Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 7 – Chez les Conrad

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 7 – Chez les Conrad

Auguste se demande où j’ai bien pu passer, il arpente les rues, entre dans quelques rades pour en ressortir aussitôt, visite les squares, bref il ne sait quoi faire et s’apprête à rentrer, il passe devant la gare et ça fait tilt dans sa pauvre tête.

Il entre dans le hall, achète un ticket de quai et rejoint les quais, et plus précisément celui destiné à recevoir les trains allant à Paris.

Et justement sur ce quai, j’y étais, et voilà que le train arrive et que je me dirige vers la porte afin d’y monter à l’intérieur.

Auguste me voit, il aurait pu monter me rejoindre et me suivre jusqu’à Paris, puisque le train va marquer cinq minutes d’arrêt, mais Auguste ne saurait voyager sans billet, il est comme ça Auguste.

Remarquez, heureusement car s’il m’avait rejoint l’histoire que vous lisez aurait pris une tout autre tournure. Admettez que cela eut été dommage !

Cinq heures de train, un machin qui s’arrête partout conduit par une locomotive aux fumées fort peu discrètes. Je suis près de la fenêtre dans un compartiment occupé par un couple chic avec un gosse braillard et turbulent, il y a aussi un prêtre entre deux âges à moitié endormi et un jeune homme en casquette. J’essaie de m’intéresser au paysage qui défile, mais décidemment ça défile trop vite, alors j’essaie de dormir, mais avec le môme infernal, c’est peine perdue.

La mère sort du compartiment avec son gosse, je suppose qu’elle l’accompagne aux toilettes. Une belle femme, pour qui apprécie les grandes brunes. Le curé somnole, je me demande comment il a pu s’endormir avec un tel barouf.

Le père du gamin m’interpelle.

– Vous allez jusqu’à Paris ?
– Oui, je cherche un emploi !
– Quel genre ?
– Peu importe, je ne suis pas difficile. Un emploi de maison me conviendrait volontiers

Il fouille dans son portefeuille et me tend une carte.

– Romain Conrad ! Se présente-il. Voici mon adresse, présentez-vous après 20 heures, je vous trouverai quelque chose… et ne vous inquiétez pas pour mon épouse, je m’arrangerai !
– C’est gentil, mais pourquoi cette soudaine sollicitude ?
– J’aime faire le bien et puis j’aime les jolies femmes !
– Je ne sais comment vous remercier !
– Je suis un homme et je suis très sensible aux charmes féminins si vous aviez l’obligeance de me montrer vos cuisses, je serais le plus heureux des hommes.

Ben voyons…

– Mais enfin, monsieur, je ne suis pas celle que vous croyez ! Me défendais-je fort hypocritement.
– Epargnez moi votre couplet d’effarouchée, ça ne prend pas avec moi !
– Alors soit, puisque vous tenez à me pervertir, je vais vous faire un tour de catin.

Je retire ma chaussure droite, soulève ma jupe jusqu’à mi-cuisse et lance ma jambe vers la braguette du père Conrad qui ne s’attendait pas à ça.

Mon regard se déporte un moment vers la gauche où le curé fait très mal semblant de dormir, sa main descendant en bas de son ventre et ce n’est pas son missel qu’il tripote.

Il a vu que je l’ai vu et change d’attitude.

– Ce n’est point le lieu pour faire de telles cochonneries. Vous vous croyez où ? S’exclame-t-il.
– Si ça vous gêne tant que ça, vous n’avez qu’à pas regarder ! Lui répond sèchement Conrad.
– Vous n’avez donc aucune moralité, vous devriez avoir honte !
– Et de vous tripoter la bistouquette en nous regardant du coin de l’œil, ça ne vous gêne pas ? Intervins-je.
– Calomnies ! Basses calomnies !

Mais voici que la porte du compartiment s’ouvre, je retire subrepticement mon pied et ajuste ma jupe.

– Madame ! Dit alors le curé, il est de mon devoir de prêtre de vous informer que votre époux s’est livré en votre absence à des gestes que la morale réprouve en compagnie de cette créature.
– Et ça ne vous gêne pas de proférer de tels propos devant un enfant ? Rétorque Madame Conrad.
– D’autant que c’est même pas vrai ! Intervient le jeune homme en casquette.
– Maman c’est quoi, une créature ? Demande le mioche !
– Demande au curé il va essayer de t’expliquer.

Il est tout rouge le curé, mais ne se dérobe pas.

– C’est une femme de mauvaise vie !
– C’est quoi une femme de mauvaise vie ? insiste le gamin.
– Un personne qui ne respecte pas les commandements de notre seigneur en matière de luxure.
– C’est quoi une luxure ?

