La braguette du serveur du restaurant antillais par Alexis Defond-Rossignol

La braguette du serveur du restaurant antillais
par Alexis Defond-Rossignol

Isabelle et Alexis, la trentaine, Isabelle est blonde décolorée, les yeux bleus, de taille moyenne, les cheveux courts, des lunettes, des formes là où il faut, sans exagération….

Ce soir là nous avions, ma femme et moi envie d’aller au restaurant, une accumulation d’événements (des amis qui s’éternisent au téléphone alors qu’on allait partir, des travaux sur la route nous faisant avancer à pas de tortue) fait que nous nous y sommes rendus vraiment très tard, et l’établissement où nous avions nos habitudes était complet. Il a donc fallu en chercher un autre et ça n’allait jamais, trop cher, trop de bruit, trop de gosses, trop commun, trop ceci, trop cela… bref ça n’allait jamais….

– On va finir par rentrer s’ouvrir une boite de choucroute ! Proposais-je !
– Ok on fait comme ça !

Mais miracle sur la route du retour, on passe devant un petit truc, un restaurant antillais qui à l’air pas mal du tout ! On y va ! On a pas regretté, mais n’anticipons pas et disons simplement que le… le repas était très bien.

Le serveur s’approche, un grand noir, très jovial et très sympathique !

– Des cafés, ces messieurs dames ?

On refuse, j’ai peur que ça nous empêche de dormir et on commande l’addition. C’est alors que je remarquais mon épouse qui regardait avec une attention toute particulière la braguette du serveur. Effectivement ce qu’il y avait à l’intérieur paraissait de bonne taille.

Une fois, à l’extérieur, je dis à Isabelle sur le ton de la plaisanterie :

– Alors on se rince l’œil ?

Elle rougit d’abord puis se défend :

– Dis donc tu regardes bien les nanas, je peux bien regarder les mecs, non ?

Argument choc ! Que voulez vous répondre à ça ? Et puis je me suis dis que j’avais peut-être là l’occasion de réaliser un fantasme qui me trottait souvent dans la tête :

– Ça te dirait de te taper une grosse queue comme ça ?
– Mais non, tu sais bien que je t’aimes, allez on rentre, je fatigue un peu !
– Tu sais, insistais-je, si c’est juste physique, sans conséquence, ça ne me dérange pas, je crois même qu’au lieu de me déranger ça m’exciterait de te voir sucer une grosse queue !
– Ben v’la autre chose !
– Ça te dit ?
– N’insiste pas tu vas me faire faire des bêtises !
– Allez, on ne vit qu’une fois, on va essayer un truc, si ça marche pas on n’insistera pas !

On retourne au restaurant, où il n’y pratiquement plus personne, les derniers clients sont en train de payer. Le serveur est surpris !

– Vous avez oublié quelque chose ?
– On a changé d’avis, ça vous embête de nous faire un café !
– Non, non pas du tout !
– Des décas !
– D’accord des décas !
– Je me demande bien comment tu vas faire ? Me demande Isabelle !
– Quand il va revenir mate lui carrément la braguette, on improvisera !
– Tu es fou, on va passer pour des obsédés !
– C’est pas grave, on est loin de chez nous….

Le serveur revient avec les cafés. Isabelle fait comme on a dit et regarde ostensiblement l’entre jambe du serveur. Du coup il se demande se qui se passe, regarde si parfois sa braguette ne serait pas ouverte ou tachée !

– Isabelle, arrête de regarder la braguette du monsieur ! Dis-je alors !

Ça passe ou ça casse ! On va le savoir dans un instant ! Le garçon prend ça à la rigolade !

– Pourquoi ? J’ai une tache ?
– Plutôt une bosse ! répond Isabelle du tac au tac !
– Hi ! Hi Hi ! répond l’autre manquant totalement de répartie !
– J’y toucherais bien, il parait que ça porte bonheur ! Reprend Isabelle !
– Voyons, madame ! Que va dire votre mari ?
– Oh, vous savez moi je suis un mari très compréhensif ! Expliquais-je.
– Alors je peux ?
– Ben puisque tout le monde est d’accord !

