Tant va le Temps… Tant va le Cul… 36 – Le guet-apens… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 36 – Le guet-apens… par Verdon

En ce début de semaine, Adèle, la petite serveuse de l’hôtel-restaurant « Au coin du Feu », n’est pas bien dans son assiette. On est en été, il fait chaud et la clientèle se fait un peu plus nombreuse. Les journées sont fatigantes.

Heureusement, l’hôtel est petit, il n’y a que trois chambres, mais c’est le ménage, les lits, les repas à servir… Et ce con de commis voyageur qui déboule un dimanche soir, soirée normalement de tranquillité. (Qu’est-ce qu’il a besoin de se pointer là, un dimanche !).

Pourtant, ce fameux voyageur, notre ami Armand en l’occurrence, ne lui déplaît pas. C’est un beau gars, très présentable, tout juste la quarantaine sans doute et bien aimable. Ils s’accordent tous les deux quelques sourires sympathiques, elle tomberait bien amoureuse de ce beau client… qui sait ?… Histoire de bien finir la semaine ! (Elle le fourguerait bien dans son lit, celui-là !).

Mais elle est délicate Adèle. Elle aime qu’on lui fasse la cour, gentiment, après elle se lâche sans problème… Humm, il est mignon ce gars !

Oh, mais ne le voilà-t-il pas si ému lui aussi, qu’il en fait tomber sa fourchette par terre, ce nigaud!

Bien sûr elle se précipite pour ramasser le couvert, et… .vous savez la suite…

… Elle se retrouve avec un doigt dans le cul, sans l’avoir demandé (oh peut-être un peu quand même !), et ça lui fait un choc (au cul sans doute, mais surtout à la cervelle) et furieuse elle vous remballe l’impétrant comme s’il était un chien dans un jeu de quilles !

Eh bien voilà comment on fout en l’air une bonne soirée, pour un simple petit doigt dans le trou du cul ! (… la chichiteuse !).

C’est vrai que comme impolitesse, on ne fait pas mieux, il n’a pas été très correct Armand !… (Boff ! La politesse… c’est un peu comme le savon… ça gâche un peu le plaisir !… Oups !), et puis chez les nanas, c’est toujours la tête qui réagit avant le cul… Enfin bref, même si le monsieur a été impoli, elle regrette maintenant son geste, elle voudrait lui dire, mais comment faire.

Justement, en débarrassant la table, elle retrouve le fameux dessin (un peu coloré… ) du petit impoli (voir l’épisode précédent) et elle se dit que c’est un bon moyen de reprendre contact. Elle y ajoute une invitation, met le petit billet dans une enveloppe et la dépose à côté de son rond de serviette… Pour ce soir, c’est raté mais mercredi, après ses deux jours de repos, Armand qui aura trouvé sa ‘carte de visite’ et l’invitation, va venir la retrouver, elle en est sûre… (Elle est déjà toute contente Adèle, avec son cul, les hommes elle les attrape comme des mouches… ).

La patronne, sa tante, Gertrude de son prénom, fait le service ce lundi. Elle découvre l’enveloppe d’Adèle dans le casier aux serviettes et, curieuse comme une pie, elle se permet, l’indiscrète, de prendre connaissance de ce qu’il y a dedans.

Ça la fait beaucoup sourire.

– C’est quand même une bonne petite salope, ma nièce ! Elle sait faire des affaires… (comme sa tante !).

C’est qu’elle est un peu jalouse, la Tante, elle aimerait bien profiter du monsieur en question, il est jeune, pas mal foutu et d’après son allure, ce doit être un monsieur aisé…

Alors aussitôt elle met en place une machination diabolique pour permettre à ce monsieur de tomber dans son lit, plutôt que dans celui de sa garce de nièce.

