Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 3 – Putes en famille

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 3 – Putes en famille

Je n’ai jamais vu ma mère nue, sauf par « accident », je la trouvais même plus pudique que moi, ça me fait drôle de la voir en tenue d’Eve !. Elle est belle, très belle !

– Je sais exactement ce que veut se client, fais-moi confiance me chuchote-t-elle.

L’homme s’est mis à poil à son tour, il a un bite plutôt supérieure à la moyenne, ce qui fait que c’est davantage pratique pour le sucer à deux.

N’empêche que de temps à autre nos langues sont extrêmement proches. Ça me gêne un petit peu, mais apparemment ce n’est pas le cas de ma mère qui ne fait rien pour m’éviter. Et ce qui devait arriver arriva nos bouches finirent par s’unir. J’ai un mouvement de recul.

– Tu aimes ça nous voir nous embrasser ! Dit-elle au miché.
– Oui, voulez-vous un gros patin, léchez-vous les nichons et après j’aimerais vous voir vous gouiner !

Les choses deviennent compliquées mais je ne vois pas comment je pourrais me soustraire à ce baiser profond souhaité par le client. Je roule donc une galoche avec ma propre mère pour la première fois de ma vie.

Mélange de honte et du plaisir de la transgression, je ne sais plus où j’en suis, mais prend le parti de trouver cela agréable.

La mère s’arrange pour me coller son téton gauche devant ma bouche, et c’est presque par réflexe que je me met à téter et à lécher cette délicieuse gourmandise. Elle redescend en suite légèrement afin de s’attaquer à mes propres seins dont les bouts sont déjà raidis par l’excitation. La tête me tourne…

Mais c’est surtout la suite qui m’inquiète, le miché souhaite que l’on se gouine, je suppose que l’on va faire semblant ? Mais comment s’y prend-t-on pour faire semblant sans qu’il ne se doute de rien ?

– Allez-y je vous regarde !

Ma mère me demande de m’allonger, puis elle vient sur moi en position de soixante-neuf. Comment va-t-on s’en sortir ?

Je sens la langue de ma mère sur ma chatte ! Je suis tétanisée, incapable de lui rendre la pareille..

Ma mère se déplace alors et viens me susurrer à l’oreille.

– On ne triche pas, on joue le jeu ! Et au cas où tu n’aurais pas compris, en faisant ça, on ne fait du mal à personne ! Mais si tu veux, oublie que je suis ta mère, ça aidera. Allez je reprends la position.

Oui, c’est ce que je vais faire, en ce moment Molly n’est plus ma mère, mais une pute du Pretty Saloon. Une pute parmi d’autres.

Ma mère à une façon particulière de pratiquer le soixante-neuf. Nous ne sommes pas collées l’une sur l’autre, Non, elle tortille sans arrêt du cul et de temps à autre se redresse en empaumant ses seins.

Et oui, le but de l’opération est d’en mettre plein la vue au spectateur-voyeur. On ne pratique pas l’amour lesbien de la même façon quand quelqu’un a payé pour regarder. C’est priorité au spectacle !

N’empêche qu’en ce moment l’excitation est bien là et le client n’a nul besoin d’en connaître la raison (il ne manquerait plus que ça !)

La chatte odorante de ma mère est sous mon nez, je respire un grand coup, j’avance ma langue ! Ça y est je lèche le con de ma mère… non ce n’est pas mère… Si c’est ma mère… et alors une chatte est une chatte et comme elle vient de me le dire ! On fait du mal à qui ? N’empêche que je me sens salope… mais salope ! Et je lèche.. et je lèche, et ça m’excite ! Ma mère doit être en train de se régaler avec ma propre mouille !

J’ai bien dit que je mouillais, d’ordinaire je reste sèche en chambre… l’insolite de la situation sans doute ! D’ailleurs ma mère mouille aussi, ça doit l’exciter de lécher sa propre fille et de se faire lécher par elle. Quelle salope aussi celle-ci ! On est deux belles salopes !

Ma mère s’active sur mon petit bouton, je n’en peux plus, je vais jouir. Je sens le plaisir monter, je me cambre, je hurle.