C’en est trop, j’éclate !

– Une luxure, c’est un accident musculaire… et si vous continuez à emmerder le monde, j’appelle le contrôleur et je vais lui raconter que vous n’êtes qu’un curé libidineux.
– Il ne vous croira pas !
– Si, il me croira car j’irais aussi dans ce sens ! Intervint Conrad.
– Et moi aussi ! Ajoutent à l’unisson Madame Conrad et le jeune en casquette.
– Dis Maman, il est méchant le curé ?
– Très méchant, mais maintenant il va se taire et nous ficher la paix.

Et ce fut alors le silence dans le compartiment… jusqu’à Vernon où le curé descendit, suivi du jeune en casquette.

– Bonne fin de voyage messieurs-dames ! Mademoiselle vous êtes charmante. Indiqua ce dernier.
– Merci vous êtes un gentleman !

Et Madame Conrad put enfin interpeller son époux.

– Je peux savoir ce que ce curé te reprochait exactement ?
– Eh bien, figure-toi qu’ayant échangé quelques mots avec mademoiselle, celle-ci m’a fait part de sa volonté de chercher un emploi de maison. Et comme notre pauvre Fernande qui s’est cassé la jambe n’est toujours pas remplacée…
– Mais le curé a parlé de gestes immoraux.
– C’est lui qui est immoral !
– Vous pourriez refaire ces gestes que je me rende compte ? Insiste Madame
– Quels gestes ? Demandais-je innocemment.
– Refaite-le ! Me propose alors le mari. Cela amusera mon épouse.

Je rêve ou quoi ?

– Moi je veux bien, mais je n’ai pas envie de recevoir une gifle ! Et puis il y a l’enfant !
– C’est si cochon que ça ! Théophile mon petit, va jusqu’au buffet et rapporte-nous des bonbons à la menthe !
– Oui maman ! Je peux prendre des gaufrettes aussi !
– Bien sûr mon chéri, maman va te donner des sous.

Me voilà au pied du mur ! Bien sûr je pourrais refuser mais je ne l’ai pas fait.

Je lance mon pied comme précédemment sauf que je ne vise pas la braguette mais la cuisse.

– Votre pied était ailleurs ! Me signale Conrad.
– Il était où ? Demande Madame.

Ils commencent à me saouler ces deux-là. Alors advienne que pourra je déplace mon pied au « bon endroit ».

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine, ce n’est pas pour me déplaire ! M’indique Madame Conrad. Mais savez-vous tenir une maison ?
– On dit que je suis bonne cuisinière.
– Vous savez servir ? Vous savez repasser ?

Il fallut donc que je lui explique que je suis mariée… mais en fuite…

– Et la raison de cette fuite ?
– Mon père m’a surpris en galante compagnie. Le galant a craint un mauvais coup et a un peu bousculé mon père. Je me suis dit alors que quand mon mari apprendrait ça, j’allais passer un sale quart d’heure…
– Vous être donc une femme infidèle ! Me demande-t-elle avec un sourire étrange.
– Pas vraiment. Ce fut ma première infidélité C’est l’occasion qui fait la débauchée.
– Et bien je crois que nous allons t’embaucher à l’essai ! D’accord Romain ?
– Approuvé !
– Vous savez, reprend Madame Conrad, personne n’est parfait…

Pourquoi me sort-elle ça ?

– Euh…
– Je veux dire que tout le monde fait des bêtises.
– Ah… oui…
– Donc si vous restez à notre service, vous ferez des bêtises…
– Je m’efforcerais de ne point en faire.
– Certes, mais vous en ferez quand même ! Quand notre belle Fernande faisait des bêtises nous la punissions…. Quelques fessées le derrière nu… ça lui remettait les idées en place.
– Ah bon ?
– Vous avez des vilains patrons lorsque leur domestiques font des bêtises, ils ne trouvent rien de mieux que leur infliger une amende en déduction de leur appointements. Nous ne sommes pas comme ça, au contraire vous serez payée au-dessus des tarifs habituels, mais en cas de bêtises ce sera panpan cucul ! Cela vous convient-il ?

Ils m’ont l’air un peu frappés ces deux-là mais ne me paraissent pas méchants, alors j’ai accepté.

– Alors, reprit Madame Conrad, embrassons-nous pour sceller cette embauche !

Et ce ne fut pas le baiser de politesse, non ce fut plutôt un roulage de galoche en règle. Elle embrasse divinement la madame et j’en suis tout excitée.

– T’as déjà été au lit avec une femme ? Demande-t-elle.

(On remarquera le passage au tutoiement.)

– Oui !
– Et ça te plait ?
– Quand la femme est douce oui !