On sait qu’après la guerre, les temps sont durs. Aussi pour arrondir ses fins de mois, elle a trouvé tout naturellement le besoin de faire plaisir à quelques hommes, en leur offrant les rondeurs de son corps pour leur faire oublier leurs soucis. (Les jeunes, mal nourries sont plutôt maigrichonnes. Alors une mature c’est un peu plus gras et c’est mieux qu’un sac d’os, évidemment !).

Donc, c’est par humanité bien sûr, qu’elle se dévoue. Ce n’est pas pour voler des maris. C’est juste pour soulager des nanas qui en ces temps durs, sont plus attelées au boulot qu’entre les brancards de leur fainéant de mari (enfin… c’est ce qu’elle se dit, la Gertrude.).

Cela ne va pas évidemment sans une petite générosité de ces messieurs de passage. Tout doucement, vicieuse, elle y trouve des avantages et même de plus en plus de goût. Cela lui met du beurre dans les épinards, et qu’importe même s’il faut qu’elle s’en mette aussi au cul ! Aye ! (d’ailleurs au bout de quelque temps elle n’en aura plus besoin… du beurre évidemment !).

Quand sa nièce est venue lui donner un coup de main, elle a su lui expliquer avec sagesse, l’intérêt de la chose. Cette dernière qui n’a jamais été très sage dans sa jeunesse a vite compris les bons conseils de sa tantine et, au mariage, elle a préféré le badinage.

Le problème c’est que Gertrude maintenant se fait surtout des vieux cochons qui lui font toutes sortes de vilenies, alors qu’Adèle se paye les plus jeunes. Heureusement pour Gertrude, les premiers payent mieux que les autres, et en plus, elle sait se valoriser : un petit billet pour quelques caresses, ou pour une pipe seulement. Pour sa chatte ce n’est pas donné et quand à son trou du cul ça grimpe, comme à la Bourse ! (Si toutefois la pine en fait autant !).

Mais elle est conciliante Gertrude. Vicieuse comme elle est, elle aime aussi prendre du plaisir, et reçoit parfois des vieux cochons qui lui font des choses, je ne vous dis pas !… Mais la pauvre Adèle en sait quelque chose, sur la couleur des draps quand elle fait le ménage au petit matin ! (Et ce n’est pas le moment d’embrasser sa tante entre les deux seins… elle s’en garde bien, surtout après le petit déjeuner !).

Vous avez donc compris maintenant, chers lecteurs et délicieuses lectrices, pourquoi la Tante veut piquer Armand à sa nièce.

C’est aussi la raison pour laquelle Adèle n’est pas aujourd’hui dans son assiette !

Figurez-vous que Gertrude lui a dit que ce soir elle devait recevoir Monsieur Bertrand, un ami notable, qui lui est cher, et en plus, grand associé de l’établissement. Il a soudain une grande envie de se payer une nuit de bonheur dans les bras de sa soubrette, (ça lui changera des nuitées, cul contre cul avec sa nana… ).

Inutile de vous dire qu’Adèle, bien que flattée, a tout de suite compris ce qui s’était tramé en son absence. Elle ne veut pas dire à sa tante ses projets avec Armand. Elle est terriblement déçue et en veut à sa tante et à ce vieux con d’associé qui lui tombe sur le cul, comme un cheveu dans la soupe.

Donc elle fait la gueule à tout le monde, y compris à Armand qui n’y est pour rien, mais pas à celui qu’elle reçoit avec toute la gentillesse et l’aménité qu’elle lui doit… d’autant qu’il a du savoir vivre, un gros portefeuille et une jolie bite, ce qui ne gâche rien…

Aussi n’est-elle pas, quand même, trop mécontente de passer la nuit avec ce Monsieur.

Elle en a connu d’autres, désagréables, exigeants, sales et radins. Avec lui, c’est ‘douce France’… des caresses, des bisous partout, il lui mordille les ‘tétous’ comme de la pâte à la guimauve et lui farfouille la chatte sur tous les rivages et dans tous les recoins avec une langue de velours terriblement vicieuse.

