Sont folles les frangines ! par Estonius
On a tous les deux quarante ans et quelques poussières, pas mal de poussières, même. Je vis avec Claudine depuis deux ans et je l’ai rencontré par petite annonce sur le web, on s’entend bien, elle est super gentille, très coquine et assez bien conservée, un tout petit peu enveloppée, mais sans trop, disons qu’il y a de quoi peloter. Elle est brune de cheveux, très brune, et elle blanche, très blanche de peau. Ça fait contraste comme disait mon prof de dessin.
On s’amuse souvent le week-end à se faire des petits scénarios érotiques, et on touche aussi un peu au SM, mais juste pour s’amuser. C’est souvent moi qui fait le soumis, mais pas toujours.
Je n’ai fait la connaissance de sa sœur Sylvie que depuis six mois, elle habitait en province et elle est remontée à Paris pour des raisons professionnelles que je n’ai pas bien saisies. Elle est marante Sylvie, elle s’attife n’importe comment, et n’en a manifestement rien à cirer. Par contre elle se chouchoute son immense coiffure rousse en étant tout le temps fourrée chez le coiffeur, et puis elle se maquille, bien d’ailleurs, juste ce qu’il faut sans outrance.
Elle est entrée dans nos jeux sexuels presque naturellement, ce soir-là nous dînions tous les trois à la maison, (la frangine est célibataire) Elle avait apporté un punch, un truc qui tue, fait par une copine à elle, une copine de là-bas comme elle aime à le dire, ben moi qui ne suis jamais bourré, c’était limite-limite, et pendant le repas j’accumulais les maladresses, faisant gicler la sauce du gigot, renversant des trucs…
– Non, mais qu’est-ce que t’as ce soir, je vais te flanquer une fessée ce soir, tu vas voir, ça va te faire du bien !
Elle avait dit ça comme ça, ma Claudine, ce n’était pas sérieux, mais malgré mon état j’ai vu la lueur malicieuse éclairer les yeux de Sylvie
– Tu parles sérieusement, Claudine, tu vas lui foutre une fessée ?
– Non, je rigole. Quoi que… dès fois on s’amuse, mais ce soir je crois que ça va être dur de le maintenir en état ! Hein André ?
– Tu essaieras, tu verras bien ! Répondis-je, fataliste
Et alors que la conversation aurait dû à ce moment-là se recentrer, c’est avec le plus grand calme que Sylvie nous fit cette demande incongrue :
– Et si c’était moi qui lui donnais la fessée ?
Je l’ai regardé d’un air ahuri, me demandant de quelle façon Claudine allait prendre ça…
– Mais cela me paraît une excellente idée ! Répondit alors ma compagne.
Non, mais attend, là ! Claudine et moi étions d’accord – du moins en paroles – pour pratiquer une grande liberté sexuelle, à notre âge et avec notre passé on n’allait pas tout d’un coup devenir fidèle comme des toutous. Et puis on s’était dit que si on avait l’occasion de faire du triolisme, ou de l’échangisme ou d’autres machins en « gismes « , pourquoi pas ? C’est d’ailleurs toujours facile de dire » qu’on va faire » quand on ne cherche pas. Mais avec sa sœur !!!
Pourtant j’étais plus surpris que choqué ! Le souvenir du reste de la soirée est assez flou, mais je me souviens qu’à la fin du repas, alors que nous étions sur le canapé en train de faire je ne sais plus quoi, Sylvie m’a demandé de me foutre à poil, je lui ai alors spontanément répliqué une réponse que j’avais crue géniale :
– Je me fous à poil, si tu me montres tes nichons !
Je croyais ainsi m’en sortir. Mais elle me les a montrés, comme ça, sans aucune gêne ! Des jolis globes bien laiteux avec une belle aréole marron clair et un téton fièrement redressé Que c’est beau les seins d’une femme ! De toute façon, il n’y a rien de plus beau !
