Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 4 – Le donjon de la Duchesse par Nicolas Solovionni

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 4 – Le donjon de la Duchesse par Nicolas Solovionni

A minuit, heure locale, je franchissais la porte du hangar-prison et découvrait Romani roupillant sur une couchette puante.

– Romani ?
– C’est quoi ?
– Tu es Romani ou pas ?
– Ouais
– Je viens te libérer, suis-moi, je t’expliquerai mieux tout à l’heure

Il se lève difficilement puis me suit comme un zombi. Je prends le chemin du cosmodrome avec lui sans être inquiété.

– Je voudrais comprendre… Finit-il par dire.
– Bon, tu es libre, c’est l’essentiel, non ? Alors tu vas nous foutre la paix !
– Vous m’emmenez où ?
– Tu la fermes un peu !

On fait monter l’individu à bord de mon vaisseau, on le fait assoir et j’attaque de suite, inutile de perdre du temps

– Qu’est-ce que tu as fait du collier que tu as piqué à Marcia sur Vargala ?
– Hein, quoi ? Quel collier ? Qui c’est Marcia ?
– Ecoute moi, Ducon, si tu continues à faire le mariol, je te fais descendre sur le tarmac et ta peau ne vaudra plus bien cher. Alors t’as intérêt à collaborer, on ne te demande pas la lune !
– Il a quoi de spécial ce collier ?
– Qu’est-ce que tu en as foutu ?
– Et quand je vous aurais répondu, qu’est-ce que vous allez faire de moi ?
– Tu verras bien.

Et c’est qu’il tremble, le citoyen !

– Je l’ai perdu au jeu… Balbutie-t-il.

Manquait plus que ça !

– Et tu connais l’identité de l’heureux gagnant ?
– Oui !
– Et l’adresse ?
– Non, mais c’est trouvable.
– Alors débrouille toi pour nous trouver tout ça !
– C’est pas ici !
– C’est où ?
– Sur Idoxa.
– Ah ? Eh bien on va aller y faire un tour, ça nous fera une balade. Toi on t’emmène, et te plains pas tu seras nourri aux frais de la princesse !

Et nous voilà repartis. On a enfermé Romani dans une cabine verrouillée. Pas facile à gérer ce type, grincheux, irascible, jamais content. Quelque part il faut le comprendre, il se demande ce qu’on va faire de lui, on a beau essayer de le rassurer en lui promettant qu’on n’en a pas après sa vie. Il ne nous croit pas. Damme, mettez-vous à sa place !

– Il s’appelle comment ton gagnant ?
– Je ne connais pas son nom, c’est une dame, tout le monde l’appelle la duchesse.

Après un voyage de quinze jours nous voilà sur Idoxa, une planète aquatique où seule une grande île au climat enchanteur émerge, quelques rupins y ont élu domicile dans des résidences de rêves, tandis qu’ici comme ailleurs un quartier chaud s’est créé à la lisière de petit cosmodrome avec les inévitables bar louches, bordels et autres casinos.

On a laissé Romani enfermé dans une cabine et je suis descendu avec Dyane

Dans le premier rade venu, j’ai obtenu les coordonnées de la duchesse. Ce n’est pas trop loin, on y va à pied.

On sonne, et première surprise, une espèce de pâtre grec nous ouvre, un beau gosse mais pourquoi est-il affublé d’un collier d’esclave ?.

– Je suis le capitaine Ajas Stoffer, Dyane Makaya est ma seconde de vaisseau et nous désirons nous entretenir quelques courts instants avec madame la duchesse.
– Je vais voir si ma maîtresse peut vous recevoir.

Bref, il nous fait entrer et assoir dans un grand salon richement décoré. Un vrai fourbi qui doit valoir son pesant de pognon ! Un gros chien beige à poils longs vient nous renifler, s’attardant lourdement sur l’entrejambe de Dyane qui s’amuse de la situation.

Et voilà la duchesse qui s’amène, grande brune aux longs cheveux, toute de noir vêtue, la cinquantaine, sourire carnassier, une très belle femme mature.

