Un samedi très mouillé par : Ingrid-a-chaud

Je me présente, je m’appelle Ingrid, j’ai 19 ans. Physiquement, on me trouve
jolie, mais je ne peux m’empêcher de me trouver des centaines de défauts.
Classique chez les filles en diront certains.

J’habite chez mes parents, et c’est là qu’on se retrouve avec mes trois
grandes amies tous les samedis après avoir passé des heures à faire les
boutiques. A ce moment de la journée, mes parents ne sont jamais là (je ne
me souviens pas d’un samedi où ils ne sont pas sortis !) et on en profite
généralement pour essayer le fringues précédemment achetées, ou tester nos
nouveaux produits de beauté

Mais, un certain samedi du mois d’avril, tout ne s’est pas passé comme
prévu…

Nous nous étions données rendez-vous avec les filles à 14h30 au centre
ville. En me réveillant (à 13h00), je constatais qu’il faisait un temps
splendide dehors, ce qui contrastait avec la météo exécrable qui perdurait
depuis des semaines. Après un copieux petit déjeuner, je montai dans ma
chambre me préparer. Je n’avais que très peu de temps. Je choisi une tenue
dans ma garde robe. J’optai pour une robe courte bleu ciel (il faut bien
profiter du beau temps ! !). J’ôtai ma nuisette, je marquai un temps d’arrêt
afin de me regarder dans l’imposant miroir trônant au milieu de la pièce.
Mon regard se bloqua sur ma poitrine, dont la croissance tardive
m’étonnait.

 » Pendant encore combien de temps vont-ils grossir ? Me dis-je tout en
commençant à me passer la robe. Puis je me pris un tanga dans mon tiroir.
Pendant que je l’ajustai, j’aperçu encore mon reflet dans la glace. Avec
horreur, je vis que ma pilosité dépassait de mon sous-vêtement. Mince ! !
D’autant plus que l’on devait aller dans ce nouveau magasin où les cabines
d’essayage sont collectives.

Il est vrai que j’avais repoussé une quelconque épilation de cette partie de
mon corps depuis au moins un mois, en me disant qu’avec ce temps pourri, je
ne porterais que des pantalons longs, et que, de plus, je n’aurais aucune
relation intime vu que je n’ai pas de petit ami en ce moment.

Et le pire c’est qu’il est déjà 13h45 à ma montre, donc pas le temps de
remédier de façon quelconque à ce problème. Tant pis, je ne mets rien du
tout ! Ainsi, personne ne remarquera ce manque de soins intimes si par
hasard une des copines venait à me voir dévêtue. De toute façon, ça ne
choquera personne vu que Magali est déjà adepte du  » cul nu  » comme elle
appelle cela.

Me voilà donc partie en direction du centre, devant la mairie, où
m’attendent déjà Marie, Laure et Magali. L’après-midi se déroula comme
d’habitude. Nous dévalisions les magasins les uns après les autres. A notre
grand regret, le fameux nouveau magasin, pour lequel j’avais sacrifié ma
culotte, n’ouvrait ses portes que la semaine suivante pour cause de  »
problèmes avec les stocks « . Heureusement, ceci fut compenser par de
nombreuses promotions partout ailleurs.

A 18h, Marie qui avait un truc urgent à faire une heure auparavant nous
rejoint avant que nous prenions le bus, direction ma maison.

Les filles m’avertirent qu’elles avaient décidé de passer la soirée entière
chez moi alors que nous pénétrions dans mon domicile.(et je suis sure qu’on
va en fait passer toute la nuit à bavasser tout en regardant les programme
télévisés pitoyables de la nuit).

Arrivées au salon, je nous servis une petite collation ( Y a pas à dire, le
shopping, ça creuse ! !) et offris à toute une bouteille de Panache, qui est
notre  » boisson officielle  » avant que nous montions toutes les quatre dans
ma chambre afin de montrer nos dernières acquisitions (qui en cette journée
étaient très nombreuses).

C’est Magali qui démarra, en sortant d’un sac un petit top blanc, trouvé en
solde. Mais elle n’avait pas pu l’essayer en magasin qui, il est vrai, était
bondé. Elle défit sa chemise et se trouva  » torse nu  » au milieu de nous.

Cela peut sans aucun doute choquer plusieurs personnes, mais cela ne nous
dérange plus de nous voir dénudées. Marie qui est la dernière à être arrivée
dans le groupe eut quelques réticences au départ, mais elle s’y est
habituée, et n’hésite plus à se dévoiler pour se changer. Et puis, pour le
reste des filles, on se connaît depuis la plus tendre enfance, donc on s’est
déjà vue pleins de fois à poil sans que cela nous gène.

