Martinov 26 – Les sculptures incas – 13 – Partouze parisienne par Maud-Anne Amaro
L’affaire ne traîna pas, à peine une heure plus tard la maréchaussée, munie d’un mandat de perquisition faisait irruption dans le pavillon des Laurensot, confirmait l’objet du délit et menottait Camille en lui énonçant ses droits.
– Tu vis seul ici ?
– Euh…
– C’est pas une réponse !
– Y’a mes frères, mais ils n’ont rien à voir avec tout ça.
– Sont où ?
– En courses à Alençon
– Reviennent quand ?
– Devraient pas tarder, mais je vous dis, ils n’ont rien à voir avec tout ça !
– Ta gueule !
– Pourriez être polis.
Les gendarmes attendirent patiemment le retour de Raoul et de Louis Laurensot, puis embarquèrent le trio après avoir posé les scellés d’usage sur le pavillon
Gérard est garé sur le bas-côté de la départementale, quand il voit les gendarmes repartir pour Alençon avec les trois prévenus il téléphone à son ami Suchet à la brigade des stups :
– La gendarmerie d’Alençon vient d’arrêter trois abrutis à Vertgland dans l’Orne, si tu pouvais t’arranger pour que l’affaire fuite bien comme il faut dans la presse.
– T’inquiètes, on sait faire !
Il téléphone ensuite à Martinov :
– Mission accomplie, leur cave était pleine de statuettes fourrées à la cocaïne ! Les poulets les ont embarqués !
– Quelle efficacité, je n’en reviens pas !
– Un peu de chance, un peu de métier !
– Je ne sais comment te remercier !
– Laisse tomber, on passera très bientôt vous faire un gros bisou.
– Avec plaisir !
Devant les enquêteurs Camille Laurensot adopta une attitude curieuse, déjà il tenta contre toute évidence de dédouaner ses frères, il reconnut les faits, mais usa de son droit au silence quand on lui demanda le nom de son fournisseur et ceux de ses clients.
– J’ai fait ça pour la bonne cause, il me fallait de l’argent pour servir mes amis extraterrestres.
– Tu arrêtes de te foutre de notre gueule !
– C’est pour cela que j’invoque mon droit au silence puisque vous me paraissez incapables de comprendre mes motivations.
Louis ne nia rien mais expliqua qu’il était sous l’emprise de son frère. Quant à Raoul, il se mit à grogner et à insulter les enquêteurs.
L’AFP ne tarda pas à publier un communiqué repris en chœur par les médias dès le lendemain.
Au clos des Merisiers l’ambiance est électrique parce qu’Arsène Chamoulet vient juste de rentrer de son escapade québécoise. Son arrivée en taxi n’étant pas passée inaperçue, c’est toute la petite famille qui lui tombe dessus à bras raccourcis.
– Ah te voilà, toi ! C’est super sympa de nous avoir laissé dans la merde pendant huit jours ! Lui balance Hélène.
– Ben quoi ? Vous devriez être content, je vous ai soulagé de ma présence puisque vous vous êtes mis en tête de soutenir les deux escrocs.
– Moi j’appelle ça de la lâcheté ! Intervient Fanny.
– Toi, la pute on ne t’a pas sonné.
– La pute, tu as été bien content de la trouver quand tu lui pelotais les fesses.
– Tu fantasmes de trop, ma grande !
– Quand même tu aurais pu nous passer un coup de fil. Reprend Hélène, ton téléphone était toujours sur répondeur…
– J’avais pas envie d’être dérangé.
– Bon en attendant, je refuse de rester dans ce patelin, ça devient invivable, tout le monde nous fait la gueule.
– Faut peut-être pas exagérer…
– Je n’exagère pas, si tu veux rester ici ce sera sans moi !
– Et sans nous ! Ajouta Fanny,
– Toi je t’ai dit de te taire. Vous me faites tous chier, je vais faire un somme. Le décalage horaire ça tue.
Gino parvint malgré tout à le convaincre d’écouter le récit des évènements de la semaine.
Arsène ne fit aucun commentaire et s’en alla ronfler.
Quand il réapparut, la nouvelle de l’arrestation des frères Laurensot qui faisait la une des commérages n’était pas encore parvenu à la famille… dame puisque personne ne leur adressait la parole !
Toutes les tentatives pour lui mettre sous le nez la gravité de la situation se heurtèrent à une fin de non-recevoir.