J’ai reçu ma fessée, avec le martinet qu’on avait eu un mal fou à dénicher, et puis après je ne sais plus trop sauf deux choses, je me rappelle que j’aurais bien voulu bander mais que je n’y arrivais pas. Et puis je me souviens aussi, alors que l’ambiance était de plus en plus débraillée, avoir vu que les deux frangines avaient l’une pour l’autre des gestes qui allaient bien plus loin que la simple tendresse.
Je me suis aperçu ce jour-là que je connaissais très mal sa sœur. Mais aussi que je ne connaissais pas très bien ma propre compagne.
Mais bon, comme je vous l’ai dit cela ne me choquait pas plus que ça, et toujours est-il que ce soir-là, Sylvie était donc rentrée dans nos jeux sexuels
Et puis faut toujours que je parle de trop, j’avais déjà échangé mes fantasmes avec Claudine, sur le mode « je ferais bien ci, je ferais bien ça, mais si j’ai l’occasion, si l’ambiance si prête, et tout ça, tout ça, et de toute façon je ne suis pas pressé ». Dans nos conversations avec Sylvie j’ai bien sûr réaffirmé mes dires ! En fait, je n’ai pas de tabou, même pas la scato, puisque j’ai déjà léché des culs qui ne sentaient pas spécialement l’eau de Cologne… mais bon… quant à la zoophilie, je n’ai pas envie d’essayer… quoi que faudrait creuser le problème, parce que finalement enculer une girafe ou un zébu ça doit être quelque chose de grandiose, non ?
Enfin j’aurais mieux fait de me taire ! Quoi que je ne me plains pas, Sylvie et Claudine sont des chics filles, mais j’aurais tout aussi bien tomber sur des foldingues.
Je ne vous raconterais pas toutes nos soirées, ne serait-ce que parce qu’il y a comme un petit aspect répétitif, même si on ne fait pas toujours strictement la même chose, mais je vais vous raconter l’une des dernières en date, la plus mémorable, la plus surprenante et la plus fertile en émotions
Ce samedi, on rentre des courses vers 17 heures avec Claudine, on n’avait rien de vraiment prévu, Sylvie nous téléphone et nous demande si nous serions libres pour un restau. D’accord on accepte, elle vient nous chercher, on s’embrasse gentiment, et puis on se prépare ! Sylvie est toujours aussi mal fagotée, un vulgaire jean et une sorte de pull-over assez évasé vers les épaules mais qui ne trouve même pas le moyen d’être décolleté ! Enfin, dans quelques heures je la verrais peut-être à poil ça console !
– Je me demande si on ne va pas lui faire une petite séance à ton Jules ? Propose alors Sylvie qui avait dû lire dans mes pensées
– C’est une bonne idée, ça nous défoulera… parce qu’on vient de faire la queue une demi-heure au super marché… t’es d’accord André ?
De toute façon, presqu’à chaque fois que nous dînons ensemble, j’y ai droit à la séance, on se laisse aller à nos fantasmes et ça finit la plupart du temps dans la décontraction la plus débraillée et la plus rigolarde… Mais là j’ai comme dans l’idée qu’elles ont, les coquines, un petit plan très spécial… Mais bien sûr que je suis d’accord !
Elle a le chic, Sylvie pour nous dégotter des restaurants pas possibles, un petit truc dans le 17ème où ils vous servent du hachis parmentier, et du bon ! Vous en connaissez beaucoup des restaurants qui vous proposent du hachis parmentier vous ? Le repas s’est très bien passé, on a discuté de tout et de rien assez joyeusement, je savais très bien que c’était un peu comme le calme avant la tempête, mais pas à ce point quand même. Parce que comme tempête sexuelle… Mais n’anticipons pas !
Une fois le repas consommé, on remonte dans la voiture, et aussi sec Sylvie me regarde, pointe son index sur moi et me déclare :
– A partir de maintenant je suis ta maîtresse, ou plutôt on est toutes les deux tes maîtresses ! Hein esclave ?
– Oui maîtresse !
