Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 3

Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 3

En deux secondes, nous étions en 69 à nous lécher sans aucune pudeur. Alors que la dernière fois, j’avais léché en fermant les yeux, là, je les gardai grands ouverts pour ne rien perdre des courbes et des mystères de sa chatte toute lisse. De même, je me surpris à regarder l’anus bien dessiné, également libre de tous poils. J’eus tout de suite envie de le lécher, mais j’attendis que Nathalie commence la première, comme pour avoir une autorisation. Quand je sentis la langue sur mon petit trou, ce fut comme une libération et je me mis à lécher cet anus, qui m’excitait tant, par le côté tabou.

– Eh bien, on dirait que tu aimes ça… , me murmura-t-elle
– Oui, depuis la dernière fois, je ne pense qu’à ça. Chaque fois que je me branle, je me caresse l’anus …
– Caresse ou pénétration ? dit-elle en souriant..

En même temps, elle avait mouillé son doigt de salive et venait de le rentrer tout doucement dans mon orifice. Je gémis sous la caresse.

– Hum, tu es toute serrée, dis donc. Je vais m’occuper de toi de ce côté, je te l’avais promis.

Elle se libéra du 69, ouvrit un tiroir et sorti plusieurs accessoires, donc un tube de gel lubrifiant.

– Je dois d’abord bien te préparer les fesses. Assieds-toi bien en arrière, les fesses au bord du canapé et relève les cuisses.

Je m’exécutai et elle vint se mettre à genoux entre mes jambes. Sa langue se dirigea tout de suite sur mon anus, tout en me caressant le clitoris avec son pouce. Je fermai les yeux de plaisir. Elle versa du gel sur ses doigts et commença à l’étaler dans ma raie culière. Son index lubrifié se posa sur la corolle anale, je sentis une pression et le sphincter céda. Elle avait vraiment la bonne technique. Et je sentis la progression de son doigt dans mon rectum, jusqu’au bout. Les sensations étaient entièrement nouvelles. Elle ressortit son doigt, le lubrifia à nouveau et l’enfonça de nouveau. Cette fois, la pénétration fut plus facile. Et elle commença de lents va-et-vient. Je gémissais sous la caresse :
– Hum la sensation est vraiment nouvelle….
– Masturbe-toi en même temps pour faire monter le plaisir… normalement, là, tu dois avoir la sensation de vouloir faire caca, n’est-ce pas ?
– Oui, c’est exactement ça. Ça fait vraiment bizarre..
– Normalement, ce sont les matières qui viennent stimuler cette partie et donne la sensation d’envie d’expulsion. Là, c’est mon doigt qui fait office de …
– D’ailleurs, je ne sais pas si mes fesses sont très propres …

Elle retira son doigt qui portait effectivement quelques traînées révélatrices. Elle le regarda :

– Oui je vois. Tu es une petite cochonne, négligée du cul.. mais j’adore.

Elle me sourit, ouvrit la bouche et suça longuement son doigt pour le nettoyer. J’eus un mouvement de recul :

– Là, c’est vraiment dégueulasse..
– Non, tu verras. Rappelle-toi la première fois que tu as avalé du sperme.. je ne pense pas que tu aies aimé !, dit-elle en riant.

Je me remémorai la scène où à genoux devant Thomas lors de mes premières fellations, j’avais accepté qu’il éjacule dans ma bouche, pour montrer que j’étais déjà une grande dans ce domaine. Le goût poisseux m’avait presque fait vomir. Et c’est vrai que maintenant, j’appréciai de goûter la semence de Thomas, même si ce n’était pas ma pratique favorite.

Elle m’avait remis le doigt dans les fesses et avait entamé une masturbation rectale régulière tout en me léchant le clitoris, ce que je trouvai divin. Elle dégagea à nouveau son doigt puis l’approcha de ma bouche :

– Tiens, déguste ce qui sort de tes fesses !

Je détournai la tête et le doigt s’approcha de mes lèvres. J’hésitai, puis sous les coups de langue sur mon clito, je finis par entrouvrir les lèvres. Je trouvai cela à la fois dégoûtant, mais tellement excitant. Je ne me rendis réellement pas compte qu’il n’y avait rien sur le doigt. Mais j’avais à nouveau franchi un cap. Nathalie continuait son éducation :

– Il faut que tu travailles ton muscle anal et que tu l’assouplisses. Pour cela, j’ai un petit gadget pour toi.

Elle sortit une série de plugs anaux métalliques de tailles différentes. Elle en choisit un de taille raisonnable, l’enduisit de gel et vint le poser sur mon anus. Le contact froid du métal me fit tressaillir.