– On attend des nouvelles de Monsieur Martinov et ensuite on se barre ! Déclara Hélène à l’intention de Fanny et de Gino.
– On se barre où ? Demande ce dernier.
– J’ai une copine qui a un grand studio, elle n’est jamais chez elle, toujours en vadrouille, elle acceptera de nous le prêter en attendant qu’on se trouve une location, intervint Fanny,
Les journalistes attirés par l’événement comme des mouches sur du miel ne tardèrent pas à envahir la paisible bourgade de Vertgland. Les habitants du coin n’y comprenaient rien avant que la rumeur prenne forme et enfle : les Laurensot seraient des trafiquants de drogue.
Personne n’y croit
– C’est un coup monté !
Les journalistes interrogent le maire ;
– Et la présomption d’innocence, Vous en faites quoi ?
– Ils ont avoué, monsieur le maire !
– Pfff, on peut faire avouer n’importe quoi à n’importe qui !
Mais deux heures plus tard le discours changeait du tout au tout,
– On est tous choqué, jamais nous n’avons rien soupçonné, les frères Laurensot nous ont bluffé, nous ont trompé, je suis écœuré, je n’ai rien d’autre à ajouter
Quant au brigadier Michel, il étala sa mauvaise foi sans aucune vergogne.
– On se doutait bien qu’il faisait des trucs bizarres, ces gars-là étaient trop lisses pour être honnêtes, mais on n’a jamais rien pu déceler de suspect dans leurs comportements. Ils cachaient bien leur jeu, mais on aurait fini par les coincer.
Lundi 8 mars
Le professeur Martinov et Béatrice se rendent à Vertgland dans ma matinée, c’est Arsène qui les accueille de mauvaise grâce :
– Vous êtes encore là vous ? Se gausse-t-il.
– On dirait bien ! Répond Béa.
– Eh bien tant pis !
Et il s’en va on ne sait où tandis que la petite famille rapplique.
Après les bisous de bienvenue d’usage, Béatrice prend la parole :
– Je suppose que vous êtes au courant ?
– Au courant de quoi ? Y’a du nouveau ? Demande Hélène.
– Les frères Laurensot ont été coffrés, ils trafiquaient de la drogue
– Non ?
– Si ! Et c’est donc la fin de vos ennuis !
– C’est déjà ça, mais on ne va pas rester, tout le monde nous fait la gueule, tout à l’heure je suis allé faire des courses à la supérette, je dis bonjour, on ne me répond pas, la patronne me regardait comme si j’avais assassiné tous les gosses de la région, ça cancanait à voix basse pendant que je choisissais mes produits, et après ni merci, ni aurevoir ! Tu crois vraiment que je vais supporter ça longtemps ? C’est quoi la solution ? Faire toutes mes courses à Alençon y compris le pain.
Du coup ni Martinov ni Béatrice qui n’avaient pas envisager que les choses aillent jusque-là ne savent répliquer.
– Vous savez où aller ? Demande Béa.
– On a une solution provisoire, répond Fanny
– Et monsieur Chamoulet, il est d’accord ?
– Qu’il soit d’accord ou pas, on se barre !
Tout le monde rentra ensuite afin de boire un café, l’ambiance était morose comme vous pouvez le penser
– Je vais essayer un truc. Dit soudain Béatrice en sortant son téléphone portable.
Elle cherche le numéro du maire et le compose.
– Bonjour monsieur le maire, serait-il possible de vous rencontrer brièvement ?
– Hum, si vous êtes journaliste, ce n’est même pas la peine, ça fait dix fois que je raconte la même chose, maintenant c’est fini, ce sera silence radio !
– Mais je ne suis pas journaliste !
– Vous êtes quoi alors ?
– Conseillère juridique.
– Et l’objet de votre demande d’entretien ?
– C’est un peu délicat par téléphone, je préférerais vous rencontrer je n’abuserai pas de votre temps…
– Fanny, prête-moi un truc un peu sexy, ça va m’aider !
– Très sexy ou un peu sexy ?
– Un peu sexy, genre, moulant…
Évidemment quand le maire découvrit sa visiteuse, Il l’a reconnu :
– Vous !
– Ben oui, moi, mais ressaisissez-vous, je ne vais pas vous manger !
– Vous voulez quoi ?
– Je peux m’asseoir ?