– Maintenant, à toi, viens vite ! Me dit-elle.

O.K. je reprends la position, mais elle ne s’est pas bien placée, à moins que ce soit moi… toujours est-il que ce n’est pas sa chatte que j’ai devant ma bouche, mais son anus. Je ne sais quel démon m’a alors poussé à le lui lécher. Je suis en train de lécher le trou du cul de ma mère et cela me trouble considérablement.

Un mouvement de fesse, ma mère rectifie la position… quelque part, c’est dommage… mais ici ce n’est pas mal non plus son intimité est devenue un véritable marécage, je donne de petits coups de langues sur son petit berlingot emmenant ma génitrice au septième siècle en quelques secondes.

On a fini, spontanément on s’enlace, on s’embrasse comme… des putes.

– Eh ben, vous, on peut pas dire que vous faites semblant ! Commente le client
– T’a vu ça, on est des pros, hein ! Lui répond ma mère. Tu veux jouir comment mon biquet, tu veux venir sur moi ou sur Lilly ?
– Je vais t’enculer ! Lui répond-il.
– Y’aura un petit supplément !

Le type va fouiller dans les poches de son pantalon et revient avec une pièce qu’il pose sur la petite table. Pendant ce temps ma mère s’est tournée de façon à lui présenter son joli derrière.

Le gars entre sa bite comme un couteau dans un motte de beurre et commence à labourer la maman qui pousse de « humpfs » et des « fouffs ». Ça ne dure pas bien longtemps, le mec dégouline de sueur et son visage devient rouge comme une écrevisse. Il jouit en soufflant comme un bœuf.

Il ressort sa bite gluante de sperme et d’un peu d’autre chose aussi. Il s’essuie avec un mouchoir, ne se rince pas, se rhabille…

– Alors, ça t’a plus, mon biquet ?
– Vous êtes des belles salopes ! C’était très bien !
– Je te laisse descendre, nous on va se faire une petite rincette.

Il nous salue et disparaît de la chambre, ma mère vérifie que le couloir est désert et referme la porte.

– Bon, on n’a pas trois heures, je te raconte vite fait.

Le récit de Molly

C’était la semaine dernière, j’étais allé derrière le saloon dans la petite cabane pour faire un gros caca, j’aime bien prendre mon temps. Et voilà que j’entends une conversation entre Davy et Konrad, le contremaître de Howard Buchanan :

– Mais enfin t’as pas trouvé plus simple ! Pourquoi tu le fais pas tuer par un desperado, tout simplement. Dit Davy
– Parce qu’il faut un coupable identifié, sinon les gens vont colporter des rumeurs.
– Je ne vais pas sacrifier une de mes filles pour ça, je les aime bien, mes filles. Et puis en plus elles se soutiendront…
– Non, on va faire venir une fille de Norton-City, le gérant là-bas veut se débarrasser d’une nana un peu chiante pour embaucher quelqu’un d’autre.
– Ah, je préfère !
– Donc le plan c’est à peu près ça, tu l’aménageras à ta guise, tu t’arranges pour que la pute monte avec William, une fois en chambre tu tues le neveu et on s’arrange pour accuser la fille. Ensuite procès rapide, puis pendaison, rideau.
– Sauf que je ne suis pas d’accord, moi je suis pas un tueur ! Je veux bien faire un faux témoignage, tout ce que tu veux, mais je ne tue personne !
– C’est quoi le problème ? Tu veux combien en plus ? On t’as déjà donné pas mal.
– Rien du tout, si ça foire, je serais pendu et ça ne me plait pas d’être pendu.
– Tu ne risques rien, voyons !
– Tu ne peux pas m’envoyer une petite main ?
– Non, démerde-toi ! Moins il y aura de témoin, mieux ça passera.

