Ma mère est une bourgeoise cochonne par Kornu

Ma mère est une bourgeoise cochonne par Kornu

Cette histoire m’est arrivé alors que j’avais 19 ans.

Né de bonne famille, j’ai toujours eu ce que je voulais, ou plutôt tout ce que l’argent pouvait m’acheter. Je n’étais pas particulièrement maladroit, mais je n’avais jamais eu de véritable occasion de me faire une fille . Comme bien des jeunes hommes de cet âge, je me masturbais donc régulièrement pour « décompresser ».

J’avais toutes sortes de fantasmes lors de mes jeux solitaires, assez classiques, tels que celui de l’infirmière, de la secrétaire ou encore de la prof super canon que tout le monde veut se faire…

Mais le fantasme qui revenait de plus en plus régulièrement, était moins classique. Quoique…

Mon fantasme concernait ma mère. J’ai toujours été assez proche de ma mère, surtout depuis le départ de mon père, qui est parti lorsque j’avais 13 ans. Je n’ai jamais bien compris ce qui s’était passé entre mes parents pour qu’ils se séparent. Ma mère n’aimait pas en parler et je n’ai jamais osé lui demander ce qu’il s’était passé.

Ce que j’avais pu en comprendre, c’est que mon père dilapidait l’argent de ma mère, qui avait eu des parents très riches, contrairement à lui. Du coup mon père ne travaillait pas et passait le plus clair de son temps à sortir s’amuser dehors et dépenser l’argent que ma mère gagnait à la tête de sa société. J’avais donc compris l’essentiel, mon père n’était pas quelqu’un de bien pour ma mère.

Elle n’a ensuite jamais voulu se remarier, ni même sortir avec d’autres hommes.

Ma mère, Anne, avait 28 ans de plus que moi, elle venait donc d’avoir 47 ans lorsque cette histoire eut lieu. Elle s’habillait toujours avec une certaine classe et toujours assez strict bien qu’un peu provocateur. En général, en rapport son activité, elle s’habillait en tailleur assez chic, le plus souvent rayé, la jupe descendant au milieu des cuisses galbées de nylon. Des talons-aiguille rehaussant son mètre soixante-sept. Ma venue au monde n’avait que peu endommagé sa silhouette arborant fièrement un faible 56 kg. Des cheveux d’un blond doré en chignon ou en queue de cheval qui tire ses traits, lui donnant un air strict. Un collier de perles blanches. Du rouge lèvres rouge ou légèrement rose.

L’année de mes 19 ans donc, lors des vacances d’été, je passais mes journées à la maison avec ma mère qui prenait ses congés en même temps que moi, déléguant son travail au sous-directeur. Cet été-là fut assez chaud, surtout par rapport au précédent. 35° C l’après-midi, c’est tout de même agréable, surtout quand on dispose d’une piscine ! Nous étions donc un après-midi comme un autre au bord de notre piscine, moi et ma mère, à nous dorer la pilule. Evidemment, ma mère n’était pas en tailleur. Elle avait revêtu un maillot deux pièces… blanc… Mes yeux ne pouvaient pas en ce moment se détourner de son corps superbe, bien qu’elle soit ma mère, elle n’en reste pas moins une femme, très belle qui plus est. Je scrutais donc discrètement les courbes de son corps, les courbes de ses seins ronds et légèrement laiteux, son pubis que je devinais par le prolongement de ses cuisses. Lorsqu’elle se retournait, j’avais également l’opportunité de cacher, tant bien que mal, mon érection grandissante à la vue de sa croupe magnifiquement rebondie et ferme. Les fesses bien rondes de ma mère me faisaient bander comme pas permis… Mon imagination commençait alors vagabonder, imaginant ce petit bout de tissu blanc devenir un peu transparent sous l’effet de l’eau.

Me rendant compte de la situation, je décidais d’aller calmer mes ardeurs en allant piquer une tête. Cela me permit en plus de cacher l’érection que mon caleçon de bain avait peine à dissimuler.

Ce que je n’avais pas prévu c’est que mon esprit vagabond allait mettre dans le mille. En effet, ma mère, lasse de se prélasser décida qu’il était temps pour elle également de profiter de la piscine… Elle se mit au bord de la piscine, s’assit lentement en trempant ses jambes dans l’eau. Elle passa ensuite un peu d’eau sur sa nuque, son cou et descendit jusqu’au creux de sa généreuse poitrine, à moitié recouverte par ses cheveux blonds qui pour une fois étaient détachés. Se laissant glisser doucement dans l’eau, elle se rendit compte qu’elle était assez froide en arrivant hauteur de son pubis. Elle remonta donc un instant en se rasseyant sur le bord. C’est ce moment que mon caleçon chanta la marseillaise : lorsque j’aperçus, ou plutôt que je pu deviner un peu mieux les lèvres de ma mère et voir par contraste le petit gazon qui ornait son pubis. Se décidant enfin, elle plongea d’un coup dans l’eau. Elle s’approcha de moi et me dit que l’eau était un peu froide. Je lui répondis que ça pouvait aller. Mais quand elle repartit en nageant, l’un de ses pieds frôla mon entrejambe, ce qui n’eut pas pour effet de me calmer… Je sortais après avoir effectué une douzaine de longueurs et me couchait avec mon érection contre ma chaise longue.

Dans la mesure où ma tête était tournée vers la piscine, j’avais tout le loisir d’observer ma mère encore dans l’eau et ma bite comprimée contre la chaise longue me faisait bander davantage. Elle m’offrit le dernier spectacle de l’après-midi en sortant de l’eau… Elle posa ses mains sur le rebord de la piscine et poussa d’un coup se retrouvant bras tendus, comprimant ses seins, les mettant en avant comme s’ils allaient exploser. La cerise sur le gâteau était que je pouvais, tout comme pour son pubis, deviner les aréoles et les tétons, durcis par l’eau froide, au travers du tissu blanc qui n’était plus tout fait opaque.