– Détends-toi, et pousse comme si tu étais aux toilettes..

Je poussai et d’un coup, je sentis le plug aspiré par l’anus et se positionner. Je me sentais remplie. Je regardai le miroir en fac. Le plug portait un revêtement brillant à son extrémité, et j’avais l’impression d’avoir un « bijou » de fesses ».

– C’est joli, hein ! tu sais, il m’arrive parfois de le mettre pour sortir, sans culotte. C’est très agréable, car tu es stimulée quand tu marches, quand tu t’assois….il m’arrive même de jouir.

Elle vint donner quelques coups de langue sur ma vulve et se releva. Elle poursuivit :

– Te voilà préparée. Mais pour bien prendre plaisir à être sodomisée, il faut aussi avoir du plaisir à enculer ….

Je me demandai ce qu’elle voulait dire. Elle sorti de son sac à accessoires un gode muni d’une ceinture. Le sexe était de belle taille, violet avec un gros bout. Elle me demanda de me lever et vins m’équiper avec le gode ceinture. Je me vis dans le miroir, et j’eus une sensation étrange en me voyant nue avec ce pénis d’homme. Nathalie se plaça à genoux devant moi et se mis à sucer le sexe artificiel. C’était très excitant et j’avais l’impression de sentir sa langue. La position dominante m’excita aussi beaucoup et je comprenais le plaisir des hommes d’avoir une femme à genoux devant eux !

Elle alla ensuite se placer à genoux dans le canapé, fesses tournées vers moi, la tête dans les coussins. De ses deux mains, elle écartait ses globes fessiers de manière impudique.

– Viens, Marilou, viens m’enculer ….

Le ton quasi autoritaire m’excita. Je m’approchai.

– Tu veux que je mette du gel ?
– Non, tu peux m’enculer comme ça, c’est ce que j’aime. Tu me fais mouiller du cul …

Je posai le bout du gode sur l’anus, hésitante. Ce fut elle qui recula les fesses pour se sodomiser. Le gode était rentré tout seul à fond, signe qu’elle avait vraiment l’habitude. Je ne savais pas trop quoi faire, de peur de lui faire mal. Elle répondit indirectement :

– Vas-y, encule-moi à fond.

Elle remua les fesses comme pour m’indiquer le rythme et à mon tour, je mis à remuer le bassin. Je senti son plaisir à chaque coup de rein. Je commençai à transpirer et j’accélérai, voyant qu’elle en redemandait. Le plug anal fiché dans mes fesses diffusait d’agréables sensations. Elle m’encouragea :
– Oui, comme ça, tu es vraiment une petite cochonne … dis-moi des choses crues, j’adore !

Je ne savais pas trop quoi dire. Je me remémorai quelques dialogues de films X qui m’avaient toujours paru un peu ridicule, mais là, je prenais du plaisir prononcer ces paroles osées:

– Oui petite salope, tu veux que je te défonce le cul ?

Je m’étonnai presque d’avoir dit cela, mais cela me fit mouiller encore plus.

– Oui c’est bon, défonce-moi, encule-moi, baise moi … !: ajouta-t-elle.

Après 5 minutes de va et vient, elle se tendit et cria sa jouissance. Elle venait de jouir du cul devant moi. En sueur, elle se retourna vers moi :

– Eh bien, tu m’as bien enculée ….!
– Oui, avouai-je, j’avais le sentiment de te posséder vraiment et j’avais vraiment envie de te la mettre à fond.
– Oui, aujourd’hui, j’avais vraiment envie de cela. D’autre jour, je préfère des sodomies plus longues et plus douces.. mais là, j’avoue que tu m’as bien cassé le cul !
– Tu pratiques souvent la sodomie ?
– Oui, à chaque rapport, il me faut quelque chose dans les fesses : doigt, gode pénis … idem quand je me masturbe !

Je me retirai de son anus et elle vint naturellement se mettre devant moi pour sucer le sexe luisant de ses sécrétions anales. Elle le nettoya amoureusement :

– J’adore tout ce qui sort de mes fesses ! Je ne peux pas m’empêcher de lécher !

Je défis les ceintures pour me libérer du gode ceinture. Elle le saisit et alla le nettoyer sous le robinet.
Elle revint vers moi et l’enfila directement.

– A ton tour maintenant …..

Je ne savais pas trop comment me mettre et quelle position adopter. Dans les films, sodomie = levrette, mais j’appréhendai. Nathalie me rassura :

– Pour une première sodomie, le mieux est que tu t’assois dessus.. tu pourras choisir le rythme et la profondeur de la pénétration.

