Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 6 – Humiliées dans la chapelle
– Alors ? Demanda Sœur Sainte-Lucie.
– Alors on est crevé et on a faim !
– Nous allons y remédier de ce pas mais parlez-moi de votre mission.
– Nous avons fait respirer la poudre empoisonnée au prieur, il en est mort, son cocher aussi.
– Mais c’est parfait ça !
– Vous trouvez ça parfait ? Il n’avait jamais été prévu qu’il nous fallait devenir des assassins ! M’emportais-je.
– La sorcière qui m’a vendu cette poudre l’aurait-elle dosée n’importe comment ?
Elle a l’air de prendre la chose avec une désinvolture qui fait froid dans le dos…
– Vous êtes en train de culpabiliser, je crois qu’une petite fouettée vous remettra les idées d’aplomb..
– Je me dois de vous informer que nous avons été violées sur la route du retour par des bandits de grands chemins, nous n’en sommes pas mortes, mais on en a un peu marre de servir de joujoux sexuels
– Hum, je le conçois aisément, mais j’avais cru comprendre que vous ne détestez point mes jeux.
– Il nous faut nous reposer un peu, et après on verra. Répond ma mère.
– Alors faisons comme ça, reposez-vous. Désirez-vous une petite collation ?
– Ce ne sera pas de refus
Sœur Sainte-Lucie nous a ensuite accompagné toutes jusqu’à la cellule de Pauline.
– Ça va ? demandais-je à ma sœur, notre absence ne t’a pas pesé.
– Je m’inquiétais un peu mais Sœur Sainte Lucie a su me divertir.
– Tu me raconteras ?
– Bien sûr ! Elle lèche si bien… et j’adore son cul !
– Je vais vous laisser vous reposer, Nous indique Sœur Sainte Lucie. Demain je vous accompagnerais à Paris chez Monsieur Préhardi, c’est un banquier de bonne famille dont l’épouse est une de mes cousines éloignées. Je vous ai écrit une longue lettre d’introduction, l’affaire devrait se faire, et si par malheur elle ne se faisait pas, vous reviendrez ici, j’ai d’autres relations… soyez rassurées
– Euh, c’est pour toutes les trois ?
– Non toutes les deux, Pauline, je me la garde.
Et cette dernière me ratifie d’un sourire complice.
Un peu salope, la frangine !
Nous nous sommes reposées pendant deux heures aux termes desquelles la grosse sœur Perrine vint nous réveiller
– Sœur Sainte Lucie vous attend dans la chapelle expiatoire. Toutes les trois ! Vous devrez vous déshabiller devant-elle.
Elle devient chiante la sœur sainte Machin ! Mais on se sent obligées d’y aller.
– J’étais saisie d’une immarcescible envie de vous fouetter, ça m’a un peu passée, mais cela dit il serait bon que vous cessiez de culpabiliser sur la mort de l’abbé Royer et de son cocher. Si quelqu’un doit vraiment culpabiliser, c’est moi. C’est pour ça que je me le proposais de vous purifier. Et vous n’ignorez pas qu’elles sont mes méthodes. Qu’en pensez-vous ?
– Tout les prétextes sont bons ! Ne peut s’empêcher de rétorquer ma mère.
– Ça c’est de l’impertinence ! Je ne vais donc avoir aucun scrupule à te rougir tes fesses, Dégage-les. Voilà comme ça. Pauline puisque ta mère n’a pas été sage, je te charge de la corriger, prends cette badine et fouette-moi cette putain ! Car ta mère est bien une putain ? N’est-ce pas ?
– Une grosse putain ! Répondit Pauline, entrant dans son jeu
Pas gênée la frangine se saisit de la badine que lui tendit la mère supérieure et se met à cingler le joufflu de ma génitrice avec une ardeur insoupçonnée.
Bientôt son cul s’orne de zébrures cramoisies.
– Assez de ce côté ! Intervient Sœur Sainte-Lucie. Attachez-moi cette truie avec les chaines.
L’ordre s’adressait aussi à moi, on a donc attaché ma mère avec les chaines descendant du plafond.
– Et maintenant Pauline fouette-la devant, je veux que tu lui marques ses grosses mamelles.
– Non, pitié ! Supplie, ma mère.
Mais Pauline n’en a cure et fouette le ventre, les cuisses et les seins bien sûr, provoquant cris de douleurs et larmes.
– C’est ça chiale, tu pisseras moins ! Se gausse Pauline.
Mais en l’occurrence cet aphorisme se révéla bien faux, puisque ma mère incapable de se retenir se mit à pisser d’abondance.