La fin d’après-midi approchant, ma mère partit se doucher avant d’aller préparer le diner.

Lorsqu’elle eut finit, j’y allais mon tour. Mais avant de me doucher, j’en profitais pour me masturber. Quelle fut ma joie lorsque je retrouvais le maillot de ma mère… Je m’astiquais le manche comme un dingue, la queue enroulée dedans… Je ne fus évidemment pas long avant d’éjaculer de lourds jets de sperme dedans, vu l’excitation de tout l’après-midi !

Peu de temps après, ma mère m’appela pour que je vienne mettre la table. Je fus surpris lorsqu’en descendant, je la trouvais habillée… normalement ! Elle avait les cheveux détachés, ne portait qu’un tee-shirt (chose qu’elle ne fait jamais) et un pantalon moulant. Et quel pantalon ! J’avais l’impression de voir se fesses directement, j’ai même cru deviner ses lèvres un moment. Le tee-shirt quant lui n’était pas beaucoup plus ample, mais à mon grand regret, elle portait un soutien-gorge en dessous.

– Tiens, tu n’attaches plus tes cheveux ? Et tu n’es pas habillée comme d’habitude… lui dis-je.
– On est en vacances non ? Ta mère aussi a besoin de se détendre voyons !
– Ah mais ce n’était pas un reproche ! Loin de là ! J’aime bien ce style.
– Je préfère ça !
– Mais j’aime bien tes tailleurs habituels aussi… lançais-je.
– Allez, arrête de dire des bêtises et mets la table, le diner va être prêt.

Je m’exécute, non sans regrets que la discussion ne se poursuive…

Le diner fut calme au niveau émotions, un diner comme les autres. Après le diner, le temps se rafraîchissant, ma mère alla mettre un petit pull en laine rose. Nous nous installâmes ensuite confortablement sur le sofa du salon face la télé. Il passait un long film à l’eau de rose qui ne m’inspirait pas vraiment, mais ma mère tenait à le voir. Comme à son habitude, elle avait ouvert une bouteille de vin afin de la boire en regardant le film. Moi je me contentais d’un soda. Le temps passait, moi je m’ennuyais, je regardais du coin de l’œil les magnifiques cuisses de ma mère et son joli cul rebondi. Ma mère avait fini la bouteille de vin, enivrée par ce dernier, elle commençait à somnoler. Et petit à petit, elle s’abandonnait, si bien qu’elle finit par poser sa tête contre mon épaule. L’effet sur moi fut immédiat, mon jean se déforma sous la pression infligée par mon membre.

N’y tenant plus, c’est ce moment que je décidais de tenter quelque chose…

J’ai tout d’abord glissé un doigt jusqu’au col de son pull, puis je l’ai glissé jusqu’à celui du tee-shirt afin de pouvoir les soulever. J’avais ainsi pu dégager la vue vers ses deux magnifiques seins. J’ai cru alors que ma braguette allait céder sous les assauts de mon afflux sanguin ! Mais il m’en fallait plus… J’ai alors glissé ma main à l’intérieur et j’ai commencé à caresser ces deux globes de chair qui me faisait tant bander. Ma mère poussa un petit soupir puis… elle émergea de son demi-sommeil. Elle eut alors un mouvement de recul sortant ma main de son paradis tactile. Elle prit une mine outrée et me fixa avec des yeux emprunts d’une colère digne les pires châtiments de l’enfer. Je me confondais en excuses pitoyables tout en m’enfuyant vers ma chambre. Ma mère ne dit pas un mot. Lorsque mon excitation finit par laisser suffisamment de place à la fatigue, je m’endormais, avec pour seul vêtement le boxer que je portais. La nuit avait beau être fraiche, les chambres étaient bien plus petites que le salon et les chauffages y faisaient bien mieux leur office. Pendant ce sommeil, j’ai rêvé de ma mère s’asseyant au bord de mon lit et glissant sa main jusqu’à mon entrejambe, commençant doucement à masser mes couilles ainsi que ma verge turgescente…

Le lendemain, j’hésitais à me lever, évidemment… mais ma mère vint frapper ma porte m’annonçant qu’elle avait préparé le petit-déjeuner et qu’il fallait que je me dépêche si je voulais en profiter. Aucune allusion ce qui s’était passé la veille. J’arrive donc dans la cuisine vêtu d’un short et d’un tee-shirt, lorsque je m’arrête net : ma mère devant l’évier, son collier de perles invariablement autour de son cou, un chemisier blanc un peu froissé et… une petite culotte ! Elle n’avait pas mis de pantalon et moi, je me retrouvais face aux courbes dessinant la naissance de ses fesses, le reste étant caché par le tissu du chemisier. Je me ravise rapidement, quand mon short se fait étroit. Je me rue sur une chaise afin de cacher mon émoi. Ma mère se retourne alors, moi pivoine, elle vient me faire la bise comme chaque matin en me disant bonjour, comme si de rien était, comme si hier soir n’avait pas existé. Je balbutie simplement un bonjour. Elle s’assoit également en face de moi. Elle me demande si j’ai bien dormi. Je réponds par l’affirmative, je déglutis le bout de pain que je viens de beurrer et je prends mon courage deux mains avant de lui demander :

– Tu as oublié d’enfiler un pantalon ?
– Non, non mais j’étais paresseuse ce matin, j’ai eu un peu chaud cette nuit et du coup je n’ai pas beaucoup dormi. Comme il fait chaud le matin en ce moment, j’ai décidé de ne pas mettre de pantalon.
– Ah, OK…
– Pourquoi ? ça te dérange ? Je peux aller mettre un pantalon si ça te gène.
– Non, non pas du tout, y’a pas de soucis. (Si elle savait…)

Je n’en pouvais plus, je décidais donc de pousser le jeu plus loin. Soit elle ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle me faisait, soit elle essayait de me provoquer et je finirai par la faire grimper aux rideaux. Dans tous les cas, il fallait que je fasse quelque chose.

