Tant va le Temps…Tant va le Cul… 35 – Coup de crayon… pas innocent ! par Verdon
Armand est un gentil garçon d’une quarantaine d’années, qui vit bien de son travail de commis voyageur. Il parcoure la France pour visiter des boutiques de marchand de journaux, des débits de tabac, des restaurants et des cafés. Il propose à ces commerçants, des fournitures de librairie, mais surtout, des cartes postales, qu’il leur fait découvrir sur de grands catalogues pour prendre des commandes.
Il me faut préciser qu’on est dans les années 50. Après le marasme de la guerre, l’économie repart, le commerce marche bien, d’autant que le courrier est alors le seul moyen de communication.
Parmi toutes ses propositions, il y a bien sûr des photos des villes et des villages de la région qu’il traverse, des cartes de vœux, des dessins humoristiques, mais aussi quelques photographies floutées, de femmes nues dans des poses coquines, ainsi que des dessins du même genre. Œuvres diverses et érotiques très recherchées, mais distribuées qu’en sous-main, car cataloguées à l’époque, comme œuvres pornographiques. Lui-même, ce cher Armand qui est un artiste, en dessine des bonnes et des meilleures.
Armand est marié avec Léonie. Une charmante petite femme, douce, dévouée et très femme au foyer (selon l’air du temps). Elle ne travaille pas à l’extérieur si ce n’est de temps à autres, chez le paysan du coin pour ramasser des légumes et améliorer le menu quotidien. (Et, paraît-il, qu’elle ramène surtout des carottes et des courgettes ???…Allez savoir pourquoi !).
Son mari n’est pas souvent à la maison, mais elle est toujours là, prête et amante pour le recevoir en amoureuse quand il revient. Et il lui faut être très disponible en ce moment-là, au risque de se faire un peu bousculer par son amoureux, très exigeant, si elle ne le satisfait pas comme elle se doit.
C’est que le pauvre homme, après une ou deux semaines de travail et d’abstinence sexuelle, a bien droit à quelques compassions d’une épouse qui ne ‘fout rien à la maison’ (Oh ! Le salaud !), et dès qu’il arrive, il est très impatient, le Monsieur…
– …Chéri…tu vois bien que je fais la vaisselle !
– Ecarte donc les cuisses… je n’en peux plus… bon sang !
– Mais voyons !… j’ai les mains dans la bassine…
– Eh bien, mets du savon… Ecarte que je te dis… voilà, comme ça… ouvre-donc tes fesses !
– Non ! Pas par là…. Tu me fais mal !… Tu te trompes de trou !…. Ouille !!!… Ohhh !
– Eh bien tu vois… ce n’est que ça !… Humm… Clap… Clap… Que tu es bonne ma Chérie !…Oui dis-moi que c’est bon de me retrouver…Toujours aussi bon ton petit cul !.. .Tu la sens bien ma pine ?… Dis-moi que c’est bon !…
– Oh ! Comment tu parles !… Oui c’est bon mon Chéri… Tu en avais bien besoin mon choux !… Ouille !… Mais elle est grosse, tu sais !… Tu es trop pressé… Je t’aime !
– Grosse !… Grosse… C’est parce que tu es serrée ma biche !… Hum ! C’est bon !
Alors il la monte dans la chambre, pour lui faire un tas de bonnes choses et rattraper le temps perdu. Bien sûr, la vaisselle va attendre, mais tant pis elle la finira après l’amour quand lui aura droit à se reposer…
Elle va se faire ainsi bousculer pendant une bonne partie de la nuit. Mais en fait ça lui fait plaisir de retrouver un bel homme dans son lit. C’est vrai qu’elle est un peu dure la pine de son chéri, mais c’est normal, un homme ça doit avoir de la couille. Elle assume et elle est fière d’avoir un tel homme dans son lit. Et puis, ç’est mieux que la quenouille de son vieux Tonton qui vient la voir pour combler leur solitude et se faire sucer de temps en temps. (Bon ce n’est pas qu’elle est salope la Léonie, pas du tout… .mais c’est juste pour ne pas laisser flétrir son jardin d’amour. Et il est si gentil et si doux le Tonton !…).
