Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 15 – Intermède scato
Attention, épisode contenant de la scato explicite
J’interviens demandant à mes patrons la permission de me concerter quelques instants avec ma mère afin de discuter de cette proposition insolite.
– J’ai bien envie d’accepter. Dis-je à ma mère
– Tu ne vas pas faire la putain ?
– Pourquoi pas ?
– Si ça t’amuse… mais très peu pour moi.
– T’en as fait d’autres…
– On ne me payait pas !
– Ben justement, maintenant je vais me faire payer, il n’y a pas de raison.
– Hum…
– Et puis ça peut être attractif, une fille et sa mère, ils ne voient pas ça tous les jours.
– T’es vraiment une dépravée.
– Tu en es un peu responsable, non ?
– Je le conçois .
– Alors, tu essaies, et si vraiment ça t’insupporte tu pourras toujours retourner chez sœur Sainte Lucie, je suis sûre qu’elle aura une idée de rechange…
– Bon je veux bien essayer mais tu crois que l’on voudra encore de moi, à mon âge ?
– Mais bien sûr, amman tu es toujours autant désirable
Madame Galoubet nous a reçu comme des princesses, nous offrant des fruits confits et du chocolat des colonies.
– La mère et la fille, voilà qui va agrémenter mon petit commerce, cette chère madame de Préhardi nous a indiqué que vous n’hésitez pas à vous gamahucher ensemble, je peux voir ?
– Là, maintenant, tout de suite ?
– Si vous le voulez bien !.
Elle ne perd pas de temps la mère maquerelle !
Échange de regards avec ma mère qui commence à se déshabiller. J’en fait donc de même, et nous voici face à face nues comme des grenouilles.
Elle me tripote les nichons, je lui pelote les siens, m’enhardissant à lui pincer ses gros tétés. On se roule une pelle, on se caresse, mais évidemment Madame Galoubet ne saurait se contenter de ses mises en bouche…
Alors qui va butiner l’autre ? Je prends l’initiative et me baisse de façon à ce que ma bouche soit à la hauteur de son pubis. Ma langue vient au contact des chairs délicates, je lèche absorbant la mouille qui l’imbibe.
Ma mère apprécie la chose, se cambre en arrière et se pince les tétons. Je cible son clitoris de la langue et la fait hurler de plaisir.
– Vous m’avez l’air de sacrées salopes ! S’exclame madame Galoubet.
Un compliment, ça fait toujours plaisir.
– J’espère que vous avez les idées larges, je veux dire j’espère que vous acceptez toutes les pratiques y compris les moins avouables.
– Du moment que l’on ne porte pas atteinte à notre intégrité et à notre santé… Répondis-je
– Nous n’avons pas l’habitude d’abimer la marchandise.
Merci pour la marchandise !
– J’aimerais faire un petit test, je pensais aller chercher une de mes filles pour ce faire, mais ce ne sera pas nécessaire, j’ai-je crois comme une envie de chier, je vais faire devant vous.
Voilà une perspective qui fait sourire ma mère, elle m’avouera plus tard avoir déjà joué à ces petits jeux chez cette mystérieuse baronne de Beaucolombin. Moi, le chose m’indiffère.
– Nous avons quelques clients friands de ce genre de chose, autant que vous le sachiez.
Madame Galoubet avise une assiette en porcelaine de Limoges qu’elle pose par terre, puis elle se défroque, nous exhibant son gros fessier, s’accroupit et pousse.
Son anus s’ouvre et très vite un petit étron apparaît, il s’allonge vite en un long boudin marron qui atterrit dans l’assiette, elle pousse encore et un autre étron vint alors rejoindre le premier.
– Ah, ça fait du bien ! Je ne m’essuie pas le trou du cul, vous allez avoir l’honneur de le faire… Allez, au boulot !
Je cherche un linge pour ce faire mais n’en aperçoit guère. Ma mère, pour sa part a compris ce que voulais la mère maquerelle et vient lui lécher son anus merdeux. Je l’ai donc rejoint dans cette tâche insolite.
– Vous avez aimé !
– Humm c’est da bonne merde ! Répond ma mère.
– Pas mauvais ! Ajoutais-je
Madame Galoubet ramasse l’assiette et nous la met sous le nez.
– Alors n’est-ce point là un joli boudin !
– C’est attendrissant ! Répond ma mère
– Léchez-le !
Au point où on en est…
On a donc léché, et j’avoue y avoir trouvé un plaisir pervers.
– C’est bien vous allez faire une bonne paire de salopes, j’aurais ces jours-ci la visite d’un client important, qui se fait appeler le comte de Montebello, il est friand de jeux merdeux, j’espère que vous lui donnerez satisfaction.
– Comptez sur nous, Madame Galoubet, lui répond ma mère.
Un messager est venu au couvent porteur d’une lettre pour sœur sainte Lucie.
« Ma chérie cousine, la fille et la mère Savourey de la Treille nous ont donné satisfaction et maints plaisirs. Hélas, elles semblent bien provoquer la convoitise de personnages peu recommandables dont les activités ont fini par perturber la sérénité de notre maison, aussi les avons-nous renvoyées. Avec leur accord nous les avons orienté vers la maison de madame Galoubet, je suis persuadée qu’elles deviendront de bonnes putains. Je t’embrasse sur tes douces lèvres »
Et c’est signé : Suzanne de Préhardi ».
Evidemment la sœur supérieure ne put faire autrement que de montrer la lettre à ma sœur Pauline.
– De Margot, cela ne m’étonne pas tant que ça, mais de ma mère, je n’aurais jamais cru.
– Tu voudrais les rejoindre ?
– Pourquoi ? Je suis bien ici avec toi ! A moins que tu ne veuilles plus de moi ?.
– Ne dis donc pas de bêtises !
A suivre
Ben oui, une transition c’est une transition
Quand les belles cochonnes sont si sympathiques, on accepte tout même si ça peut sembler limite à beaucoup de lacteurs