Je rentrais chez-moi un vendredi soir après une dure semaine de travail, il
était environ sept heures, j’avais fait du temps supplémentaire et je
n’avais qu’une seule envie, rentrer chez-moi le plus rapidement possible
sans trop me faire chier sur l’autoroute. À ma grande déception, je trouvai
le pont Pierre-Laporte ainsi que le pont de Québec, qui relient Québec à la
rive-Sud, dans les embouteillages, cela m’étonnait, vu l’heure, mais je me
suis rappelé qu’il y avait des réparations et que l’heure de pointe sur les
ponts en était par conséquent étiré. Je décidai donc de continuer plus loin
et d’aller prendre le traversier, je serai rentré plus rapidement et je
pourrai décompresser un peu… J’arrivai au débarcadère; le bateau partait
justement, je payai, montai et sortis de mon véhicule.
La traversée prend environ 20 minutes, alors je sors de ma voiture et je
vais m’appuyer sur la rambarde à l’avant du bateau. Je regarde la ville de
Québec qui se rapproche lentement : Le château Frontenac est là, avec ces
lumières blanches qui éclairent ses parois; L’édifice Price un peu plus
loin, une vrai réplique de l’empire state building, mais en plus petit et,
derrière, les gratte-ciels du centre ville. Seulement qu’une trentaine
d’étages, mais s’élevant dans le ciel autour de toutes ces bâtisses qui
datent des années 1800 et même 1700.
Tout-à-coup, un voix, avec un léger accent espagnol, m’interpella :
– C’est beau, hein ?
– Oui… -Vous êtes de la région ?
– Oui, j’y suis né. Vous, vous venez du Mexique ?
– Non, du Honduras. Vous connaissez ?
– Oui, bien sûr, mais je t’en pris, tutoies-moi, j’en ferai autant.
– Bien, je m’appelle Rodriguez, mais ici tout le monde m’appelle Rod, et toi
?
– Moi c’est Mathieu.
Rod était dans la début trentaine, environ une dizaine d’années de plus que
moi, il mesurait environ 5’9 » et faisait plus ou moins 160 lbs.(1,75 m et
73 kg) Après quelques instants de conversation, il apporta certains propos
osés et bientôt, je le remarquai dans ses gestes et ses paroles, il devînt
excité. Je ne le cacherai pas, il avait un charme, sans moustache ni barbe,
les cheveux bien peignés, avec un complet noir. Nous arrivions à Québec
quand il m’a proposé de le suivre, il avait un appartement dans le vieux et
nous pourrions… Je lui répondis que j’avais une copine et lui me répliqua
qu’il était marié. Je lui demandai donc si sa femme allait être là. Il me
répondit que non, elle travaillait ce soir là, elle était infirmière et
avait eu le poste de nuit de fin de semaine. Malgré ma compagne qui
m’attendait à la maison, je me dis que de toute façon elle savait que je
faisais du temps supplémentaire ce soir là et que je n’avais qu’à lui dire
que j’avais fais une ou deux heures de plus qu’en réalité.
Nous rentrâmes dans son appartement, petit, comme la plupart des logements
du vieux Québec, mais chaleureux. L’endroit était décoré avec goût. Il me
dit de le suivre, chose que je fis. Tout en avançant vers la chambre qui se
trouvait de l’autre côté du salon, il se mit à se déshabiller et me dit de
faire de même, j’obtempérai. Arrivé dans la chambre, il se mit à fouiller
dans la garde-robe. Il en sortit une grande serviette et me dit de l’étendre
sur le lit, comme un drap, de façon à ce qu’elle protège et ne bouge pas
trop facilement. Quand j’eus fini, il avait sorti du placard des boules de
geisha, des condoms et du lubrifiant. Il me dit de m’étendre sur le lit puis
il se plaçât en position de 69 et me donna les boules de geisha. Il me
demanda, avant d’engloutir mon engin, de les lui introduire pendant que je
le sucerais. Je commençai à le sucer et lui introduisit une boule, il gémit,
me dit de continuer, pendant ce temps, il me lichait les couilles et me
masturbait divinement. Je lui introduis l’autre, puis une troisième, il
lâcha un soupir, quand j’eus terminé d’introduire toutes les boules de la
série, je laissai la cordelette pendre et continuai à le sucer.
Puis il arrêta et me dit d’en faire autant. Il se releva, me dit de me
retourner, me mit du lubrifiant, ce plaça un condom et commença à lentement
me pénétrer. Pendant ce temps, il jouait avec les boules dans son anus. Son
membre puissant qui chatouillait ma prostate me donnait envie de crier au
plaisir, je lui demandai si je pouvais, à cause des voisins, tout en
haletant, il me répondit que je pouvais bien hurler à mort si je voulais,
personne dans les alentours ne réagirait, alors je criai, je gémis, je
soupirai et criai de nouveau jusqu’à ce qu’il se retire, enlève son condom,
me demande si je désirais sa semence et, après affirmative, me mit sa queue
dans la bouche et éjacula au plus profond de ma gorge qui, devant cet or
blanc, onctueux et abondant, était une terre aride. J’avalai avec délice.
Ensuite il m’offrit son beau cul de latino, pour le lubrifier, je le léchai
de ma salive encore empreinte de son sperme. Cette feuille de rose fut la
plus douce et la plus délicieuse que j’eus donné à quelqu’un depuis un long
moment, ensuite j’introduis mon pénis dans cet antre de plaisir et commençai
va-et-vient lancinant et profond, il fit comme moi, cria et gémis. Il me
demanda de lui éjaculer sur la poitrine, chose que je fis, puis il me
demanda de le lécher. Je lui flattais les mamelons et lui léchais les
auréoles, il était aux anges.
