle a son cul en l’air. Putain, il est beau son petit cul, certes un peu rayé par les griffes de sa tigresse de tante, mais si resplendissant et insolent, que le brave curé, dépassé par la tentation, se dit que c’est le moment ou jamais. Il dégrafe de nouveau sa soutane pour sortir son braquemart encore violacé et laqué par son expérience précédente. Et il l’enfile droit et vigoureux dans le petit orifice qui n’attendait que cela.

La tante s’est calmée. Elle profite de la bonne position pour grappiller les couilles du curé, qui carillonnent au-dessus de son nez !

La colère et le plaisir, anesthésiant la douleur, Adèle apprécie le gros nœud. Et sous les assauts vengeurs de ce dernier, elle se fait douce, amoureuse, remue sa croupe et se reçoit le bon reliquat des humanités sacerdotales.

La tante finit le service, tout compris. Ménage du trou du cul de la nièce et lessivage en douceur du braquemart du révèrent.

En récompense, elles se reprennent toutes les deux, une bonne volée sur le cul, façon lavandière… c’est moins bon que des coups de bite, mais ça leur fait du bien aux deux salopes qui couinent encore de bonheur…

Mais ces fessées l’excitent tellement, qu’il bande à nouveau.

– Salopes ! vous êtes des diablesses, vous m’avez fait perdre ma foi.
Je suis possédé du démon à cause de vous ! Je bande comme un diable ! Dieu va me punir.
Je ne veux plus vous voir, allez au diable…

Et il s’enfuit à la cure.

Là-bas il se fait gronder par Henriette, la vieille servante… il lui raconte tout… il a honte… Il pleure le cureton. Elle lui parle un peu du bon Dieu, beaucoup de ses saints et pas mal aussi de ses saintes qui en font de drôles paraît-il, aussi au Paradis.

Pour le consoler, elle lui dit que Dieu est bonté et qu’il va lui pardonner, qu’il ne faut pas s’affoler car la vie va ainsi…

Il a bien fait de châtier ces deux femmes qui l’ont troublé en lui montrant leur derrière… .

– Qu’elles aillent en enfer ! (humm, sûr qu’elle aimerait, elle aussi, y aller un peu en enfer!).

Ce n’est qu’un péché d’homme, après tout. Elle les connaît bien les hommes, s’ils ont une bite, c’est bien pour s’en servir !… d’ailleurs, l’ancien curé… combien de fois il lui a soulevé les jupes… même qu’il lui a fait mal au cul, le cochon, pourtant il ira bien au Paradis, celui-là… Oui, ces salopes, il faut les jeter en enfer… (mais de quoi elle se mêle cette vieille taupe !).

Ces bonnes paroles ça le réconforte notre bonhomme ! Elle n’est pas conne, elle sait parler du divin. Tiens ! Elle a même la main agile. C’est doux une vieille main. Ah oui, c’est doux surtout quand elle passe dessous la soutane…

– Oh mon pauvre Monsieur, dans quel état elles t’ont laissé, ces garces. (Eh bien voilà qu’elle le tutoie maintenant).
Viens je vais te rafraîchir tout cela !

Alors elle lui fait une petite sucette, histoire de lui rafraîchir son os à moelle tellement maltraité ce soir chez ses hôtelières. Oh ! Sûr que ce n’est pas une grosse sucette. (Les vieilles elles ont une petite bouche). C’est juste un bisou sur le bout du gros nœud. Par contre elle a la langue aiguisée évidemment, et faire le tour du gland, ça elle sait bien faire et se régale de la sauce au jus d’homme et aux humeurs femelles.

Oh il n’est pas très reluisant son agrément naturel. Il n’est pas très propre, mais…

– Qu’est-ce qu’il a bon goût ton machin long, mon curé !
– Le goût du péché, ma chère… c’est si bon un cul de pécheresse… humm !… (et celui de deux, c’est encore meilleur !).
– Et le mien ?… veux-tu goutter au mien… juste un petit péché avant de partir !

Ne voilà-t-il pas qu’elle est entrain de lui faire du rentre dedans au curé ! Sous son nez, elle lui tortille son vieux petit trou cramoisi. (elle a dû s’en taper pas mal du ‘bâton pastoral’, la sainte femme depuis qu’au début de sa longue carrière, un bon évêque lui avait appris combien l’homme était bon et la femme docile.).