– Alors, vous en pensez quoi ? , nous demanda-t-elle après s’être habillée
– Pas mal ! Répondit Laure. Mais il ressemble vraiment beaucoup à celui que
j’avais l’année dernière.
– Je sais bien, mais vu que tu le mets jamais…
– Beh tu devrais faire pareil, je voudrais pas trop dire, mais on voit tes
tétons à travers !

Il est vrai que le tissu laissait transparaître le bout de ses seins. Elle
défit donc le vêtement et nous demanda à chacune de l’essayer, mais il y eut
le même effet sur toutes.

Les unes après les autres, nous montrions nos achats et critiquions celles
des autres. Ce petit jeu hebdomadaire était très divertissant. Magali
restait dans son coin seulement uniquement vêtue de sa minijupe (qui ne
cachait d’ailleurs pas son adorable minou) à bouder, déçue par son achat
(mais aussi vexée par la critique de Laure). Elle eut sa revanche quand
cette dernière voulut essayer une de mes robes dans laquelle elle ne put
rentrer (elle est pourtant très bien foutue, mais il est vraie qu’elle est
un chouilla plus ronde que moi.

Ce fut ensuite autour de Marie qui n’hésita pas à nous montrer l’ensemble de
lingerie fine qu’elle venait de s’offrir. Il s’agissait d’un
porte-jarretelles, d’une paire de bas, d’un string et d’un soutien gorge,
d’une blancheur éclatante.

– Vas-y, mets-le ! Hurlions-nous

Elle ne se fit pas prier pour se dévêtir complètement. Elle défit son
t-shirt, son jean et enfin son tanga. Magali fut la première à remarquer sa
nouvelle épilation pubienne en forme de V.

– Dis donc, tu t’ai rasée différemment ?
– Ouais, j’ai voulu essayé quelque chose de différent, et j’ai trouvé que
c’était assez sympa. Vous trouvez ça comment ? Nous demanda-t-elle tout en
exhibant fièrement son pubis.
– Super, répondis-je en même temps que Laure
– Ouais, pas mal, mais je préfère quand même ma façon ! Lança Magali tout en
remontant sa jupe qui ne cachait déjà pas son sexe entièrement rasé.

Marie mit en place le portes jarretelles, enfila ses bas qu’elle raccrocha
aux jarretières. Elle s’arrêta subitement dans son habillage. Elle commença
à chantonner le célèbre air de Joe Cocker accompagnant tout bon strip-tease
qui se respecte.

Puis elle commença à danser lentement. Puis telle une danseuse de bar, elle
se déhancha et passa ses mains sur tout son corps.

Tout le monde rigolait dans l’assemblée, ce petit jeu était en effet
habituel dès que l’une d’entre nous se présentait en petite tenue.

Marie continuait ses gestes langoureux et se présenta son dos face à nous,
ce qui nous offrait la vue de ses superbes fesses roulant sur le rythme de
la chanson.

 » Le cul ! ! Le cul ! ! Le cul  » chantions-nous.

Répondant à nos appels, Marie plaça ces mains de chaque côté de ses globes
fessiers et les écarta alors qu’elle se baissait. Tout le monde put admirer
à souhait son petit trou et un peu plus loin ses petites lèvres qui
s’écartaient du fait de la position.

Nous étions toutes mortes de rire. Marie continuait quand même de nous
aguicher. Elle se retourna, se caressa les tétons tout en poursuivant sa
danse sensuelle. Je vis du coin de l’œil que Magali ne s’était pas retenue
de se caresser sous sa jupe.

 » La chatte ! ! La chatte ! ! La chatte  » hurlions-nous à présent.

Et dans un geste terriblement excitant, elle écarta ses lèvres ruisselantes,
nous dévoilant un clitoris turgescent, qu’elle s’empressa de caresser tout
en mimant l’orgasme.

Après cette pause exhibition, ce fut à mon tour de dévoiler mes achats. Je
devais enfiler la jupe bleue (vous avez peut-être remarqué que c’est ma
couleur fétiche) que j’avais trouvé en promo. Mais quand je quittai ma robe,
tout le monde remarqua ma nudité (que j’avais complètement oubliée).

– Tu joues le cochonnes, ma puce ! Me dit ironiquement Magali, qui elle-même
revendiquait de ne jamais porter le moindre string (sauf pour certains jeux
sexuels bien sûr) .  »

Je me résolus à leur avouer la raison de cette situation.

– Non, c’est juste que ce matin, je me suis aperçu que mes poils dépassaient
de mon tanga, alors j’ai décidé de ne rien mettre.
– Ca tombe bien, s’exclama Laure en nous montrant un de ses sacs, j’ai
acheté tout le nécessaire cet après-midi. Viens dans la salle de bain !

