Martinov 27 – La possession de Pétula – 12 – Partouze chez les Forville par Maud-Anne Amaro
Et c’est ainsi que dès la semaine suivante, le professeur Martinov, Béatrice, Gérard Petit-Couture, Florentine et Brigitte se retrouvèrent chez Hubert et Sylviane Forville (et leur fille).
Dorothée la petite bonne peu farouche remplit les coupes. On trinque au Champagne (on est en pleine région)
Florentine s’est placé à côté de Sylviane, les deux femmes ont déjà eu l’occasion de s’apprécier y compris charnellement (voir plus avant) et s’échangent quelques innocentes caresses sur les bras. Très vite la tension monte, et les deux femmes s’embrassent goulument comme des belles coquines.
– Non mais regardez-moi ces cochonnes ! Fait semblant de se choquer Hubert Forville en se tripotant la braguette.
– Ça vous fait bander, monsieur ? Intervint Dorothée
– Non mais dites-donc Dodo, vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Je devrais vous flanquer la fessée pour votre impertinence !
– Si monsieur a envie de me donner la fessée, c’est que je l’ai probablement mérité, mais vous allez me faire ça devant tous vos invités ?
– Non mais, écoutez-là, c’est de la provocation ! Quelqu’un voit-il un inconvénient à ce que je la corrige sur le champ.
Vous pensez bien que parmi cette assemblée de joyeux pervers, personne n’émet d’objection.
Dorothée dégage ses fesses et vient se coucher sur les genoux d’Hubert qui lui claque le joufflu avec conviction.
Les convives n’ont désormais plus aucune raison de se gêner, Florentine et Sylvianne sont maintenant complétement débraillées, les nichons à l’air. Ça se carres, ça se pelote, ça se titille les bouts.
Dorothée quitte un moment la salle, mais c’est pour réapparaitre avec une coupelle remplie de préservatifs et d’étuis de gel intime… Monsieur et madame Forville sont des gens prévenants
Pétula se pointe crânement devant Béatrice.
– Toi, ma grande, j’ai trop envie de te voir à poil !
– Coquine !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, bien sûr !
Les deux femmes se déshabillent et vont gagner le canapé juste derrière, où elles s’échangent les caresses les plus folles.
Brigitte pour l’instant sollicitée par personne fait signe à Gérard et à Martinov de venir la rejoindre.
Et bientôt tout le monde est à poil dans la pièce (ça fait quand même neuf personnes !) Ça se mélange, ça se caresse, ça se tripote, ça va de partenaire en partenaire. L’orgie, quoi !
Sylviane Forville après avoir joui sous les coups de langue diabolique de Brigitte s’en va voir comment se comporte sa fille.
Celle-ci se pâme en se triturant les tétons, tandis de Béatrice lui lape son abricot dégoulinant de désir.
Sylviane s’approche…
– Laisse tes bouts de seins, maman va s’en occuper !
– Oh, oui vas-y, Maman ! Pince les bien, fais-moi mal !
Martinov s’est couché à même le sol, Brigitte s’est empalée sur sa bite et offre son anus aux assauts de Gérard. Une belle double pénétration ! Après une série de mouvements frénétiques notre vert professeur se surprend à jouir, Brigitte le suit quelques secondes plus tard. Gérard lui décule sans jouir.
Ce dernier ne sait où aller donner sa queue, tout le monde hormis Hubert Forville semblant occupé.
Martinov se dévoue alors et prend en bouche le joli membre de Gérard sous les yeux incrédules du maître de maison.
Ce dernier s’approche.
– Hum vous avez l’air de vous régaler, je peux essayer !
Et c’est ainsi qu’Hubert se met à sucer la bite de Gérard avec délectation.
Hubert voudrait nous faire croire que c’est la première fois qu’il fait ça ! Quel menteur !
– Alors, vieux pédé, on suce des bites ! Se gausse son épouse !
