Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 3 – Les Amazones de la presqu’ile par Nicolas Solovionni
Je loue donc une barge volante et m’en vais explorer la presqu’ile. La marée est basse ce qui veut dire que le type a déjà dû pénétrer dans l’épaisse jungle.
Et là, ça ne va pas être facile car la végétation est tellement dense que la survoler en barge ne servira à rien.
Je me pose à la lisière de la jungle et entre dans ce fouillis, je cherche désespérément des traces de son passage, je n’en vois pas ! Il est donc entré soit plus vers la gauche, soit plus vers la droite… Je ne suis pas sortie de l’auberge. Je ne vois toujours rien, il reste encore une entrée… Et si je ne trouve rien, je vais laisser tomber. Mon plan devait être mauvais à la base…
J’avance et aperçois des plantes piétinées. Quelqu’un est donc passé par là. Mais un moment je ne sais plus trop où j’en suis, il y a à la fois des traces de passages à gauche, à droite et devant. C’est quoi ce cirque ?
Et alors que je me perds en conjectures, une flèche siffle au-dessus de ma tête et va se loger dans le tronc d’un arbre bizarroïde.
Une flèche ? C’est quoi ce délire ? Serais-je tombé dans une faille spatio-temporelle qui m’aurait téléporté sur Terre à l’époque de la conquête de l’Ouest. Trêve de plaisanterie, je n’ai aucune envie de me faire percer et prenant mon courage à deux mains, je rebrousse chemin…
Et voici que devant mon nez une autre flèche vient se loger dans un autre tronc.
J’ai franchement la trouille, mais je me fais quand même la réflexion que ces flèches qui se sont logées à plus de deux mètres du sol, n’étaient pas destinés à me tuer.
Et soudain les voilà devant moi…
Deux nanas, à moitié à poil, des bouts de chiffons (sortant d’où ?) autour du pubis, et équipées d’arcs rudimentaires et de carquois de fortune
Donc je m’étais trompé, ce n’est pas dans l’ambiance de la conquête de l’Ouest que j’ai été téléporté mais en Amazonie, à moins que ce soit des Amazones de la Grèce antique.
– Jette ton arme ! M’ordonne la fille.
Moment d’hésitation, je pourrais leur retourner ma trouille en les menaçant de mon pistolet laser. Mais je m’aperçois que les deux filles sont maintenant cinq. Le rapport de force n’étant pas vraiment en ma faveur, j’obtempère et pose tout doucement mon arme au sol.
– T’es qui toi ? Qu’elles me demandent.
– Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau.
– Et que viens faire un capitaine de vaisseau dans cette jungle ? T’as fait des conneries ?
– Non, je cherche un type louche… vous ne l’auriez pas vu, par hasard…
– Un type comment ?
Je vais vous montrer sa photo ! Répondis-je en sortant mon spacephone.
Je suis quand même stupéfié que ces sauvageonnes ne soit même pas étonnées de découvrir un spacephone et une photo… Et puis qui leur a appris à parler notre langue ?
– Et tu le cherches pourquoi ?
– C’est un tueur, je veux l’attraper.
– T’es flic alors ! Je croyais que t’étais capitaine de vaisseau.
– Ce n’est pas incompatible ! (je n’ai aucune envie de rentrer dans les détails). Donc vous ne l’avez pas vu ?
– Si !
– Il est parti où ?
– On a fait dégringoler son corps dans le grand ravin un peu plus loin.
– Il est mort alors ! Répondis-je avant de me rendre compte de l’idiotie de ma réplique.
– Ben oui il est mort, on l’aurait bien bouffé, mais c’est de la vieille carne…
Brrr ! Elles seraient cannibales ?
– Et je peux vous demander pourquoi il est mort ?
– Tu vas nous suivre jusqu’à notre camp, et là Zorah t’expliquera…
– Vous n’allez pas me bouffer, j’espère ?
– Si t’es gentil avec nous, il ne t’arrivera rien.
Leur campement n’était pas bien loin, une baraque mal foutue avec des troncs d’arbres disposés en rondins et des énormes feuilles séchées en guise de toit pour se garder des pluies.