Fin du récit de Molly

– Voilà j’ai évidemment compris que la cible était William Buchanan, et quand je t’ai vu débarquer j’ai compris que ce serait toi la lampiste.
– Il faut mieux que je quitte la ville si j’ai bien compris.
– Le souci c’est qu’il n’y a pas de diligence avant jeudi… mais entretemps je peux te faire cacher en ville, mais si tu refuses de monter avec William Buchanan, il ne t’arrivera rien. Il faudrait mieux éviter le refus direct, non tu dois essayer de t’arranger pour qu’il ne monte pas avec toi.
– Mwais, je vais voir, mais pourquoi le vieux Buchanan veut-il se débarrasser de son neveu ?
– On n’en sait rien, William est apparu comme un cheveu sur la soupe il y a peine deux mois, avant personne n’en avait entendu parler. On ne sait rien de lui, il a l’air amoureux de Kate, mais c’est tout ce que je sais.
– Bon, il va falloir qu’on descende, sinon les tauliers vont se poser des questions. Si tu choisis de partir, tu me le diras discrètement et je te préparerais un petit papier avec une adresse.

En fait je ne sais pas quoi faire. Evidemment que partir serait la bonne solution ! Mais que risque-t-il de se passer maintenant ? Davy devra choisir une autre victime dans son sinistre complot ! Et si c’était ma mère ?

Je comprenais maintenant pourquoi Davy n’avait pas usé de son « droit de cuissage » envers moi : baiser une fille qu’on envoie ensuite se faire prendre en l’accusant d’un crime qu’elle n’a pas commis devait le perturber. Les états d’âmes de ce genre de personnages sont parfois étranges !

Le lendemain je n’avais pris aucune décision, les clients commencèrent à arriver en fin d’après-midi.

Il se déroula alors une scène étrange, un cow-boy, dont j’appris plus tard qu’il était employé chez Howard Buchanan, s’approcha de Kate. Celle-ci toute contente lui fit son petit numéro ou plutôt commença à le faire, car très vite le cow-boy lui balança une énorme gifle qui l’a fit saigner du nez avant de l’insulter copieusement.

Davy sortit alors de derrière son comptoir, armée d’une carabine afin de chasser le malotru, c’est alors qu’un autre type le désarma et commença à le rouer de coups. Bientôt la bagarre fut générale. Les filles s’enfuirent dans leurs chambres, pas moi, paralysée par la peur, je restai cachée sous la cage de l’escalier.

Le saloon s’était vidé, l’un des cow-boy ramassa Davy à moitié assommé, le secoua brutalement.

– Monsieur Buchanan n’aime pas qu’on lui désobéisse, c’est le premier et le dernier avertissement. La prochaine fois que l’autre se pointe, t’es prié de faire le boulot pour lequel on t’as payé et sans bavures.

Inutile de vous dire que ces paroles m’ont fait froid dans le dos, cette fois plus question de tergiverser, je dois partir.

Dorothy s’en va fermer le saloon, puis elle vient s’occuper de Davy et d’un autre bonhomme bien amoché. J’attends qu’elle ne regarde pas dans ma direction et monte l’escalier à pas de loup.

Je frappe discrètement à la porte de ma mère.

– Je me barre, dis-moi où il faut aller !
– Tu vas chez le pasteur, c’est la petit maison qui jouxte l’église.
– Le pasteur ?
– Ne cherche pas à comprendre, aie confiance ! Tu lui dis simplement que c’est moi qui t’envoie et tu lui montrera cette médaille, sinon tu restes dans le vague, tu diras que tu as eu la trouille suite à la bagarre de tout à l’heure. Tu peux aussi avoir confiance en sa femme. Allez, file, fait attention à ce qu’on te suive pas !
– Mais toi…
– Ne t’inquiètes pas, je suis une grande fille, et j’ai un plan, mais chut.

J’ai embrassé maman, j’ai ramassé dans ma chambre les quelques dollars que j’avais gagné, puis je me suis faufilée jusqu’à la porte de derrière.

A suivre

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7 réponses à Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 3 – Putes en famille

  1. Camomille dit :

    Ça m’a bien excité cette histoire

  2. Mathilda Stenberg dit :

    Faire la pute avec sa mère, en voilà un fantasme qui me plait bien !

  3. Sonia Kubler dit :

    Bravo Lena !

  4. Marylu dit :

    Fallait oser ! Elle a osé, ça me plait !

  5. Forestier dit :

    On sentait que ça devait arriver… et c’est très bien raconté !

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