Remarquez que Armand, il n’est pas tellement à plaindre…Vous avez compris qu’il est toujours très affamé le monsieur, alors quand ça presse, ça presse. Ce n’est donc pas rare qu’il ne se fasse une petite fantaisie, au cours de ses pérégrinations. Lui aussi il ne peut pas se permettre de laisser son os à moelle se rétrécir, sans le tremper de temps en temps dans un bocal très accueillant. D’ailleurs, il est tout heureux de prendre ces distances avec son épouse. C’est excitant de faire des découvertes. Ça lui permet de tâter des chairs nouvelles et d’évacuer une certaine routine qui se crée fatalement quand on fait sa soupe toujours dans le même chaudron.
Et puis la Léonie elle est bien gentille, mais il sent bien que le cul ce n’est pas toujours sa tasse de thé, alors il se soulage, le vaurien avec des dames plus consentantes… il est pour le partage des joies, Armand !… il a bon cœur… Il va au secours de pauvres âmes abandonnées !
Vous voyez donc qu’il sait profiter de la vie Armand. Il y a aussi un truc qu’il aime bien le brave homme, comme bien des autres d’ailleurs (suivez mon regard…), s’est se faire enfiler un doigt dans l’anus quand il la baise Léonie…Elle n’aime pas trop, surtout quand il lui dit :
– Mais suce donc ton doigt, feignasse ! Tu vois bien que ça ne glisse pas…
– Mais il est sale mon doigt !… C’est cochon !
– Non mais tu ne vas pas nous faire la mijaurée… Parfois tu me le lèches bien le cul !
– Alors elle le lèche, et elle est contente, parce que quand ça rentre bien… il lui fait un putain d’amour à lui décrocher les ovaires !
Elle fait cela si bien que finalement Armand a été tenté de se faire sodomiser, pour voir ce que ça fait. Et même, de temps en temps il ne sait pas refuser, le timide… (mon œil !…).Mais il est plutôt chevalier de la rosette, notre ami, aussi se faire enculer, ce n’est pas ce qui lui fait mouiller le trou de balle, mais quand même :
Ça vous en bouche un coin (comme il dit..),
Et puis comme il est passé par là, il sait y faire avec les autres et il peut dire à sa petite femme.
Allez, ouvre tes fesses, on n’en meurt pas… (et c’est vrai, non seulement elle n’en meurt pas, mais en plus ça lui donne une sacrée pêche quand il la bourre avec sa pompe à vélo !).
Elle se doute bien Léonie, qu’il doit faire cela avec d’autres nanas et même avec des mecs le salaud…
L’autre soir, après l’amour, alors qu’ils se câlinaient allongés sur le lit, ne lui a-t-elle pas dit :
– Oh Chéri ton petit trou ce soir il a un délicieux parfum exotique !… (Pardi !…Il s’était payé une fille des Iles ce jour-là ! Alors le mari, bien sûr, lui a rendu la politesse… Hi, hi… elle a le nez fin la Léonie !).
Ce n’est pas grave, pense-t-elle. Il est tellement amoureux quand il rentre. Et puis, on l’a dit… c’est un homme !
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Donc, pour en revenir à l’histoire, ce dimanche soir, notre voyageur se présente au « Au coin du Feu », un petit hôtel bar-restaurant, situé dans une bourgade dont je ne me souviens plus du nom. Il a l’intention d’y séjourner une dizaine de jours pour y accomplir sa tournée dans les lieux et les environs, en quête d’acheteurs pour remplir son carnet de commandes
.
Le coin est pauvre et pas très reluisant, comme toute la France d’après-guerre. Les gens sont quand même sympathiques, l’accueil est agréable et les commerçants sont attirés par ses fournitures qu’ils affichent sur leur comptoir (pas toutes évidemment… les intéressés savent ensuite où trouver les séries spéciales, qu’on ne peut pas mettre entre toutes les mains et qu’ils cachent à leur femme).
En cette fin de chaude après-midi, il y a du monde au bar ou devant les tables. Ça discute, ça crie, et ça chahute quelques donzelles esseulées, qui rigolent en faisant froufrouter leurs longues robes blanches pour montrer leurs jambes. Tout le monde se dit bonjour et Armand, l’étranger, on l’invite à boire un coup….
– D’où viens-tu… comment c’est ailleurs… ça marche le commerce ?… Et les filles ?… Etc. Et patati et patata…
– …Et, savez-vous s’il y une chambre de libre ?
– Une chambre de libre ?… Mais elles sont toutes libres, s’écrie une jeune femme qui s’approche et semble être une employée de la maison. Je peux vous en faire visiter une tout de suite si vous le désirez… mon brave !
Bien sûr qu’Armand le désire et il lui emboîte de suite le pas, en grimpant l’escalier derrière elle
Jolie, svelte, vêtue d’une blouse grise, elle est en savates. Une ceinture à la taille donne du relief à sa forte poitrine, ainsi qu’une belle attitude et de la fierté. Sa chevelure bien soignée est brune. Le tout est agrémenté d’un charmant sourire.
En la suivant, l’œil toujours à l’aguet, Armand note que dessous sa blouse elle porte une jupe relativement courte qui laisse entrevoir ses genoux quand elle relève un peu sa jambe pour monter les marches. Elle ouvre la porte d’une chambre…
– Voilà, Monsieur, le lit est refait de ce matin et vous avez tout ce qu’il faut dans les toilettes, le dîner est à 19 heures et le petit déjeuner à partir de 6h30 demain matin. On peut vous réveiller si vous le désirez.
– Ah je veux bien me réveiller dans vos bras, lui répond ce sacripant d’Armand avec un gros rire équivoque…
– Bien…je frapperais à votre porte, lui dit-elle, avec un sourire faussement outré mais somme toute assez équivoque lui aussi.
Au repas il descend dans une salle pas très bien éclairée, qui est presque vide, sauf une Dame d’un certain âge, épaisse, mal habillée, elle est attablée devant un repas déjà servi, qu’elle dévore à côté d’un petit mec d’aspect bizarre et qui adresse un grand salut au nouvel arrivant. Elle dit bonsoir, mais ne bouge pas, fait plutôt une grimace et continue à bouffer sa soupe en grognant.
Je vais vite apprendre que c’est la patronne et qu’Adèle, la servante, n’est autre que sa nièce, tandis que le bout d’homme à ses côtés est son mari.
Au dîner Adèle nous fait la surprise d’apparaître en tenue de serveuse. Elle a quitté sa blouse et, très élégante se présente dans une petite robe de soubrette, qui virevolte à la cadence de ses petits pas et des soubresauts de son petit cul qu’elle agite apparemment avec beaucoup de plaisir.
En attendant le service, Armand sort son calepin, par habitude, pour prendre des notes concernant son boulot. Mais très déstabilisé par cette présence féminine, il n’écrit pas des notes, il gribouille quelque chose sur sa feuille blanche.
Très intriguée, la demoiselle donne un coup d’œil sur ce qu’il fait…
– Je dessine une demoiselle, lui dit-il.
– Oh ! Vous dessinez bien ! Mais c’est qui que vous dessinez ?
– Eh bien c’est vous !…
Elle ne le croit pas, mais à chaque passage près de lui, elle cherche à en apercevoir davantage.
– Boff ! ce n’est pas vrai, ce n’est pas moi ! ça ne me ressemble pas.
– Mais si…Voyons c’est bien votre jolie tenue…Tiens regardez (et il lui présente le dessin de plus près).
– Je ne suis pas comme ça !… Vous lui avez fait un trop gros postérieur à votre poupée.
– C’est vrai, le vôtre est bien plus joli… mais ça lui ressemble ! … non ?
– Pfff !… Un cul pareil !… (Et elle se sauve…en le dandinant son joli cul…).
Quand elle revient, Armand, malin comme un vieux renard, fait tomber sa fourchette par terre. Aussitôt Adèle se baisse en se courbant pour ramasser le couvert qui s’est glissé sous la table voisine.