Mais cette très intéressante conversation fut interrompue par le retour de Théophile avec ses bombons à la menthe et ses gaufrettes.

– Maman c’est qui la dame ?
– C’est… euh c’est quoi ton prénom ?
– Pauline.
– C’est donc Pauline qui va être notre nouvelle bonne.
– Et t’as déjà oublié son prénom, maman ?
– C’est quoi cette impertinence ? Je confisque les gaufrettes.
– Ouin !

Madame Conrad me demande où j’allais dormir ce soir, et comme je n’en savais rien du tout, elle me fournit tout de suite la solution.

– Alors, tu dormiras à la maison et tu commenceras à travailler dans la foulée.

Arrivé à Paris Saint-Lazare je les ai accompagné à pied jusqu’à leur bel appartement situé rue de Rome à quelques centaines de mètres de la gare.

Après m’avoir offert un petit rafraichissement, Madame Conrad a tenu à mettre les choses au point.

– Nous allons faire un essai, repose-toi une demi-heure ensuite il faudra faire un peu de ménage, c’est fou comme la poussière s’accumule ici., Vers 18 heures tu partiras en courses puis tu prépareras le repas du soir, je te dresserais une liste. Et si tu as encore du temps, il y a du repassage en retard, je ne te dis pas de tout faire, mais fais-en un peu afin que je me rende compte comment tu te débrouilles. Après la vaisselle, tu pourras allez te coucher, je vais te montrer ta chambre. Ta journée d’essai te sera payée quoiqu’il arrive. Viens avec moi !

La chambrette est minuscule, juste la place pour un lit d’une personne, une petite commode, une armoire, une chaise et une petite table. On fera avec.

– Voilà une tenue de soubrette, elle devrait te convenir essaie-là !
– Maintenant ?
– Bien sûr.

Elle reste devant moi, telle une statue, je me retourne pour me déshabiller.

– Pourquoi tu te tournes ? Je ne vais pas te mordre.
– C’est un réflexe !
– Tu m’as dit que tu étais déjà allée avec des femmes ?
– Oui madame, ça m’est arrivé !
– Tu le ferais avec moi ?

Bon, j’ai compris, elle veut me sauter. Je ne pense pas que ce sera une corvée !

– Pourquoi pas, vous êtes une belle femme !
– Alors retourne-toi, j’ai envie de te caresser.
– Avec plaisir, madame !
– Hum, c’est pas mal tout ça ! T’as une jolie poitrine !
– Merci madame !

Elle me la caresse, me pince les pointes, me les tortille, puis décide de se déshabiller à son tour.

Elle est vraiment jolie cette madame Conrad.

– Ben ne reste pas comme une andouille, occupe-toi de moi !

Alors à mon tour de lui caresser ses jolis seins. Je suis saisie d’une folle envie de les embrasser, j’avance mes lèvres sans qu’elle ne proteste, je lui suce les tétons., Ça me plait bien et je me surprend à mouiller.

– Occupe-toi un peu de mon cul, dit-elle en de retournant.

Son cul est bien agréable, je l’embrasse d’abord chastement puis j’en écarte les globes afin d’accéder au pourtour de l’anus.

Le moins que l’on puisse dire c’est que l’endroit n’est pas d’une netteté évidente. Elle a dû se torcher le cul avec un courant d’air. Comment une femme à l’allure aussi distinguée peut-elle se négliger à ce point ,

Cela dit ça ne me dérange pas outre mesure, ma petite expérience avec madame Berthe a vaincu les inhibitions en la matière (c’est le cas de le dire)

Donc je lèche tout ça sans problème.

– Oh ! Quelle langue tu as ! Continue !

Bien sûr que je continue, Je le demande si elle ne va pas me faire un trip comme madame. Berthe (voir le chapitre précédent). En fait non. Elle se retourne et m’offre sa chatte dégoulinante à lécher.

Elle mouille comme une éponge et c’est bien agréable de lécher tout ça.

– Attend, il faut que je pisse ! M’interrompt-elle.

Je me recule.

– Ma pisse t’intéresse ?
– Oui bien sûr.
– Cochonne !
– J’aime bien !
– Alors tu ne vas pas être déçue, ouvre bien la bouche !
– Aaaaah. !

Hum, délicieux son pipi. J’en ai bu plein et m’en lèche les babines.

– T’est vraiment une petite catin
– Oui madame !

J’allais reprendre mon broute minou quand soudain la porte s’ouvre.

– Ben alors, on fait des cochonneries ici, qui est cette charmante personne, je n’ai pas eu l’honneur d’être présent& ?

Le nouveau venu est un grand échalas blond d’une vingtaine d’années, un poil efféminé.