Il termine souvent par son petit trou du cul… .Mais quels délices ! Toujours avec cette langue veloutée, il te lui taquine la muqueuse en profondeur, après lui avoir lapé la raie du cul depuis la commissure des fesses, jusque ras la chatoune.

Elle fait semblant de refuser, la coquine…

– Veux-tu ouvrir ton petit cul, ma salope !
– Mais chéri, tu l’as si grosse ! (un peu de flatterie ça marche toujours).
– Juste un peu… Tu vas aimer !
– Humm !… aye !

Il insiste, jusqu’à lui glisser finalement un gros billet de plus entre les fesses… (Et ce papier qui crisse entre ses fesses, je vous le jure, ce n’est pas du papier-cul !).

– Humm ! Pousse un peu… Oh ! Qu’est-ce que tu me fais ! C’est bon !
– Ah ! Tu n’as plus mal au cul, maintenant ?
– Ben oui… Tu es si gentil !

Et hop ! Ça rentre tout seul… C’est bon !… (Là on voit bien qu’elle a du métier, la chipie !).

Alors elle se lâche. Il peut lui faire tout ce qu’il veut… elle est sa chose !

Elle serre un peu les dents, mais c’est si bon quand allongé sur son dos et planté dans son cul, il va si profond !

Et elle crie de plaisir… (Mais ce n’est pas beau ma Belle, de crier si fort dans un hôtel !)… aussi a-t-elle droit à une petite fessée agréable comme tout… juste pour faire rougir un peu ses jolies fesses… Elle aime, elle fait semblant de souffrir, mais elle aime… Il a tellement la main douce son éducateur ! (j’en soupçonne, parmi mes lectrices qui voudraient prendre sa place… gentilles et vicieuses évidemment !).

D’ailleurs pour le remercier, elle lui fait pipi dans la bouche… .

– Humm ! Du bon jus de jeune femelle… Du jaune !… Du chaud !… Du goûteux !… Il est ravi l’assoiffé…

Pourtant cette nuit, elle ne peut pas se donner à fond à ce bon Monsieur… .

C’est qu’ils sont juste sous la chambre 4… .et il y a de drôles de bruits qui lui parviennent aux oreilles, en même temps que le vieux lui triture les roberts ou bien qu’elle a le nez entre les cuisses du sacripant. Comment voulez-vous qu’elle lui lèche le trou du cul avec attention, alors qu’elle entend au plafond les grincements du lit de sa patronne ?

Mais que se passe-t-il donc dans cette fameuse chambre 4 ?!
.
Eh bien, rappelez-vous que nous avons laissé Madame Gertrude, la patronne du petit hôtel-restaurant ‘au coin du feu’, à poil et dans une position provoquante et assez suave, face à notre ami Armand. Désarçonné, il ne sait plus trop comment gérer la situation.

Apparemment, il pense qu’Adèle l’a arnaqué en le foutant dans les bras de sa grasse Tante, pour se venger des délicieuses impolitesses qu’il lui a procurées l’autre jour dans son trou du cul… la salope !
Mais c’est un homme d’action, notre gars et ce n’est pas le manque à gagner d’un joli petit cul, qui va l’empêcher de jouir d’un plus gros qui a l’air d’emblée, être beaucoup plus confiant.

Alors il se jette dans les bras de la matrone, comme elle le lui a demandé.

Le petit mari de Gertrude, tourne autour de lui et s’active à le déshabiller à son tour, il se laisse faire sans soucis.

Maintenant aussi nu qu’elle, il bande comme un diable, et se cale entre ses deux gros seins et contre son pubis terriblement broussailleux et graisseux !

Bon sang ce qu’elle est chaude, moelleuse, abandonnée… Il commence par la tripoter, puis lui malaxe ses chairs abondantes. S’agrippe après ses poignées d’amour… Il pelote ses seins et ses putains de tétons… oh ce qu’ils sont gros … Elle lui plaque la tête, à l’étouffer, contre sa poitrine pour se faire dévorer davantage.