– Je vous écoute.
– Nous sommes à la recherche d’un collier que vous auriez gagné au jeu…
– J’ai gagné tellement de choses, j’ai beaucoup de chances au jeu…

Je lui montre la photo de l’objet..

– Et vous le recherchez pour quelle raison ?
– Ce collier appartient à un amie, elle y tenait, on lui a volé, elle m’a chargé d’essayer de le récupérer..
– En voilà une noble tâche, mais il n’est plus en ma possession. Effectivement j’ai gagné cette breloque au poker, je l’avais trouvé pas mal mais je m’en suis lassée, j’ai tellement de bijoux ! J’ai demandé à maître Tongo de le vendre aux enchères…
– Maitre Tongo ?
– Oui, la commissaire-priseur !
– Donc je ne le retrouverais jamais ?
– Il ne faut jamais dire jamais ! Maître Tongo pourrait éventuellement vous indiquer qui l’a enchéri, en principe cela ne se fait pas mais je peux toujours l’influencer…
– Vous feriez ça pour moi ?
– Disons que c’est dans mes capacités, je vous offre un café, il est excellent, torréfié avec des graines locales…
– Pourquoi pas ?

Elle demande au pâtre grec de préparer les cafés.

– Il est mignon ! Commenté la duchesse, c’est un peu mon sex-toy. Il s’appelle Swan. Voyez-vous j’ai deux passions, le jeu et le sexe, je ne vous choque pas, j’espère ?
– Pas du tout !
– Tant mieux, je le suis laissé dire qu’à bord des vaisseaux comme le vôtre régnait parfois une ambiance très décontractée. Vous confirmez ?
– On va dire que ça fait partie des traditions.
– Eh bien, vivent les traditions ! Moi j’aime bien varier mes partenaires, malheureusement il ne passe pas grand monde par ici. Mais j’ai mon cercle d’amis, on s’amuse de temps en temps à des petits trucs sadomaso.

C’est pas possible, comme elle est partie elle va nous proposer une partouse !

– Je suis un peu dominante, cela m’amuse de jouer avec des esclaves, vous aimez ce genre de jeu ?
– Je préfère des jeux plus soft mais de temps en temps pourquoi pas ?
– Et si je vous invitais à une petite soirée spéciale ? Vous et votre équipage, non pas l’équipage, ça ferait trop de monde, mais disons votre staff ?

Je ne sais trop quoi répondre, j’échange un regard avec Dyane qui a l’air de trouver la proposition très amusante

– C’est tentant ! Répondis-je mais pourquoi cet honneur ?
– Ça n’a rien d’honorifique, il est rare que j’aie affaire à des nouvelles têtes, alors puisque l’occasion m’en est donnée… Vous seriez combien ? Cinq ? Six ?
– Notre staff, à part nous deux, compte deux hommes et une femme, mais nous avons aussi une stagiaire transsexuelle.
– Oh ! Mais c’est très bien ça ! Et ils seront difficile à convaincre ?
– Je ne crois pas, non ! Mais ais-je votre promesse d’intercéder auprès de cette commissaire-priseur ?
– Soyez à la hauteur et ça devrait aller…Me répond la Duchesse avec un sourire enjôleur.
– Et si nous ne sommes pas à la hauteur ?
– Ne soyez donc pas défaitiste, capitaine !

Et comme le lecteur l’aura deviné, je n’ai eu aucun mal à convaincre mon équipe de se rendre à cette intrigante invitation. Seul Dilos ne se déclara pas intéressé. On fera sans lui !

– Pas de piège ? S’inquiète néanmoins Sierra ?
– Je ne vois pourquoi il y aurait un piège, on sera cinq, elle ne sera qu’avec son biquet…
– T’en sais rien, il y aura peut-être des invités…
– On verra bien, tu me fais confiance ou pas ? Sinon rien ne t’oblige à y aller.

Nous sommes arrivés à l’heure j’ai apporté des fleurs et une bonne bouteille.

