Confessions lesbos
Sophie dans le métro
Je m’appelle Sophie, j’ai 24 ans et je suis brune aux cheveux longs. Très brune, avec un système pileux assez développé, puisque j’ai même des poils sur les avant-bras et ne fait pas grand-chose pour les dissimuler.
Il faisait chaud ce jour d’août, je portais une jupe stretch beige et un chemisier. Et le monde entrait et entrait toujours dans ce métro bondé.
Je suis debout tenant une barre pour ne pas tomber quand je remarque une femme, la quarantaine, qui me regarde fixement. Elle me fait carrément de l’œil ! Elle passe et repasse lentement la langue sur ses lèvres ! Encore une vieille lesbienne, pensais-je !
Elle se lève, s’approche de moi et me demande mon âge dans l’oreille.
– 24 ans, madame ! Répondis-je par réflexe
– Ecoute, me dit-elle, j’aime les jeunes femmes comme toi, réponds-moi dans l’oreille franchement à mes questions et je pourrais être très généreuse !
J’avais besoin d’argent et je répondis : « ok ! »
– Tu portes quoi sous ta jupe ?
– Une culotte en dentelle blanche.
– Est-elle transparente ? Réponds, tu m’excites !
– Oui il y a du lycra devant.
– Réponds-moi, est-ce que ta chatte est bien poilue ? Tu es bien brune, tu dois avoir une belle touffe ?
– Oui madame une grosse touffe !
– Humm et tes seins?
– 95 D madame
– Humm tu me fais mouiller, jeune fille ! Je serais très très généreuse si tu me suis chez moi et que tu te penches bien en avant que je te reluque le cul !
– Ok madame, tout ce que vous voudrez !
Arrivées dans l’escalier de son immeuble elle m’ordonna :
– Monte l’escalier devant moi, penche-toi bien, remontes ta jupe !
Je la remontais, laissant apparaître mes dim-ups et ma culotte moulant bien mon cul.
– Humm, fit-elle, je vois des poils dépasser de ton slip, cochonne ! Baisse-le et cambre-toi bien que je voie ta grosse moule poilue.
Je me penchais à fond, écartant les jambes et je sentais ma grosse chatte noire poilue dépasser de mon cul béant.
– Ahh, quelle grosse moulasse tu as petite pute, entre, je vais m’occuper de toi, et peut-être qu’après je vais appeler toutes mes vieilles copines gouines qui aiment les grosses chattes poilues !
– Si elles me paient, aucun problème.
– Tu es décidemment une petite pute !
– Oui, parfois, madame !
L’inconnue du petit bar par Alice
Alice 31 ans, fausse blonde. J’étais entrée dans ce bistrot du Marais complètement par hasard. Je me dirige vers le bar et demande un demi panaché afin d’apaiser ma soif. Une nana est à côté de moi, assez imposante, visage agréable, la cinquantaine, mais attifée n’importe comment d’un pullover gris à grosses mailles
– Bonjour ! Me dit-elle
Je réponds à son bonjour par simple reflexe de politesse
– Vous cherchez une aventure ? Me demande-t-elle
– Pardon ?
– Vous ne cherchez pas ?
– Je cherche juste à me désaltérer, j’avais grand soif, voyez-vous.
– Alors je vous paie votre verre !
– Y’a pas de raison !
– Si, la raison c’est que vous êtes très belle !
– Vous ne seriez pas en train de m draguer, là ?
– Disons que je tente ma chance, il parait que je lèche bien !
Mais c’est qu’elle me trouble, la goudou !
– Je vais vous laisser ! Lui dis-je en terminant mon verre.
– Vous êtes si pressée que ça ?
Je ne sais pas comment elle s’est débrouillée, mais la voilà qui me caresse le bras… et elle le fait bien.
– Ecoutez, je ne suis pas gouine…
– Personne n’est parfait ! On fait ça aux toilettes ou je t’emmène chez moi.
– Mais enfin …
– T’as la peau douce et j’ai envie de toi, j’habite à 5 minutes. Je vais te faire jouir mieux qu’un homme.
