Une bonne partie de Golf… et ce qui suit ! par Jeromedici
Il y a quelques semaines, je me trouvais dans le centre de la France, pour un court périple golfique. Exceptionnellement, j’étais seul. Ni copains, ni copines pour m’accompagner.
La période était parfaite, beau temps, pas trop chaud et, surtout. presque pas de monde.
Comme j’aime faire des parcours seuls, en me mesurant à mes propres scores, cette solitude ne me pesait pas trop.
Un matin où je m’entraînais au practice, deux autres tapis étaient occupés par deux jeunes femmes. Chacun fit un bref salut.
Comme je me trouvais au dernier tapis et que je suis droitier, cela me permettait d’avoir les deux golfeuses dans mon champ de vision. Bien loin de moi l’idée d’une aventure mais j’étais intrigué quand même.
La première devant moi devait avoir entre 22 et 26 ans, pas grande, un peu boulotte, noire de cheveux. Elle avait une belle élégance de mouvement et projetait ses balles à belle distance. Je ne pus m’empêcher d’admirer son jeu, tout en étant attiré (eh oui !) par le mouvement de ses fesses bien moulées dans un jean.
L’autre était toute différente. Grande, longiligne, elle avait un type asiatique prononcé, peut-être eurasienne même. A la voir, je lui donnais entre 28 et 30 ans. Elle avait une chevelure noir jais qui pendait quasi jusqu’à la taille. Elle avait un polo très ajusté qui laissait deviner une poitrine plus abondante que sa taille ne le supposait. En jean aussi, il ne la serrait cependant pas. Mais là, quel jeu ! Une déesse de la balle. Elle avait un visage assez sévère mais des lèvres très maquillées.
J’étais vraiment tombé, par hasard, sur deux bonnes joueuses. Elles ne se connaissaient visiblement pas.
Pour rompre la glace, j’ai été cherché une boisson au distributeur et, à mi-voix pour ne pas troubler leur concentration, j’ai demandé aux deux femmes si elles voulaient également à boire.
La première me répondit aimablement et affirmativement, dans un français où l’accent régional un peu chantant, perçait. Quant à la seconde, sans sourire, elle refusa mon amabilité et continua à s’entraîner. Son accent à elle était résolument anglo-saxon.
Après avoir vidé deux seaux de balles, je me suis apprêté pour faire un parcours, mettant des tees dans ma poche, nettoyant mes balles et classant mes clubs.
Les deux femmes en faisaient quasi de même en même temps et c’est naturellement que nous sommes arrivés ensemble à l’aire de départ du trou n°1.
Pourquoi donc ne pas faire le parcours ensemble ? Bonne question.
Très à l’étiquette sur les parcours de golf, je me suis présenté aux dames et leur ai proposé un parcours commun.
La petite française, très volubile, me répondit :
– Oh ! oui, c’est gentil. Cela me fait plaisir car jouer seule est un peu monotone. Mais, vous m’en excuserez à l’avance, je ne suis pas une excellente joueuse.et je parle beaucoup sur le parcours.
Le tout était accompagné d’un gentil sourire.
Quant à l’asiatique (appelons là comme cela provisoirement !) sa réponse fut aussi brève que son absence de sourire.
– Oui, merci. C’est une bonne idée.
Finalement, on s’échangea nos prénoms. Pierre pour moi, Claudine pour la petite française et My Chan pour l’autre.
Les quatre premiers trous se sont effectués agréablement, nous étions pratiquement de force égale. Claudine ne cessait de babiller de tout et de rien, mais c’était reposant car il ne fallait pas lui répondre !!! L’autre ne sortit pas un mot inutile, se contentant de :
– C’est à vous . ma balle est près de l’arbre. etc.
Au 5ème trou, comme nous n’étions pas suivis par d’autres joueurs nous avons décidé de faire un bref break. J’y ai partagé une tablette de chocolat que j’emporte toujours au jeu.