Contrairement à ce que je croyais, la Duchesse n’est pas seule, il y a là deux couples d’âge moyen. On fait les présentations, ils ont l’air sympas. Tout va bien, on se boit un coup. Lorna une grande brune au sourire glamour s’approche de moi en se dandinant.

– Alors jeune homme, mon décolleté vous plaît ?
– J’adore !
– Vous aimeriez en voir davantage ?
– Bien sûr.

Et la voilà qui se dépoitraille offrant à mon regard libidineux le spectacle de deux magnifiques mamelles terminés par de jolis tétons arrogants.

– Magnifique ! Je peux toucher ?
– Il faut le mériter.
– Et que dois-je faire pour le mériter ?
– Plein de choses, mais rien ne presse. Répond-elle en me collant sa main sur mon entrejambe découvrant ma bite bandée.

Ingrid, une petite blondinette rondouillarde entreprend Nadget de façon très directe en lui roulant un patin tandis que les deux messieurs invités tripotent Sacha sans vergogne.

Et si Dyane semble faire banquette, ce qui n’est guère dans ses habitudes, Nerren et Swan sont en train de sympathiser activement.

Ça commence fort !

Mais tous ces mouvements d’approches sont interrompus par la Duchesse qui nous invite à la suivre dans son petit donjon.

C’est en fait une grande salle borgne avec des chaînes qui descendent du plafond, deux croix de Saint André, un chevalet et posé sur des planchettes ou accroché au mur toute une variété d’objets frappeurs, pinceurs ou pénétrateurs.

– Asseyez-vous, pour qu’on ne fasse pas d’impair, il y a des bracelets à votre disposition, rouge pour les dominants, vert pour les soumis, si vous êtes switch vous mettez les deux. Ceux qui n’ont pas de bracelets seront donc spectateurs. Pour les soumis il y a un mot de sécurité, c’est « antilope »

Je choisis un bracelet vert, n’étant pas vraiment dominateur.

– Et maintenant, mettez-vous l’aise, on va commencer, il me faudrait une domina pour m’assister… Dyane ? Viens ma poulette, mais fout toi complètement à poil, ce sera plus cool.

Je ne vois pas pourquoi la Duchesse reste habillée, mais je suppose que c’est volontaire.

Elle désigne Nadget et Ingrid et les invite à venir au milieu de la pièce, elles sont ensuite attachées par les poignets à l’aide des chaînes descendant du plafond, des pinces garnies de poids viennent leur pincer les tétons, et les grandes lèvres. Si Ingrid semble avoir l’habitude de ce genre de sévices et encaisse sans mot dire, Nadget fait une vilaine grimace.

– Ah, ça fait mal, hein ?
– Oui, mais ça va ! répond la blackette.
– Tu aimes ça souffrir, hein pétasse ?

Et la duchesse ponctue ses paroles en tirant sur les pinces du bas.

– Aïe aïe, ouille…
– Mais dis donc, on dirait que ça te fait mouiller, t’es une vraie salope.
– Oui !
– Dis le que tu es une vraie salope !
– Je suis une vrai salope, aïe, ouille !.

Et après ces mises en bouche une corde vient enserrer les deux soumises l’une contre l’autre, face contre face.

– Vous avez voulu vous bécoter, vous allez pouvoir continuer à le faire pendant que l’on va vous rougir le cul.

La duchesse tend une cravache à Dyane et les deux femmes commencent à fouetter les joufflus des deux victimes consentantes. Ça cingle fort et si Ingrid ne fait que couiner à chaque coup, Nadget braille à tout va, mais sans prononcer le mot de sécurité.

La duchesse fait signe à Dyane de stopper la flagellation. Est-ce la fin du supplice des deux soumises ? Vous pensez bien que non. La duchesse libère le lien qui les solidarisait, les fait se retourner et les colle de nouveau l’une contre l’autre sauf que cette fois ce sera fesses contre fesses.

La duchesse lève sa cravache devant Nadget. Dyane s’apprête à en faire autant avec Ingrid.

Nadget comprend qu’elle va se faire fouetter les seins.