Incroyable ! Isabelle caresse ostensiblement la braguette du serveur qui évidement est aux anges et se laisse faire. La bosse a changé d’aspect et laisse maintenant deviner un joli cylindre. Ma femme dézipe carrément la braguette du mec et s’en va fouiner dans son caleçon. La situation commence à m’exciter et comme il n’y a apparemment que nous trois, je m’occupe avec une main de mon propre sexe tandis que l’autre va fouiller dans les dessous de mon épouse.

Et tout d’un coup ma femme extrait la quéquette du serveur qui sort de son pantalon ! Superbe objet, un belle verge très noire et terminée par un joli gland long, bien brillant ! J’aurais presque envie de m’en mêler mais je n’ai jamais confié à mon épouse mes fantasmes bisexuels, et puis il faudrait qu’il soit d’accord ce qui n’a rien d’évident, restons sage. Ce qui se passe est déjà inespéré, ne demandons pas la lune !

Isabelle commence à masturber l’engin du serveur avec beaucoup de conviction, puis son visage se rapproche. Elle ose un baiser assez timide sur le flanc de la verge, puis un deuxième, avant de donner un petit coup de langue. Elle se recule de quelques centimètres, caresse le gland entre le pouce et l’index, rapproche de nouveau son visage, met en contact ses lèvres avec l’extrémité de son pénis, se contente de l’embrasser, puis la bouche s’ouvre, se referme ! Ça y est, elle a un bout de la bite du serveur dans la bouche ! Et elle se met à le sucer, vu la taille de la chose il n’est pas question qu’elle essaie de tout avaler, aussi se concentre-t-elle sur ce joli gland. Le type ne reste pas passif et sa main est venue se coller d’abord sur le tee-shirt de ma compagne. Voulant l’encourager je lui soulève le vêtement pour lui faciliter le passage et fait sauter les bonnets du soutien gorge par-dessus les seins. Du coup notre serveur titille maintenant la poitrine d’Isabelle. Elle adore ça qu’on lui tripote les seins. Quant à moi, mon excitation ne retombe pas !

– Vous avez peut-être un collègue qui pourrait nous rejoindre ? Vous savez, deux bites ça ne lui fait pas peur !
– Il y a bien Gauthier, le plongeur, mais il n’est pas aussi monté que moi, et puis il est un peu bizarre, mais enfin c’est comme vous voulez, il ne dira pas non !
– Qu’est ce qu’il a de bizarre ? M’informais-je.
– Ben, disons qu’il est un peu à voile et à vapeur !
– Mais ce n’est pas un problème, ça, faites donc venir Gauthier… plus on est de fous plus on rigole !

Le serveur appelle donc Gauthier ! Mais l’autre n’a pas l’air de répondre, il appelle de nouveau…. et surprise ce n’est pas Gauthier qui déboule mais une petite antillaise toute frisée !

– Il est au téléphone, Gauthier…. mais qu’est ce que vous fabriquez ?
– Elle peut venir avec nous ? propose le serveur !
– Bien sûr ! répondis-je
– Allez Mylène, viens te détendre ! Lui lance son collègue.
– Et, ben ! Vous ne vous emmerdez pas ! Ça va ? Elle est bonne la bite à Antoine ?

Chic on sait maintenant comment s’appelle le serveur, ça m’aurait embêté de ne pas le savoir !

– Humm… un régal ! Répond Isabelle, abandonnant sa fellation quelques instants.
– Et donc Monsieur est avec Madame, si j’ai bien compris !
– Ben oui c’est tout à fait ça !
– D’accord, et ça vous excite de voir votre femme sucer une grosse bite !
– Oh, oui, alors, ça m’excite !
– Voyons voir, dit elle en me plaçant alors sa main sur ma braguette.

Comme vous le devinez bien, ce qu’elle touchait était tout dur.

– Alors petit cochon, comme ça on offre une grosse bite à sa petite femme ! c’est pour un anniversaire.
– Non, non, on avait rien prévu, c’est un concours de circonstances…
– Vous avez de la chance, ça m’excite, moi ce genre de situation…. Je vous plait j’espère !
– Vous êtes ravissante !
– Bon, je me débrouille toute seule pour vous sortir ça du pantalon ou vous baissez tout ça vous-même, ce serait quand même plus pratique.

