Lavement par James01

Lavement par James01

Bonjour, c’est moi James qui vient vous narrer une autre de mes aventures sexuelles. J’habite avec Isabelle, ma femme et Marie, ma mère dans une fermette à la campagne.

Ceux qui ont lu mes précédentes aventures savent que depuis son accident dont elle est actuellement remise, je baise avec ma mère, et j’en suis fort satisfait car c’est une excellente suceuse de bites Nous partageons tous les plaisirs les plus fous et les plus extrêmes. On a exactement les mêmes envies, les mêmes goûts pour le cul, elle est très salope, très chienne et elle est restée une très belle femme. Moi j’étais comblé par tous ses désirs.

Mon épouse n’est pas jalouse et ne dédaigne pas de lécher le minou de ma mère et le reste quand ça lui prend.

Ce dimanche, Isabelle était partie au bois faire quelques passes afin d’arrondir nos fins de mois, et ma mère était partie chiner à la brocante au bourg voisin

– J’ai une belle surprise ! M’annonça-t-elle en revenant

Elle déballa alors son sac et je découvris tout l’attirail complet pour un lavement, avec le broc, le tuyau, la canule, enfin tout, et elle me dit « c’est pas fini, vient ». On est allé dans une pièce adjacente qui nous servait de vestibule, où était installée une table de génécologie réglable en hauteur, avec ses étriers, qui nous avait servi lorsque ma mère avait été accidenté.

Nous n’avons pas perdu de temps, je me suis mis nu, je suis monté sur la table, ma mère a positionné mes jambes dans les étriers, a descendu un peu la table, et elle m’explique ce qui va m’arriver :

– Je vais commencer à te faire un lavement avec mon pipi !

Elle me mit de l’huile sur la pastille, pris le broc au-dessous d’elle, s’accroupit et se mit à pisser une très grande quantité. Elle vint derrière moi, doucement entra la canule, très longue, dans mon cul, accrocha le broc plus haut, et ouvrit le petit robinet. J’ai immédiatement senti le bonheur m’envahir, je sentais son pipi chaud envahir mon corps, j’étais aux anges, quel délice de se faire remplir le cul comme ça. Je bandais très fort et ma mère était aussi très excitée à la fois de me voir dans cette position devant elle et de savoir que je gobais son urine par mon cul. :

– Mon salaud tu vas tout prendre dans ton cul et j’espère que tu vas le garder un peu avant de le faire ressortir sur moi !

Elle me suçait en même temps et triturait mes tétons. Elle enleva doucement la canule et me lécha copieusement le cul d’où de temps à autres sortait un peu de liquide chaud.

– Hum, c’est bon de te lécher le cul et de boire mon pipi en même temps, reste comme ça, je vais t’enculer avec le gode-ceinture

Elle se le mit, régla encore la table, mis de l’huile dans mon cul et sur sa bite en plastique et me pointa. Quand elle rentra le bout une grosse giclée est sortie de mon cul, elle a enfoncé son engin en moi et me ramonait en me disant

– James, tu es bon par le cul, j’adore et en plus tu mouille du cul, c’est trop bon, laisse-toi faire, oui continu de couler c’est encore très chaud, c’est bon .

Elle m’a enculé durant au moins 10 mn, puis elle est sortie.

– Vite met une bassine derrière moi, je peux plus me retenir ! Réclamais-je.
– Non viens avec moi !

Je suis descendu en lâchant encore quelques giclées et en serrant les fesses, et nous sommes allés dans la salle de bain. Elle s’est mise allongée dans la baignoire, la tête bien au fond, je me suis mis à cheval sur les rebords au-dessus de sa tête.

– Lâche toi mon chéri, donne-moi tout ce que je t’ai introduit dans le cul.

C’est parti d’un coup en plein sur son visage, et je peux vous dire que j’étais pas avare de son liquide, le tout mélangé à du caca.

Elle en était couverte, ses cheveux, son visage, ses seins, son ventre. Elle s’est assise dans la baignoire, elle a ramasse une petite crotte et la mise dans sa bouche pour la sucer comme un délicieux bonbon

– Tu m’as pas loupé, mais c’était si bon de te voir au-dessus de moi faire sortir tout ce que tu avais dans le cul pour moi, embrasse-moi, viens gouter dans ma bouche, regarde ma langue est toute cacateuse.

Je l’ai embrassé avec ma langue et j’ai pu apprécier le goût de son pipi mélangé au jus de mon cul.

– Maman tu me rends fou de plaisir, tu as toujours des idées géniales qui me font bander comme un fou, je t’aime, je t’adore !

Sans s’être nettoyée, elle prit place sur la table de génécologie. Je lui bouffais la chatte et le cul tout écarté. Je bandais, mon pieu était dur comme de l’acier, je suis entré dans sa grotte chaude en faisant couler de l’huile sur son clito et toute sa chatte et en lui demandant de se branler. En se branlant et en gémissant de plaisir.

– Oh ! Mon chéri, je peux pas me retenir, je vais faire caca, hoooo ouiiii regarde-moi, ouiiiii ! S’écria-t-elle

Je me suis retiré et je l’ai regardé faire un énorme étron qui s’est posé sur la table. Je l’ai pris dans ma main, je l’ai un peu léché et l’ai posé délicatement entre ses gros nichons laiteux.

– Quel beau caca, tu viens de faire. Regarde-le pendant que je te baise, sent le oui !

Je me suis alors enduit la bite avec un peu de merde et lui ai donné à lécher. Elle s’est régalé ma maman

Puis, je suis rentré à nouveau dans sa motte trempée et tous les deux regardions ce cadeau que j’avais déposé sur son torse si beau. Elle mouillait comme une chienne en chaleur et j’ai fini par lui lâcher ma semence au fond de sa chatte baveuse alors qu’elle se faisait jouir en se branlant.

Un bruit de moteur, c’est Isabelle qui rentre et qui va directement faire pipi aux toilettes.

– Tout va bien, chérie ? Lui demandais-je
– J’ai fais deux passes, un type que j’avais déjà fait la semaine dernière et un autre. C’était cool.

Et la voilà qui vient nous rejoindre.

– Oh, mais on dirait que vous avez fait des cochonneries tous les deux ! Et c’est quoi cette merde ?

Elle y met les doigts, puis les approche de sa bouche.

– Hum, c’est délicieux, ça ! Ça me donne une idée, j’ai comme une petite envie, allonge-toi belle-maman, je vais te chier dans la bouche.

Je me régalais alors du spectacle de ma petite pute pondant un long boudin dans le gosier de ma génitrice.

Puis Isabelle s’approcha de moi, me fit un clin d’œil avant de se mettre en levrette, cambrant magnifiquement son cul merdeux.

Ma bite n’eut aucun mal à entrer dans son cul, lubrifié à la merde…

Bon, c’est pas tout ça, mais maintenant faut préparer à manger !