– Non pas ça !
– Tu veux dire le mot ?
– Je ne sais pas !
– Si tu ne dis pas le mot je vais frapper…

Nadget hésite un moment, la duchesse a l’intelligence de la laisser réfléchir quelques secondes.

– Vas-y, je me laisse faire ! Finit-elle par dire.

La duchesse fait signe à Dyane que le supplice peut se poursuivre. Spectacle fascinant de voir ainsi Nadget les larmes aux yeux et poussant des cris de douleur semblant prendre un plaisir extatique à cette situation.

Je n’ai pourtant pas d’instincts sadiques, mais cette scène m’excite et je me caresse ma bite bien bandée. Mon voisin, l’un des ‘invités » en fait de même… Et voici que sa main vient s’égarer sur mon sexe. Je le laisse faire, puis lui rend la réciproque (il n’y a pas de raison !). Elle est très belle cette bite… Je la sucerais volontiers…

Mais après tout qu’est-ce qui m’en empêche ? Je me penche et hop dans ma bouche la pine du monsieur !

Et c’est qu’elle est trop bonne cette bite, un petit gout musqué qui n’est pas pour me déplaire, je procède par de longs et profonds allers et retours dans ma bouche, l’autre est content comme tout du traitement que je lui prodigue.

– Non mais regardez-moi ces deux pédales ! Intervient la duchesse qui a mis fin aux tourments des deux soumises.

Je ne sais plus si je dois continuer ou pas…

– Je parie que tu adores te faire enculer ? Reprend la maîtresse des lieux.
– Ça n’a rien de désagréable ! Répliquais-je crânement.
– Alors viens au milieu de la salle et mets-toi en levrette ! Tu aimes qu’on t’encule, tu vas être servi. Et tout le monde va regarder.

Pour moi cela n’a rien d’humiliant, j’aime ça et c’est tout !

Malheureusement l’affaire n’a pas duré longtemps, excité comme une puce, mon partenaire a du jouir dans mon cul trois minutes après m’avoir pénétré. C’est frustrant.

La duchesse nous renvoie à nos places. Je pensais qu’elle renverrait aussi les deux soumises… Eh bien non, elle avait d’autres projets salaces en tête…

Lorna qui semble m’avoir à la bonne s’immisce entre mes cuisses et fait joujou avec ma bite.

La duchesse ramène deux sièges au milieu de la salle, fait assoir Nadget et Ingrid et leur retire leurs pinces. Puis elle sort du donjon avant de revenir avec le gros chien tenue en laisse.

Pas difficile de deviner ce qui va se passer… sauf que j’ignore si Nadget va accepter ce genre de choses.

La duchesse dirige le chien vers Ingrid qui spontanément écarte ses cuisses. Le chien viens lui laper la moule à grands coups de langue ce qui fait parler d’aise la blondinette.

Après cinq minutes de ce traitement, la maîtresse du lieu entraîne le chien vers Nadget, celle-ci ferme les yeux et écarte les cuisses à son tour acceptant la. caresse buccale du quadrupède..

La duchesse essaie ensuite de coucher le chien sur le flanc, mais l’animal fait preuve d’inertie. Elle doit solliciter le concours de Dyane pour y parvenir.

Dans cette position, elle peut s’emparer du sexe du chien et le caresser avant de le prendre en bouche. Elle fait signe à Ingrid de venir la rejoindre, celle-ci semble être une habituée de la pratique puisqu’elle vient gober la bite canine sans l’ombre d’un hésitation.

C’est maintenant au tour de Nadget, laquelle hésite.

– Fouette-moi cette morue, dit la duchesse à Dyane, ça va la décider, et tape fort !

Un seul coup suffit à la décider, elle se penche vers le chien, ferme les yeux, ouvre la bouche, la duchesse dirige le sexe rougeâtre vers elle, il n’y a plus qu’à sucer

Je pensais que l’étape suivante serait la pénétration, en fait non le chien est invité à se coucher dans un coin tandis qu’Ingrid est priée de se coucher sur le sol. La duchesse après lui avoir intimé l’ordre de rester bouche ouverte, lui pisse dessus d’abondance. A ce point que la pauvre s’avère incapable de tout avaler.