Ensuite ils se bécotent comme des dingues. Elle lui avale la langue tout en cognant son bide contre son pénis qui cherche à lui labourer le ventre.

Ils se ressaisissent. Il la fait tourner sur elle-même pour admirer ses arrières.

– Oh quelle belle avalanche de fesses, se dit-il ! Que de chair, quelle faille, quels beaux encombrements fessus !

En bas du renflement de ses fesses, de sombres profondeurs laissent augurer de sympathiques égarements dont il ne saurait se priver.

Elle est là, offerte, bien calée sur ses jambes, bougeant son cul comme une minette. Elle se courbe un peu, libérant des horizons vertigineux. Armand passe ses mains sous ses fesses, et les soupèse en les remontant légèrement. Ça a l’air de lui plaire à la bonne Dame qui du coup écarte les deux lobes avec une certaine insolence, en laissant apparaître tout au fond un trou très sombre et complaisant.

Bien sûr, un des premiers gestes d’Armand (ce doit être inscrit dans ses gênes), c’est d’y glisser un doigt qui semble être le bienvenu. Mais fatiguée, malgré ce doigt qui lui troue le cul, elle s’assoit sur le bord du lit, puis s’allonge.

Rapidement notre vaillant homme se retrouve sur le ventre de la ganache, entrain de lui bourrer l’échancrure vaginale. Il s’y plante. Elle est bouillante.

Il y flotte, il y patauge, il s’y noie, le brave, mais elle est tant ouverte, qu’il a plus l’impression de battre du beurre que de forniquer.

Il va falloir faire autrement.

En arrêtant sa chevauchée, il s’aperçoit notre hussard, que le petit bonhomme de mari est, lui aussi maintenant, à poil et qu’il est équipé d’une putain de cambrure à faire fuir les plus adeptes à se faire tarauder la rosette.

C’est marrant, petit corps et braquemart qui est certainement mieux adaptée que quiconque pour combler l’ouverture béante de son épouse.

D’ailleurs c’est ce qu’il fait merveilleusement bien sous le nez de l’invité.

Mais ce dernier, très malin une fois de plus, profite des occupations du bon ouvrier, pour lui enfiler le petit trou qui fort bien éduqué, lui offre l’hospitalité.

Eh bien laissez-moi vous dire qu’à tous les trois, ils en font un sacré grabuge dans la chambrée et la pauvre Adèle a bien raison de se faire du souci en entendant le raffut au-dessus de sa tête. Alors qu’elle-même est en train de se faire complimenter le trou des délices, par son bon client, au-dessus d’elle Gertrude jouit comme une folle.

– Ah ! Oui… c’est bon qu’elle s’écrie la mère Gertrude… Vous êtes bons mes amis… .Je vous aime… .Oui encore… encore !
..
Le premier acte étant terminé, notre petite troupe va maintenant se permettre de souffler un peu. Cependant, il faut remettre de l’ordre, et faire un peu de ménage.

C’est alors que le mari siffle et fait sortir de dessous le buffet, où il était bien caché, le toutou de Madame, qui frétillant, très obéissant et bien dressé, saute sur le lit et plonge son museau entre les cuisses de sa patronne pour se délecter du bon breuvage qu’a déposé son mari !

Oh la sacrée bestiole ! Elle va musarder dans la moniche gluante, puis va lécher le visage de Madame. Et retourne à la chagatte pour se gaver du bon jus qu’y a laissé son amoureux.

Elle est heureuse la Gertrude !

C’est un plaisir fou de voir cette petite bête s’en donner à cœur-joie. C’est un mâle qui remue sa quéquette autant que le bout de sa queue.

Il va et vient entre chatte et menton de sa maîtresse qu’il rend folle !

Il cherche maintenant à la niquer, sa patronne ! (tant qu’à faire !… ).