– Ça ne te dérange pas si je fais de même ?
– Non pas du tout mets-toi l’aise, avec cette chaleur, je m’étonne même que tu ne l’ai pas fait plus tôt, tu dois mourir de chaud.

J’étais loin d’attendre une telle réponse, elle qui est toujours si prude…

Peu importe, je m’empresse de finir mon petit déjeuner et je décide d’aller faire un tour dehors histoire d’essayer de me calmer et d’éviter de lui tomber dessus comme la misère sur le monde. Après une petite balade dans le quartier je décide de rentrer, il est bientôt 11 heures. Arrivé la maison, je ne vois personne, je fais le tour, je passe par la cuisine, le salon, le jardin, sa chambre… personne… la salle de bain ! Elle prend une douche… Mon cœur palpite soudain à l’idée qui m’est venue en tête. Sans que j’aie le temps de réfléchir, ma queue gonfle déjà, alors que j’entre discrètement. Je reste planté là au milieu de la pièce en attendant qu’elle sorte… Je n’ai pas attendre longtemps avant d’entendre l’eau s’arrêter de couler, de voir son bras passer le rideau de douche pour attraper une serviette. Elle commence à l’enrouler autour d’elle quand elle sort.

Me voyant, elle a le même mouvement de surprise que la veille. Par la même occasion, elle en laisse tomber sa serviette, dévoilant ses seins pour mon plus grand plaisir. Mais elle la rattrape avant de dévoiler sa toison pubienne. J’avance doucement vers elle alors qu’elle m’intime l’ordre de sortir. A ce moment je ne l’écoute évidemment plus. Je saisis son avant-bras et je le dévie de la trajectoire que suis mon regard intéressé par cette toison dissimulée. Sans doute parce qu’elle est médusée, son bras n’oppose presque pas de résistance. Elle me dit que je suis fou, alors que je découvre ces poils courts et bien taillés formant un beau V au-dessus de ses lèvres.

A cet instant, alors que je contemple cet éden, elle me saisit la queue au travers de mon short !

J’ai tout comme elle un mouvement de recul dû à la surprise alors qu’elle me dit :

– Tiens ça te fait moins rire ça ! T’as l’air malin maintenant là hein ?

Sa main ayant lâché prise entre temps, elle réitère son geste en m’empoignant la bite à pleine main. La différence c’est que cette fois je ne recule pas. Au contraire je m’avance un peu, me collant ses seins, la regardant dans les yeux comme pour la défier. Elle n’est qu’à moitié étonnée et soutient mon regard ne lâchant ni ma queue, ni mon regard, comme si elle voulait avoir le dernier mot et me faire détaler comme la veille. Seulement cette fois l’occasion est trop belle, je saisis de ma main gauche son sein gauche et je me met le tâter alors que je glisse mon autre main sur sa toison puis entre ses grandes lèvres, caressant également son clitoris de mon pouce. Je la sens alors s’abandonner complétement dans un soupir de plaisir. Je sais qu’à ce moment j’ai gagné, il n’y a plus de possibilité de faire machine arrière. Elle commence me caresser les couilles travers mon short tandis que je continue de la lécher et que je commence explorer son vagin avec quelques doigts. Sa main commence alors à baisser mon short. Elle m’empoigne la bite, la serrant fort et commence me branler lentement. C’est tellement bon que j’ai du mal à tenir debout, je colle mon dos contre le mur pour ne pas tomber.

Ma mère me suit et décide cette fois d’enfourner mon membre prêt à exploser entre ses divines lèvres pulpeuses. Elle joue lentement avec mon gland puis l’aspire d’un coup en engloutissant presque toute ma queue aussi profondément dans sa gorge qu’elle le peut. C’est divin mais je n’en peux déjà plus ; j’ai un mouvement de recul de mon bassin pour ne pas qu’elle s’étouffe mais elle n’en démord pas et renfonce ma queue aux tréfonds de sa gorge. C’est à ce moment que je lui envoie une rasade de sperme bouillant, j’ai l’impression de lui décharger un litre de foutre. Elle en avale une partie pour ne pas s’étouffer, mais elle garde le reste et joue un peu avec, elle gonfle ses joues et fait revenir le précieux liquide jusqu’à ses lèvres en me regardant droit dans les yeux, ma bite entre ses doigts. Elle se décide enfin à tout avaler en prenant soin de récupérer de sa langue agile, les quelques gouttes sur ses lèvres. Elle me branle quelques secondes afin de me faire regagner le peu de vigueur que j’ai perdu.