– Je vous demanderais d’être brève.
Béatrice n’étant pas invité à s’assoir, le fit d’autorité.
– Ma requête est simple, monsieur le maire, la famille Chamoulet a été harcelé par les frères Laurensot. On sait aujourd’hui à quelles activités illicites ils se livraient…
– Oui bon, et si vous en arriviez aux faits ! S’énerve l’édile.
– La population a pris fait et cause pour les Laurensot considérant les Chamoulet comme des pestiférés…
– Faut peut-être pas exagérer non plus.
– Je n’exagère rien, ces gens ont subi un grave traumatisme…
– Tu parles !
– Bon, est-ce qu’on pourrait se parler cinq minutes entre gens intelligents ?
– Vous allez vous décider à me dire ce que vous êtes venu faire dans mon bureau.
– Monsieur le maire, je suis prête à pardonner votre agressivité, en tant que premier édile de la ville, je pense que vous avez le souci que vos concitoyens vivent en bonne harmonie.
– Pfff…
– Un simple communiqué de votre part rétablissant la vérité serait, sans doute de nature faire taire les animosités…
– Autrement dit vous êtes en train de me dire ce que je dois faire !
– Non…
– Sortez de mon bureau, cet entretien est terminé !
– On ne peut vraiment pas discuter ?
– Sortez, et ce n’est pas la peine de me faire des effets de buste. J’ai horreur des putes et des gros nichons
– Connard !
Voilà ce qui s’appelle un entretien foiré.
Après tout entretien conflictuel vient souvent l’esprit d’escalier. Et s’il est présent chez Béatrice, il devient obsessionnel pour le maire sur l’air de « j’aurais dû dire ceci, j’aurais dû répondre cela… »
« On ne sait jamais à qui on a affaire… cette famille Chamoulet me semble avoir des appuis, il ne faudrait pas qu’une campagne de presse me tombe sur la gueule ! »
Béatrice est de retour au Clos des Merisiers :
– Je reviens de chez le maire, j’ai essayé de discuter, mais ça n’a même pas été possible, ce type est vraiment un gros connard.
– On partira demain, annonce Fanny. On va prendre juste quelques affaires, pour le reste on verra plus tard.
– Et votre beau-père ?
– Il se trouve bien là !
– La situation va être un peu délicate.
– Nous le savons, reprend Hélène mais comment faire autrement ?
– En restant digne, en ignorant les imbéciles, en montrant que vous êtes plus intelligent qu’eux ! Reprit doctement Martinov
– Belle théorie, professeur, je ne voudrais pas vous vexer, mais je me sens incapable de faire ça ! Répondit Hélène
La discussion s’éternisa un bon moment puis la cloche de la grille retentit.
Une femme que personne ici ne connaissait était devant le portail suivie à quelques mètres de distance d’une petite compagnie poussée par la curiosité. Hélène s’approcha.
– Annie Bouriffet, première adjoint au maire, nous faisons le tour des habitants pour vous convier à une réunion publique avec Monsieur le maire, ce soir à 19 heures dans l’arrière-salle de la superette. Il y aura aussi un apéritif. Nous comptons sur votre présence.
– Vous comptez sur ma présence ? Je rêve ! Répondit Hélène en rebroussant chemin.
Petite concertation après le départ de la dame, Les Chamoulet n’ont aucune intention de se rendre à cette réunion. Béatrice et Martinov se propose d’y aller… pour voir.
La réunion fut brève…
– Mes chers concitoyens, commença le Maire, notre paisible bourgade est encore aujourd’hui sous le choc. Sous le masque d’honnêtes citoyens, et donateurs de surplus, se cachaient donc d’ignoble crapules…
– Ouh, ouh ! Hurlent quelques excités
– Ces évènements ont créé parmi nous un véritable traumatisme. Nous devons tous nous ressaisir, c’est pour cela que je vous propose de participer à une fête qui sera celle de la fraternité et de la réconciliation, Nous devons nous montrer unis et solidaires, nous sommes une grande famille.
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Nous pourrions faire ça dimanche, il faudra venir avec les enfants, que ces dames nous fassent des petits gâteaux, et nous allons commander des tas de ballons gonflables, ce sera une belle fête !
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Des questions ?
– J’ai une idée, on pourrait faire un jeu de chamboule-tout avec les noms des frères Laurensot sur les boites de conserves. Intervient un quidam.
