J’ai envie d’être nue sous mes vêtements et je m’arrange pour porter une robe mi-longue. Avec mes escarpins, se sera mon seul vêtement. Après avoir fermé la porte, je quitte l’appartement, retrouve ma voiture et les bouchons habituels. Même en été, c’est imparable…
Une fois au bureau, je me renseigne sur l’arrivée des stagiaires et de la petite blonde avec laquelle j’aime tellement baiser. Elle n’est pas encore arrivée et je me promets de lui faire payer son retard. Vers 10 heures, la porte s’ouvre sur Clarisse, portant une pile de courrier. Vertement, je lui reproche son retard et elle baisse aussitôt les yeux.
– Ça ne se passera pas comme ça, Mademoiselle, vous vous devez arriver à l’heure.
– J’ai eu un problème de réveil, ça ne se reproduira plus…
– Ça n’est pas mon problème, de plus vous avez l’air fatiguée, qu’avez-vous fait de votre week-end ?
– Je… j’ai…
– Allez !
– Je me suis fait baiser…
– Comment cela ? Racontez !
J’obligeais Clarisse à me conter notre week-end et je m’apercevais qu’elle frottait doucement son bassin contre le rebord du bureau.
– Vous mouillez ?
– Oui, Madame,
– Montrez-moi ça ! Soulevez votre robe !
Et Clarisse, docile souleva sa robe, découvrant sa douce toison blonde. Je passais un doigt sur son sillon, puis directement, l’enfonçais facilement dans son sexe. Elle gémit de plaisir.
– Vous êtes une vraie chienne !
– Oui, je sais, j’adore ça…
– Vous allez adorer ce que je vais vous faire faire.
– Je vous appartiens…
– C’est ce que je voulais entendre… Allez me chercher un thé, et dépêchez-vous !
– bien.
Et Clarisse se sauva, dans un froufrou de robe. En attendant, je surfais un peu sur internet. Je trouvais le site où Fabienne avait acheté nos jouets et lorgnais quelques accessoires : masques, baillons et barres d’écartement. Je commandais le tout par E-mail précisant que je viendrai le chercher le soir même.
Clarisse arriva avec un plateau, sans un mot pour elle je bus le thé devant elle. Elle jouait le jeu, baissant le regard. Je passais ma main sur sa cuisse et remontais jusqu’à son sexe trempé. Elle écarta les jambes pour me faciliter le passage. Saisissant un marqueur pour tableau blanc, je l’enfonçais en elle et lui recommandais de ne surtout pas le laisser tomber. Elle crispa ses muscles et le marqueur resta bien en place dans son con. Je la fis rester immobile quelques instants avant de retirer le stylo, puis je le portais à ma bouche.
Je lui demandais ensuite de retourner à son bureau et de me retrouver à midi pour déjeuner en ville.
– Oh, à midi, j’ai rendez-vous avec ma colocataire…
– Alors nous irons manger toutes les trois.
– Mais ?
– Pas de mais, on se retrouve tout à l’heure !
Je plongeais dans mes dossiers pour tuer le temps et deux heures plus tard je me retrouvais en terrasse, la main posée sur la cuisse de Clarisse, sous la table. Sa colocataire n’allait pas tarder. Et elle arriva, même si Chantal paraissait plus âgée que Clarisse, rousse à la peau blanche et laiteuse, on aurait pu dire que c’était la soeur de Clarisse, peut-être des seins plus généreux et un cul plus appétissant. Vêtue d’un jean et d’un débardeur, elle ne donnait pas dans le sexy, mais une fois les présentations faites, elle me parut sympathique. Clarisse s’éclipsa un instant et brutalement, je posais ma main sur la main de Chantal et lui avouait qu’elle me plaisait beaucoup. Elle parut surprise et ne retira pas sa main…
– Au moins vous êtes directe…
– Oui, je sais ce que je veux.
– Et en général, vous l’obtenez ?
– Très souvent, oui.