Bien que ces paroles ne s’adressaient qu’à moi, toute l’équipée se rua dans
la salle d’eau qui se trouve à coté de la chambre de mes parents. En parlant
d’eux heureusement qu’ils n’étaient pas là. Ils auraient halluciné en voyant
Marie en bas et porte-jarretelles, Magali juste en mini jupe, Laure en
string et soutien-gorge, et moi entièrement nue, sa baladant dans les
couloirs de la maison.

Une fois arrivées, Marie me demanda de m’allonger sur la table à coté du
lavabo.

– Je m’occupe de tout ! Me dit-elle

Cette situation pu familière me gêna un peu au départ, puis m’amusa. Je me
laissai faire et écarta complètement les jambes afin de faciliter l’étalage
de la mousse à raser. Laure ne put s’empêcher de m’en mettre plein la vulve.
Elle prit un malin plaisir ensuite à l’enlever avec ses doigts, n’hésitant
pas à me caresser des zones très érogènes, tout en s’excusant de sa
maladresse (qui ne dupait personne).

Je demandai ensuite à Marie, de me raser comme elle, car j’avais bien aimé
la forme du V.

Pendant ce temps, Magali, remonta sa jupe nous dit :

– Eh le filles, regardez !

Elle remonta un peu plus sa jupe, plaça les jambes de chaque coté des
toilettes qui jouxtaient la table sur laquelle j’étais allongée. Elle écarta
ensuite son sexe, et se mit à uriner sous nos yeux, ce qui eut pour effet de
nous rendre toutes hilares. Marie commença son travail tandis que Magali
continuait son gros pipi bruyant. Mais au bout de quelques secondes, une
conséquence beaucoup moins amusante que l’hilarité générale. Les clapotis du
pipi conjugués au Panache et au rire me rappelèrent que ma vessie était
pleine.

– Heu, j’ai un petit un problème !
– Quoi ? demanda Marie, absorbée par son travail.
– J’ai grave envie de pisser ! Répondis-je.
– T’aurais pu prévoir, je viens juste de commencer, si t’y vas maintenant,
toute la mousse va partir. Tu attends !
– J’suis vraiment désolée mais je crois que je vais pas pouvoir tenir très
longtemps
– J’ai une idée ! Dis Laure  »

Sans plus de détail elle sortit de la salle, et revient dix secondes plus
tard avec une bouteille vide de Panache. Je ne compris pas directement son
plan, mais peu de temps me suffirent à en cerner l’ingéniosité. Elle
m’écarta mes petites lèvres et me plaça le goulot à la sortie de mon urètre.

– C’est bon, tu peux y aller ! Me lança-t-elle

Mais, je ne pus sortir une seule goutte. Je n’avais pas la spontanéité de
Magali qui n’avait pas hésité à se soulager devant nous. S’apercevant de mon
blocage, Laure monta la bouteille, et commença à me caresser le clitoris
avec le goulot, de façon à me détendre le sexe.

Je me laissai faire. Le frottement m’excita terriblement. Je
sentais que je mouillais comme une folle. Mais je continuais à forcer sur ma
vessie. Soudain, quelques gouttes perlèrent, puis un jet. Laure eut le
réflexe de replacer la bouteille mais un peu trop tard, et elle reçut une
partie de mon urine. Les deux autres filles ne purent contenir un puissant
rire qui ne troubla ni Laure occupée à maintenir la bouteille en place, ni
moi, occupée à me détendre, et à me vider la vessie.

– Ca fait du bien ! Criai-je une fois ma petite affaire terminée, et en me
moquant de l’éclaboussée.

Tout l’humour de cette réflexion ne la toucha pas le moins du monde. Sans
préavis elle se vengea. D’un geste brusque elle me bloqua d’une main, et de
l’autre écarta son string humide (à cause de ma miction) puis ses lèvres.
Elle leva une jambe et plaça son sexe en face de mon corps, puis (en
beaucoup moins de temps que moi) elle urina. Son long jet arrosa ma vulve
déjà bien humide et en retira toute la mousse à raser. Puis il atteint mon
ventre et mes seins, dont les pointes étaient déjà durcies par
l’excitation.

A la fin de son affaire, elle me lança tout en souriant :

– Ça t’apprendra !

Après cette vengeance qui nous fit plus rire qu’autre chose, j’ai serpillié
le sol, et on a enfin pu procéder à mon rasage (qui rendit très bien !).
Cette expérience fut mon premier contact avec l’uro. Je fus étonnée par le
fait que cette  » petite vengeance  » ne me dégoutta pas. Au contraire, j’en
fus très excitée. C’est ainsi que le  » pissing  » ne tarda pas à devenir une
de mes pratiques sexuelles préférées.

Ingrid-a-chaud
ingrid-a-chaud@caramail.com

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Une réponse à Un samedi très mouillé par : Ingrid-a-chaud

  1. Claire dit :

    Heureusement que la fin est interessante parce que toute la première partie : quelle salade !

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