– Oui, oui ! Crie la foule.
Béatrice et Martinov ne surent jamais si cette proposition farfelue reçu l’agrément du maire, puisqu’ils quittèrent la salle à ce moment-là.
– Alors ? Demanda Hélène à leur retour.
– C’est n’importe quoi, le maire prévoit une fête avec des petits gâteaux et des ballons gonflables…
– Il pense que ça va arranger quoi ?
– Je n’en sais rien !
– Il fait ça quand ?
– Dimanche !
– On sera barré, mais tenez, voilà notre adresse provisoire à Paris, seriez-vous libre dimanche ou un autre jour, nous ferons la fête entre nous !
– Avec plaisir ! Dimanche se serait bien ! Répondit Béatrice, et toi Martinov.
– Excellente idée !
– Et si Maitre Canaval est libre, elle sera également la bienvenue
– Je lui fais passer le message. Répondit Béa.
Dimanche 14 mars
C’est dans un grand studio du 18ème décoré de façon très « design et tape à l’œil » que la famille Chamoulet accueille Béatrice et le professeur Martinov. Famille Chamoulet sans Arsène évidemment mais Hélène, Fanny et Gino sont bien là… le clébard aussi… ça promet…
Hélène est très élégante avec sa petite robe noire, très décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. Fanny est vêtue d’une jupe en jeans « à ras du cul » et d’un tee-shirt blanc très fin, tellement fin que l’on voit ses tétons pointer en dessous, car elle n’a pas mis de soutien-gorge.
Béatrice a fait simple, pantalon blanc cassé et chemisier vert olive, mais elle prend soin en retirant son imperméable de déboutonner « un peu trop » ce ravissant chemisier.
Ces braves gens prennent l’apéritif en attendant Maître Sophia Canaval qui arrive avec un peu de retard mais avec un gros gâteau ! Evidemment son tailleur « pied de poule » jure un peu avec l’accoutrement de ces dames…
Elle en retire la veste, et imitant Béatrice, elle déboutonne légèrement son chemisier blanc…
Autrement dit « la couleur est annoncée » ! On attend plus que le déclic… Mais ça ne vient pas tout de suite, ces dames sont bavardes… et gourmandes… On papote un bon moment jusqu’à ce que Fanny qui vient de finir sa part de gâteau, se lève en se dirigeant tout de go vers l’avocate.
– J’adore ton chemisier ! C’est de la soie ? Demande-t-elle candidement en plongeant sa main dans le décolleté.
– Mais tu me pelotes les seins, là ! Fait semblant de s’offusquer Sophia.
-Tu n’aimes pas ?
– Je n’ai rien contre mais que vont dire ces messieurs dames ?
– Ces messieurs dames vont se rincer l’œil où même peut-être faire des choses cochonnes. D’ailleurs regarde :
Effectivement, à l’autre bout de la pièce, Gino a dépoitraillé Hélène et lui agace les tétons.
– C’est sa mère qu’il pelote ? Demande naïvement Sophia, puisqu’elle connait déjà la réponse.
– On dirait bien ! Mon mari est un cochon, il baise sa maman, il baise les hommes… mais je l’adore. Embrasse-moi !
Et les langues se mélangent tandis que les tétons sont devenus durs sous l’action des doigts.
Quant à Béatrice et Martinov, ils se contentent de mater. Vont-ils faire banquette ? Vous vous doutez bien que non, chez lecteurs…
De par un synchronisme involontaire, Sophia et Hélène se font maintenant sucer les pointes des seins par leur partenaire respectifs, cela dure un petit moment…. Puis Gino roule un patin à sa mère tandis que celle-ci fouille dans la braguette de son fils pour en extraire une bite superbement bandée qu’elle branlotte quelques instants avant de la porter en bouche avec gourmandise.
Le professeur Martinov n’en pouvant plus de regarder cette scène est invité par Hélène à la rejoindre, ce qu’il s’empresse de faire. Et voici donc un insolite trio incestueux et bisexuel ou Maman Hélène et le professeur se repassent la bite de Gino… Un Gino aux anges, vous l’aurez deviné.
Béatrice restée seule pour le moment décide se donner du bon temps en solo, Aussi se débarrasse-t-elle de son pantalon et de sa petite culotte et entreprend de se tripatouiller sa chatoune humide.