– Non mais regardez-moi cette souillonne ! Détachez là, elle a eu son compte.
Ma mère croyait s’en être sortie, mais c’était mal connaître le sadisme de Sœur Sainte-Lucie qui lui fit nettoyer la flaque de pisse avec sa langue.
La mère supérieure désigna ensuite une chaise sur laquelle ma mère put s’assoir et se remettre de ses émotions.
Evidemment ce spectacle a considérablement excité Sœur Sainte-Lucie qui s’est introduit un gros cierge dans le vagin et le fait bouger de façon intempestive. Et comme cela ne semblait pas lui suffire elle s’en introduit un second, dans le rectum cette fois-ci. Quand elle ressortit les cierges après avoir meuglé sa jouissance, celui qui avait eu le privilège de la ramoner l’anus s’avéra un peu merdeux.
Elle le tendit à Pauline lui intimant l’ordre de le nettoyer de sa petite langue agile, tâche que ma sœur accomplît avec une évidente bonne volonté.
– C’est bon, n’est-ce pas ?
– C’est gouteux !
– Je ne dois pas avoir le cul très propre après cela ! Indiqua Sœur Sainte-Lucie en exhibant son popotin devant ma sœur. Dis-moi ?
– Il est un peu merdeux !
– Eh bien lèche ! Régale-toi ma chérie ! Je veux sentir ta bonne langue dans mon joli petit trou du cul.
Pauline après avoir accompli cette opération de nettoyage anal s’en alla consoler notre mère en lui roulant un gros patin, et en introduisant un doigt dans sa chatte humide, elle n’est pas rancunière ma mère !
Et moi ? Me demanderez-vous.
Et bien justement je me demandais à quelle sauce j’allais être mangée quand j’aperçois Sœur Perrine revenir (je ne l’avais pas vu quitter la chapelle) avec un chien en laisse et un bouquet d’orties à la main !
Alors là, mon sang ne fait s’un tour, je n’ai plus envie d’être le jouet de cette nonne lubrique.
– Mais où t’en vas-tu ? Me demande la supérieure ?
– Je fiche le camp ! Répondis-je en récupérant mes fringues au passage. Vous venez, la famille ?
Je m’attendais à ce que Pauline et ma mère m’emboitent le pas, mais ce ne fut pas le cas, Manifestement ma mère se trouvait fort bien ici, quant à ma sœur elle semblait hésiter.
Bien sûr la supérieure s’amuse de cette situation, (quelle garce celle-ci !) N’empêche que ça va être compliqué… partir seule, pour où ?
– C’est dommage que tu veuilles nous quitter commence Sœur Sainte-Lucie. Tu trouves que je suis trop méchante ?
– Tu n’es pas méchante, tu es complétement cinglée !
– C’est un point de vue, mais rien ne t’oblige à partir, tu peux rejoindre tranquillement ta cellule, je ne te ferais rien, si tu ne veux pas jouer, j’en prendrais mon parti.
Ah ! C’est peut-être ce que j’ai de mieux à faire, m’isoler en attendant que ma mère et ma sœur deviennent raisonnables et qu’on se casse toutes les trois de ce lieu de débauche.
– Va te reposer, ma belle, et si l’envie de jouer te revient, fais-moi signe.
– C’est ça !
– C’est dommage pour le chien !
– Hein ?
– Il va être frustré, je suis sûre qu’il avait une envie folle de te lécher la chatte, pas vrai mon toutou ?
– Ouaf-ouaf !
N’importe quoi, le chien répond en agitant la queue comme un métronome.
– T’as qu’à te faire lécher, toi ! Répondis-je.
– Mais ma chatte, il la connait par cœur, je voulais lui offrir un peu de nouveauté.
– Tu ne vas pas te dégonfler ? Intervient Pauline à qui on avait rien demandé..
– T’as qu’à le faire, toi, grosse vicieuse ! Répondis-je.
– Et si je le fais, tu le fais aussi ?
Serais-je au pied du mur ? Non quand même pas, rien ne m’oblige à relever ce défi, je peux toujours partir et attendre que les ardeurs de mademoiselle soit calmée.
C’est alors que ma mère, sortant de sa torpeur s’imbibe la main de sa mouille et attire le chien qui accourt entre ses cuisses et se met à lui laper la chatoune avec avidité.
Encore une fois, rien ne m’obligeait à rester, mais fascinée par le spectacle et ne voulant pas passer pour la mijaurée de service, je me rasseyais.
Sœur Sainte Lucie laissa passer quelques minutes, le temps que ma mère jouisse comme une forcenée sous la langue du chien, et le fit venir entre mes propres cuisses.
