Martinov 29 – L’archipel de Véga – 7 – La soumission de Gisèle par Maud-Anne Amaro
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Nalon n’a pas réussi à joindre ses comparses et il adopte une attitude tellement discrète qu’il finit par se faire repérer, la gendarmerie le cueille, il n’est pas bavard et refuse de donner les noms de ses complices. Il est rapidement mis en examen pour enlèvement et séquestration.
– Et le professeur Coulmes ? Il est où ?
– J’en sais rien, on m’a dit qu’il s’était sauvé.
– Il s’est sauvé sans rentrer chez lui, vous ne vous moquez pas du monde ?
– Mais j’en sais rien, moi !
Les deux interventions de la gendarmerie à l’Archipel ne sont pas passées inaperçues et les gens se sont mis à causer, en racontant un peu n’importe quoi. Quant aux réseaux sociaux, les intervenants rivalisent de bêtises (comme d’habitude, me direz-vous…)
Le procureur de la république en charge du dossier a voulu jouer sa star en organisant une conférence de presse dans un local municipal.
– L’affaire des chimistes enlevés est partiellement résolue, je dis partiellement parce que l’un d’entre eux manque à l’appel et semble avoir disparu. Des investigations supplémentaires sont actuellement en cours dans le domaine dit « L’Archipel de Véga » et ses dépendances. Un suspect est pour l’instant mis en examen pour complicité d’enlèvement et séquestration, mais refuse de parler…
La plupart des chimistes s’en sont reparties dans leurs familles, seule Béatrice est restée ainsi que Gérard et Florentine. Ils ont convenus qu’ils assisteraient à la conférence de presse avant de reprendre le chemin de la capitale. Et en ce moment Béatrice roupille comme un loir dans les bras de Frederika.
– Vous me raccompagnez à Paris ou je me débrouille toute seule ? Vous m’aviez promis de me payer ma place de train… Demande Gisèle.
– Je vous raccompagnerais, bien sûr, mais j’ai peut-être une proposition à vous faire.
– Une proposition honnête ? Répond-elle avec un sourire narquois.
– Tout à fait honnête ! Figurez-vous qu’en ce moment nous n’avons plus de femme de ménage…
– C’est une plaisanterie ?
– Non, c’est une proposition, nous faisons appel à une société de service, en fait deux, parce que j’ai un appartement à Paris et une résidence à St Valery sur Somme…
– Et comme ça vous pourrez me sauter à votre guise ? Vous et votre épouse !
– Ce sera bien payé et en tout cas bien mieux que votre boulot de nurse chez le père Chaudron.
– Qu’en savez-vous ? Et puis, il me donne des bons pourboires !
– Vous en aurez aussi, si vous êtes gentille !
– Je suis toujours gentille !
– Alors vous acceptez ?
– Je ne dis pas non !
– Alors dites « oui » !
– Oui !
– Vous êtes trop belle quand vous dites « oui » !
– Baratineur !
– Non, je suis sincère et voyez-vous, là maintenant je vous ferais bien un gros câlin.
– Pourquoi pas ? Mais comme dorénavant je suis votre employée, ce sera avec pourboire !
– Vous ne perdez pas le nord, vous !
– Il faut toujours voir le côté pratique des choses.
– Alors d’accord, mais dans ce cas je risque d’être un peu directif.
– Pas grave, ça ne me dérange pas d’être un peu soumise !
– Et vous allez jusqu’où dans la soumission ?
– Pas très loin en fait, mais je ne suis pas contre quelques petites humiliations ou quelques fessées à la main ou au martinet.
– OK, déshabille-toi et mets-toi à genoux que je voie comment tu es en soumise.
Gisèle se prête au jeu sans problème… Mais voilà Florentine qui entre dans la pièce sans comprendre trop ce qui passe.
– Vous faites quoi, tous les deux ?
– Je viens d’embaucher Gisèle.
– Oui, on en avait parlé, mais tu aurais pu m’inviter pour l’entretien d’embauche !
– J’ai pas eu besoin d’en faire !
– Tu lui as demandé si elle savait cuisiner ?
– J’ai même quelques spécialités. Intervient Gisèle. Des trucs italiens.
– Chic alors, et qu’est-ce que tu fous à genoux !
– J’ai dit à Monsieur Gérard que je n’avais rien contre la soumission, alors il m’a fait mettre à genoux et puis vous êtes rentrée…
– Hum ! C’est intéressant tout ça, Gérard passe-moi donc ta ceinture que je me défoule un peu.
– Pas trop fort quand même ! Préviens Gisèle
– Douillette !
– Non, si c’est trop fort, je ne marche plus !
– Ne t’inquiètes pas, ma cocotte.