– Je ne t’ai pas dit d’en foutre à côté, espèce de trainée lubrique !
– Pardon maîtresse.
– Pour la peine, je vais te chier dessus
– Oh, oui maîtresse, c’est tout ce que je mérite.

C’est vraiment la totale !

La duchesse se concentre un bon moment avant de pondre un joli boudin qui dégringole sur le visage de la soumise. Elle l’a laissé plantée là avec son étron et se dirige vers Sacha

-Toi, lèche-moi le cul, je n’aime pas rester avec le cul merdeux.

Sacha qui a dû en voir d’autres s’acquitte de cette tâche avec une décontraction surprenante.

– Alors c’était bon ?
– Délicieux, madame !
– Et tu n’as pas honte ?
– Ben non !
– Tu devrais, viens avec moi je vais te punir.
– Mais je n’ai rien fait ! Fait-elle mine de protester.
– Ce n’est pas un problème, je suis une salope et j’adore punir même quand ce n’est pas justifié.

Ils se dirigent vers Ingrid toujours à terre avec son étron sur la tronche.

– Je vais te demander de m’embrasser sur la bouche ! Indique-t-elle à Sierra mais avant une petite gourmandise…

La duchesse prélève un petit peu de matière sur le visage d’Ingrid, puis le porte à sa bouche, elle s’essuie ses doigts sales sur les joues, puis elle fait signe à la trans de s’approcher.

Sierra ne se dégonfle pas, et ces deux dépravés s’échangent un long baiser merdeux.

– Je crois que vous pouvez les applaudir ! Intervient Swan que l’on avait pas beaucoup entendu jusqu’ici

Alors effectivement on applaudit je trouve cette séquence un peu limite, mais n’empêche que ça me fait bander ! Pas simple la nature humaine !

– Si je comprends bien, ce n’était pas vraiment une punition ! Le nargue la duchesse.
– Ben…
– Mets-toi en levrette et ne bouge pas d’un poil, tu vas voir ce qui va t’arriver.
– Oh là là, j’en tremble d’avance ! Se moque-t-elle.

La duchesse ne tient pas compte de son impertinence et s’en va rechercher le chien. Elle prélève un peu de sa propre mouille et en empreigne l’anus de Sierra. Le chien a compris et encule la transsexuelle.

– Oh, la sale bête, qu’est-ce qu’elle me fait ?
– Tu vas te taire, on entend que toi !
– Oh, c’est bon, c’est trop bon, je vais jouir du cul.
– Pas moyen de faire une domination sérieuse avec des phénomène pareils ! Fais mine de se désoler la duchesse avant de venir s’occuper de Nadget qui est dirigée vers une petite banquette.

– Ne bouge pas, tu vas avoir de la visite !

Elle demande alors aux deux hommes invités et à Swan de la rejoindre.

– Allez, Messieurs, elle est à vous.! Tous ses trous sont disponibles !

Quelle poésie !

Ces messieurs dames se disposent de telle façon que la double pénétration puisse se faire aisément et c’est parti, une bite dans la chatte, une bite dans le cul de la part de ces messieurs, tandis que Swan se fait sucer.

– Tu te rends compte de la salope que tu es ? Se faire baiser par trois hommes en même temps ! Dis-le que tu es une salope !

Le problème c’est que ce n’est pas facile de parler la bouche pleine…

Nadget n’en peut plus, elle jappe de plaisir sous les coups de boutoir des deux bonhommes. Swan ne résiste pas longtemps à la fellation malgré qu’elle soit chaotique et lui décharge dans la bouche. Il se retire tandis que celui qui la baisait prend lui aussi son pied, du coup, il passe devant pour se faire nettoyer la bite. Reste le dernier, celui qui s’occupe de son cul et il ne ménage pas sa peine, le gars, il doit avoir de l’entrainement pour pilonner à cette cadence. Il finit par jouir à son tour en poussant un cri d’animal perdu. Comme son collègue il présente sa bite à Nadget afin qu’elle la nettoie. Le souci c’est que la bite est ressortie pas bien nette… Mais Nadget n’en a cure, ce n’était donc pas un soucis. L’excitation nous fait parfois faire des choses insoupçonnables !