Voilà une odeur qui interpelle Muzo, le chien des Chamoulet, et le voilà qui arrive sans y être invité et qui tout de go se place entre les cuisses de notre jolie chimiste et se met à lui lécher l’abricot.
– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait ce vilain toutou ? Tu aimes ça, lécher le minou de Tata Béatrice, hein mon gros !
Voici des paroles qui apostrophe Sophia qui n’a jamais assisté à pareille spectacle.
– Oh, mais que fait Béatrice ?
– Ben tu vois, elle se fait lécher par le chien ! Lui répond Fanny comme si la chose allait de soi !
– Ben ça alors ! Mais ce n’est pas dangereux ?
– Meuh non !
– Je n’oserais jamais faire une chose pareille ! Comment peut-on faire ça ?
– C’est tout simple tu écartes les cuisses et tu te laisses faire ?
– Evidemment, dit comme ça ! Tu le fais toi.
– Oui et ma belle-mère aussi !
– Mais vous êtes une vraie famille de dépravés ! Répond Sophia en rigolant.
– Béatrice viens nous rejoindre avec le chien, Sophia a envie d’essayer ! S’écrie Fanny.
– Hé, j’ai jamais dit ça !
Béa s’est relevée, le chien la suit.
– Allez Sophia, retire ton futal, tu vas voir c’est magique !
– Vous êtes des salopes.
– On sait, on sait, Répond Fanny.
– Allez, retire tout ça, le chien il ne va pas te manger !
– Juste pour essayer, alors !
Et quelques instants plus tard, Muzo léchait la chatte de Sophia à grand coups de langue…
– Oh, là là c’est bon ce qu’il me fait… Aaaah… oui mais bon maintenant ça suffit.
Elle repousse le chien, personne n’insiste, personne ne va plus loin pour le moment, on ne franchit pas tous les pas le même jour.
Martinov après s’être bien régalé de la bite de Gino dans sa bouche, lui a offert son cul. Sophia s’est rapprochée pour mieux voir laissant Béatrice et Fanny en tête à tête, ou plutôt devrait-on dire en tête à chatte puisque les deux coquines se sont installées sur le tapis en position de soixante-neuf, se léchant la minouche avec frénésie et se livrant à quelques variations coquines, comme s’introduire un doigt ans le cul ou bien le lécher…
Hélène ne pouvait laisser Sophia regarder seule les deux messieurs se sodomiser, aussi vient-elle lui flatter le popotin qu’elle a dodu et doux.
La main de derrière, finit par passer devant et s’intéresser à la chatoune humide, du coup les deux femmes se font face, s’embrassent et se tripotent et le voilà qui à l’instar des deux autres femmes s’affalent sur le tapis pour venir y chercher leur jouissance.
Ambiance de folie, le chien chemine parmi les couples fornicateurs, mais ne trouvant personne pour s’intéresser à lui s’en va roupiller devant la porte.
Et vous vous doutez bien comment cette orgie s’est terminé, c’est grande bousculade dans la salle de bain dans laquelle tout le monde se presse pour aller pisser. Seulement il n’y a pas assez de place, alors ça se passe à tour de rôle.
C’est Fanny qui est entrée la première et s’assoit sur la cuvette, Hélène vient devant elle et lui pisse dessus en restant debout, Du coup Fanny ouvre la bouche, elle adore le pipi de sa belle-mère. Béatrice est entrée dans le carré à douche et reçoit l’urine de Gino en pleine face.
Mais la vraie surprise vient de Martinov qui n’avait pas encore joui et qui après s’être masturbé énergiquement fait jaillir son sperme sur la généreuse poitrine de Sophia.
Allez venez tous, nous avons un autre gâteau au frigo ! Nous dit Hélène, recueillant l’approbation enthousiasme de la joyeuse bande.
Et si vous le voulez bien, nous retrouverons bientôt Béatrice et Martinov dans une nouvelle aventure
Fin de l’épisode
Suivre les pérégrinations de Béatrice et du professeur Martinov en pleine partouze a de quoi réveiller toutes les quéquettes des lecteurs (et à mouiller les culottes des lectrices)
Encore un excellent récit de l’amie Maud-Anne
On se suce on se lèche, on s’encule, on se pisse dessus, c’est la fête… et en prime on fait venir toutou ! c’est la super fête !!!
La fin d’une belle aventure comme sait si bien les conter cette chère Maud-Anne