A l’intérieur assise en tailleur à même le sol; une autre amazone manifestement plus âgée et à ses côtés une jolie blonde, sans doute la plus belle du lot. Donc si j’ai bien compté ces dames sont sept.
L’une des amazones chuchote je ne sais quoi à l’oreille de Zorah qui ensuite m’interpelle.
– Le type que tu cherches est mort ! Il nous a demandé de l’accompagner au camp principal, nous avons refusé, on aurait pu négocier et le mettre juste sur le chemin, mais il est devenu agressif et il a giflé Vidia. Tout le monde lui est alors tombé dessus… et il en est mort.
– Donc je n’ai plus rien à faire ici, j’espère que vous allez me laissez partir…
– Ben oui, on n’est pas méchantes…
– Je n’ose pas vous demander de m’accompagner jusqu’à la sortie de cette jungle…
– Si, on pourra, mais avant tu vas nous satisfaire…
– Pardon ?
– Pas toutes, certaines sont lesbiennes et ne seront pas intéressées, mais moi et ma fille… et puis Sheila et Antinéa…
– Si je comprends bien vous voudriez que je vous baise ?
– Oui, et on va commencer tout de suite, je suis très excitée tout d’un coup. Les filles que ça intéresse, restez là, les autres faites ce que vous voulez.
– Je peux vous demander comment vous avez atterri ici ?
– Oui mais après, pour l’instant mets-toi à poil !
Je vais donc être le sex-toy de ces dames, c’est toujours mieux que de finir dans une marmite.. Mais va falloir que j’assume ! J’aime le sexe mais je ne suis pas Super-queutard !
On me demande de me déshabiller. Normal, c’est la moindre des choses !
On me fait m’allonger sur une paillasse improvisée et c’est alors un festival de caresses. J’ai dix mains qui s’occupent de moi, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Vidia et Antinéa.
Ça tombe bien j’aime parfois être complétement passif dans ce genre de situation…
Mais c’est que ce sont des expertes ! Ces mains vont partout, m’effleurant la bite, me titillant légèrement les tétons
Kali passe sa main en dessous de mes testicules, caresse le périnée et allonge son doigt jusque sur ma rosette.. Elle a l’intention de me doigter le cul, ça tombe bien j’adore ça !
Et en même temps Antinéa me gratifie d’un frotti-frotta avec la pointe de ses seins ! Zorah er Sheila se relaient pour me rouler une gamelle. Je vous dit je suis au paradis.
Après toutes ces mises en bouche, Zorah me prévient.
– Tu as vu comme on est gentille avec toi ! Mais ne te trompes pas, ce n’est pas ta fête, c’est la nôtre ! Tu vas toutes nous baiser. Alors débrouille-toi pour tenir la distance et ne t’inquiètes pas, on n’est pas pressées.
Tu parles d’un challenge… et si je n’y arrive pas, elles vont me faire quoi ?
Par qui commencer ? Mais je n’ai pas à me poser de question ! Antinéa me tire par la main et se met en levrette. J’ignore quel trou choisir et comme elle ne me le dit pas je fais dans le classique et lui pénètre la chatte.
Et pendant que je la bourre, un spectacle insolite se déroulait devant mes yeux, celui de Zorah et de sa fille Kali, se tripotant mutuellement la chatte tout en s’embrassant baveusement ! Les coquines !
Pour l’instant Antinéa ne réagit pas trop à mes assauts, voilà qui m’embête un peu car si j’accélère, je crains de jouir prématurément. Alors j’attends, Zorah ne m’a-t-elle pas indiqué qu’elles n’étaient pas pressées :
Finalement je l’ai fait jouir, et plutôt bruyamment. Je me retire et demande à Kali de s’approcher. Pourquoi Kali ? Parce que me disais-je, sa chatte étant déjà bien excitée par les doigts de sa mère, l’exercice devrait être facile.
Et après que Kali eut pris son pied, je sollicitait sa maman, laquelle me précisa qu’elle préférait que la pénétration soit anale ! Pas de problème…
Sauf que la nana a une façon de gigoter du fion qui fait monter mon plaisir et que je ne sais pas trop comment me contrôler. Et ce qui ne devait pas arriver arriva… J’éjaculais dans le cul de Maman Zorah. Je me fit violence pour continuer mais quand ça ne peut pas, ça ne peut pas.