– Oups… il se sauve le curé…

Oui, il se sauve, parce qu’il s’est fait viré, le curé. Il est viré à cause des femmes… alors une de plus, c’est de trop !

C’est, justement son évêque qui le vire. Certainement mis au courant de ses comportements par quelques mauvaises langues (croyez –vous vraiment qu’il les ait reçues dans le trou… de l’oreille, ces mauvaises langues ?).

Il est plein de compassion envers lui, l’évêque. Mais que voulez-vous, il y a des règles et il ne peut pas y déroger le brave être. Il sait lui ce que c’est qu’une femme… il y a tellement de bonnes bourgeoises qui viennent lui quémander des conseils ! Et il leur en donne des conseils, aussi sont-elles bien heureuses et ressortent pleines de grâces, de leurs petits entretiens.

Il le fait entrer dans un monastère… il devient moine notre curé.

Mais on peut être moine, on n’en est pas moins homme et quand il va le vendredi soir, donner un coup de main aux autres curés, pour confesser les pécheresses qui affluent de la ville voisine, il ne peut s’empêcher de leur transmettre ses saintes huiles à ces dames. C’est que comme toute pénitente qui se respecte, elles sont ravies ces bourgeoises d’aller piper les bonnes grâces, directement à la source, les gourmandes !

Et aux cris qu’on entendait ces jours-là, au fond de l’église, on a vite compris que Marcus devait beaucoup user de son goupillon pour leur donner l’absolution.

En tout cas elles sortaient du confessionnal, certes en boitant un peu, mais avec un sourire d’ange sur le visage!

On a dit aussi que dans les hôpitaux avoisinants, il y a eu beaucoup de naissances cette année-là… (Mais, voyons, il ne faut pas croire tous les on-dit… ).

Il dépasse les burnes, le curé (les bornes… je veux dire !).

Ce coup-ci, l’évêque prend une mesure draconienne. Il envoie notre bonhomme, remplacer un ermite, là-haut dans la montagne. C’est à des km de la première nana, au milieu des garrigues, du thym et du romarin. Il y a juste quelques arbres pour qu’il puisse faire pipi sur des demoiselles… euh ! (Pardon, sur des coccinelles), en secouant bien sa zigounette.

Il est heureux notre ermite. Finies les pisseuses et les trous du cul… (ne lui en voulez pas, Mesdames, il n’a jamais compris par quel bout vous prendre, ce couillon !).

Il vit tout là-haut, béatement, près du bon Dieu. Personne ne vient l’embêter.

Tout nu sous sa bure, il a les roubignolles au frais et sa bistouquette s’est assagit. Elle pendouille un peu maintenant, depuis qu’il boit des tisanes relaxantes.

Mais s’il lui arrive parfois, d’être titillé par quelques vagues souvenirs un peu moelleux, un petit verre de Génépi, lui permet de l’astiquer un peu son mollasson. Ça procure un peu d’engrais à ses pieds de tomates (elles ne disent rien les tomates… elles rougissent, c’est tout !).

Ça lui permet aussi de voir s’il a toujours la santé…

Et il faut croire qu’elle est bien bonne sa santé, en vérité… car certains disent que le soir, au fond de la vallée, on entend braire son ânesse… ..

Oh ! Putain qu’est-ce qu’elle braie !!!!

(… non mais je vous ai déjà dit qu’il ne faut pas écouter tout ce que les gens disent… quoiqu’une ânesse ?).

Ben voilà… il est heureux notre ermite !

Plus une seule femme pour le taquiner…
Oh qu’il est heureux !…
Il cultive son potager et…
… Il élève des chèvres… notre curé !
(Oups !… Pardon Mesdames… je vous aime !).

21/06/2024

 

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 41 – La Bite ne fait pas le moine… mais… par Verdon

  1. Marinus dit :

    C’est toujours un réel plaisir de lire les croustilleries du père Verdon

  2. Harivel dit :

    J’adore les cochonneries cléricales ! Surtout quand elles sont si bien racontées

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