Lorsque la raideur de mon membre semble lui convenir, elle se met face au mur de la douche, se cambre raisonnablement en écartant ses longues jambes galbées. Je n’hésite pas un instant, mais pour la faire languir un peu, je frotte ma queue au bord de sa chatte et sur ses belles fesses rebondies. Et… je la pénètre d’un coup sec et bestial. Elle pousse un petit cri étouffé et je la sens faiblir un instant. Elle vient d’avoir un orgasme. J’essaye de continuer ce que j’ai entrepris mais ma mère m’arrête de sa main un instant. Lorsqu’elle s’est remise elle retire sa main et la repose contre le mur, m’invitant ainsi reprendre ma lime. Et c’est ce que je m’empresse de faire aussitôt. Je la gratifie tantôt de coups de reins puissants et profonds, tantôt de coups très rapides. Mes couilles claquent sous la violence de mes assauts, ce qui nous excite d’autant plus que c’est le seul bruit que l’on distingue à part nos souffles, et ce son est amplifié par l’acoustique de la salle d’eau. Elle se retourne me tendant sa langue… Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent dans une inondation de salive. Je titille ses lèvres, je les mordille. Je gobe et suce sa langue entre mes lèvres. Ses deux globes voluptueux ne sont pas en reste étant donné que je joue l’apprenti boulanger depuis tout ce temps. Je sens une nouvelle fois que je vais jouir. Je m’arrête de la limer, mais je ne vais pas tenir. Ma mère s’agenouille une fois de plus devant moi. Mais cette fois, elle a décidé de me branler plutôt que de me sucer. Je comprends ce qu’elle veut lorsqu’elle approche ma queue de son visage. Je lui procure évidemment ce qu’elle veut. J’explose tout le foutre qu’il me reste sur son visage d’ange. Elle en a partout, des lèvres jusque dans les cheveux. Elle délaisse ma queue pour se masser le visage couvert de sperme chaud. Elle l’étale partout et joue avec ce liquide gluant. Tantôt elle lèche un doigt qui en est couvert, tantôt elle tire un fil de sperme entre ses doigts collés par lui.

La seule remarque qu’elle me fait ce moment fut la suivante :

– C’est malin, j’ai plus qu’à retourner sous la douche maintenant !

Je reste sans voix. Ma mère est une bourgeoise sacrement cochonne… Les vacances s’annonçaient alors plutôt bien…

Après nos péripéties dans la salle d’eau, ma tension sexuelle était son comble, je disposais de ma mère comme bon me semblait. Elle se dandinait dorénavant quasiment nue dans la maison quelle que soit l’heure de la journée. Parfois elle se baladait en chemise sans rien en dessous, ni en dessous de la taille d’ailleurs, d’autres fois tout simplement en soutif et petite culotte, ou en string, mais quasiment toujours en dentelle. J’en avais d’ailleurs profité pour lui acheter des bas de toute sorte, notamment des bas-résille pour lesquels j’avais un faible. Un jour que nous faisions les courses, une idée me traversa l’esprit. J’étais derrière elle afin de pouvoir baver sans retenue sur son cul divin, autant dire que je n’avais pas besoin de mes mains pour faire avancer le caddie. Ayant cette gaule serré, je me suis dit qu’il était injuste qu’elle n’en profite pas. seulement dans le magasin impossible de faire quoi que ce soit sans être vus. Le magasin étant à quelques minutes pied, il nous suffisait de rentrer. Mais cette solution était trop facile. Un vibro. Il fallait que je lui achète un vibromasseur télécommandé. Et c’est ce que je fis, je commandais le jour même par le biais d’un site internet un œuf vibrant télécommandé.

Deux jours plus tard, le colis arrivait, de manière tout fait discrète. Je réceptionnais donc ce colis, impatient que j’étais et appelais ma mère afin qu’elle vienne découvrir son nouveau jouet dont elle ne connaissait pas encore l’existence.

– Qu’y a-t-il mon cœur ?
– Regarde ce que je t’ai acheté.
– Qu’est-ce que c’est ?

Elle ouvrit le paquet et je vis immédiatement à son regard qu’elle avait tout de suite saisi de quoi il s’agissait. Elle planta sa langue au fond de ma bouche en guise de remerciement et commença me masser les couilles à travers mon short :

– Tu es mignon mais j’ai pas besoin de ça, ta belle queue me suffit amplement avec tes deux grosses boules remplies de foutre chaud.

J’enlevais sa main de mes bourses de peur de gicler tout de suite au son de ces mots vulgaires que j’aime tant l’entendre prononcer.

– Je sais. mais tu vas voir, j’ai une petite idée en tête…

Elle me fit un sourire et tourna les talons, en me laissant admirer son cul s’éloignant.

J’attendis donc, en dépit de nos séances de baise habituelles, la semaine suivante qui s’annonçait d’une température volcanique. Ma mère tout de même intriguée par l’intérêt que j’allais donner ce sex-toy, tenta à plusieurs reprises de me soudoyer la réponse en me proposant quelques pipes goulues. Bien sûr je refusais ; je voulais que la pression monte. Et de toute façon, ne résistant pas, j’avais tout de même droit à mon pot de vin !

Ne se doutant toujours de rien, elle décida la semaine suivante d’aller de nouveau faire des courses. Je jubilais intérieurement en proposant de l’accompagner. Elle avait mis un tailleur blanc rayé verticalement de noir. La veste était suffisamment ouverte pour laisser décolleter une bonne partie de sa poitrine opulente. La jupe venait tomber à mi-cuisse sur des bas taupe, eux-mêmes finissant dans des escarpins noirs talons aiguille. Elle s’était maquillée, avait coiffé ses cheveux en chignon et mis son collier de perles blanches.

Arrivés au magasin, je lui montrais un bustier rouge en dentelle et je lui dis d’aller l’essayer. Elle s’exécuta en me faisant un large sourire et en se mordant la lèvre inférieure. Je l’observais se changer en tirant légèrement le rideau de la cabine d’essayage. Le bustier lui allait comme un gant, elle était contente et me gratifia d’une belle galoche bien baveuse. Je la regardais ensuite se dévêtir de ce bustier, lorsqu’elle finit de l’enlever et avant qu’elle ne remette son tailleur, je lui tends le vibro et lui dit de le mettre. Son regard s’illumine en comprenant ce qui va se passer. Elle s’empresse de le prendre et finit de se rhabiller. Je la suis dans le magasin fixant de nouveau mon regard sur son anatomie. Je remarque qu’elle esquisse des mouvements de bassin plus amples que d’habitude, elle tortille son petit cul pour mieux profiter de son jouet. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que j’ai avec moi la télécommande.

