Aux plaisirs de ces Dames… par Verdon

Aux plaisirs de ces Dames… par Verdon

Aux plaisirs de ces Dames…

Ce soir, couché en 69
Dessous les cuisses d’une Meuf
Je fourrage dans sa raie culière
Ce qui a l’air de bien lui plaire.
Car elle couine, la ménagère
Comme à midi ma cafetière !
Et tant elle coule comme une fontaine.
Que j’en ai la bouche bien pleine.

Elle me réclame, la salope
Que je la lèche plus profond.
Que je lui foute dans le fion
Le bout du nez car ça la dope.
Elle s’assoit sur mon visage.
Alors ravi, je la boulotte
En lui faisant le grand ménage
De la rondelle jusqu’à la motte.
Avec ma langue je lui touche
Le trou du cul, ça la chatouille
Comme les pattes d’une mouche
Aussi elle serre quand je la fouille
Mon petit membre inquisiteur
Et ça lui fait plein de bonheur.

Oh quand elle mouille c’est du bouillon !
Ça sent un peu le merluchon
Mais apprêté de bonnes saveurs
Ça consolide mes ardeurs.
A se payer mes balivernes
Elle en néglige ma gouverne.
Et je la sens se trémousser
En oubliant de me sucer,
Je lui prodigue sur les fesses
Un p’tit rappel de politesse.
Alors elle appelle sa soubrette
Jeune étudiante en médecine,
Et lui refile ma quéquette
Qu’elle s’enfile l’estudiantine
Dans le trou neuf de son p’tit cul,
En s’asseyant sur mon pointu.

Quand sur ma langue l’une s’encule
L’autre m’écrase les testicules
Et me carambole la pine.
Elle me torture, elle me lamine
Je crie, j’étouffe et je joui.
Et les deux garces en font profit
En se bâfrant comme des gouines
Sans se soucier de ma trombine.
Elles jouissent mes deux salopes
Tout en riant comme des folles
Et tant elle rit mon amazone
Que bientôt à grand flot j’écope
Le gros pipi de cette cochonne.
Un vrai karcher, une avalanche
Un jet puissant qui sous ses hanches
Me décape la devanture.

C’est un sirop, un jus bien mur
Dont elle me fait la bonne offrande.
Une cuvée de l’ancien temps
Avec le goût un peu piquant
D’un vieil alcool de contrebande.
Moi je me saoule à cette source
Je lape, je bois, je me ressource
Et je bouchonne la rosette
De la vicieuse midinette
Tandis qu’ouverte comme une huître
La vieille se fend de nombreux litres
En me pissant sur le museau
Comme se vide un gros tonneau.

Puis mes Nanas sans s’embêter
Sur le côté se sont jetées
Pour s’emmêler fesses et nichons
En me laissant tout comme un con
Les couilles à l’air, la bite au vent
Le cul posé sur un divan.

Elles sont sublimes évidemment,
Mais quand deux femmes se mélangent
Il ne faut pas qu’on les dérange
Si non finis les agréments.
Les laissant faire je me retire
Pour me branler, il va s’en dire
Le gland bordé des fioritures
D’un petit cul très mal léché
Et sur ma langue le goût salé
Du gros pipi d’une mature.

20/04/2020

Ce contenu a été publié dans Histoires, Poèmes, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Aux plaisirs de ces Dames… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Délicieux poème pour un délicieux breuvage

  2. Claire dit :

    Délicieux poème qui m’a donné envie de faire quelques gouttes dans ma culotte

    • verdon dit :

      Mouillez, mouillez ma Chère…
      Chaque goutte versée,
      au bout de chaque vers
      est un beau compliment
      soyez-en remerciée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *