Les amants des cimes
par Urso21f
Cela faisait 3 heures que je montais ce chemin de montagne, et j’arrivais enfin dans les alpages. Là une clairière avec une petite rivière et une grand vasque que, le courage aidant, j’utiliserai pour me baigner. J’étais nu car au fur et à mesure de la montée, ne voyant et n’entendant personne, j’avais enlevé progressivement tous mes oripeaux, pour sentir la petite brise matinale me faire frissonner, et caresser mon sexe et mon entrejambe poilu. Je grignotais deux trois choses et m’endormis sous le soleil.
Ce sont les pas d’un marcheur qui me tirèrent de mon sommeil. En fait, il venait vers moi.
« Tu as trouvé le meilleur endroit !, cela te gène que nous venions avec toi ? »
« Non bien sur, un peu de compagnie… ».
Je n’accordais pas d’importance au « nous ». Il posa ses affaires et se mit au naturel. Me tournant le dos, il sortit des affaires de son sac, et accroupi, il m’offrait la vision de son sexe et de son anus dont je remarquais tout de suite les bords bien renflés ce qui déclencha une érection bien visible que j’essayais de cacher mais pas assez rapidement.
« Quelle trique, dis donc !, c’est mon cul qui te fais bander ?, hétéro ?, homo ?, bi ? »
« Plutôt bisex »
« Super, les filles seront contentes, mais elles ne seront là que dans une heure, nous pouvons commencer sans elles »
« Voilà un petit déjeuner imprévu ! »
« Tu permets ? »
« Les filles, quelles filles ? ».
Sans répondre, il sortit du sac une pochette de capote et de gel, installa sa serviette près de la mienne et commença une fellation délicieuse, titillant mon gland, mes couilles, avant d’enfourner ma hampe à pleine bouche. Rapidement, il se mit tête bèche pour un 69 endiablé.
Tout en suçant, léchant, aspirant son sexe, mes doigts s’approchèrent de l’anus, que je découvris bien souple. Saisissant le tube de gel, je le massais, dans un geste circulaire, déclenchant des gémissements de plaisir. Il fit rapidement de même avec moi, et nous nous retrouvâmes chacun avec une bite dans la bouche et plusieurs doigts dans le cul. De longs moments passèrent, sous le soleil, dans le silence de la montagne, troublé seulement par nos bruyants soupirs. A un moment, il demanda à m’enculer. Sitôt dit, sitôt fait, il enfila une capote et pénétrait mon fion dilaté. C’était merveilleux, et tandis qu’il allait et venait, il m’empêchait de me caresser pour, disait-il, lui faire subir le même sort. Je sentis rapidement son sexe se tendre, grossir et se spasmer. Je l’enculais, à mon tour, hardi petit et j’allais jouir quand soudain j’entendis une voix féminine derrière moi.
« Jean ! gros cochon, tu as trouvé de quoi t’amuser semble-t-il, et puis avec un cochon de montagne tout poilu et tout bronzé !».
Joignant le geste à la parole, elle vint me caresser les fesses en titillant les poils, la raie encore enduite de gel et les testicules ce qui me fit jouir sauvagement sous l’œil amusé des filles qui se mirent à poil.
« Bon les garçons, il va falloir s’occuper de nous, pour l’instant, nous, on va se baigner » dirent-elles en s’éloignant.
Jean me proposa alors de partager un comprimé de sildénafil bleu pour « tenir le choc de ses deux compagnes ».
Ils étaient trois dans la région, Jean et Christine qui étaient ensembles et Marie qui sortait d’une séparation. Tous avaient comme moi la cinquantaine, voulaient profiter de la vie et se lançaient à corps perdus dans la bisexualité. Christine était châtain et Marie brune. Les deux avaient le sexe glabre. J’étais brun et bien poilu sauf le sexe que je rasais régulièrement. Jean était blond et assez peu poilu, bien foutu. Nos deux sexes étaient équivalents et supposés bien suffisants pour contenter ces dames. Jean et Christine avaient loué une maison avec piscine et avaient invité Marie à une renaissance, sinon affective tout du moins sexuelle voire bisexuelle. Cela semblait marcher puisque Marie semblait radieuse.
Les deux filles après avoir batifolé dans l’eau froide, avaient étalé leurs serviettes et visiblement Christine tentait de réchauffer Marie par un cunnilingus. Nous nous approchâmes et nous primes la place de Christine. Jean, vantant ma douceur et mon savoir faire, me confia Christine et s’occupa de Marie. Les moules des filles étaient froides de leur baignade dans l’eau de montagne, mais à coup de langue, de mordillages, d’aspirations, nous eûmes le plaisir de voir le rose remplacer la pâleur des lèvres, petites ou grandes, et des gémissements se firent entendre. Marie :
« La première qui jouit a perdu ! ».
Les clitoris étaient offerts, les petites lèvres, maintenant gonflées, étaient stimulées par nos langues avides de boire la cyprine qui coulait. Ma langue allait aussi titiller la rondelle de Christine qui visiblement aimait cela. Jean fit perdre Marie en glissant un, puis deux doigts dans celle de son amante. Christine ne fut pas longue à suivre et elle jouit bruyamment en serrant la main de sa copine.
« Mais regardez ces satyres en rut » s’exclamèrent les filles.
En effet, sous l’effet du léchage de foufoune, du soleil sur nos fesses et nos raies, et de la petite pilule bleue, nos sexes étaient tendus comme jamais. Quasi levés à la verticale nous avions vraiment l’air de satyres grecs. Les filles se saisirent des vits dressés et les gobèrent goulument. Elles voulurent échanger afin de tout gouter. Alternativement nous passâmes d’une bouche à une autre, savourant les savoirs faire de l’une et de l’autre. Elles nous firent nous mettre face à face, à nous embrasser entre hommes à bouche que veux tu, la langue de Jean venant provoquer la mienne et réciproquement. Elles, tournant autour de nous, s’occupant là de la hampe, là gobant nos testicules ou bien écartant nos fesses pour stimuler nos rosettes. Enfin, elles se saisirent de 2 capotes, nous les enfilèrent, et s’allongeant sur le dos nous invitèrent à les « missionner ». Je pris Marie tandis que Jean pénétrait Christine.
Nous les besognèrent jusqu’au moment où Marie se saisit du tube de gel, s’en enduisit l’anus, se mit en position de 69 au dessus de Christine et en position de levrette, guida mon engin turgescent vers son anus. Je m’enfonçais doucement dans ce canal étroit mais élastique. Marie léchait la moule de Christine ou bien s’emparait du sexe de Jean quand il sortait de Christine qui elle, soit léchait le clito de Marie soit donnait des coups de langue sur mes testicules lorsqu’ils passaient à portée. N’ayant pas encore éjaculé, le plaisir vint rapidement emportant dans le même temps les râles de Marie puis ceux de Christine. Jean sortit son sexe de la moule chaude de Christine et éjacula sa semence sur le dos bronzé. Marie et moi-même furent sommés de nettoyer tout cela et nous joignîmes nos bouches et nos langues pour astiquer le dos, la chatte et la bite détumescente. Tout ceci se termina dans la vasque d’eau froide et par un somme bien mérité.
Suite……..
Une narration peu intéressante tellement elle semble improbable, quant à la suite je la cherche encore
Nous n’avons jamais reçu cette suite annoncé, cela dit on peut se demander ce qu’elle aurait bien pu être 😉