Alors là !…Putain de Manon !…Qu’est-ce qu’il voit notre filou ?…
Ce qu’il voit sous la jolie jupe de la belle serveuse qui se courbe franchement pour récupérer la fourchette !…C’est :
Un de ces culs mes amis !…. Un cul magnifique, nu, tout blanc, fendu de haut en bas comme une pêche trop mûre, un cul frais, souriant, profond…tellement vertigineux que quiconque se trouvant au bord d’un tel précipice… ne peut qu’y tomber dedans !
Et c’est ce qu’il fait notre pauvre ami… Sûrement pas au péril de sa vie, mais il y tombe !… Mais que voulez-vous, dans un tel moment on ne réfléchit pas… on assume. Il a le bras tellement lourd le brave homme, qu’il ne peut le retenir… il descend le membre tendancieux, il descend… et déjà le voilà qu’il se glisse entre les deux lobes voluptueux du fessier de la Belle !… Et quels lobes !…
Et il descend encore dans la tiédeur humide de la raie de ce cul, qui va s’élargissant, le fripon, accueillant, moelleux, bouillant, doux et irrésistible comme un sable mouvant.
Effrayé, incapable de se maîtriser, décidé, Armand tend son index, (un bon gros doigt qui a déjà rendu de bons services par ailleurs, à des Dames galantes), et il l’enfile, le bienheureux, dans la rosette parfumée, profitant de la porte ouverte !
Oh ! Putain qu’il y fait Chaud dans ce trou, nom de dieu !
Qu’il est velouté !…Qu’il est gras !
Et serré !…Mes amis…Oh si serré !
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Mais vous pensez bien, chers lecteurs, et vous avez raison, que ce bon moment a duré en réalité, beaucoup moins de temps, que celui que je mets à vous le décrire.
Car sous le bel aspect de ce joli cul, se cache l’âme d’une petite garce, qui n’ayant pas su apprécier la bonne courtoisie, se retourne et décoche à notre amateur avisé, une putain de gifle carabinée qu’il se prend en pleine poire.
Avant qu’il n’ait compris lui-même d’où et pourquoi ça lui arrive, elle décroche, et se barre en l’insultant de tous les noms.
– Merde ! Mais qu’est-ce qu’il lui prend à cette conne ! Je lui ai fait mal ?
N’aime-t-elle pas la chose ?… Pourtant elle me le montrait bien son insolent popotin !
Peut-être ais-je été un peu impoli.
C’est qu’elles sont comme ça, les Dames… Il faut tourner un moment autour du pot, avant de tomber dedans !… Elles aiment bien se faire chouchouter, surtout à cet endroit-là, si difficile à apprivoiser. C’est normal.
Il leur faut de la préparation, comme on dit. Quelques chatouilles autour de la rosette…Humm ça fait du bien. Ça fait pleurer le minou…ça excite la crainte et puis l’envie…et après, elles crient…
– « Ouii !…Oh ! C’est bon ! ».
Mais vous m’avez bien compris, il ne l’a pas prise en traître… (Oh, un petit peu, tout au plus !…), il a glissé…oui, son gros doigt a glissé comme dans du beurre… (N’est-ce pas là, une bonne excuse ?), et il n’a pas pu le retenir…nom d’un chien ! C’était si bon là où il allait !…Même qu’elle le serrait son petit trou, la vicieuse !…
Ah, mais oui, elle voulait sûrement quelque chose de plus gros… pardi !… il va lui en foutre de la bite au cul, à la vilaine… attendons qu’elle revienne.
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Mais elle ne revient pas. Elle finit son service et elle se casse.
Dépité, Armand range ses affaires et se prépare à se lever quand en regardant ses mains il se prend de nouveau une sacrée émotion… vous n’allez pas me croire !
Sur son index, son bel index de dessinateur, vigoureux et inquisiteur, il s’aperçoit qu’elle a laissé la fugueuse, un insidieux souvenir !… Une marque. Peut-être pas de noblesse, certes, mais une marque quand même.