En passant devant le rayon des conserves, elle se penche pour attraper une boite tout en bas de l’étagère. Mais elle le fait en gardant les jambes tendues, sa jupe remonte presque jusqu’à son string, je distingue la naissance de ses fesses au-dessus de la dentelle de ses bas. Elle tourne alors la tête en me faisant un petit sourire car elle sait que je voudrais la pénétrer violemment, là tout de suite, mais que l’endroit me l’interdit. C’est ce moment précis que je décide de pousser le petit interrupteur de mise en marche du vibro. Ses jambes perdent alors toute force, elle vacille légèrement en essayant de se relever mais n’a le temps que de tomber à genoux. Elle pousse un léger cri qu’elle étouffe tant bien que mal, heureusement personne n’est dans le rayon, et à vrai dire il n’y a pas foule dans le magasin tout entier. Elle me regarde avide de désir en se relevant, serrant les cuisses et ramassant la boite de conserve qu’elle avait fait tomber au passage. Elle la pose dans le caddie en se frottant à moi au passage, telle une chatte, minaudant. Elle me susurre l’oreille :

– Tu perds rien pour attendre petit cochon.

Je crois alors mon plaisir à son comble, mais en repassant devant moi, je remarque que sur ses cuisses ornées de bas, commence à dégouliner sa mouille. A cet instant j’ai l’impression que ma queue double de volume. Nous continuons à faire les courses, en essayant tant bien que mal de masquer notre état de quasi-transe. Ma mère est obligée de marcher les cuisses serrées au maximum pour pouvoir tenir debout. Le souci pour moi, c’est que cela fait tortiller son fessier moulé dans sa jupe, ce qui a pour effet de faire bouillonner ma queue dans le caleçon, sans parler du bruit de ses talons aiguille sur le sol qui ont le même effet sur moi. Comme si cela n’était pas suffisant, chaque fois qu’elle met un article dans le caddie, elle passe en se frottant moi. Quand elle prend un article en bas d’une étagère, je m’approche d’elle et elle plie ses genoux en faisant glisser son cul contre ma bite dure comme du fer. La climatisation du magasin tourne à fond, mais pour nous deux, il fait plus chaud qu’à l’extérieur !

L’un comme l’autre nous n’en pouvons plus, mais je craque le premier, je lui dis que si nous ne rentrons pas maintenant, je vais la violer, là, maintenant, au beau milieu du magasin. Je vois ses yeux se révulser de bonheur à ces mots pendant qu’elle passe sa langue sur ses lèvres ornées de rouge à lèvres écarlate. Cette idée fait monter en elle la température d’un nouveau cran. Mais elle sait bien, tout comme moi que c’est impossible. Elle me répond donc par l’affirmative et nous nous dirigeons vers les caisses. La caissière, une fois n’est pas coutume, passe rapidement les quelques articles que nous avons, parmi lesquels figure le bustier. Je prends d’une main quelques sacs et ma mère fait de même. Quelques mètres après être sortis du magasin, profitant de passer dans des rues désertes, où les maisons sont rares (l’avantage de la campagne.) j’enfourne ma main sous sa jupe puis sous son string et commence à la caresser entre le vagin et l’anus, tout en continuant à marcher. Elle décide alors de fourrer sa main dans mon caleçon en attrapant mes couilles. Je n’en démords pas, au contraire, j’introduis sauvagement deux doigts dans sa chatte. Elle penche la tête en arrière et cette fois crie un peu plus fort que tout l’heure, sans même se donner la peine d’étouffer son cri. Elle remonte alors la main vers ma queue bandée au maximum et me décalotte lentement. Elle commence à me masturber quand nous arrivons sur le pas de la porte.

Je peine à me concentrer pour ouvrir le verrou de la porte. Lorsque j’y arrive enfin, nous entrons et je claque la porte. Nous jetons les courses au sol et ma mère commence alors me branler franchement. C’est la meilleure branlette qu’elle m’ait fait jusqu’alors. Je ne résiste que quelques secondes avant de sentir monter la sauce, je la préviens et elle enfourne ma queue au fin fond de sa gorge. Je lâche ce qui me semble être des litres de foutre brulant. Ma mère s’étouffe presque avec et du sperme explose en jaillissant de sa bouche. Comme à son habitude, elle n’en perd pas une goutte, elle lèche soigneusement ma bite du gland jusqu’à la base, elle récupère également le précieux liquide qui s’est retrouvé sur son visage et finit enfin par récupérer le sperme encore sur ses lèvres pulpeuses faisant contraste avec le rouge. Ses molaires sont alors rassasiées, mais pas sa chatte qui réclame qu’on s’occupe d’elle. Ma queue n’a pas le temps de débander, la vue de ma mère qui se met quatre pattes devant moi, face contre le sol et la croupe relevée bien en l’air, m’offrant sa chatte dégoulinante de mouille et sa petite rondelle rose que je n’ai pas encore eu le loisir de déflorer. Je pointe mon gland à l’entrée de sa grotte d’amour, sa croupe à un mouvement de recul, elle essaye de s’empaler sur mon pieu, mais je recule moi aussi. Elle devient folle et me regarde les yeux suppliants, je glisse alors ma queue juste en dessous et je la frotte contre ses grandes lèvres. Elle imprime le mouvement avec son bassin pour frotter plus fort. Le frottement est accompagné de gémissements de plaisir.