– Ta gueule, vieille pute, tu n’as pas honte de gouiner ta fille ? Lui répond-il du tac au tac.
– Ah, non ! Pourquoi ?
Gérard a joui dans la bouche d’Hubert lequel voudrait bien prendre son pied lui aussi..
Petit tour d’horizon pour choisir sa cible… il s’approche de Béatrice.
– Mademoiselle, permettrez que je vous baise ?
– Mais faites donc, cher monsieur ! Une petite pipe avant ?
– Volontiers.
Béatrice le suce avec application, puis se retourne, lui présentant son joli postérieur.
– Si vous désirez m’enculer, ne vous gênez surtout pas, j’adore ça quand c’est bien fait !
– Ne le prenez pas mal, mais entre-nous, seriez-vous un peu salope ?
– Très salope, monsieur ! :
Florentine s’approche de Pétula et commence à la peloter.
– Attends, faut que je fasse pipi ! Objecte cette dernière.
– Moi aussi, on y va ensemble ?
Vous pensez bien que ces deux coquines ne vont pas pisser dans la cuvette. Flo demande d’abord à la jeune fille de lui arroser la bouche.
– Il a quel goût ton pipi ? demande-t-elle
– Un goût particulier, tu n’en a jamais goûté ?
– Si mais pas de cette façon.
– Explique moi
– J’ai regardé plusieurs fois ma mère pisser, ça m’a excité et parfois elle me demandait de lui nettoyer la chatte avec ma langue, mais c’est tout. Mais vas-y pisse moi dessus que je me rende compte ! Propose-t-elle en ouvrant une large bouche
Florentine ouvre les vannes et envoie un joli filet doré dans la bouche de Pétula.
– C’est pas mauvais, c’est un peu bizarre ! Déclare la jeune fille avant d’offrir ses lèvres à Pétula.
Quand elles retournent dans la salle, tout le monde est un peu épuisé par tant de gesticulations érotiques.
Hubert n’a pas joui dans le fondement de Béatrice, il s’est retiré avant et lui a déchargé son sperme sur le visage.
– C’est malin, avec quoi je m’essuie, maintenant ?
– Laisse, je vais te lécher ! Propose alors Pétula qui joignant le geste à la parole entreprend de lécher le sperme de son paternel maculant le visage de Béatrice.
Et bien sûr à la fin de cette fantaisie, les deux femmes se roulèrent un mémorable patin.
Martinov est moitié endormi, Gérard est coincé entre Brigitte et Sylvianne, ils s’échangent de douces caresses. Les fins de partouzes sont toujours un peu somnolentes.
Et voilà que Dorothée se pointe (où était-elle passée celle-ci ?)
– Madame est servie ! Annonce-t-elle.
Que se passe-t-il ? Elle n’aurait pas parlé assez fort, toujours est-il que personne ne réagit. Du coup elle se reprend et parle plus fort.
– Je disais que « Madame est servie », autrement dit si vous ne voulez pas que le gigot soit trop cuit, il faudrait passer à table, il n’y a pas que le cul dans la vie.
– D’accord on y va, mais vous ferez le service à poil, Dorothée.
– Monsieur est un cochon, mais d’accord.
Béatrice vient secouer Martinov afin de faire sortir de ta torpeur.
– Hein, quoi ?
– Ben on passe à table !
– Mais je suis tout nu
– Moi aussi !
– C’est un repas naturiste, alors ?
– On va dire ça comme ça.
– Quand même quelle aventure !
– Nous en aurons d’autres, mon petit professeur !
Fin de l’épisode
J’adore ces partouzes finales, on se suce, on s’encule, on est bien
Comme toujours, le dernier chapitre des aventures de ce bon professeur Martinov ne termine par une partouze endiablée. On se dit que c’est toujours pareil, eh bien non, Maud-Anne a le talent de nous faire vivre cette parie fine en direct comme si on y était ! Bravo !