– Oh La salope ! Se dit Armand, en voilà des manières de petite dame malpropre ! Je ne lui ai pas demandé la preuve de mes délicatesses !
Bon eh bien puisqu’elle en veut une preuve, se dit-il encore, je vais lui en laisser une…Et détachant la page de son calepin sur laquelle il a dessiné la beauté, du bout de son doigt crotté, il te lui barbouille une superbe virgule, la signature explicite de ses inconvenances !
Puis, laissant le papier sur la table, il monte dans sa chambre…
En passant devant la table de la patronne, celle-ci lui décoche un de ces :
– Cochon !
– Jalouse ! Qu’il lui répond…
Le petit bonhomme à côté d’elle pouffe de rire…Mal, lui en coûte, car à son tour il se prend une dégelée en pleines joues !… (Décidément, ici les gifles tombent à la pelle !…).
– Crétin !
Alors après ce joyeux intermède, Armand s’endort la tête pleine d’images inconvenantes et délicieuses, non sans s’être payé auparavant, une bonne branlette dont il étale la crue sur les draps. Sublime carte de visite pour Adèle et sublime vengeance en même temps (où l’on voit que les hommes ont la vengeance bien douce certaines fois !). Elle aura tout loisir, le lendemain matin, de méditer sur la nature des hommes, de leurs indélicatesses, et des bienfaits d’un doigt dans le cul.
Il s’endort notre excité en maudissant avec regret, le cul d’Adèle.
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Au petit matin, sourire en moins et blouse de retour le service est vite fait et la Belle disparaît. La vieille par contre mieux accoutrée, est plus gracieuse. Elle a au moins des rondeurs sympas et on pourrait presque lire sur son disgracieux visage, une once de gaieté. Le mari n’est pas là.
Ce lundi soir il y a un peu plus de monde à table. Notre jeune serveuse n’est pas là. C’est la patronne qui fait le service. Attifée d’une longue robe, et d’un décolleté prometteur, elle s’empresse autour d’un freluquet qui n’a d’yeux que pour ses seins, Armand a rangé sa main baladeuse, il ne souhaite pas renouveler l’expérience précédente, d’autant que la vieille a une sacrée paluche.
Le service est parfait.
Armand monte dans sa chambre. Au passage, il dépose sa serviette dans la case appropriée. Il y découvre une enveloppe, l’ouvre et stupéfait, manque de louper une marche en montant dans l’escalier.
Il a entre ses mains, le dessin d’hier soir, toujours agrémenté de sa … signature qui est soulignée de quelques graffitis qu’il ne peut pas lire, dans la pénombre.
Quand il arrive à lire ce qui est écrit sur le bas de la feuille, son émotion grandit tout à coup et son cœur se met à battre violemment !
– « mercredi soir, 22h, chambre 4 »…
Il n’en revient pas Armand !.. Ce n’est pas possible… Elle a changé d’esprit !… Elle regrette son geste… Elle est devenue raisonnable… la chichiteuse !… Serait-elle devenue ‘cul mettable’ !
Je vous laisse deviner la joie, l’enthousiasme, l’impatience de notre brave homme qui du coup se met à gamberger sur la suite des événements.
Si elle l’invite dans sa chambre, ce n’est sûrement pas pour parler de la pluie et du beau temps ! Elle lui a pardonné. Il doit lui plaire. Si elle ne craint pas de le recevoir… c’est qu’elle regrette sans doute de l’avoir remballé… après tout n’est-il pas bel homme !
Allons donc, le doigt dans le cul, c’était une petite escarmouche, ça a piqué un peu son égocentrisme, c’est normal. Mais elle connaît les mecs : « le cul avant tout !… ».
Et puis si elle l’attend mercredi, c’est que ça lui a plu ce doigt… Mais sûrement, donc elle en veut davantage !… Certainement d’ailleurs, car dans ce bled, ce n’est pas tous les jours qu’elle doit se faire renverser par un beau mec ! (pas fanfaron le mec en question…).
Il se voit déjà en train de la sauter, notre Armand !