– C’est vous qui baisez Clarisse ?
– Oui, pourquoi ?
– J’aimerais bien faire pareil.
– Je reconnais que ça m’exciterait de vous voir toutes les deux.
– Surtout qu’on se ressemble beaucoup…
– C’est vrai, on dirait deux soeurs.
– C’est pour cette raison que Clarisse fait un blocage.
– Je pense pouvoir faire quelque chose pour vous.
– C’est ce que j’espérais, j’ai remarqué que Clarisse a changé depuis quelques jours.
– Ah ?
– Je l’ai surprise dans la salle de bains hier soir, elle se masturbait comme je ne l’ai jamais vue se masturber.
– Oui ?
– Je l’observe souvent, dans sa chambre ou sous la douche, c’est excitant, mais pas très démonstratif. Mais là, elle était couchée sur le carrelage et se doigtait comme une dingue.
– Attention, elle arrive.
– Note-moi ton mail.
Je notais rapidement mon mail et lui tendis un papier alors que Clarisse cherchait de la monnaie dans son sac. Avec un peu d’organisation et le matériel adéquat, la soirée promettait d’être chaude. Dès mon arrivée au bureau je lus le mail de Chantal et lui proposais d’entrer dans notre jeu, condition unique pour pouvoir accéder à ses désirs. Elle accepta facilement, m’avouant qu’elle était très excitée par cette situation. Je lui donnais rendez-vous chez moi vers 21 heures, lui recommandant de prendre garde à ne pas se trahir.
J’envoyais Clarisse aux archives où, je le sais, elle ne pouvait absolument pas donner libre cours à ses pulsions. Elle devait bouillonner, et moi, pour être honnête, j’avais très envie d’elle. Mais le jeu en valait la chandelle. Un mail de Fabienne, m’informait qu’elle était bien arrivée et que Gaëlle l’accompagnait dans ses visites. La fin de la journée approchait et je quittais mon bureau pour aller chercher ma commande au magasin. Clarisse avait pour ordre de me rejoindre au centre commercial.
Nous nous retrouvâmes pour faire quelques courses, volontairement je ne parlais pas de notre rencontre avec Chantal. Après quelques achats de nourriture pour la soirée, je l’emmenai aux toilettes du centre où je lui demandais de me laisser boire à sa source. Elle se posta au-dessus de la cuvette et releva sa robe. Je m’avançais vers son sexe et après avoir laissé passer les plus gros jets dorés, je posais ma bouche sur sa chatte pour la boire. Un mince filet d’urine coula de ma bouche le long de mon cou et jusqu’entre mes seins. Je ne me nettoyais même pas. Nous quittâmes les toilettes, Clarisse de plus en plus excitée et frustrée. Une fois dans la voiture, je lui demandais de remonter sa robe de façon à dégager la vue sur ses jambes et sa toison que je devinais humide.
Le trajet se déroula bien vite et nous nous retrouvâmes dans l’appartement avant 20h. J’ordonnais à Clarisse d’aller prendre une douche avec interdiction de se caresser.
Une fois lavée, je lui ordonnais de se mettre debout devant moi puis lançais la caméra et devant l’objectif, je m’occupais d’elle : un masque de latex noir sur ses yeux, confortable mais totalement opaque. A ses chevilles et à ses poignets, je plaçais des bracelets de métal que je venais de rapporter. Autour de son cou délicat, un fin collier de cuir muni d’une boucle. Enfin, des escarpins vernis noirs à talon haut. Pour couronner le tout, je la coiffais en tirant ses cheveux en arrière et je les plaquais contre son crâne avec un peu de gel. J’ôtais de ses tétons les petits anneaux qui les ornaient. Elle était prête et je la fis s’asseoir au milieu de la pièce, sur un tabouret métallique.
Je mis la musique pour masquer la venue de Chantal. Peu après la sonnette retentit. C’était elle, pour l’occasion elle avait revêtu une robe simple et très échancrée mettant en valeur sa peau blanche. Je lui demandais d’attendre dans le couloir et fermais la porte menant à la pièce où se trouvait notre victime.