J’ai été assez surpris de voir mes deux partenaires se parler en aparté et s’éloigner ensemble de quelques pas, avec un « sorry » à mon égard. Les herbes folles du rough étaient très hautes et des épineux longeaient le parcours. J’ai été encore plus surpris lorsque, pas à plus de dix pas de moi, quasi au bord du fairway, les deux donzelles se sont accroupies et ont baissé leur jean pour un pipi. Sans se soucier de moi, comme si je n’existais pas, leur petite culotte s’abaissa aussi.
J’étais comme tétanisé sur place et, malgré ma volonté de gentleman, je n’ai pu détourner mon regard. Faut dire aussi, que mes deux partenaires n’avaient même pas pris la précaution de se retourner et me faisaient face.
Claudine avait une chatte très fournie, châtain foncée et, assez grosse de cuisse, avait largement ouvert ses jambes. Le soleil complice éclairait le beau jet doré que je voyais couler. My Chan me coupait le souffle. Elle avait, en effet, un minou taillé comme un casque d’iroquois. C’est à dire une longue mèche centrale très crépue et le reste de son sexe est épilé ! Plus grande et plus fine que Claudine elle s’était moins accroupie et, d’une main retenait son slip en avant pour ne pas le mouiller. Son jet, que je voyais puissant, provoquait un bruit troublant et agréable à la fois.
Inutile de dire que, malgré mon étonnement, ma verge avait pris une certaine propension à se redresser, si vous voyez ce que je veux dire, et gonflait mon léger pantalon.
Mes deux bonnes femmes se sont réajustées, Claudine se séchant un peu avec son slip tandis que l’autre, en un geste malgré tout très élégant, malgré la situation cocasse, serra ses lèvres vaginales entre ses doigts et les secoua très légèrement avant de réenfiler son slip.
Vraiment je n’avais jamais vu cela !!
Claudine s’approcha de moi et me fit un furtif baiser sur la joue en me disant :
– Excusez-nous, mais nous ne pouvions plus nous retenir. comme les herbes du rough sont hautes, nous avons eu peur des petits serpents et autres bestioles, c’est pour cela que nous sommes restées près de vous. Nous n’osions pas vous le dire ! Vous ne nous en voulez pas ?
Comment répondre à une si jolie excuse, d’autant plus que My Chan, s’approchant de moi, me caressa négligemment les lèvres de sa main qui avait servi à son nettoyage intime. Pas bavarde, mais un peu salope sur les bords ! L’odeur de ses doigts était puissante.
Je mis quelques instant à reprendre mes esprits. Et puis, je me suis dit que cela pouvait être également à mon tour ! J’ai dit :
– Sorry, mesdames !
Et me suis éloigné de quelques pas tout en ouvrant déjà ma braguette et sortant mon sexe. Je me suis retourné et, très ostensiblement je me suis mis à pisser. Ma queue à moitié bandée, accentuait la puissance du jet. Pour bien que mes partenaires ne manquent rien du spectacle, je ne tenais mon sexe qu’avec deux doigts. Elles avaient ainsi une excellente vue sur son agréable dimension. Après quelques mouvements de décalottage du gland, j’ai remis mes ustensiles dans mon pantalon. Revenant vers elle, nouvelle surprise, My Chan, sans un mot, s’était emparée des doigts qui avaient tenu mon sexe et y déposa un petit baiser qui était d’ailleurs plus une lèche !
C’est à ce moment-là seulement que j’ai réalisé que ma solitude ne serait plus longue !
L’atmosphère entre nous s’était libérée (on le serait à moins) et nous discutions sans façon.
Claudine, me raconta :
– Je viens souvent jouer seule ici. Mon mari voyage beaucoup pour ses affaires et j’habite un petit mas à 15 km d’ici. C’est rare hors saison de trouver un partenaire. Cela me fait plaisir de vous avoir rencontré. Si vous restez longtemps, on pourra encore faire quelques parcours.