Putain, jusqu’à mercredi soir ! Deux jours à patienter… (Ce doit être ses jours de repos.). Il ne va pas tenir, c’est impossible à en perdre la raison… nom d’un chien ! Il n’en dort pas de la nuit.
Heureusement le lendemain il reprend du poil de la bête. Il s’égaye, il siffle dans la rue, il manifeste sa joie devant ses clients, et fait même de bonnes affaires !… Ah l’amour !… ça mène à tout.
Plus le moment approche et plus il se réjouit et imagine la folle nuit qu’il va passer avec la Belle.
Il va se la bichonner la coquine, la bécoter bien sûr. Et ses seins ses bons gros seins qui est-ce qu’il va se les peloter, nom de dieu ! Il lui bouffera la chatte… Car elle doit avoir le minou bien tendre… oh oui il va la baiser à fond… elle doit aimer cela !… Elle va les ouvrir ses guibolles !
Et son cul bon sang ! Ce cul dont il a déjà goûté un petit échantillon, le salaud, il va lui lécher la rosette ! C’est si bon un trou du cul !… (Ben oui !, j’ai oublié de vous dire, qu’il le connaît le goût de son cul…le voyou !…Si vous l’aviez vu sucer son doigt l’autre soir !…).
Et après, quand elle va ressentir du plaisir aux portes de l’anus… quand elle va miauler… et qu’elle va lui tendre son petit cul, c’est là qu’il va lui enfiler sa bite dans le trou… le charmant !
Oh oui, d’un seul coup, d’un seul ! Ras ses burnes… c’est sûr !
Bon il ne va pas l’entendre crier, c’est vrai…Mais les hommes c’est comme ça… c’est la bite qui commande, ce n’est pas les oreilles…
Ce n’est qu’un petit moment à passer (quoique si c’est long…), mais dès que les couilles sont vides et les oreilles débouchées… c’est là qu’il va entendre la chérie se pâmer, roucouler, piailler et dire des encore… des oui ! … des c’est bon et des je t’aime… des cris d’amour, quoi !
Ah oui ! Elle va être contente Adèle !
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Ce soir c’est le grand jour…
Mais elle n’est pas là la mignonne…. Ah, si, elle sert un beau monsieur, là-bas au fond de la salle. Sans doute un habitué car elle est plein d’attention envers lui. Très souriante avec lui, elle fait une drôle de mine en passant à côté d’Armand.
Un peu plus tard le client a disparu. Elle quitte son service en retirant vivement son tablier qu’elle jette négligemment sur une chaise… Elle a l’air en colère… Et pour cause (se dit Armand), elle a autre chose en tête ce soir, et ce vieux con exigeant qui l’emmerde … il ne peut pas lui foutre la paix !
Ben oui, elles sont comme ça les femmes, quand ça commence à bouillir dans la marmite, ce n’est pas le moment de leur raconter des balivernes…
Après tout, se dit Armand, ce n’est pas plus mal qu’elle ait les nerfs à vif… il aime bien dompter une femelle un peu surexcitée. (Il a remarqué souvent que ce sont les mêmes qui ont la tête embrouillée, qui ont le cul surchauffé !).Aussi est-il temps, avant qu’elle ne refroidisse, qu’il aille se préparer. Il grimpe dans sa chambre.
Il se douche, se brique, se parfume du bout des cheveux jusqu’aux orteils et sans oublier le trou du cul… (On ne sait jamais, il y en a qui……ben oui j’en devine parmi mes lectrices, qui ont la langue pointue et bien gourmande…hi, hi, inutile de vous cacher derrière votre écran, mesdames !)… Quoique attention… « Cul parfumé, n’a pas de fumet ! »… (Ah oui… vous êtes au courant… Vicieuses, va !).
Il se branle un peu pour s’assurer de sa forme…Oui, ça va, il l’a bien raide…elle va jouir la Belle. A poil devant la glace il s’examine, le fier à bras. Il n’y a rien à dire…bonne gueule, belle pine. Son gland rubicond est tellement bandé que le prépuce se trousse tout seul. Avec son petit trou à pisse épanoui, on dirait la gueule d’un Rockefeller prêt à sauter sur sa proie !