D’accord faisons pratique, je me lève et fais glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles.

– C’est jolie aussi une petite bite blanche ! Humm elle est toute raide…

Petite, petite, elle n’est pas si petite que ça… mais c’est vrai qu’en comparaison avec le mandrin d’Antoine, je ne joue pas dans la même division…

– Allez assis-toi petit cochon, tu vas voir comme elles savent bien sucer les antillaises.

Je n’en doute pas un instant, et déjà elle a ma bite dans sa bouche qu’elle fait aller et venir tout en distribuant de savants coups de langues sur les endroits les plus sensibles. Je jette un coup d’œil à côté, Isabelle s’est carrément mis à genoux entre les jambes du grand black et lui fait maintenant une fellation très soutenue, tandis que ses mains lui malaxent les couilles ! Mon dieu que c’est beau…. Dommage qu’il ait vraiment un engin démesuré sinon j’aurais bien proposé à ma femme qu’elle le prenne dans le cul ! Ça m’aurait vraiment bien plu de voir ça, mais ne rêvons pas, quand c’est trop gros, c’est trop gros.

– Je m’appelle Mylène ! Me dis l’antillaise interrompant un moment sa fellation !

Elle n’est pas folle, elle a compris que j’allais tout lâcher d’un moment à l’autre et préfère faire une petite pause. Et puis je trouve ça sympa qu’elle se présente, je n’aime pas trop les rapports anonymes….

– Moi c’est Alexis !
– Vous êtes russe ?
– Non et vous ?

Elle rigole !

– Vous voulez voir mes nénés !
– Bien sur que j’aimerais voir vos nénés !

Pas compliquée, la fille ! Elle enlève son tee-shirt, elle a un joli soutif en voile rouge qu’elle dégrafe dans la foulée. Jolie poitrine ! Attiré comme un aimant j’entreprends de lui lécher les tétons, elle se laisse faire sans problème, ça à l’air de lui plaire…

Un gémissement étouffé, à côté. Je comprends qu’Antoine vient de jouir ! Ce cochon lui a tout lâché dans la bouche. Je croise le regard d’isabelle, elle est radieuse ! En plus d’être excité je suis super content que l’affaire ce soit bien passé, on recommencera !

– Alors elle était bonne la bite à Antoine ? lui demande Mylène.
– Super ! Répond mon épouse en réajustant sa tenue
– Vous savez, on adore les couples coquins, parfois il y en a qui viennent ici, mais c’est quand même assez rare…

En disant cela la petite antillaise lui a mis la main sur l’épaule par dessus le tissu du tee-shirt et la caresse négligemment. Comme Isabelle ne dit rien, ses mouvements de main deviennent plus larges et s’approchent de son sein droit. J’ai compris le manège. Ce que j’ignore c’est comment va réagir mon épouse quand l’autre va lui mettre carrément la main sur le nichon ? Si elle pouvait accepter la caresse, ce serait fabuleux, mais ne soyons pas trop gourmant, je voudrais aussi qu’elle termine sa fellation, mais en a-t-elle l’intention ?

Ça y est, la main de Mylène est sur le sein d’Isabelle qui répond par un sourire complice ! Du coup l’autre met les deux mains, Isabelle lui rend la politesse, leurs visages se rapprochent et « vlatipa » qu’elles se roulent une pelle. Quant à Antoine, il a l’air aussi passionné que moi par ce spectacle

– Tu m’a appelé ! dit alors quelqu’un !

D’où sort-il celui là ? Je comprends qu’il s‘agit de Gauthier le plongeur. Il regarde la scène avec des yeux tous ronds : Les deux femmes en plein élan de tendresse, Antoine debout la bite à l’air, moi aussi d’ailleurs sauf que je suis assis ! Voilà un spectacle que l’on ne voit pas au restaurant tous les samedis soirs !

– Madame avait une grosse envie de bite ! Mais toi tu n’as rien compris, tu passes des heures au téléphone ! lui répond Antoine.