Je mets fin à son supplice en l’empalant d’un coup sec jusqu’au fond ! Elle pousse un râle rauque. Ma mère est au bord de l’orgasme. Je commence alors à la limer violemment, mes couilles claquent et ma mère est aux anges. Après quelques minutes à jouer avec ses deux lourdes mamelles et ses deux tétons dressés de plaisir je me mets à masser sa petite rondelle avec mon pouce. Je l’enfonce un peu et titille ainsi son sphincter. Je joue ainsi quelques secondes avant qu’enfin elle se crispe. Je sens sa chatte se contracter un peu plus fort sur mon chibre, elle est prise de spasmes qui parcourent tout le long de son corps. Comble d’un puissant orgasme, elle se retourne vers moi et finit à la main ce que sa chatte a commencé. Elle me branle en me regardant droit dans les yeux et moi je soutiens son regard. Une fois de plus je la préviens que je vais jouir mais cette fois elle n’enfourne pas ma queue dans sa bouche, elle pose seulement mon gland sur ses lèvres tout en continuant me branler. Je gicle alors tout ce qui me reste de sperme sur ses lèvres, un peu de sperme se dépose également devant son nez et sur ses joues. Elle laisse le sperme dégouliner quelques instants en se massant doucement le bas-ventre avant de rouvrir les yeux.

– Tu as eu envie de m’enculer hein ?.
– Tu n’imagines pas quel point.
– On va devoir aller acheter de la vaseline alors. dit-elle en léchant ses lèvres encore recouvertes de sperme et en récoltant ce qui restait ici et là.

J’avais maintenant un nouvel objectif, après toutes ces émotions d’une intensité inouïe, après avoir bandé comme je ne l’aurais jamais cru. Je voulais me faire les fesses de ma cochonne de mère, ou plus précisément dilater la rondelle à l’en faire crier de plaisir.

Elle m’avait fait comprendre qu’elle aussi en avait envie, mais je doute qu’elle ait déjà essayé auparavant. Comme il n’était pas question de l’en dégouter et qu’elle me refuse par la suite ce petit plaisir, je décidais d’y aller en douceur, sans la brusquer et en préparant le terrain. J’achetais donc, de la même manière que le vibromasseur, des sex-toys anaux. J’avais commandé d’abord des boules anales, reliées par une ficelle. Dans la foule, j’ai acheté deux godes de différentes tailles, le premier était assez petit et fin, l’autre n’était pas beaucoup plus grand mais plus fin et se terminant un peu en forme de poire.

Le vice qui habitait mon corps ce moment, faisait déborder mon imagination. Ce débordement laissa échapper une idée qui me fit bander nouveau. Mais je décidais d’attendre le lendemain matin pour la mettre en œuvre. Autant dire que je n’ai pas dormi beaucoup cette nuit-là, tant j’étais excité.

Au petit matin (il était peine 7 h), je me lève avec une belle érection matinale dure comme fer. Je pousse doucement la porte de la chambre de ma mère. Je me faufile à pas de loup jusque devant son lit. Elle dort encore paisiblement. Je tire doucement sur le fin drap qui la recouvre pour découvrir ses magnifiques seins nus ainsi que la petite toison qui surmonte les lèvres de sa petite chatte. Je baissais alors mon caleçon et approche mon gland de son visage jusqu’à le poser sur ses lèvres charnues. Je commence faire glisser mon gland de gauche droite sur ses lèvres sexy. Elle émerge doucement de son sommeil et entrouvre les yeux alors que se dessine un sourire sur ces lèvres que j’avais commencé à violer quelques instants avant. Elle ouvre alors grand la bouche et me gobe tout le poireau d’un coup en poussant un petit râle de plaisir. Elle dégage sa bouche et me dit bonjour en me massant les couilles. Je me penche alors pour l’embrasser comme il se doit, avant de lui dire bonjour à mon tour. Après quoi elle entame une pipe digne d’elle, ou autrement dit, digne d’une star du porno ! Sa langue s’amuse à titiller doucement mon gland tantôt en l’entourant, tantôt en le poussant. Elle décide alors de lécher mes bourses gonflées de désir du bout de la langue et mon gland au fond de sa gorge. Il ne m’en faut alors pas plus pour sentir mes muscles se crisper et sentir toute mon énergie se concentrer et partir une vitesse fulgurante, accompagnant une belle quantité de sperme chaud et épais. Lorsqu’elle sent qu’elle va obtenir le nectar pour lequel elle pompait comme une folle, elle ressort ma bite et recouvre alors ses seins du nectar qu’elle aime tant. Le sourire qu’elle affiche alors m’indique qu’elle est fière du résultat et contente d’elle. pour le moment. Elle se lève et me dit qu’elle va se doucher, pour nettoyer le bazar que je viens de mettre sur son corps. Je la retiens par le poignet au moment où elle va sortir.

– Qu’est-ce qu’il y a ? Il faut que j’aille me doucher chéri.
– Avant de commencer ta journée j’ai un petit cadeau pour toi.
– Après la douche d’accord !?
– Non maintenant, j’y tiens.

Elle lève les yeux au ciel et me lâche dans un soupir :

– Bon d’accord !

Je l’attire alors jusqu’à ma chambre et sort une petite boite dans laquelle se trouvait les boules anales. Je vois son regard s’illuminer, je peux voir le vice au fond de ses yeux et aux commissures de ses lèvres. Elle vient prendre l’objet dans ses mains pour le contempler d’elle-même.

– Tu me gâtes trop mon chéri.
– Mais ce n’est pas pour toi.