– Oh mon toutou chéri… qu’est-ce que tu me fais ?… Tu es bien pressé !… Du calme voyons !… Humm !

Elle a bien compris et elle écarte ses cuisses, la salope, pour bien le recevoir.

Il plante son museau dans la grasse fente, pousse sa truffe dans le creux de la chatte, comme une taupe et lape à la régalade !

Oh ! Elle jouit la Gertrude !

Aller… deux ou trois coups et il remonte embrasser le museau de sa ‘femelle’ ! Pour lui faire des faveurs sur la bouche… la langue chargée des liqueurs de son mec… Et il descend pour remettre ça… .

Encore des petits coups… Il s’arrête, fouine l’échancrure, donne des coups d’œil gourmands à sa maîtresse, aboie comme pour lui demander si ça convient et de nouveau, il la nique à vive allure !

– Ah que c’est bon ! Comme il est gentil le chienchien.

Elle le caresse, le flatte, lui maintient la tête et le museau contre son pubis.

Palpitant, le toutou ne s’arrête pas à l’œuvre. Son sexe coulisse dans la fente d’amour…

– Ooouh !… que c’est bon… Elle est heureuse Gertrude !… Elle crie, elle bat des cuisses.
Oh qu’il est bon mon loulou… !
Oh mais tu me lèches le trou du cul mon cochon ! (Elle soulève autant qu’elle peu ses cuisses).Que c’est bon… Ouiiii … Tu lèches le bon petit trou odorant !… .Humm ! Mais tu vas me rendre folle !
Tu l’aimes le bon cul de ta maîtresse, petit voyou !

Mine de rien, il n’est pas con l’animal, il passe ensuite derrière le mari et comme Armand il sait trouver la bonne place.

Tout d’abord il va lui laper le trou de balle bien merdeux. (Quel festin pour le cabot !… Je vous sens un peu jaloux !), ensuite il se l’encule comme une chienne.

Mais c’est qu’il est content le mari ! Oh comme il est content ! Il joue à la tapette ! Il a la biroute en déroute, mais en serrant bien l’anus, il sent la petite bite lui trouer le trou des délices !

Vous vous doutez bien, qu’il y a un troisième gugusse qui attend son tour, maintenant…

Oh ce n’est pas qu’il est très chaud Armand… Mais très excité et ne voulant pas mourir idiot, il se laisse faire le saligaud…

– Ben ça ! alors c’est drôle… Ce n’est pas terrible… C’est trop rapide… Boff !… Il préfère un mec… (Ce qu’il y a de meilleur, c’est quand le toutou lui lèche le cul !).

Ah si sa petite femme le voyait !!!

Toujours est-il qu’il se l’ai prise dans le cul, lui aussi la quéquette canine…

Après ce joyeux intermède qui a passionné apparemment nos trois amis (et vous aussi, je parie, chers lecteurs et gentilles lectrices passablement mouillées), il nous faut maintenant, passer au deuxième acte qui ne sera pas piqué des vers, je vous l’assure ..

C’est que notre commis voyageur qui a manqué se noyer dans les immensités vaginales de la très débridée et corpulente patronne du petit hôtel des plaisirs (du Coin du Feu, pardon..), notre ami, je disais donc, se retrouve beaucoup déçu de ne pas avoir encore pu fureter le cul de cette dernière.

Il doit donc se remettre à l’œuvre.

Il va lui falloir sûrement un peu d’aide… Bon le cabot, on le renvoie dans son trou et on examine de plus près la situation.

Avachie sur son lit, Madame laisse sécher sa boîte à ouvrage au grand air. C’est un spectacle grandiose, ce vagin ouvert, profond et rouge, bordé d’un foin luisant et décoloré. Un piège à grosse bite !

Son petit homme se gratte le trou de balle. Il semble que les bonnes outrances d’Amand, lui aient alésé un peu la ventouse. Elle est rouge et elle baille. Voilà qui ne donne pas envie à son cajoleur, de recevoir de sa part les mêmes faveurs.