Les yeux fermés, je m’abandonnais à cette caresse contre nature mais tellement perverse. Je me sentais salope, mais salope !
Ma mère se lève et vient à mes côtés :
– Caresse le sous le ventre, tu vas sentir sa bite !
– Mais enfin Maman !
– Maintenant que tu as commencé, il faut aller jusqu’au bout.
– T’as déjà fait ça toi ?
– Oui, chez la baronne de Beaucolombin, elle adore faire ça et elle m’a un peu initiée.
– Ben j’en apprend des belles !
Mais pour le moment c’est Maman qui caresse le chien par en dessous, Et brusquement elle fait sortir le sexe bandé de l’animal par derrière, un gros machin rouge… Sans hésiter, ma mère prend l’organe en bouche et se met à le lécher et à le sucer.
Pauline s’approche, hésite…
– Tu vas le faire, toi ? Me demande-t-elle.
– Et toi ?
– Si maman le fait, je ne vois pas pourquoi je ne ferais pas !
– Alors pourquoi tu hésites ?
– Parce que la nature humaine, c’est compliqué !
Ma sœur Pauline a toujours été un peu philosophe !
Elle retient son souffle, ferme les yeux et se lance… et la voici à côté de Maman en train de lécher le pénis du quadrupède.
Elle donne quelques coups de langues, puis me toise d’un air de défi…
Bon, j’ai compris, je ne vais pas me dégonfler, je demande à ma mère de s’écarter et je prends sa place.
Ça y est j’ai la bite dans ma bouche, curieuse sensation, l’odeur est un peu forte, ça ne vaut pas une bonne bite bien humaine, mais n’empêche que le fait d’accomplir cet acte interdit me fait mouiller comme la dernière des salopes.
– C’est bon, hein ? Me nargue Sœur Sainte-Lucie.
– Je ne sais pas si c’est bon, mais ça m’excite.
– La pauvre bête, on ne va pas la laisser comme ça… Laquelle se dévoue ?
De quoi parle-t-elle ?
Mais ma mère, elle, a parfaitement compris et se met en levrette tandis que la supérieure attire le chien vers elle. Et le voilà qui la grimpe et qui la couvre avec une frénésie incroyable. Et cela jusqu’à la jouissance.
Croyez-moi, voir sa propre mère se faire ainsi baiser par un chien en rut a quelque chose de fascinant et ma chatte le sais bien puisqu’elle coule comme un robinet mal fermé.
– Alors tu vois que tu as bien fait de rester ! Me dit Sœur Sainte-Lucie.
– J’avoue.
– Viens là on va s’envoyer au ciel.
Ma voilà en soixante-neuf avec la supérieure, on se lèche l’abricot mutuellement et je me régale de ses chairs humides. A côté de nous Pauline et ma mère font la même chose.
La chapelle s’emplit alors de nos cris de jouissance.
– Je fais quoi des orties ! Intervient Sœur Perrine qu’on avait guère entendu jusqu’alors.
– Pose les sur une chaise et assis toi dessus !
– Mais ça pique !
– C’est excellent pour la circulation du sang ! Reste comme ça quelques minutes et regagne ta cellule. Nous on va faire de même on a besoin d’un peu de repos après toutes ces turpitudes !
Au prieuré de Mornay-le Château on eût tôt fait de s’inquiéter de l’absence de l’abbé Royer, les langues se délièrent vite, on l’avait vu sortir en charrette avec deux religieuses que personne ne connaissait et se diriger vers le sous- bois.
On retrouva vite les deux cadavres et il ne fut point nécessaire d’être grand clerc pour conclure à un double meurtre par empoisonnement.
On chercha donc deux religieuses, on en trouva deux qui n’y étaient pour rien mais le jardinier du prieuré jura ses grands dieux que c’était bien elles !
Voilà qui tombait bien, le prévôt du lieu voulait des coupables et montrer à la populace l’efficacité de la maréchaussée.
Un peu de torture et les deux innocentes avouèrent tout ce qu’on voulait les faire avouer. Le procès s’annonçait retentissant, il n’eut jamais lieu, les deux présumés coupables ayant subitement disparues de leur cellule. On soupçonna évidemment le geôlier, lequel devint introuvable. Il y a des choses bizarres quand même !
A suivre
Tout y passe ! on se régale
Dommage que le broute minou entre Pauline et sa mère ne soit pas du tout développé, c’est si bon de lécher la cramouille humide de sa mère !
Le passage avec le chien m’a mis dans un état…
Une lecture matinale très excitante
Délicieuse volupté !