Je lui répondis que je restais au moins trois jours encore. Finaud je lui ai demandé :
– Et vous ferez chaque fois pipi lorsque nous jouerons ensemble ?
Sa réponse fut sans équivoque :
– Et pourquoi pas ? avec un air mutin dans le regard.
My Chan, plus discrète peut-être me dit :
– J’habite Londres et suis en stage actuellement à la ville proche. Aujourd’hui mon programme de formation ne m’intéressait pas et je suis venu jouer seule, comme je le fais souvent sur la semaine. C’est un stage de 45 jours et pendant ce temps, mon mari est resté en Angleterre.
Voyant de la curiosité dans mon regard elle continua, toujours avec cet accent, mais dans un français châtié :
– Bien que vous ne me le demandiez pas, je vous informe que je suis métisse d’un père français et d’une mère saïgonnaise. J’ai les défaut des deux races ! conclut-elle, cette fois en riant franchement.
A l’issue du 18ème trou, après la bise de remerciement traditionnelle, j’ai proposé de boire un verre au club-house. Accepté avec enthousiasme !!
Nous étions maintenant devenus amis et cela laissait présager de bonnes autres parties de golf. et pourquoi pas plus !
Claudine dit à un certain moment :
– Oh là, il est déjà 16 heures et je dois absolument être à la maison à 17 heures pour le plombier. Je prends vite une douche et je me sauve.
My Chan regardant aussi sa montre déclara péremptoirement :
– Pour moi, aussi vite une douche et puis retour car j’ai un briefing ce soir.
C’est donc ensemble que nous sommes descendus à la salle de douche, déserte à cette heure. Les dames d’un côté et moi de l’autre !
A peine nu, je me suis dit qu’il ne fallait pas perdre de temps et, franchissant la porte, je suis rentré dans le vestiaire des dames. Mes deux copines étaient déjà sous la douche et se savonnaient mutuellement. Un petit cri d’effroi en me voyant puis un seul mot sorti en même temps des deux bouches :
– Viens !
Il n’a pas fallu me le dire deux fois !!
Nues, elles étaient encore plus adorables. Claudine était plus potelée que boulotte et l’exercice avait durci ses muscles. Elle avait des seins assez gros, légèrement tombants, avec une aréole sur dimensionnée et de délicieux boutons, curieusement roses et très proéminent. Sa chatte, que j’avais aperçue sur le parcours était très abondante et dans son état nature. Sa pilosité remontait en flèche un peu bouclée vers son nombril. C’était un beau brin de femme.
Quant à My Chan, c’était une splendeur. Sa peau était entre le jaune foncé et le brun, avec des reflets cuivrés aux endroits mouillés par l’eau de la douche. Ses seins tenaient sans artifice et avaient, au vu, sûrement un 85 C. En poires, ils se terminaient par deux petits boutons noirs dressés. C’était du marbre rare, sculpté par un maître de génie. Elle avait des muscles longs que l’on voyait jouer sous sa peau et un ventre plat. Un cul légèrement callipyge rehaussait l’érotisme animal qui émanait d’elle. Sa chatte, que j’avais devinée mi-épilée était particulière. Probablement dotée d’une pilosité abondante et longue, elle avait laissé intacte une bande centrale, bien découpée de 4 cm de large. Elle partait, longue, drue et légèrement crépue, de quasi au nombril pour se perdre dans sa raie fessière. C’était hallucinant de beauté.