Par contre, ce dernier a toujours dans la tête le souci d’enfiler la mémère. Il ne faudrait pas que son filou de mari, lui dame le pion ! (le cul, si vous préférez), en lui, passant devant, ou derrière (… on se comprend !), il attendra son tour, comme les autres… (les cocus, ils passent toujours après les autres sur le dos de l’infidèle… ).

– Bon, toi le mec, tu ne peux pas la retourner un peu ta ganache, de façon qu’on voie de quoi elle prétend côté échappement ?

La chose n’est pas aisée.

Et que je te tire un bras, et que je te tire une jambe. Et que je lui pousse une fesse… et qu’elle pète la cochonne… et puis voilà qu’elle crie parce qu’il y a un bout de sein qui ne suit pas… Holà, la mauviette !… Tu vas la bouger ta viande !… Bon de ou trois claques sur le cul…
Voilà pas qu’elle pisse maintenant !… Elle pète de nouveau

Il se prend la pisse en plein visage Armand… elle a ce bon goût de vieux cidre de Normandie, un peu aigrelette mais très chaude.

Encore quelques claques sur le gras des fesses et elle ferme le geyser, la pisseuse… et boucle sa boîte à clapet.

On la met en travers du lit. Les bras tendus en avant, les seins qui s’évasent de part et d’autre, comme deux méduses sur le sable de Biscarosse.

Le cul sur le bord du matelas et les jambes qui pendouillent à l’étalage, elle est prête à se faire embrocher comme un chapon !

Le mari très attentionné lui lie les chevilles aux pieds du lit et les jambes écartelées, elle ne peut se permettre aucune velléité et d’ailleurs elle ne le souhaite pas…

– Oh ouiii ! Aimez-moi mes salauds !

La tête dans un oreiller, elle ne peut pas lever les bras.

Ben ! Mes aïeux… Il a du boulot en perspective notre Armand !

Et quelle perspective !

Deux magnifiques globes côte à côte, d’une ampleur majestueuse, traversés par un large et profond sillon qui prenant naissance en haut des reins de la Belle, va en s’élargissant jusqu’à la jointure de ses cuisses, pour laisser apparaître ses suaves orifices enfouis dans la chair.

On peut apercevoir son petit trou noir et strié. Après le passage de la langue du chien, il est brillant et tout propret.

En dessous on devine l’entrée femelle de madame, très embroussaillée d’un duvet frisé et décoloré par des flots de bonne pisse qu’elle a dû larguer plus souvent sur le nez de ses amoureux, que dans un pot de chambre !

Si on ajoute deux grosses cuisses épaisses qui encadrent le paysage, on peut dire qu’Armand a sous ses yeux la panoplie complète de ce qu’il lui faut pour se mettre à l’ouvrage.

Mais le petit mari qui a l’air d’avoir de solides connaissances dans le métier, fait remarquer à Armand :

– Une bonne fessée est toujours bénéfique, pour mater et attendrir la croupe de la ganache qui a un peu trop tendance à renâcler dans cette belle et adéquate position !
– Oh oui ! Tapotez-moi le cul, mes chéris… ça démange !

Aussi voilà que nos deux hommes, au grand cœur, se dévouent pour secourir leur maîtresse et la soulager de ses démangeaisons, à grands coups de paluches sur son imposant derrière !

Ah si vous pouviez voir, mes amis, ce cul magnifique se faire cajoler par ces quatre bonnes paluches !

Bientôt tout rouge…

– Il est prêt, annonce le petit mari à Armand,… tendre et moelleux comme il est, tu vas voir elle va te donner le meilleur…

Alors lui écartant les fesses, il demande à Armand de tremper son sexe dans la chatte humide et de le présenter luisant devant le bel anus qui semble n’attendre que cela.

– Vas’y ! Pousse, pousse fort … Pousse donc !