– On dit ça, on dit ça !
– Essaie, ça ne te tuera pas !
– T’es gonflée quand même !
– Allez viens !
Je ne sais pas pourquoi je l’ai suivi, elle devait posséder un magnétisme.
Chez elle les choses n’ont pas trainées, elle s’est collée contre moi et nous nous sommes échangé un long baiser baveux, tandis qu’elle me pelotait ma poitrine. On s’est ensuite mises à l’aise, Pas mal foutue la goudou pour son âge, une jolie poitrine qu’elle m’invita à caresser et à lécher. On a continué sur le lit, on s’est caressé, on s’est léché, on s’est peloté. Et on s’est retrouvé en 69.
Me voilà avec une chatte devant ma bouche, ce n’est pas la première, j’ai dû me livrer à quelques fantaisies de ce genre pendant mes années collèges, mais depuis macache walou ! J’ai peur de passer pour une gourdasse, mais n’empêche que je me régale de cette chatte trempée, Son clito est énorme, on dirait une micro-bite, Ma langue s’en empare et le fait danser, Ma compagne de jeu gémit, je redouble d’efforts, elle pousse un cri. Super, un peu court mais super, n’empêche que j’aimerais bien jouir à mon tour, mais mon inconnue s’y attèle en profitant d’égarer son doigt dans mon petit trou intime et ce fut bientôt mon tour de m’envoler au ciel des amours saphiques.
Porte à porte par Janice
Je ne peux pas me qualifier de nymphomane, mais disons que je suis très portée sur le cul… J’ai eu souvent de torrides aventures avec des amants qui ont su me faire jouir jusqu’à ce que j’en frémisse de tout le corps. Mais bien que cela puisse paraître étrange, malgré que j’aie toujours été satisfaite à volonté dans la vie, mon aventure la plus excitante a été une aventure lesbienne.
Tout a commencé bien banalement… Je faisais du porte à porte pour vendre des encyclopédies. Je frappai à la porte d’une maison et ce fut très long avant que quelqu’un ne vienne répondre. J’étais sur le point de m’en aller quand une femme est venue ouvrir… Qu’elle ne fut pas mon étonnement de voir une femme d’environ 45 ans répondre (moi qui en a 25) et qui portait une robe de chambre attachée assez lâche pour que je puisse voir la courbe de ses seins et son triangle de poils brun foncé. La chose qui m’étonna plus encore fut de constater que ma chatte était excitée et mouillée. La femme m’invita à entrer chez elle… J’étais tellement bouche bée que je l’ai suivi sans rien dire jusqu’à son salon. Mal à l’aise, je commençai à lui expliquer le but de ma visite. Elle ne semblait pas tellement intéressée et pendant que je radotais inutilement, elle défit complètement sa robe de chambre et commença à se caresser
– Ça vous dirais de pendre un peu de bon temps ? Me demanda-t-elle avec un soutire enjôleur
J’étais paralysée. Elle comprit certainement que j’étais excitée juste à voir comment je la fixais et comment je me tortillais sur le divan. Elle me dit de me déshabiller sur un ton chaud mais autoritaire. Ce que je fis. Elle s’approcha de moi, et sans hésitation, elle alla directement d’une main sur ma chatte humide, et de l’autre, elle commença à pétrir mes seins avec force. Elle se mit à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapides et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m’évanouir tellement que j’étais excitée. Mais ça ne s’arrêtait pas là…Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amena sa langue vers mon minou au comble de l’excitation. Je respirais très fort et poussait de petits cris. Elle léchait sans plus s’arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu’elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu’elle en raffolait.
Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressait la tête tellement j’étais excitée et là… j’ai eu le plus bel orgasme de ma vie. Je lui ai offert de lui rendre la pareille et sans rien répondre, elle s’est étendue en s’écartant les jambes pour me laisser voir sa petite langue rose qui ne demandait qu’à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occupées à jouir ou lécher… Je la léchais et le jus que sa chatte produisait me fascinait. Après qu’elle eut crié de plaisir à son tour, nous avons essayé un autre truc…
Chatte contre chatte, nous avons commencée à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m’électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d’un coup elle s’est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée… Heureusement elle est vite revenue avec quelque chose à la main. C’était un vibrateur tout en relief. Du genre parfait pour faire jouir à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer dans des mouvements lents de va-et-vient. Je lui disait d’aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m’écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais les reliefs du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l’autre main, elle me branlait encore le clito. J’ai été très étourdie et je crois que j’ai vu noir un moment… Elle me lâcha un peu et se masturba devant mes yeux avides de spectacles avant de recommencer à me lécher de nouveau.
Les émotions remises, je me rhabillais et alla regagner ma piaule en repensant à cette aventure incroyable. Tout avait été trop bon et je ne regrettais rien. Je n’ai jamais eu après d’autres relations avec cette femme. J’ai eu quelques autre expériences lesbienne mais aucune ne rivalisa en intensité avec celle que je viens de vous raconter.
Et devinez où était ma main gauche pendant je l’écrivais ?
J’ai toujours été attirée par les femmes étant jeune ou plutôt je les fantasmais : il y avait un programme à l’poque « le cocolaro show » une émission très franchouillard et libérée (années 80 oblige 😁!) ou le présentateur était entourée d’un groupe de jolies femmes style playmate appeler les coco-girl – et j’en étais totalement 🤩 😍
Mais impossible de dire quel genre d’attirance c’était. Puis je tombais amoureuse de garçon donc bon…
J’ai réalisé ma bisexualité au début de la trentaine, j’ai divorcé puis j’ai eu différentes relations avec des femmes.
Ah les Cocogirls de Collaro !!!! Quel souvenir ! 🤩
Un vieux souvenir…
Je travaillais au siège d’une compagnie d’assurance.
Nous avions eu le renfort d’une intérimaire, une jeune femme que je trouvais très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle avait un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donnait beaucoup d’élégance.
Je me suis retrouvé avec elle dans le local de photocopie. Elle était en train de s’agacer avec la machine. Je l’ai évidemment aidé à faire ce qu’elle voulait en bonne collègue sympa que je suis !
Puis tout à coup, sans que je m’y attende, elle a relevé sa robe jusqu’en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m’interpellant avec un grand sourire :
-« Regarde mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ? » Elle m’avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait.
Elle m’a donné à observer des collants opaques noirs jusqu’à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !
Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c’était très sexy et vraiment très joli, qu’elle le portait très bien. D’un petit air coquin elle me lance
– Oui, tu as vu ça comme c’est sexy, j’adore !
– Oui c’est très excitant !
– Et si je montre ma petite chatte, tu me la bouffes ?
– Pas ici !
– Non bien sûr, mais on peut s’enfermer dans les chiottes !
C’est ce qu’on a fait.
C’était rue de Turenne, en plein Marais, un jour d’été, il faisait chaud et je commande un panaché. Pas très loin de moi une femme avec un visage intéressante me dévisage, elle me fait un sourire que je lui rends, puis j’évite son regard avant de la regarder à nouveau, Elle me fascine, je ne serais dire pourquoi, nouvel échange de sourires. Comment cela va se terminer ? Elle se lève, vient vers moi me demande la permission de s’assoir à ma table. Accordée et je peux maintenant la détailler de près, cette femme a assurément dépassé la soixantaine. Suivant l’expression galvaudée « elle pourrait être ma mère ». La femme ne s’est pas embarrassée de préambule, elle m’a demandé si je voulais l’embrasser, l’instant d’après nous nous roulions une pelle et je vous fais grâce de la suite qui fut fort chaude.
C’est toujours par un regard que tout commence ♥
Ça m’ a rappelé une rencontre (dans le Marais aussi). Une nana pas toute jeune, mais belle prestance et joli sourire me regardait de façon très explicite. J’ai répondu à son sourire et lui a fait signe de venir à ma table .
– 50 balles pour toi si tu me lèches la chatte ! M’a-t-elle proposé.
J’ai accepté, je me souviens encore du contact de sa langue, ce fut divin
Vive le gazon