Du coup Isabelle regarde le nouveau venu, ce n’est pas un antillais, ce doit être un réunionnais ou un mauricien métissé avec beaucoup de sang indien. Il est assez mignon.

– Mais vous êtes le bienvenu ! Lui dit Isabelle, plus on est de fou, plus on rigole !
– C’est vrai, vous voulez voir ma bite, mais vous allez être déçu, je n’ai pas le calibre d’Antoine !
– On s’en fout j’ai envie de sucer, répond Isabelle décidément déchaînée !
– OK, je vais me mettre à poil !

Gauthier, ne doit pas aimer l’amour débraillé, il recule d’un mètre ou deux, et se déshabille complètement, plaçant ses affaires méticuleusement sur le dossier d’une chaise. Vraiment troublant le type, imberbe, une belle peau mate, un corps sans musculature exagérée, la verge est plus sombre que le reste, un peu comme chez les asiatiques. Une fois nu, il s’avance vers mon épouse, qui sans aucun préambule se met sa queue dans sa bouche ! Je vous dis, elle est déchaînée !

– J’ai prévenu ces messieurs dames que tu étais un peu bi, ils m’ont dit que ça ne les dérangeait pas !
– Tu parles toujours de trop, Antoine… mais c’est vrai j’aime aussi bien les femmes que les hommes….

Je fais quoi ? Comment va réagir Isabelle si je franchis le pas devant elle ! Et puis que peut-elle me reprocher ? Ne vient-elle pas de rouler un patin à la petite Mylène ! Oui, mais rouler un patin ou faire un pipe ce n’est quand même pas la même chose…. D’un autre côté, des occasions comme celle-ci je ne vais pas en rencontrer tous les jours !

– Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de sucer une bite ! Je peux essayer juste un petit peu ? Lançais-je !

La tête d’Isabelle ! Elle n’est pas choquée, mais elle se demande ce qui m’arrive ! J’ai peut-être été trop loin ?

– Ça ne te choque pas ? Isabelle ?
– Choquée, non ! Pourquoi voudrais tu que je sois choquée, mais surprise oui, ça alors, tu peux le dire ! Allez vas-y prend ma place suce lui sa queue à ce charmant jeune homme tu va voir comme c’est bon !

En fait ce n’est pas ma première, mais il y a des années que je n’ai pas fait ce truc là… Me voilà donc avec une verge dans la bouche….

– Reste là, on peut partager ! Dis-je à Isabelle

Je suce de mon mieux, me régale de cette texture soyeuse et de son petit goût un peu âcre…

– Tu y prend goût on dirait, je croyais que tu voulais juste essayer !
– C’est que ça me plait bien, c’est pour ça !
– Bon ben rends la moi !

Presque à regret je me dégage et passe le relais à Isabelle. Comme cette bite est de taille standard, elle peut la mettre presque en entier dans sa bouche. Manifestement elle se régale. Elle a adopté la même position que tout à l’heure, à genoux entre ses jambes. Mylène s’est immiscée entre eux deux et est venue lui sucer le bout des seins, puis entreprend de lui défaire son pantalon. Isabelle comprend ce qu’elle veut faire, continue quelques mouvements de fellation puis se disant qu’il est peut-être aventureux de faire deux choses à la fois, se dégage et retire elle même tout le bas avec une décontraction et un naturel qui font plaisir à voir. Du coup je reprends ma propre fellation.

Un coup d’œil à côté, Isabelle s’est couchée sur la banquette, et Mylène est entre ses jambes en, train de lui sucer le minou pendant que ses mains lui agacent les tétons ! Je continue de sucer, je suis tout raide ! Je repense à mon fantasme de tout à l’heure ! J’en parle à Gauthier

– Ça te dirait d’enculer ma femme ?
– Si elle est d’accord je veux bien, je peux t’enculer aussi si tu veux…
– Euh… je ne suis pas contre, mais pas tout le même jour !
– OK, suce moi encore un peu, on va les laisser un peu tranquilles toutes les deux….