La douche était vaste et nous y étions à l’aise à trois. Finalement nos trois corps n’en formaient plus qu’un tellement nous étions enlacés sous l’eau coulante. Nos mains, sous des prétextes de savonnée, parcouraient tous les endroits secrets et se rencontraient parfois pour, ensemble, encore mieux connaître. Je sentis bien que s’il y avait entre nous une évidence complicité sexuelle, il ne fallait cependant rien brusquer et plutôt laisser l’initiative à mes compagnes. J’avais ainsi senti un refus lorsqu’un de mes doigts avait voulu s’infiltrer dans l’anus de l’une des deux (le plus beau, c’est que j’ignorais laquelle). Nos bouches cependant étaient mêlées et nos trois langues voltigeaient à qui mieux mieux de lèvres en lèvres. Je constatai avec plaisir que les filles, entre-elles, se bécotaient aussi avec ardeur. Inutile de dire que je bandais et que des mains habiles me parcouraient et entretenaient mon érection. J’avais facile pour caresser et reconnaître les minous offerts à mes explorations car la différence de pilosité était notoire. A un moment, mes deux compagnes avaient le corps fortement cambrés en arrière et chacune de mes mains était occupée à caresser les boutons d’amour. Claudine, très classiquement, avait un bouton assez petit mais qui vibrait sous mes doigts. Son bassin suivait mes mouvements et, à sentir son intérieur, elle avait beaucoup de plaisir et ce n’est certes pas l’eau de la douche qui provoquait son humidité.
My Chan, poussait son ventre en avant comme pour mieux m’offrir encore son intimité. Bien caché dans sa bande poilue, j’ai senti un petit cylindre doux et dur à la fois, sûrement de 4 cm de long. C’était comme un petit sexe bandé. Il se plaisait à mon toucher et je sentais son durcissement encore s’accentuer alors que, sans trop de peine, je lui ai enlevé son petit capuchon. Nul doute que rasée complètement, sa chatte aurait laissé dépasser cet attribut quasi masculin. D’un vif mouvement, ma compagne se redressa, bloquant ainsi ma main entre ses cuisses et elle se mit à me mordiller le lobe de l’oreille, quasi à me faire mal. C’était maintenant sa main qui s’activait sur moi et tripotait, je ne trouve pas d’autres mots, ma verge comme si c’était son jouet préféré.
Claudine occupait ma bouche libre et jouait avec sa langue au papillon de nuit prit de folie à la lumière du jour.
My Chan avait cessé de me mordiller l’oreille mais se déchaînait en paroles :
– Je suis une salope. sois salaud avec moi. Fais-moi tout. Je vais te sucer à en mourir et tu vas me lécher à t’user la langue. Je vais te boire.
J’en passe et sûrement des meilleures.
Claudine en avait profité pour s’accroupir devant moi et elle avait englouti ma queue au plus profond de sa gorge. Elle pompait avec une énergie incroyable et, très habilement, elle comprimait la base de ma hampe pour m’empêcher de jouir. C’était dantesque et je ne savais où donner de la tête .
Presque avec violence, l’autre partenaire fit reculer Claudine et s’empara elle-même de ma queue. En quelques coups de langue elle me fit arriver à l’explosion et c’est avec extase que je me suis libéré de toute ma semence dans sa bouche qui en dégoulinait.
J’allais vraiment de surprise en surprise avec elles car je vis My Chan, la bouche pleine, se mettre à embrasser goulûment Claudine et partager ainsi avec elle tout ce que je lui avais donné. Je n’avais pas lâché les deux corps et, à un certain moment, je me suis demandé si ces deux femmes ne se connaissaient pas déjà avant !!
Tout à coup, l’une s’est exclamée :
– Merde, tu as vu l’heure. faut qu’on se sauve !
J’ai juste eu le temps de les inviter à dîner car je restais sur ma faim (sexuelle). My Chan refusa arguant d’une réunion de travail mais promettant pour le lendemain tandis que Claudine accepta avec joie. Rendez-vous fut pris pour 20 heures chez elle. Elle dénicherait elle-même un resto sympa.
A 20 heures, j’étais évidemment chez elle. Elle m’attendait pratiquement sur le seuil et ne me fit pas rentrer (pour les voisins m’avoua-t-elle après !) Elle avait revêtu une jolie petite robe bleue boutonnée devant et avec un col en V assez échancré.