Ce n’est pas vraiment une surprise en soi, à part le fait que je m’attendais plutôt à un truc de ce genre une fois rentrés chez nous ou chez Sylvie. Mais bon c’est un jeu… jouons. On roule un peu, on traverse le 16ème, ce n’est pas notre chemin, on passe dans une rue déserte, il y une place. Nous stationnons. On va chez qui ? Sylvie attend un peu puis me donne l’ordre de sortir et de me foutre à poil ! Je comprends de moins en moins.
– Pas en pleine rue !
– Fais ce qu’on te dit, esclave !
Pas trop rassuré, mais j’ose espérer qu’elles savent ce qu’elles font, je me dépouille dans la rue déserte, j’ai le cœur qui tremble surtout qu’une bagnole vient de nous doubler, j’ai juste le temps de me baisser pour ne pas me faire remarquer. Ça fait quand même drôle de se retrouver la quéquette à l’air dans le sanctuaire de la haute bourgeoisie parisienne ! Sylvie me balance ensuite un k-way !
– Tu te mets ça et tu remontes !
Je me demande à quoi ça rime, mais ne pose pas de questions. Je m’aperçois qu’on se dirige vers le bois de Boulogne. La voiture s’arrête dans un endroit où il n’y a pas grand monde, du moins à proximité, car un peu plus loin il y des travelos qui tapinent et des voyeurs qui tournent. Sylvie me fait sortir de la voiture et me demande d’enlever le k-way. Je proteste…
– Non mais attendez ! Là ! Ça va un peu trop loin votre truc…
Sylvie sera cassante !
– Ecoute André, je te demande de nous faire confiance, il ne t’arrivera rien d’irréparable ! On est quand même pas devenus folles toutes les deux en même temps… Alors tu nous fais confiance… ou alors j’irais jouer ailleurs !
– Bon, bon, d’accord, d’accord, on se calme, on se calme !
– Moi j’aurais pas dit ça comme ça ! Intervient alors Claudine. Je me serais mis à genoux devant ma maîtresse et j’aurais imploré son pardon !
Alors, je joue le jeu, je me débarrasse du K-way, je me fous à genoux sur le sol de l’allée devant Sylvie, et lui fais le baratin habituel « pardon maîtresse, punissez-moi maîtresse » et toute la sainte litanie… Elles me font me relever et entreprennent de me ligoter après le poteau d’un réverbère. Sylvie a pris une cravache et Claudine un paddle, et les voilà qui me font rougir les fesses. J’aime ça, mais j’ai peur que quelqu’un vienne. Elles me bordent d’insultes.
– T’aime ça qu’on te fasse rougir ton gros cul ! Hein salope ?
– Oui Maîtresse !
Elles sont complètement déchaînées et les coups sont de plus en plus fort, ça devient à la limite du supportable ! J’ai l’impression qu’elles elles ne tapent pas si fort d’habitude !
– J’ai mal maîtresse !
– Ta gueule, gros porc ! répond Claudine
– Tu as mal parce que tu as peur ! ajoute Sylvie, beaucoup plus didactique
Normalement elles savent s’arrêter quand elles voient que je commence à ne plus supporter, mais avant de le faire, elles me rajoutent néanmoins un ou deux coups de plus, comme ça par principe !
– Je veux bien m’arrêter, mais tu vas être très obéissant et faire tout ce qu’on te dira.
– Oui maîtresse, bien sûr maîtresse.
Sylvie vient pour me détacher, mais elle ne fait pas, elle passe ses bras autour de moi et vient me pincer les tétons, elle les serre avec pas mal de force, ce doit être un réflexe, ma bite qui se demandait si elle devait bander ne se pose plus de question et indique maintenant fièrement le chemin des étoiles ! Elle me détache, et c’est alors que je vois deux travelos qui se sont approchés pour regarder le spectacle, ce sont des brésiliennes, une très noire, l’autre plutôt café au lait – jolies silhouette d’ailleurs – la plus noire a sorti sa quéquette et se la branle, et l’autre à un appareil photo dans les mains ! J’hallucine !
– Ils, elles… vont pas prendre des photos quand même ? Tentais-je de protester.
– André, on t’a dit d’avoir confiance ! Tu vas finir par chopper une grosse punition ! Répond Sylvie !