Elle s’assit dans le canapé et enduisit le sexe dressé d’une bonne tartine de gel.

– Là, ça devrait rentrer tout seul. Viens, que je t’enlève ton bijou de fesses…
– D’accord, voilà

Je m’approchai d’elle et tournai mes fesses vers elle. Je sentis ses doigts attraper le plug et le retirer doucement. Je frémis au moment où la boule franchit le sphincter. J’avais l’impression que mon petit trou était resté béant. Je vins m’installer au-dessus d’elle, un genou de chaque côté d’elle et viens poser mes fesses sur le sexe dressé. Je ne voulais pas hésiter : je poussai et m’empalai complètement par le cul. Le mélange de douleur et la sensation de déféquer me firent pousser un cri. Je restai immobile, attendant que mes intestins et mon rectum s’habituent. Nathalie me caressa les seins et me souris :

– Détends-toi, tu vas voir, le plaisir va monter … n’hésite pas à te branler en même temps.

Je caressai ma vulve et le plaisir monta. Je commençai les va et vient en soulevant mes fesses, doucement au début puis en accélérant pour trouver le rythme entre les deux masturbations, clitoridienne et anale. Lors de la sodomie, on est autant excité par la sensation physique de la pénétration que par le côté tabou de cette pratique. Et c’est cette 2ème sensation qui prenait le dessus, couvrait même le début de douleur généré par cette stimulation rectale. Les fantasmes commençaient à tourner dans ma tête : images de films X, fantasmes, …. . Je ne pus me retenir :

– Viens m’enculer comme une cochonne ….

Je découvris que le vocabulaire cru m’excitait terriblement, alors que je trouvais cela très vulgaire quand Thomas avait essayé à plusieurs reprises. Je me dégageai de la pénétration et vint me mettre à genoux sur la moquette, fesses en l’air, offertes. Nathalie vint se positionner à genoux derrière moi.

– Alors, comme ça, tu es une petite cochonne ? tu as envie de quoi ?
– Qu’on m’encule à fond….
– Je pense que tu mérites une bonne fessée avant ….
– Oui, oui donne-moi une bonne fessée….

J’avais à peine dit cela que les claques s’abattirent sur mes fesses. Là aussi, la douleur se mélangea au plaisir et je vivais concrètement mes fantasmes les plus enfouis. Je poursuivis :

– Oui punis moi encore, j’ai été très vilaine…

Je me rendis compte du côté un peu ridicule de la scène, mais pris dans l’ambiance, c’était trop excitant. J’étais maintenant très loin de ma sexualité habituelle.
Nathalie répondit :

– Ah oui, tu vas voir….

Elle sortit d’un tiroir un martinet à plusieurs lanières. Elle passa les lanières sur mes fesses puis je reçus cinq coups douloureux mais qui me firent mouiller. Puis, sans attendre, elle vint à genoux derrière moi et m’encula sans précautions :

– Tu la sens bien dans ton cul de cochonne ?
– Oui, encore, bourre moi le cul..

Et les va-et-vient se firent plus rapides et plus profonds. Je me masturbai en même temps, les doigts noyés dans ma cyprine. L’orgasme arriva et me fit pousser un cri. Je ne savais pas trop si l’orgasme venait de ma chatte ou de mon cul ou des deux mais c’était trop bon et une vraie découverte pour moi. Nathalie s’était débarrassée de son gode ceinture et nous nous allongeâmes toutes les deux dans le canapé pour nous remettre de cette excitation et de cette jouissance.

Après avoir somnolé pendant une vingtaine de minutes, nous sommes allés dans la salle de bain pour prendre une douche. Toutes les deux dans la cabine, nous n’avons pas pu nous empêcher de nous embrasser, nous caresser. Nathalie me souffla dans l’oreille :

– Je voudrais que tu m’arroses …

Je compris le message. Elle se mit à genoux. Elle commença à me lécher. Je me remémorais la scène à la plage. J’écartai les lèvres de ma chatte pour que le jet soit précis et j’en lâchai un premier dans sa bouche. Elle avala ma pisse avec gourmandise.

– Donnes m’en encore, donne-moi tout ….

Je voulus l’inonder et je poussai très fort. Résultat : un flot de pisse sur son visage.. mais aussi un étron sur ses seins. Elle sourit :

– Humm, tu m’as fait un beau cadeau …

Elle prit la matière et se caressa les seins. Elle se mit debout derrière moi. Elle m’embrassa dans le cou et me caressa les seins avec mon propre caca. Ils devenaient marrons, avec de grandes coulures. Comme nous étions sous le jet de la douche, cela me parut moins extrême. Elle me prit une main, la remplit de matière et m’obligea à me caresser les seins avec. Tout ça était hyper cochon et complétement nouveau pour moi. Je pensais à Thomas et à la tête qu’il ferait s’il avait assisté à cette scène.

– A mon tour, maintenant.

Et très naturellement, comme si elle avait toujours fait cela, elle s’accroupit légèrement, poussa un instant et fit caca dans ses mains en souriant. Elle se caressa les seins et se masturba, en m’invita à en faire de même. Nous eûmes un orgasme quasi simultané.

Après nous être entièrement lavées, je me rhabillai et me préparai à rentrer. Nathalie m’embrassa sur la bouche :

– Cela fait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir…. tu reviendras ?
– Oui, bien sûr. j’ai vraiment adoré !

Je quittai l’appartement et rentrai chez moi. Thomas m’accueillit :

– Alors, vous avez bien discutée
– Oui, nous étions fatiguées. On a bu un thé et regardé ses albums de photo … rien de bien excitant !

Je me demandai si j’allais pouvoir partager mes nouvelles pratiques avec lui …

Les semaines suivantes, je continuais à aller au club avec Nathalie et je passai régulièrement chez elle pour des thés coquins, mais le plus souvent très cochons. Nous étions même retournés plusieurs fois sur cette plage naturiste, si spéciale. Je mourrai d’envie de demander à Thomas de m’enculer, de me pisser dessus.. mais je craignais qu’il s’imagine que c’était un amant qui m’avait donné toutes ces idées, et qu’il ne me fasse plus confiance. Je continuai à faire l’amour « comme d’habitude » avec lui. Finalement, je finis par décider qu’il fallait demander à Nathalie de m’aider à faire cette transition. Après tout, elle nous avait proposé de nous aider à découvrir la région. Donc pourquoi pas le faire à trois ? J’en parlai à Nathalie et nous mîmes au point le scénario pour la semaine prochaine : découverte à trois de la plage naturiste puis nous repasserions chez Nathalie pour finir. Dans l’action, je pensais que la transition serait plus facile et qu’il accepterait plus facilement une initiation par une femme.

J’avais l’impression que la semaine n’en finirait pas tant j’étais impatiente. J’imaginai les pires cochonneries et je dus me masturber plusieurs fois pour me calmer. Je voulais que la transition soit complète : j’allais m’acheter un nouveau maillot de bain. Je savais que je ne le porterai pas longtemps mais je voulais qu’il fasse son effet. Il y avait beaucoup d’articles dans la magasin. Mon choix se porta sur un mini-string ficelle qui couvrait très peu. Sans même l’avoir porté, je me sentais excité rien qu’à la tête de Thomas quand il me verra le porter.

Nous avions convenu de passer prendre Nathalie et d’aller à la plage avec notre voiture. Je portais un tee-shirt court, qui laissait le nombril apparent et un short en jean et des tongs. Thomas avait choisi une chemise en jean, un bermuda et des baskets portées sans chaussettes. Nathalie portait son habituel teeshirt long et était pieds nus. Je devançais la question de Thomas :

– Oui, Nathalie est toujours pieds nus, sauf au travail ! D’ailleurs, je crois que c’est elle qui a raison.

Je joignis le geste à la parole en me déchaussant et mis mes tongs dans mon sac. Nathalie me sourit. Nous devions marcher 200 mètres dans la rue avant d’arriver au parking. Le fait de marcher pieds nus dans la rue me donnait presque l’impression d’être toute nue ! Thomas s’étonna :

– Mais c’est nouveau ça !
– Oui, c’est Nathalie qui me fait découvrir de nouvelles choses !

Nous roulâmes environ 45 minutes pour arriver au même endroit que la première fois avec Nathalie. Depuis, nous étions allés sur d’autres plages naturistes, généralement familiales, mais le fait de revenir ici, sur cette plage libertine, me remplissait d’excitation. Après avoir pris nos sacs, nous avancions sur le chemin de la plage. Nous n’étions pas les seuls, la journée étant très belle et chaude.