Bonne mentalité ce mec ! J’apprécie, et je continue à sucer pendant cinq bonnes minutes. Derrière nous le spectacle est devenue incroyable, les deux femmes sont à présent quasi nues et se broutent le minou en position de soixante neuf, elle halètent toutes les deux de plus en plus bruyamment. Du coup on s’arrête pour regarder ça, y compris Antoine qui se masturbe faisant rebander son immense engin. Mylène part la première en poussant un petit cri perçant, j’ai un peu peur de la réaction d’Isabelle qui a l’habitude de jouir en « ameutant le quartier ». Mais ça va, elle sait se tenir mais nous fait malgré tout un boucan impressionnant. Les deux femmes quittent leur position et se jettent dans les bras l’une de l’autre se roulant une incroyable pelle.

Puis elle me fait face, me regarde, regarde Gauthier !

– Ben alors vous deux, vous n’avez pas joui !
– On regardait, c’était beau !
– Tu sais ce qui me plairait…. commençais-je…. c’est que tu…
– Chut…, tu joueras les organisateurs un autre jour, tu ne te rends pas compte de ce que tu as déclanché, on va finir comme j’ai envie, d’accord !
– D’accord ! Répondis-je un peu déçu !

Alors Isabelle se coucha sur le sol !

– Allez, tous les trois masturbez-vous et arrosez-moi je veux plein de sperme sur mon corps !!

Ben v’la autre chose ! Mais après tout pourquoi pas ? On se branle tous les trois tandis qu’elle se tripote le minou. Je part le premier lui balançant mon sperme sur les seins, Antoine me suit giclant une quantité incroyable sur son ventre. Elle se badigeonne avec sur tout le corps tandis que Gauthier vient rajouter sa propre semence…

– C’est bon d’être mouillée comme ça, vous êtes sûrs que vous ne pouvez pas m’en faire encore quelques gouttes les mecs ?

Elle exagère !

– On peut te faire pipi si tu veux ! Propose alors Gauthier !

Un vrai vicelard, celui-ci !

– Oui, pissez moi dessus !

L’uro n’était pas pour notre couple une nouveauté, nous nous étions essayé à ces jeux que nous pratiquions quand l’envie nous prenait !

C’est Gauthier qui commença les hostilités faisant balader son jet sur tout le corps de mon épouse, y compris sur son visage, mais elle garda la bouche délibérément fermée. Je me concentrais pour participer à la fête, mais ce n’est parfois pas trop évident de pisser sur commande. Antoine l’aspergea à son tour. Elle était trempée de la tête au pied !

– Viens aussi toi ! dit alors Isabelle à Mylène !
– Tu veux que moi aussi je te pisse dessus !
– Bien sûr, et pour toi je vais garder la bouche ouverte !
– T’es vraiment une belle cochonne….
– Oui, c’est vrai, mais c’est de la faute de mon mari !

On s’est calmée ensuite, puis Mylène a emmené Isabelle se rincer et s’essuyer le corps. On a bu un grand verre d’eau gazeuse, et on s’est dit au revoir…

– Revenez un jour vers la même heure… si ça vous dit il n’y a pas de problème, vous pouvez même nous téléphoner avant… Nous précise Mylène !

On a roulé un peu ! Isabelle ne cause pas, elle à l’air crevée, mais elle est tout sourire.

– Tu as bien fait de me proposer de revenir pour le café, mon chéri, je voulais te dire merci ! Dit elle enfin
– Ça me fait plaisir ! C’est vrai qu’on s’est bien amusé !
– On recommencera, dis ?

Moralité : il ne faut jamais réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme ! Non pardon, c’est le contraire : Faites en sorte de réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme, cela ne pourra que vous rendre heureux tous les deux !

© 12/2004 Alexis Defond Rossignol

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Une réponse à La braguette du serveur du restaurant antillais par Alexis Defond-Rossignol

  1. Alteralter dit :

    Alexis réinvente un genre qui n’aurait jamais du disparaître, le récit paillard ! Qu’est ce qu’on se régale. Humour et trique peuvent faire bon ménage.

  2. ramatuelle dit :

    C’est du délire comme on aime en lire, bien écrit et faisant intervenir les fantasme qu’on aime bien de façon « naturelle ». Un excellent récit.

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