Assise dans ma voiture, elle me fit un baiser rapide mais profond qui me fit bien augurer du reste de la soirée.
Le resto qu’elle avait choisi se trouvait à 20 km. Nous avions bien le temps et je ne roulais pas vite. Les routes étaient quasi désertes. Elle s’était blottie contre moi et sa robe un peu relevée me montrait le début de ses cuisses. Sa main qui s’était posé immédiatement sur le haut de ma cuisse me pétrissait le muscle et, tout doucement, remontait vers mon entre-jambe qu’elle se mit à palper avec beaucoup de douceur. D’une main, elle avait commencé à déboutonner sa robe et bien ouverte, me laissait voir un délicieux slip de dentelles moulant bien sa chatte et un soutien balconnet.
Je devais faire attention à la route mais je ne pus empêcher ma main droite de se blottir tout contre son pubis et de sentir déjà l’humidité qui n’allait pas tarder à tacher son entre jambes.
Sans se gêner, elle avait sorti ma verge et jouait avec elle de ses doigts mobiles. De mon côté je m’étais glissé sous son slip et nouait ses poils autour de mes doigts. A la sentir mouillée, elle devait déjà avoir atteint son orgasme au moins une fois.
J’ai dû m’arrêter car cela devenait trop dangereux de conduire ainsi et un parking boisé et désert semblait être là pour notre conclusion.
C’est comme deux fous que nous nous sommes enlacés. J’ai presque déchiré son slip pour arriver mieux à la totalité de sa chatte et y fourrager sans beaucoup de délicatesse. Prise de frénésie amoureuse, elle avait largement ouvert ses cuisses me permettant vraiment un contact dans toute son intimité. Son soutien avait valsé et ma bouche errait comme un bateau en perdition, d’un sein à l’autre.
Changeant de position, elle se mit à quatre pattes sur le siège passager, offrant à ma bouche son cul somptueux. Je me suis empressé de lui caresser l’œillet ainsi offert et d’introduire ma langue dans son minou. Elle ne demandait que cela et glapissait comme tout un troupeau de poules dans l’attente du coq.
– Sortons, sortons ! Hurla-t-elle.
C’est debout contre la portière que je m’introduisis en elle. Elle avait la robe ouverte, quasi nue et avait fortement relevé une jambe pour permettre ma pénétration. Sa bouche bavait sur la mienne et malgré l’inconfort, son bassin allait au-devant du mien, dans le même mouvement.
Cela ne dura pas assez longtemps, mais nous ne savions plus attendre . L’explosion fut quasi en même temps.
Claudine me dit :
– Mon chéri, cela fait longtemps que je n’ai plus joui ainsi. Merci. Tu sais, j’avais grand besoin et lorsque j’ai fait pipi devant toi sur le parcours de golf, c’est parce que j’avais déjà envie d’un homme. La vue de ta queue m’a fait déjà jouir dans mon slip. Alors tu comprends qu’à la douche, je me suis déchaînée. Maintenant, allons dîner, on fera l’amour comme tu le veux après. Méfie-toi, je suis insatiable ! conclut-elle en riant.
Avant de remonter en voiture, elle a fait un long pipi sur le parking, prenant ma main pour dégouliner dessus et se faire caresser pendant que cela coulait. J’aimais assez cela ! Cela promet.
Jeromedici. Première publication sur Vassilia, le 17/06/2001
C’est vraiment très bon, avec un montée de l’érotisme parfaitement maîtrisée. Du must !
Un classique de l’uro qui est toujours un ravissement à (re)lire
Délicieux dans tout les sens du terme ! A consommer sans modération
Trop belles pour être honnêtes. Il ne manque qu’une Porsche, un abonnement au rotary club et une soirée jetset. Pour moi le golf est un sport de snob.
C’est vraiment petit comme critique