J’ai donc raté Zorah, mais aussi Sheila et Vidia. J’explique à ces dames qu’après un petit laps de temps je serais prêt à redémarrer.
Elles ne sont pas en colère, ça les fait rigoler.
– Allonge-toi ! Me dit Zorah, je vais te pisser dessus, ça va te faire du bien.
Je n’ai rien contre et j’ouvre la bouche. Son pipi est très gouteux… mais ce que je n’avais pas prévu c’est que son envie de pisser devait être communicative, car les quatre autres sont venues à leur tour m’inonder de leur urine.
Trop c’est trop, je suis évidemment incapable d’avaler tout ça…
Quelques minutes passent puis Zorah vient me narguer en me présentant son fessier, globes écartés, rosette brune bien en évidence…
Le résultat ne se fait pas attendre, je bande (et pas qu’un peu) et j’encule de nouveau la belle mature et cette fois je la fais jouir.
Reste Sheila et Vidia. Cette dernière me fait signe de rester à ma place et de m’allonger par terre. Elle vient alors me chevaucher dans la position du Duc d’Aumale. C’est donc elle qui fait tout le boulot. J’adore cette position, c’est reposant ! Et quand elle eut pris son pied elle laissa sa place à Sheila.
Je suis épuisé et j’ai la bite douloureuse, on m’offre à boire, de la flotte mélangé à du jus de je ne sais pas quoi, ça fait du bien.
– Alors, vous me racontez comment vous avez fait pour vous retrouver ici ?
– C’est tout simple ! M’explique Zorah, On travaillait dans un bordel de la ville, tout se passait à peu près bien, et puis il y eu un changement de propriétaire, un malade qui nous infligeait des châtiments corporels pour un oui ou pour un non. Au bout d’une semaine on en a eu marre, on s’est réuni toutes les sept, on lui est tombé dessus, en fait on l’a lynché. Après on a eu la trouille que la mafia nous cherche des noises. Alors on a pris les devants et on est venu ici.
– Mais comment…
– Antinéa était bien avec un client qui possédait une barge volante, on a fait deux voyages et on lui a renvoyé en automatique.
– Mais pourquoi ici ?
– Parce que on a avait aucune envie de rejoindre le camp principal. D’après les rumeurs il y a très peu de femmes dans la presqu’ile. Alors vous vous rendez compte, sept femmes pas trop mal foutues parmi tous ces mecs… non merci !
– Et vous êtes là depuis quand ?
– On a un peu perdu la notion du temps, mais ça doit bien faire une année en équivalence terrienne.
– Et pour la nourriture ?
– Il y a pas mal de gros lézards, il sont inoffensifs et stupides mais excellents à bouffer. Sinon il y a des baies et une petite source.
– Mais vous n’allez pas rester là cent sept ans…
– Non, on va attendre que ça se tasse, peut-être que quelqu’un nous aidera ? Et d’ailleurs, pourquoi pas toi ?
Je ne m’attendais pas à cette réaction et ne sachant trop quoi répondre je leur répondis simplement.
– Pourquoi pas ? Il faudrait que j’y réfléchisse, que je trouve un moyen…
– C’est une promesse ?
– Oui bien sûr !
Que n’avais-je pas dit là ?
– Et comment pourrait-on être certaines que tu tiendras ta promesse ? Reprend Zorah,
Oh que je n’aime pas ça…
– Il faut me faire confiance !
– La confiance c’est comme les bites, ça va, ça vient…
– Je ne sais pas quoi vous dire d’autre…
– Moi je sais, on va te raccompagner vers la sortie, mais tu ne vas pas partir seul… Sheila et Antinéa, laquelle de vous deux serait volontaire pour accompagner le capitaine ?
Elles sont toutes les deux volontaires. Alors on tire à la courte-paille… et c’est Sheila qui s’y colle.
Putain, mais qu’est-ce que je vais en faire… et elle est là en face de moi toute contente en train de ma narguer avec ses seins comme des obus et son sourire carnassier.
A suivre
Voici une rencontre tout à fait inattendue … et très chaude