Je vois son regard s’éteindre et une expression d’inquiétude remplace le vice sur son visage. Moi, manipulateur que je suis, je jubile. elle me demande presque timidement :

– Comment ça ?…
– Eh bien oui ce n’est pas pour toi. C’est pour. ton petit cul. ou plutôt pour ton petit trou.

Elle se mord la lèvre inférieure en souriant et m’assène un petit coup de poing sur l’épaule, ce qui me fait sourire mon tour. Je lui dérobe les boules en me collant à elle. Ma queue est collée à son bas-ventre, sa poitrine s’écrase sur mon torse et je me mets lui rouler une nouvelle galoche, nos langues se mélangent. J’en profite alors pour lui empoigner son joli cul rebondi en l’écartant. Je pousse alors la première boule dans son petit orifice. Elle me mordille la lèvre en m’enserrant d’avantage. Ceci m’encourage à poursuivre et c’est ce que je fais en rentrant dans son petit cul les quatre boules restantes. Satisfait de moi, je m’écarte de ma mère et la fait se retourner afin d’admirer le seul petit anneau qui dépasse. Je lui mets une petite tape au cul et lui lance :

– Tu peux aller prendre ta douche maintenant. mais tu dois garder ça. jusqu’à ce soir.
– Jusqu’à ce soir ?
– Jusqu’à ce soir ! Et je te surveillerais petite cochonne.
– Tais-toi donc petit pervers !

Elle se dirige vers la salle de bain après m’avoir dit cela, tout en sachant que ce genre de réplique allait me mettre dans tous mes états.

Je la suis quelques instants après, dès que j’entends l’eau couler. J’ouvre doucement la porte et me glisse dans la salle de bain, tout comme je m’étais glissé dans sa chambre peu de temps auparavant. Je m’assois sur la chaise qui se trouve dans le coin de la salle de bains, en face de la douche. Elle est de dos et ne m’a pas vu, ni entendu entrer. J’observe ses seins qui dépassent légèrement de chaque côté de son buste. Rapidement mon regard se porte sur ce cul qui m’obsède avec ce petit anneau qui dépasse. Elle se retourne en voulant attraper le shampoing et me voit, là, pratiquement en train de baver, mais complétement en train de bander ! Elle me fait signe du doigt de venir me joindre elle, puis me supplie :

– Prends-moi comme la dernière fois.

Je fais non de la tête. bien que le caleçon que j’ai remis entre-temps, lui, dise oui.

– Je ne suis là que pour te surveiller, pour que tu n’enlèves pas ton nouveau jouet. Mais si tu as des envies. ne te gênes surtout pas.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Ma mère plonge sa main vers son minou où ruissèle l’eau de la douche. Elle saisit le savon de Marseille et le frotte doucement sur ses grandes lèvres puis remonte vers sa petite motte, passe sur son nombril avant de remonter le sillon entre ses obus affichant fièrement deux tétons bruns qui pointent légèrement. Légèrement, jusqu’à ce que le savon vienne s’y attarder pour les faire durcir complétement. Pendant ce temps je me masse doucement la queue en l’observant. Elle se masturbe maintenant frénétiquement en dessinant des cercles sur son clitoris qu’elle arrose en même temps abondamment avec le jet de douche. Adossée au carrelage du mur de la douche, les mouvements de bassin qui accompagnent sa masturbation, font danser le petit anneau qui dépasse de son petit trou et qui titille un coup sa fesse gauche un coup sa fesse droite. C’est pendant que je suis perdu dans mes penses, hypnotisé par cette danse exquise que je vois ses genoux commencer à trembler. Ma mère pousse alors un cri qu’elle n’touffe qu’à moitié témoignant de l’orgasme qu’elle vient de se donner devant son fils. Moi je suis aux anges et je salive déjà l’idée de l’enculer.

Mais ce n’est pas pour tout de suite. je prends donc mon mal en patience et me contente de la regarder finir de se doucher.

Durant la matinée qu’elle passa à se balader en petite culotte dans la maison, je ne la lâchais pas d’une semelle. Je me contentais d’admirer son petit cul splendide dans sa petite culotte où se dessinait juste un petit cercle dû au petit jouet qu’elle commençait à apprécier, du moins c’est ce que l’humidité de sa petite culotte laissait penser…

Elle l’apprécia apparemment d’autant plus lorsque nous sommes passés à table et qu’elle dut s’assoir. A tel point qu’un certain pied ne put s’empêcher de venir caresser mon entrejambe pendant le repas. Il est difficile de réussir à manger dans ces conditions mais j’ai résisté, une fois de plus, pour en profiter pleinement le moment venu. Du moins c’est ce que je voulais, mais mon envie était déjà son paroxysme et un petit détail fit que je ne pus résister plus longtemps.

Malgré un après-midi très chaud, même pour la saison, ma mère me dit qu’elle allait se mettre quelque chose sur le dos et me dit de rester dans le salon. Fait bizarre puisque depuis bientôt un mois, nous nous baladions dans la maison, pratiquement nus. Cela titilla ma curiosité. Quelques instants plus tard, je la vis débarquer dans le salon. Elle avait mis un tailleur plutôt sexy, bien qu’assez comparables à ceux qu’elle avait l’habitude de mettre, à quelques détails près. La jupe était beaucoup plus courte, à ras la salle de jeu même. laissant largement apparaitre la dentelle de bas en nylon tenus par un porte-jarretelle. Elle n’avait pas mis de chemisier mais juste une veste qui était boutonnée, trop mon gout : on ne voyait quasiment pas le sillon de ses seins. Elle avait également peaufiné les détails qui, elle le savait, me font bander comme un taureau : ses lèvres étaient recouvertes d’un joli rouge écarlate, ses cheveux étaient attachés en chignon et tout son visage était souligné par ce fameux collier de perles blanches.