Mais pour moi ce n’est pas une réponse !
– Mais les photos…
– Mais c’est MON appareil, André ! Maintenant ça suffit pour la peine tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas sucer les bites des deux travelos !
– Non-maîtresse, pas ça !
Je ne sais pas pourquoi je dis ça, puisque ce truc là aussi fait partie de mes fantasmes avoués, mais savoir le pas à franchir si près… Ce doit être mon inconscient qui n’est pas d’accord !
– Comment, non ? Intervient Sylvie en me giflant. Claudine, on va le rattacher et lui redonner une bonne fouettée !
– Non, ce n’est pas possible, je n’en peux plus !
– Alors suce-les !
– Attendez, attendez, il n’y a pas le feu…
– Bon, alors répète après moi : « Je ne suis qu’une grosse pouffe qui aime sucer les bites »
– Hein ?
Nouvelle gifle ! J’allais dire » Je ne joue plus ! » mais c’est alors que ma Claudine s’est approchée, elle m’a regardé droit dans les yeux :
– Ne bouge pas, André ! Dit-elle en m’administrant à son tour une gifle (une double d’ailleurs) Et dis merci !
– Merci maîtresse !
– Et maintenant tu vas sucer leur bite, et tu sais pourquoi tu vas sucer leur bite ?
Je la regarde, interrogatif. Je ne savais plus où j’étais, j’étais ballotté par les événements, plus aucune décision ne m’appartenait, j’étais sans doute victime d’un complot commenté par deux nymphomanes détraquées. J’arrive à balbutier :
– Je ne sais pas, maîtresse !
– Pour me faire plaisir ! Tu ne vas pas refuser de me faire plaisir ?
Elle me regarde dans les yeux, me souris, je retrouve la gentillesse de ma compagne, ça va mieux, je souffle un bon coup !
– Oui maîtresse !
Alors j’ai d’abord sucé la grosse bite noire de la première brésilienne, ça m’a fait tout bizarre d’avoir ce gros bout de chair dans la bouche. J’ai trouvé ça très doux à sucer, quant à l’odeur c’est un peu fort mais pas plus qu’une chatte après tout, il bandait bien, mais n’avait pas l’intention de jouir, j’ai sucé un peu le deuxième aussi, une bite plus courte, et contrairement à l’autre il (faut dire : il ou elle ?) elle ne restait pas passive, et agitait son bassin afin de me faire pénétrer sa queue loin dans ma glotte, j’ai moins aimé ce genre de procédé. Les deux femmes ont aussi goûté aux quéquettes des travestis, mais sans s’y attarder outre mesure. J’ai supposé qu’elles les avaient payées, mais je ne leur ai pas demandé.
– Remets le k-way, on va rentrer ! m’annonce Claudine
Elle n’a pas précisé si le jeu était terminé, alors je joue toujours, je n’ai plus peur à présent. On a décidé de terminer la soirée chez nous.
– Ça va, André ? demande Claudine
– Oui, maîtresse !
– Il n’y a plus de maîtresse, le jeu est fini !
– Hummm, on peut peut-être le prolonger un peu ? Intervient Sylvie !
– Tu ne crois pas que c’est assez pour ce soir ?
– Pourquoi ? Tu n’es pas excitée ?
– Si, mais je ne vois pas le rapport !
– Et bien, si ! On va demander à André de nous sucer, il fait ça si bien !
Surtout, ne rien dire, dès fois qu’elles changent d’idées. D’ailleurs elles profitent du fait que nous soyons stoppés à un feu rouge pour se rouler carrément un patin…
Les salopes….
Estonius 7/2002
Estonius@hotmail.com
Le rêve de tout homme, s’envoyer deux frangines ! LOL
Pas mal, vraiment pas mal
ça manque un peu d’étoffe, dommage il y avait une bonne ambiance
J’ai bien aimé, ais ça aurait peut-être demandé à être davantage developé
De la folie furieuse, mais qu’est ce que c’est bon à lire !
cet auteur a toujours des histoires très originales a nous proposer, celle ci est très bien