Florentine se déshabille (pour le fun) puis arme le ceinturon et le fait claquer sur les jolies fesses de Gisèle.
– C’est bon comme ça ?
– Oui !
Deuxième coup, Gisèle encaisse toujours sans broncher, si ce n’est qu’un vague gémissement. Alors elle continue mais sans augmenter la force des impacts. Elle n’a pas compté, sans doute une bonne dizaine de marque de flagellation lui décore le joufflu.
– Putain, il y avait longtemps que je n’avais pas fait ça, je suis tout excitée maintenant ! Indique-t-elle en restituant la ceinture à son compagnon.
Gérard est excitée lui aussi et sort de sa braguette sa bite bien bandée.
– Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus. Lui dit-il.
Elle s’y rend et se repositionne en position de soumise.
– Ouvre la bouche ! Ordonne Gérard !
– Je ne préfère pas !
– T’as déjà essayé ?
– Non !
– Alors essaie, si ça ne te plait pas, je n’insisterais pas.
Autrement dit, l’art de mettre une personne au pied du mur.
– Juste un peu, alors !
– Mais oui, mais oui !
Le pipi de Gérard fuse, mais il le stoppe à temps, il atterrit dans le gosier de Gisèle qui se fend d’une vilaine grimace.
– Ça va ?
– Ça peut aller !
– Je continue !
– Oui mais pas trop quand même !
Gérard lui en envoie une nouvelle rasade en pleine bouche mais a le tact de ne viser ensuite que la poitrine.
– Alors ?
– Alors ça va !
– C’était comment ?
– Un peu particulier, mais ça va !
– Maintenant, suce-moi !
– A fond ?
– Je ne sais pas encore, on va voir.
C’est qu’elle suce terriblement bien la petite Gisèle, et on devine bien que ce n’est pas sa première pipe !
Sa langue diabolique use de tous les artifices de la pratique, coups de langues intempestifs sur le gland, léchage de la verge en mode langue caressante, longs allers et retours en bouche et même baisers sur les couilles, tandis que le doigt loin de rester inactif s’en va explorer l’œillet brun avant de s’y enfoncer gaillardement..
Il est aux anges, Gérard mais souhaiterait jouir autrement que dans cette bouche gourmande, pourtant experte.
– Et si je t’enculais ?
– Pourvu que tu le fasses doucement.
– Ne t’inquiètes donc pas !
Gisèle se retourne offrant son joufflu au regard du mâle. Gérard ne peut d’empêcher d’y aller de sa langue pour honorer ce trou divin, puis après s’être encapoté la pénètre d’un coup sec.
– Aïe !
– Je t’ai fait mal ?
– Non ça va aller !
Alors Gérard la pistonne en cadence faisant gémir de plaisir la jolie Gisèle.
Charmant tableau qui excite terriblement Florentine qui ne sait comment s’y intégrer.
Mais voilà que Béatrice saisie comme on dit d’un besoin urgent et naturel pénètre dans la salle de bain va et découvre ce spectacle torride.
– Je ne vous dérange pas, j’espère ?
– Mais non, mais non, Lui répond Florentine tout en se tripotant ses bouts de sein, mais ils m’excitent de trop ces deux-là avec leurs cochonneries.
– Ma pauvre bibiche ! Répondit Béatrice en se collant derrière sa copine et en lui empaumant les seins.
– Oh, mais elle me fait quoi cette grosse coquine ?
– Je ne suis pas grosse !
Florentine se laisse peloter quelques minutes pendant que Gérard continue de besogner Gisèle, qui se retourne brusquement.
– Viens le lécher la moule, je coule ! Supplie Florentine
Les deux femmes se déplacent jusqu’au lit le plus proche. Flo se pose allongée, en écartant ses cuisses. Beatrice n’a plus qu’à honorer cette invitation.
L’endroit est effectivement trempé de mouille, ce sont des choses qui arrivent. Voilà qui tombe bien, Béa adore lécher des chattes humides
– Fait moi jouir vite !.
Qu’à cela ne tienne, la langue de. Béa pointe le clitounet de sa partenaire qui jouit aussitôt de façon fulgurante, ce sont aussi des choses qui arrivent.
Bisous., bisous …
Petit temps calme au terme duquel Gérard jouit dans je cul de Gisèle en grognant de façon grotesque tandis que le fille qui n’a cessé de japper s’essuie son visage qui transpirait à grosses gouttes.
– Je te lèche à ton tour ? Demande Flo.
– Attends un peu ! Répond Béa
– Comme tu veux !
Mais pourquoi cette réaction surprenante de Béatrice ? Se demandera le lecteur. Patience, vous le saurez bientôt.
A suivre
Moi aussi j’aimerais bien Gisèle comme femme de ménage
Gisèle n’a rien contre la soumission ! Moi non plus !