– Chantal, si tu veux réaliser ton fantasme, donne-moi en premier lieu le dossier signé.
– Il est là, ça a été rapide, finalement… surtout lorsque j’ai dit que c’est toi qui m’envoyais.
– Je suis bonne cliente… Pour ce qui va suivre, je veux que tu m’obéisses sans discuter, si tu n’es pas d’accord avec ce que je vais te proposer, tu es libre de repartir ou de ne pas participer.
– Je t’écoute…
– En premier lieu, je veux que tu lui ressembles le plus possible, tu devras donc être nue, coiffée de la même façon, les yeux bandés et éventuellement entravée.
– Entravée ?
– Oui, avec ceci (je lui montrais les bracelets)
– Euh, oui, pourquoi pas ? Mais je ne veux pas de violence ou de trucs crades !
– Non, fais-moi confiance, de toutes façons, il y a le mot de passe.
– Oui…
– Déshabille-toi.
– Oui…
Et Chantal quitta sa robe, elle était juste vêtue d’un string blanc qu’elle quitta sans que je le lui ordonne. Sa toison rousse était abondante, mais taillée. Elle enleva ses petites baskets et je lui tendis des escarpins, puis je la coiffais comme je l’avais fait pour Clarisse. Elle me tendit les bras et je l’entravais à l’aide des bracelets métalliques. Elle se laissait faire avec docilité. Je glissais ma main vers son sexe, testant son degré d’excitation. Elle écarta les jambes me libérant totalement l’accès à son intimité.
– Tu es très belle, je suis impatiente de te baiser.
– Merci…
– Mais d’abord, je vais t’expliquer ce qui va suivre…
– Oui, d’accord.
– Je veux que tu oublies totalement tous tes tabous, tu pourras faire ce que tu veux à Clarisse, elle est à toi et elle t’obéira.
– Fabuleux…
– Par contre je ne veux pas qu’elle sache que c’est toi, et dans un premier temps, je mettrai un bandeau sur tes yeux et tu suivras mes instructions.
– Bien
– Pour te mettre en appétit, regarde sur cette vidéo ce que cette petite catin sait faire.
Et je lui montrais la vidéo où Clarisse suçait des bites, léchait des chattes (dont la mienne) et se faisait prendre comme une chienne. On me voyait également lécher son anus et plonger ma langue dans son petit trou. Voyant l’intérêt de Chantal, je lui proposais de lui dispenser le même type de caresse. Ne lui laissant pas le temps de répondre, je me mis derrière elle, la fit se pencher en avant, et, écartant ses fesses, je posais ma bouche directement sur on oeillet. Elle se crispa alors que je laissais glisser ma langue le long de son sillon. Sa peau avait une odeur un peu musquée et caractéristique. Je goûtais avec plaisir son parfum intime alors qu’elle commençait à gémir. Elle était prête pour la rencontre.
Je lui passais sur les yeux le même bandeau qu’à Clarisse et vérifiais qu’elle ne pouvait rien voir. Puis, je la guidais vers le salon où Clarisse était sagement assise. Je lui demandais de se lever et je plaçais côte à côte les deux femmes. Elles étaient magnifiques, leur ressemblance était vraiment excitante, on aurait juré qu’elles étaient soeurs. Quant à moi, je quittais mes vêtements et je passais le harnais de cuir, profitant au passage pour me caresser. Mes seins un peu comprimés par les lanières de cuir saillaient et j’avais hâte de passer aux choses sérieuses. Je me mis devant Clarisse et Chantal et guidais leurs têtes vers mes seins en leur ordonnant de les lécher. Elles s’appliquèrent et Clarisse ne parut pas surprise de sentir à côté d’elle un autre corps féminin. La langue de Chantal était un peu maladroite et je le lui fis comprendre.
à suivre….