Il est heureux Armand, il a du panache. Ah ! Avec ça si elle ne tombe pas dans les pommes…il lui faudra du gorille à l’Adèle !
Bon, il est derrière la porte, ch.4. Il va frapper…Il frappe.
Des bruits de petits pas qui accourent…
La porte s’ouvre…
Il entre…. !
– Waouh !…Euh !…
– Excusez-moi !…Je me suis trompé de chambre !…
Il va pour se retirer.
– Mais non ! Pas du tout ! Entrez, elle est là …
Sur le pas de la porte, c’est le fameux petit mari de la patronne, qui invite Armand à entrer. Il est habillé comme un maître de cérémonie, avec chapeau haut de forme, nœud papillon et souliers vernis.
Mais qu’est-ce qu’il fout là…celui-là ?
– Entrez, Madame vous attend.
– Madame ?…
Désemparé, Armand, fait quelques pas hésitants, dans la chambre et c’est alors qu’il découvre, debout devant lui… la patronne, dans une tenue de soirée, légère, blanche et presque transparente, Armand s’attendait à rencontrer la nièce,…. Il tombe sur la tante… Il est partagé entre l’incompréhension, l’envie de fuir… la colère… et un brin ébloui par ce qu’il voit.
– Mais qu’est-ce qu’elle me veut, la vieille ?…
– Viens dans mes bras mon chou !….
– Pfff !…
Ça y est, il réalise…
Il s’est fait rouler par cette garce d’Adèle…
C’est sa vengeance…
Il voulait une poupée, elle lui colle un boudin ! La salope !
Merde ! Si ce n’est pas une nouvelle claque ! C’est un fameux râteau qu’il se prend et il en fait les frais, le pauvre amoureux !
Boudin de matrone contre un petit cul de vingt ans… Ah la salope !… Il va aller de ce pas, lui chauffer les fesses à cette garce !…
L’envie de fuir lui reprend…Mais il a peur de passer pour un con devant les deux nanas… Il ne sait pas comment s’en sortir, mais à bien regarder, il ne la trouve pas si boudin que cela, la gonzesse !
Ben non, maintenant qu’il l’a sous les yeux, sous le nez pourrait-on dire, elle a l’air comestible la ganache ! Elle a de la chair à revendre, nom de dieu ! Des tétins de Normande ! Et des cuisses, putain de cuisses ! (Et encore il n’a pas vu son cul !…).
C’est qu’elle est plantée là, nue sous sa robe transparente, le ventre en avant, la chatte grisonnante… elle n’a pas mis de muselière… ben voyons !
Et son petit mec, derrière elle, est déjà en train, de lui retirer son unique vêtement !
Armand sent bien qu’elle veut faire joujou… elle veut un nonos, un bon gros nonos…. Eh bien elle va en avoir …. et du bon, car apparemment elle n’est pas du genre à se plaindre d’un doigt dans le cul !…
Ah oui ! Sûrement il va se la sauter la mémé et quant à sa garce de nièce… Qu’elle aille se faire empapaouter par les Grecs… (Elle reviendra quand elle aura pris goût à la chose…Hi, hi !).
Il n’a pas encore desserré la ceinture de son froc (évidemment, il sait prendre rapidement les bonnes décisions, notre ami !), que dans un frou-frou chatoyant, la robe de la Dame glisse le long de son corps voluptueux et chute sur ses chevilles….
……………………………………………
Armand n’a pas devant lui la vision harmonieuse de la jeune femelle qu’il attendait….
Mais au contraire l’apparition de superbes rondeurs croupières offertes à son regard et bientôt à sa queue déjà bandante et tétanisée de désir…………
Elle est là, nue, face à lui, seulement couverte d’un grand chapeau des années trente…Ses tétons insolents bandent sur ses gros seins.
Provoquante, la cuisse avenante, la chatte foisonnante et palpitante, elle fixe insolemment son invité les yeux dans les yeux !
Retenez-le, Armand !…………
Il va nous faire un malheur !…
Quoique !!!
15/03/2024
Qu’en termes bien choisis cette gaudriole nous est narrée