– Théophile, mon fils. Indique Madame Conrad, elle c’est Pauline notre nouvelle bonne, on vient de l’embaucher. Elle n’est pas mal, non ?
– Enchanté, souhaitez-vous que je me retire ?
– Mais non, répond la bourgeoise, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.

On ne me demande pas mon avis, pourquoi le demanderaient-ils, je ne suis que la boniche.

Le Théo se déshabille, exhibant son sexe en étendard.

– Il a une belle bite, mon fils. !. Croit devoir commenter madame Conrad. Suce-là !

Je suppose que ces petites fantaisies me donneront droit à un petit pourboire, alors je suce la bite de fiston.

– Wha ! Quelle technique, Où as-tu appris à faire ça ?
– Quand je me suis enfuie de chez moi, je ne savais où aller, il fallait bien que je vive, alors j’ai travaillé dans un rade comme serveuse montante.

Il fallait bien que je leur dise un jour, maintenant c’est fait !

– Et pourquoi tu n’e pas resté ? Demande le Théo décidément trop curieux.
– Ecoutez, c’est promis je vous raconterai ça par le détail, mais plus tard, je ne peux pas à la fois raconter et sucer.

Et je reprends ma fellation, Madame Conrad viens à mes côté et réclame sa part de pipe. La voilà donc qui suce la bite de son fils. Me voilà donc tombée sur une famille tuyau de poêle. Ça ne me traumatise pas !

– Maman, est-ce que je peux t’enculer
– Mais bien sûr, mon fils. Pauline place-toi devant moi pendant que mon fils m’encule, je vais te brouter la chatte. »

Quelle famille !

Théophile pénètre d’un coup d’un seul le cul de sa maman et j’approche ma chatte de son visage pour qu’elle me la lèche.

Sauf que la position n’est pas si évidente, Théo donne de tels coups de boutoir dans l’intimité rectale de sa mère que celle-ci n’arrive pas à coller correctement son visage contre ma foufoune.

J’attends donc que le fiston ait pris son pied pour me faire lécher correctement.

Mais les choses se passèrent quelque peu différemment.

– A ton tour ! Me dit-il en sortant sa bite du con de sa mère

Ah bon ? Je me mets donc en position. J’espère simplement qu’il ne va pas me défoncer, la fougue avec laquelle il a enculé sa mère n’étant pas faite pour me rassurer.

– Faut peut-être lubrifier un peu avant ! Suggérais-je
– Tu n’es quand même pas vierge du cul ! On voit bien qu’il y a eu du passage !
– S’il vous plait ! Quelques coups de langue devraient suffire !
– Fais ce qu’elle te demande ! intervient Madame Conrad.

Théophile est un garçon obéissant et il m’humecte convenablement la rosette avant de m’enfoncer son machin dans le trou.

Madame Conrad passe derrière lui et lui introduit un doigt dans le cul ! Pourquoi faire ? Pour le stimuler ! Je ne pense pas qu’il en ait besoin ! Non il apprécie tout simplement que sa maman lui doigte le cul !

Ça n’a pas duré bien longtemps et je n’ai même pas joui. Il se retire, la bite poisseuse de sperme et d’autre chose aussi. Maman Conrad s’empresse de nettoyer tout ça, et il s’en va se rhabiller avant de disparaître de la chambre.

Me revoilà donc en tête à tête avec Madame Conrad. Un tête à tête qui s’est rapidement transformé en tête à chatte.

Excitée comme nous étions, nous avons jouis rapidement avant de nous enlacer comme des vieilles copines.

– T’es une bonne fille, mais autant que tu le saches, pour chaque prestation dans laquelle tu feras la putain, ce sera une enveloppe. D’ailleurs je vais t’en donner une tout de suite. Tu seras sollicité par mon mari et par mon fils mais aussi par des gens que nous recevons. Si tu es réticente, il faut nous le dire de suite et nous ne retiendrons pas.
– Je ne suis pas réticente !
– D’accord ! Nous recevons parfois des gens très importants dans le cadre des activités de mon époux, il convient donc de les contenter sans rechigner. Tout le monde doit y trouver son compte, l’invité car il se sent comblé, mon époux parce que ces situations font avancer les choses et toi parce que le pourboire sera bon.

– J’ai parfaitement compris, je pense pouvoir faire l’affaire.

A suivre

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2 réponses à Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 7 – Chez les Conrad

  1. Hernandez dit :

    En voila une famille de pervers décontractés Shar [url=https://www.stanleycups.co.nz]stanley mug[/url] e by Email

  2. Forestier dit :

    Bien sûr que j’ai apprécié l’aspect érotique de ce chapitre, mais la scène du compartiment est irresistible

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