Nathalie s’arrêta et se tourna vers nous :

– A partir de là, on peut se mettre à l’aise…

Et sans attendre la réponse, elle ôta son tee-shirt et comme la dernière fois, apparut seins nus et portant seulement un mini string ficelle blanc. Je regardai Thomas et je vis son regard étonné, les yeux fixés sur l’imposante poitrine et les fesses musclées. Nathalie marchait devant et Thomas pencha la tête vers moi et murmura :

– Dis donc, elle est plutôt bien ta copine…. et j’aime bien son maillot de bain ! Tu devrais t’en acheter un comme ça…
– Tu crois ? ce n’est pas trop vulgaire ? tu aimerais que tout le monde voie mes fesses ?
– Mais non … tu as de très belles fesses … !
– Et tu me vois seins nus en public ?
– Oui pourquoi pas ….. tu sais que j’aime te voir toute nue…
– Je sais…

Nous continuions à marcher et je sentis Thomas un peu perturbé. Nous arrivâmes dans la zone naturiste, ce que rien ne laissait présager, car il y avait peu de monde dans cette zone un peu retirée. le bord d’océan était plus animé.

Nathalie annonça, après avoir posé sa serviette et son sac :

– Marilou, il faut peut-être lui annoncer, maintenant, …. non ?
– M’annoncer quoi ? s’étonna Thomas

Je lui souris :

– Eh bien…. que nous sommes dans une zone naturiste !

En même temps, Nathalie avait dénoué son string et était maintenant entièrement nue. En même temps, j’ôtais tee-shirt et short.

– Tu vois, j’ai le même string que Nathalie … tu aimes ?

Je tournai sur moi-même pour qu’il admire mes fesses… et je tirai sur les ficelles du string.

– Moi aussi, je suis naturiste maintenant !

Et je me retrouvai toute nue à mon tour.

Il en était un peu abasourdi, comme quand on a rêvé à quelque chose pendant longtemps et qu’on voit ce rêve soudainement réalisé ! Et je crois qu’il en avait rêvé depuis longtemps. Mais il y avait un pas entre rester tout nu chez soi et se mettre en tenue d’Adam en public, même si tout ce public est aussi nu.

Je lui ordonnai presque :

– Alors, tu te mets en tenue ?

Il enleva son haut et ses chaussures, mais je vis qu’il hésitait pour le reste ! Moi, je n’hésitai pas et vins me placer derrière lui et je lui baissai short et slip sur les chevilles, révélant des fesses blanches et un pénis en semi-érection.

– Voilà tu es prêt maintenant !

Il finit de se déshabiller mais gardait les mains devant son sexe …

– Allons nous baigner, nous sommes là pour ça après tout. Et cela permettra à Thomas de s’habituer …

Nous marchâmes tous les trois vers l’océan. Au fur et à mesure que nous nous approchions de l’eau, la densité de personnes augmenta : hommes, femmes, couples, enfants … tous entièrement nus, s’amusaient, entraient et sortaient de l’eau. Thomas se précipita dans l’eau comme pour se dissimuler et éviter un début d’érection. Nous nous sommes amusés pendant près d’une demi-heure dans les vagues de l’océan. J’appréciai ce contact sur mon corps nu et je me jurai de ne plus mettre de maillot de bain (en tout cas, le moins souvent possible ou alors le plus petit possible). Je m’approchai de Thomas :

– Alors, cette première expérience ?
– Génial, j’adore … je ne me doutais pas qu’il y avait autant de forme de fesses, de chattes, de seins, de bites … et finalement tout le monde s’en fout !
– Oui c’est ça qui est bon… mais ça ne t’excite pas un peu ?

En même temps, sous l’eau, je saisis son sexe et commençait une masturbation discrète… la réaction fut très rapide.

– Hum tu bandes bien ! j’aimerais bien que tu me prennes et m’encules là devant tout le monde !, lui susurrai-je à l’oreille

Et son érection se renforça instantanément !

– On va sortir avec Nathalie, lui dis-je en riant, attends un peu si tu ne veux pas te faire remarquer …

Nous sortîmes de l’eau et allâmes nous asseoir un peu plus loin dans le sable en attendant Thomas. Nous le vîmes arriver et son sexe avait diminué de volume ! Il devait se sentir plus à l’aise… Nous nous dirigeâmes vers nos serviettes. Thomas m’avoua :

– C’était vraiment un bon moment, je pense que l’on va revenir…
– Bien sûr, j’adore ça moi aussi. Mais pour aujourd’hui, il y a encore des choses à découvrir …
– Ah bon ?

Je n’en dis pas plus, lui laissant la surprise.

à suivre

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2 réponses à Une voisine troublante par Francois_urophile – Partie 3

  1. Mathilda Stenberg dit :

    J’ai bien aimé les passages scato décris sans surenchères (mais avec une certaine naïveté bien pardonnable). Quand on mon fout un doigt dans le cul j(adore le lécher quand il ressort. Hummm

  2. Chastaing dit :

    A part l’obsession bizarroïde de l’auteur pour les pieds nus, j’ai trouvé ce texte plutôt bien torché (si je peux me permettre)

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