Bandé comme un taureau de nouveau, il commença à se masturber, je descendit
donc le sucer quand j’aperçut l’heure, il était 9h30, ma blonde allait me
tuer, je m’excusai donc, m’expliquai et lui donnai mon e-mail. Je lui dis
qu’il pouvait me contacter n’importe quand, on se redonnerait rendez-vous,
puis je suis parti en trombe afin d’arriver le plus vite possible chez-moi.
Lorsque je suis arrivé chez moi, il n’y avait personne, je
trouvai un message sur la table de la cuisine disant :
– Salut chéri, je suis parti te chercher un cadeau pour nos cinq ans
ensemble (MERDE!! J’avais oublié !!), Je devrais être là vers 10h,
prépares-toi à une soirée chaude. 😉 Ta belle petite cochonne préférée.
Il était dix heures moins quart, je m’assis donc sur le divan, ouvrit la
télé et attendis. Quelques minutes plus tard, je l’entendis arriver, d’après
les sons, elle n’était pas seule. Elle dit mon nom, pour savoir où j’étais,
je répondis et elle s’approcha. Je la vis arriver en petit habit de
dentelles noires et elle dit :
– Mon amour, regarde derrière toi, la deuxième partie de ton petit cadeau,
j’ai remarqué, en allant dans l’historique sur l’ordinateur, que tu aimais
bien les transsexuels; Alors j’ai pensé que..
Derrière le sofa était debout une femme d’une beauté exceptionnelle, elle
était habillée du même petit habit ensemble semblable à celui de ma copine,
mais à l’entrejambe apparaissait clairement une bosse. C’était un
transsexuel, un trans. comme j’en avais toujours rêvé en cachette, une
femme, une vraie femme, sauf pour la queue. Elle faisait environ 5’6 »,(
1,68 m) les cheveux bruns foncés, ondulés, arrivant à la poitrine, les yeux
bruns et des seins voluptueux.
Il se déshabillât tranquillement, me faisant un strip-tease, il s’approchât,
me chuchotât d’une voie suave :
« On m’appelle Vicky, je vais passer la soirée avec toi et cette jolie
créature (désignant Maryan, ma copine). »
Il s’avança et prit sa queue, il me la mit au visage et je la pris dans ma
bouche tout en lui caressant les seins. Pendant ce temps, ma blonde, [{ qui
est rousse (une vraie) les cheveux aux épaules, les yeux verts, des tâches
de rousseurs partout dans le visage et sur le haut du corps ainsi que de
belles petites lunettes qui lui donne un air de « je suis cochonne mais il
faut pas que ça paraisse » (je dois avouer que les lunettes m’excitent
énormément) }] se mit à m’enlever les pantalons et à déboutonner ma chemise.
Le trans. vint se mettre debout sur le divan, de façon à ce que j’ai sa bite
à la figure et qu’il puisse se tenir sur l’accotoir. Ma femme, elle, se mit
à me sucer. Pendant que j’avais la bouche pleine et le sexe dans cet endroit
humide, je me dis que cette femme devait m’aimer énormément pour me faire un
cadeau si rare, je me sentis même honteux de ne lui avoir rien apporté.
Cette réflexion prit fin que je sentis un chaud coulis s’étaler sur mon
visage, alors je revins au moment présent et léchai le scrotum tout bien
rasé qui me pendait au visage, et pénétrai de mes doigts le troufion qui se
trouvait de l’autre côté. J’avais de la difficulté à m’exécuter car, à cause
de l’excellent traitement qui m’était donné à la verge, j’étais parcouru de
spasme. Un instant plus tard, j’éjaculai.
Ma comparse s’étendit sur le canapé, elle avait un peu de mon sperme dans
ses charmantes lunettes et moi j’en avais encore probablement des traces
dans le visage, je me suis placé pour lui pénétrer le vagin et l’autre se
mit un condom pour m’enculer. Nos mouvements étaient comme synchronisés,
quand je me retirais, il s’introduisait en moi, et quand je m’introduisant
dans ce beau petit minou, lui, derrière, il se reculait. J’éclatai assez
rapidement, alors je m’étendis sur la charmante créature qui était devant
moi et me laissai défonçai encore. Quand ce dernier senti le moment
d’éjaculer, il se retira et se plaça entre moi et ma rousse. Nous ne le
sucèrent à deux et il vint. Son liquide était beaucoup moins abondant que la
première fois, mais il était aussi bon. J’embrassai Maryan et lui dis que je
l’aimais.
Après quelques instants de repos, je me couchai sur le divan, Maryan sur moi
et le trans. au dessus. Nous la prîmes en double, moi dans l’anus, lui dans
le vagin. Elle gémissait, je l’embrassais en même temps dans le cou et lui
caressais la poitrine, l’autre lui lichait les mamelons.
Quand Vicky partie, il était environ une heure, cela faisait deux heures et
demi que nous nous amusions et j’étais exténué. Maryan le comprit, alors
nous sommes allés nous coucher, nus, elle s’étendit sur moi, je l’embrassai
et je m’endormis.
Mathieu, Québec –
Belle histoire et belle illustration ! Une belle transsexuelle comme ça, ça se suce !
En fait c’est deux histoires différentes, tout cela est bien excitant et l’illustration est terrible