Quant à Nerren pour l’instant il fait banquette je me demande bien pourquoi, il est mignon, il a une belle bite et de jolies fesses…

Mais c’est sans compter sur la Duchesse et son sens de l’organisation.

– Viens là, toi ! On va s’occuper de toi.

Elle lui pince les tétons assez fortement et l’entraîne au milieu de la pièce, fait se relever Ingrid qui se demande comment se débarrasser de l’étron qui lui colle au visage.

– Attends, je vais arranger ça ! Lui dit la duchesse en lui barbouillant le visage et les seins avec la matière. Et maintenant tu vas pouvoir te venger de toutes les misères qu’on t’a fait subir. Tu vois ce pédé que je t’ai amené, tu es autorisé à te défouler dessus ! D’accord.
– Avec plaisir !

Ingrid s’amuse alors à lui tirailler les tétons en tous sens lui provoquant des gémissements où la douleur se mêle à au plaisir. A l’aide d’un lacet elle lui ligature les couilles, puis après l’avoir fait retourner entreprend de lui rougir les fesses mais non pas avec la cravache mais avec une fine badine.

Pendant ce temps la Duchesse est venue dégager Lorna de sa position en la tirant par les cheveux sans trop de ménagement. Elle lui souffle quelque chose à l’oreille et je la vois se diriger vers les accessoires, s’emparer d’un gode ceinture et s’en équiper.

Quelques instants plus tard, elle enculait Nerren lequel semblait ravi de ce qui lui arrivait.

Dyane après en avoir demandé la permission est allé quérir deux godes sur la planche à accessoires, elle revient s’assoir à sa place et se loge l’un des godes dans la chatte l’autre dans le cul et se les fait vibrer. Lorna l’a rejoint et l’aide à activer les godes tout en embrassant goulument sa partenaire. Quand Dyane eut atteint sa jouissance (Laquelle fut un peu (beaucoup) bruyante !) Lorna lui subtilisa les godes pour se faire jouir à son tour (il n’y a pas de raison !)

Et voilà que la Duchesse vient me rejoindre elle s’assoit sur mes genoux me faisant face et entame une lap dance à faire bander un saint.

Et ce qui devait arriver arriva, La duchesse s’empale sur mon sexe, cette fois c’est la lap dance hard. Je sens que je vais jouir. Elle calme le jeu, cesse la pénétration… Qu’est-ce qu’elle fout ? En fait elle change de trou et c’est avec un magnifique sourire qu’elle s’auto-encule sur ma pine, tout cela avec un sourire désarmant.

Elle appelle Nerren.

– Je veux que tu branles devant moi pendant que je me fais enculer, je veux que tu m’arrose le visage.

En ce qui me concerne, vous pensez qu’avec une telle situation je ne vais pas pouvoir tenir longtemps et je ne tarde pas à jouir dans un spasme.

Elle continue néanmoins jusqu’à sa propre jouissance (elle veut me tuer ou quoi ?). puis sentant Nerren au bord de la jouissance lui fait signe de l’arroser puis ainsi maquillée elle prend un malin plaisir à me nettoyer la bite.

Moment calme, il faut bien souffler un peu.

– Bon c’était bien tout le monde est content ? On repasse à côté, on va se boire un coup !

Et bien les amis, on a bien fait de venir !

A suivre

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4 réponses à Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 4 – Le donjon de la Duchesse par Nicolas Solovionni

  1. Lisov dit :

    Je me serais bien vu, esclave de cette belle et perverse duchesse !

  2. André dit :

    Tant qu’il y a de la bite à sucer je suis toujours partant ! J’aime tellement ça !

  3. Sacha dit :

    Oh ! Ce chien !

  4. Dave75 dit :

    Oh Duchesse des étoiles !
    Je suis votre esclave !
    Punissez-moi, jumiliez-moi
    C’est si bon !

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