Il pousse Armand… et ça entre… putain que ça entre bien, nom de dieu !

Elle crie, la soumise… oui un bon cri de plaisir sûrement… le cri de l’enculée !… Celui du bonheur… quoi ! Car même si ça pique un peu… c’est tellement bon quand c’est dedans !

Alors il n’y a plus de raison qu’il se retienne, et il y va à fond Armand et fait de nombreux va-et-vient qui fait monter Gertrude au septième ciel !

En fait elle n’a pas de ciel au-dessus d’elle. Elle a simplement son bout d’homme perché sur ses épaules qui suit les soubresauts que fait son dos sous les bonnes impulsions que lui procure Armand.

Elle est costaude, elle ne craint rien et chaque fois que son fouteur ‘décule’, il se précipite le bon mari pour remettre la bite en place. ( N’est-ce pas là une des meilleures satisfactions que puisse s’offrir un honnête cocu !… Ah j’en soupçonne de coquins lecteurs qui voudraient faire pareil… Bande de fripons  ).

Armand fait durer le plaisir. La place est bonne et la patronne est en transe.

Bientôt il éjacule et remplit l’étroit conduit ras la bonde ! Ça glisse, ça clapote, ça fuit sur les bords, mais il s’en fout… il bourre la vieille jusqu’à la dernière goutte de bonheur !

Il finit par sortir…

– Attends ! Attends, lui dit le petit homme qui descend de sa cavale… Bouche-lui le trou, je veux prendre ta place et profiter de tes faveurs !
Il pousse Armand sur le côté et enfile dans le trou tout grand ouvert, sa pine énorme.
Alors là, elle crie vachement fort la mignonne ! Et si c’est de l’amour … c’est du gros, du puissant, du :

– Oh ! Tu m’as tout mis, tu m’assassines, tu me défonces le cul… oh que c’est bon !

Il reste là, subjugué Armand par la vue de ce gros membre qui pénètre sans faiblir dans l’anus de l’épouse.

Englouti, gobé comme un gros ver bouffé par une carpe, le gland et tout le reste disparaissent jusque ras les couilles au fond du gros tuyau !

Armand, qui apprend vite les bonnes manières, fout un doigt au cul du bonhomme, histoire de lui redonner de l’élan, (comme si c’était nécessaire !).

Son affaire terminée, le petit homme se retire. Il semble que la porte ait du mal à se refermer. Car l’ouverture béante dégueule une double livraison de jus d’homme et d’autre chose et il faut de nouveau faire appel au toutou de Madame pour faire le ménage…

Le cabot, rassasié, la dame remise sur pied, les deux hommes lui offrent quelques gâteries, genre sucette chocolat-vanille qui sont toujours très appréciées par des dames si bien gâtées. (Ah ! Pas par toutes… Alors pourquoi les mecs, faut-il qu’ils se décarcassent… .Oups !… .Eh bien excusez-moi et essuyez-vous la bouche… ).

Mais ne croyez pas que la partouze s’arrête là…

Pas du tout, la fête continue toute la nuit, et je ne vous dirai pas tout ce qu’ils ont fait nos loubars, ni ce qu’il est arrivé à Armand… Oh la, la !

Après de tels moments de folie, les réveils sont souvent très difficile, même que notre ami ne sort pas de sa chambre de toute la matinée…

Aussi il y en a une qui doit être en train de se faire du souci. Parions qu’elle ne va pas tarder à aller voir sur place ce qu’il se passe… la curieuse…

(Au risque de se prendre un doigt… .ben, là où vous savez… humm, pourquoi pas !).

. Ah ! L’Amour… Vous savez bien !… …

20/03/2024

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 36 – Le guet-apens… par Verdon

  1. Sacha dit :

    Le chien, le meilleur ami de la femme ! Whaf Whaf

  2. Harivel dit :

    Tiens l’ami Verdon tâte un peu de zoophilie et ce n’est point pour me déplaire

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