De Filles… en Aiguilles par Verdon
La chose est très connue, on sait bien que les Filles
Sont hélas, vouées aux travaux de l’aiguille
Et confinées chez elles à apprendre le métier
Pour devenir un jour, femme bonne à marier.
Mais pourtant voyez-vous ce ne sont pas les Filles
Mais seulement les Garçons qui possèdent l’aiguille.
Les Filles, c’est évident, qui sont toujours curieuses
Mais pas vraiment pressées de faire de la couture
Vont guetter les garçons qui pissent derrière le mur
Pour voir le genre d’outil caché sous leur vareuse.
Les jeunes gens sont gauches et les Filles rigolent
Qui voient à la manœuvre et de façon for drôle
Des bons gars en découdre en dessous de la taille,
Cachés bien entendu, derrière la meule de paille.
Mais un jour vient quand même, où l’appel du métier
Fait que ces Demoiselles deviennent couturières
Espérant tout de même de pouvoir apprécier
Que la machine enfin pique leur boutonnière.
Couds ma Fille, couds ma Belle, lui conseille Maman,
Pour qu’un de ces beaux jours, tu trouves un bon Mari.
Mais tant s’est-elle piquée au jeu, finalement
Qu’entre plusieurs aiguilles, elle s’est faite marrie !
C’est que peu de garçons savent user de l’aiguille
Et vont à la couture comme on prend la Bastille
En froissant le tissu bien plus qu’ils ne le cousent :
Bien mauvaise façon pour trouver une épouse.
Mais la Maman est là, qui apprend au pioupiou,
La meilleure façon de bien boucher un trou.
Etant assez salope, de se faire niquer
En lui offrant son cul, afin de l’éduquer.
Vous connaissez les Dames…Ça touche un peu à tout…
Alors le cul battant, elle cherche de partout
Un chevalier bandant, un solide bouche-trou.
Le tout au demeurant…ne devant être mou.
Encule- moi petit, enfile ton aiguille
Bouche mon trou du cul, remue-la ta godille
Et si tu veux la fille, démontre à la maman,
Que bien mieux que les autres, tu es un bon amant.
Ainsi Belle- Maman pour sa fille se dévoue.
Empile des aiguilles, dans sa boîte à ouvrage.
Elle en essaie des grosses, des pointues, des vintages
Et même des tordues qui pénètrent partout.
La Fille profite en suite de ces bons équipages,
Que Maman lui refile, une fois fait usage.
Si bien que maintenant, elles ont de bons maris
Pour boucher tous les trous, le soir dedans leur lit.
Tire, tire l’aiguille…
Lui chante sa maman.
Tire l’aiguille ma fille,
Nous aurons plein d’amants
Pour nous trouer le cul
Toutes deux cons…fendus,
06/01/2025