Mon sang ne fit qu’un tour et ma bite se dressa en moins de temps qu’il ne faut pour le dire alors qu’elle s’était mise devant moi, me tournant le dos. Elle se pencha alors, en laissant sa jupe remonter me laissant admirer son petit abricot déjà bien trempé. La petite cochonne, elle n’avait pas mis de dessous. En se retournant, elle se releva et me fit un clin d’œil et commença se déhancher, se caressant le corps par-dessus ses habits.

Je croyais pouvoir tenir encore un peu à ce moment-là. Mais elle commença à déboutonner la veste de son tailleur. Je compris alors pourquoi elle l’avait boutonné si haut. Elle avait mis dessous un bustier ! Un magnifique bustier corset noir, retenu par un laçage couleur crème, sur le devant. Le bord en dentelle noire soulignait ses deux beaux seins, faisant ressortir les aréoles sombres de ses mamelons qui débordaient légèrement du bustier.

Je ne pus me retenir plus longtemps et je me jetais sur elle sans la laisser finir son petit spectacle. Je l’entrainais nouveau vers ma chambre et me ruais sur la boite qui contenait les deux autres godes. Les voyants, ma mère me fit un large sourire, pris le plus petit des deux et le jeta par-dessus son épaule. Je lui retournais alors son sourire avant d’empoigner son petit cul et de l’embrasser pleine bouche. Je la retourne et la met sur mon lit quatre pattes, son cul ma portée. J’attrape le petit anneau et commence tirer lentement jusqu’à voir une petite boule apparaitre. Lorsqu’elle sort, je tire plus vite. La deuxième boule sort. Je tire enfin d’un coup sortant les trois autres boules. Ses jambes flanchent une seconde alors qu’elle crie son plaisir. La vue que j’ai alors est magnifique et je plonge droit vers son petit trou d’amour. J’y glisse ma langue ce qui a pour effet de la faire gémir et je me mets lécher vigoureusement. Pendant ce temps je glisse mes mains vers les deux globes satins de son bustier. Elle a déjà sorti ses seins et est en train de torturer ses tétons les malaxant et les tirants. Je l’accompagne alors en caressant son bas ventre et ses seins d’une main et de l’autre, j’introduis deux doigts dans sa chatte dégoulinante de plaisir.

J’attrape le gode resté sur le lit, et je commence à presser l’entrée de son sphincter. Je pousse doucement. Sa main vient alors rejoindre la mienne et me commande d’enfoncer plus loin. Si bien que son cul avale entièrement le gode. Je me baisse alors et me concentre davantage pour la branler tout en la léchant amoureusement. Lorsque je ne tiens plus, je commence faire des va-et-vient avec le gode dans son cul. Elle en gémit de plaisir et me supplie de continuer. Mais je m’arrête peu après. Ma queue n’en peut plus d’attendre. Je la libère enfin et présente mon gland à l’entrée de ses fesses. Je pousse légèrement rentrant doucement mon gland. Je suis en extase. A ma grande surprise, c’est ma mère qui recule son petit cul pour s’empaler complétement sur ma trique. La sensation est si intense que je jouis sur le coup au fond de ses entrailles. Je recule un peu ma queue, mais sans sortir le gland. Le sperme coule avec le mouvement de recul le long de ses cuisses puis sur la dentelle de ses bas. Je replonge ma bite jusqu’au fond d’un seul coup et ma mère crie encore. Je commence aussitôt à la limer pour ne pas perdre ma vigueur. La vue de sa jupe remonte sur ses fesses, ses bas, son porte-jarretelle et ses seins qui se balancent sous elle, sa main masturbant son clitoris, ma queue limant le cul de ma cochonne de mère bourgeoise ne me permettent même pas de faiblir. Sa respiration haletante, son souffle de plus en plus court et ses gémissements m’encouragent même à accélérer la cadence. Je sens enfin ses muscles se contracter, ses mains se cramponnent aux draps. Ma mère jouit en hurlant son plaisir. Après un petit instant et après avoir repris ses esprits, elle se couche sur le dos me saisit la queue et me branle énergiquement jusqu’à ce que la sauce monte. Je gicle tout ce qui me reste de sperme sur elle, un peu dans son nombril et sur ses seins.

Je suis épuisé, mais aux anges. Ma mère aussi. Elle récupère le sperme sur ses doigts et l’étale sur ses lèvres écarlates en léchant ensuite ce qu’elle peut. Elle se délecte de son nectar préféré, le sourire aux lèvres, satisfaite. Je me couche sur elle, je l’embrasse comme en perdre haleine avant de me relever. Je sors du lit en la contemplant. Elle me dit alors :

– Où vas-tu ?
– C’est mon tour d’aller me doucher.
– J’espère que t’as aimé ça. moi j’ai adoré.

Le petit sourire en coin qu’elle a alors, me laisse présager d’autres sodomies aussi savoureuses.

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

7 réponses à Ma mère est une bourgeoise cochonne par Kornu

  1. Utouledeu dit :

    Très respectueux et très érotique. Quand j’avais la vingtaine, ma mère adorait me branler et me sucer et moi j’adorais me laisser faire

  2. Belinda dit :

    J’ai adoré, toute une ambiance chaude.

  3. Bureau dit :

    La mienne aussi 😉 😉 😉

  4. Danielle dit :

    Joli texte ! Dans la vraie vie le pas est difficile à franchir

  5. Chastaing dit :

    C’est bien et surtout ça change des récits trop souvent bâclés qu’on peut lire sur ce thème difficile, mais o combien excitant !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *