Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 15 – Sexe et crime à bord du Rosamonda par Nicolas Solovionni

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 15 – Sexe et crime à bord du Rosamonda par Nicolas Solovionni

– Quand tu es venue me chercher avec le capitaine Stoffer, je n’étais pas rassurée du tout, je ne l’ai pas montré parce que dans mon métier j’ai appris à me montrer cool devant les dangers potentiels. Mais je craignais une embrouille, je me disais « on va me détecter une maladie imaginaire pour m’isoler et ensuite me revendre à un trafiquant de nanas…, on va me faire une piqure… » alors j’ai utilisé la seule arme que je pratique à fond : le sexe. Mon plan était au minima d’obtenir une réaction du genre : on ne peut pas lui faire ça à elle, elle est trop belle… Oui je sais, je ne suis pas modeste, mais je sais aussi ce que je vaux. Je pouvais aussi aller plus loin et créer une « envie de recommencer ». Ça a parfaitement fonctionné avec toi et je ne regrette pas, t’es trop mignonne ! Explique Tallulah.
– Merci,!
– Quand je suis sortie de l’infirmerie, je ne savais pas trop si j’avais réussi à me sortir d’un traquenard ou si le traquenard n’existait pas. Je n’étais pas sûre à cent pour cent, mais je n’ai rien dit aux autres filles, je me suis dit que si la prochaine ne revenait pas de l’infirmerie, c’est qu’il se serait passé quelque chose de louche, mais elles sont toutes revenues.
– T’es une drôle, toi ! Commente Gundula
– Et encore tu ne me connais pas ! Viens donc me brouter la chatte.
– T’es insatiable !
– Oui, parfois…
– Allonge-toi ! J’arrive !

Les deux femmes se déshabillent de conserve, Tallulah s’allonge sur la bannette… sur le dos…

– Non de l’autre côté, j’ai envie de voir tes fesses !
– Pourquoi ? Tu veux me donner la fessée ?
– Non, je ne pensais pas à ça, mais si tu insistes, ça peut se faire aussi !
– Juste quelques petits coups, j’aime bien !

Gundula n’allait out même pas refuser de faire plaisir à sa partenaire et se met à lui claquer les fesses pendant quelques minutes. Tallulah apprécie la chose en poussant de petits frémissements

– Whah ! Arrête un peu, ça me chauffe !
– O.K, on va passer à autre choses. Je t’ai apporté une petite surprise ! Dit alors Gundula en sortant d’on ne sait où un magnifique gode.
– Oh, qu’il est beau ! Tu sais il y a une éternité que je n’ai pas fréquenté ces machins-là, t’as trouvé ça où ?
– Dans le mess avec les gâteaux à apéro !
– Y’en avait d’autres ?
– J’ai pas cherché.
– Et tu comptes me le mettre où ça ?
– Un peu devant, un peu derrière.
– Il a un vibreur ?
– Oui, on peut faire plein de réglages. Il y a 115 vibrations différentes !

Gundula se penche sur sa nouvelle amie et elles échangent un baiser passionné tout en se pelotant les seins, les fesses, les cuisses et le reste.

– Ah, tu sais j’ai regardé si on avait des trucs à maquillage, on a rien en stock mais je peux te refiler un peu de mon vernis à ongles
– Non t’es gentille, mais les copines vont se figurer que j’ai droit à un traitement de faveur, ça va faire des histoires. C’est bête quand même, moi qui avait de si jolis pieds, Je me les suis complètement déglingués sur cette foutue planète !
– Fais-moi voir ça !

Gundula saisit le pied droit de sa camarade de jeu et dépose un chaste bisou sur le dessus.

– Il n’y a rien de catastrophique, quelques bonnes crèmes là-dessus quand on se sera posées et tout ira bien.
– Tu parles !
– Je te sucerais bien le gros orteil !
– Suce, ma chérie, suce !
– D’habitude c’est moi qui me fait sucer.
– Je m’occuperais de toi après…

L’infirmière lèche le pouce du pied de sa copine avec gourmandise, l’enduisant de sa salive. Puis une fois satisfaite, elle fit subir le même sort à l’orteil gauche. On ne sait jamais, dès fois que le goût en soit différent.

– A moi maintenant ! Propose Tallulah. Passe-moi ton panard !
– Attends, laisse-moi faire un truc rigolo.

Gundula approche son pied de la chatte de la blackette, puis une fois en contact se met à faire bouger ses doigts de pieds.

– On me l’avait jamais faite, celle-là !
– C’est comment ?
– C’est rigolo, mais ça me donne envie de pisser, il va falloir que je fasse, ça m’embête de me rhabiller, tu n’aurais pas un verre ?
– Un verre ? Si ! J’ai ça !

Tallulah place un grand verre entre ses cuisses et urine dedans.

– Tu sais l’autre fois, je jouais avec Dyane, elle avait envie de pisser…
– Et elle t’y a fait goûter, c’est ça ?
– Comment t’a deviné ?
– Qu’est-ce que tu aurais pu me raconter d’autre sinon ?
– Oui, évidemment ! Je suis bête !
– Tu n’es pas bête, tu es adorable ! Et tu as aimé ?
– Ben, c’est le petit côté pervers qui est excitant, et puis le goût n’est pas mauvais.
– Alors, je t’en prie, bois un coup !
– Comme ça dans le verre ?
– Ben oui !
– Bon d’accord !

Gundula en avale une gorgée.

– C’est bon, mais je préfère quand ça sort de la chatte ! commente-t-elle.
– O.K. si j’ai encore envie tout à l’heure je te pisserai directement dans la bouche.
– Et toi, tu n’aimes pas ça ?
– Moi j’aime plein de choses, je te dis, on est fait pour s’entendre. Bon dis- donc ton gode, si on s’en servait.

Et tout en disant cela Tallulah se met en position sur la bannette, les jambes bien écartées et les mains sous les fesses afin de rendre l’accès à son anus plus facile.

Gundula lèche le gode afin de bien l’humecter puis l’approche du vagin de la blackette.

– Non pas comme ça… ou alors si… juste un peu mais après tu me le fous dans le cul et tu me lèches en même temps !

L’infirmière introduit le sex-toy dans la chatte de sa partenaire et actionne le vibrateur intégré. Elle n’en maîtrise pas bien les réglages et le positionne sur l’une des fréquences les plus élevées.

– Whaouh ! C’est diabolique ce truc ! Arrête-moi ça !
– O.K.
– Mais qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu l’arrêtes ?
– Tu viens de me le demander !
– J’ai changé d’avis ! Remets-le, mais essaie de faire monter la puissance progressivement.
– Je ne sais pas faire.
– Alors vas-y à fond ! Aaaahh ! Oh, lala ! C’est pas vrai…

Et Tallulah, se met à jouir dans un geyser de mouille.

– C’est bien la première fois que je prends mon pied aussi vite !
– Tu le veux dans le cul, maintenant ?
– Je ne sais plus ! Essaie pour voir ! On plutôt non, c’est moi qui vais te le foutre dans ton petit cul. Tourne-toi !
– Super !

Gundula s’étant mise en levrette, Tallulah commence par lui lécher la rondelle.

– Hum, il a un goût délicieux ce petit trou du cul là !
– Tant mieux, régale-toi ! Oh, je sens quelque chose qui entre !
– Tu n’as pas reconnu mon doigt !
– Cochonne, c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon ! Et maintenant le gode ! Comment ça se règle ce machin-là ? Je vais déjà le rentrer comme ça ! Ça va ?
– Oui ça va, j’aime avoir le cul rempli.
– Bon alors le réglage, ça doit être comme ça !
– Wha Wha !
– C’est à quel sujet ?
– Aaaaaah !
– Eh bien, t’es aussi rapide que moi aujourd’hui ! Commente Tallulah en sortant le gode du cul de l’infirmière.

Elle arrête le vibrateur et le porte à sa bouche !

– Ben tu fais quoi ?
– Je le rince !
– Mais il n’est peut-être pas bien propre !
– Oh, tu sais j’en ai vu d’autres ! Embrasse-moi !

Mais avant de quitter la cabine de Gundula, la blackette se retourne :

– Ah, il faut que je te demande un truc !
– Oui.
– Débrouille-toi pour trouver le mode d’emploi de ce putain de godemiché !

Si l’action que j’ai entreprise auprès des filles avec Gundula me paraît suffisante, il n’en est pas de même en ce qui concerne Kinsky.

Que va-t-il faire après l’atterrissage sur Vargala, en toute logique, il devrait récupérer sa carte de paiement dans une banque automatique, puis se réinstaller à l’hôtel, jusque-là ça va… Mais ensuite, il va très probablement contacter ses supérieurs… et là ça se complique. Il va leur dire quoi ? Que la piste était mauvaise, qu’il n’y avait aucun vestige des précurseurs, qu’il y a eu une embrouille, un naufrage et que ses compagnons sont tous morts…

Et là, de deux choses l’une, tout dépendra de son interlocuteur, ou ses chefs classeront le dossier et on rapatriera le bonhomme sur une planète moins mafieuse. Ou alors il va tomber sur un type pugnace, qui va le débriefer en employant les grands moyens, à ce stade il est probable qu’on s’apercevra qu’il a été hypnotisé, il aura droit à un feedback et du coup tout le monde se retrouvera en danger.

Est-ce que je suis prêt à prendre ce risque ? Bien sûr que non ?

Je sais je n’aurais jamais dû accepter de l’embarquer, mais on ne peut pas toujours penser à tout, et il tellement facile de dire après ce qu’il fallait faire avant.

J’avais bien une petite idée, mais pour me justifier il me fallait me renseigner auprès des filles. Il s’avéra d’après les dires de ces demoiselles que Kinsky avait participé activement à plusieurs séances punitives, il n’était pas le pire, il n’était pas le meilleur non plus, mais les filles le haïssaient.

Il m’en fallait pas plus, je me concertais avec mon petit état-major et on se mit d’accord. Le plan était simple, et s’il ne fonctionnait pas on en trouverait un autre.

C’est Nadget qui fut chargée d’introduire le ver dans le fruit. Elle ne savait trop comment mais comptait sur ses capacités d’improvisation. Elle croisa Valencia dans la coursive.

– Est-ce que je peux avoir un autre tee-shirt, j’ai fait craquer le mien, je ne sais pas comment ! Lui demanda cette dernière ‘
– Ou bien sûr, viens avec moi, mais comment tu as pu faire ça ?
– Ce doit être à cause de mes gros nichons.
– Ah la ! Tout se détraque dans ce vaisseau, les tee-shirt, les serrures…
– Les serrures ? S’étonna Valencia.
– Ben oui, c’est la première fois que je vois ça, la porte de la cabine de Kinsky ne ferme plus.
– Ah bon, il peut sortir comme il veut alors ?
– Pour aller où ?
– Oui bien sûr ! Bien voilà ton tee-shirt; tu veux l’essayer ?
– Tout ça pour reluquer mes nichons ? Non, c’est ma taille, bisous ma grande.

L’idée c’était bien sûr que la fille répète à ses copines que la cabine de Kinsky était en « entrée libre ».

Toujours est-il que le lendemain on retrouvait le biologiste pendu dans sa cabine à l’aide de sa ceinture. Exactement comme Levkovich. Sauf qu’en ce qui concerne Levkovich c’était réellement un suicide.

J’ai sans tarder réuni les filles dans le mess, nous avons placé nos paralyseurs à la ceinture au cas où ça tournerait mal, mais j’ai l’intention de désamorcer d’emblée la tension.

– Bon, je serais bref, Kinsky a été assassiné cette nuit… Ce meurtre, je devrais plutôt dire cette exécution a été maquillé en suicide, mais ça ne prend pas !

La tronche qu’elles font !

– Je vais être très clair : je n’essaierai pas d’en savoir davantage, je désapprouve cette acte, mais je peux le comprendre. Le journal de bord indiquera qu’il s’est suicidé. Cela dit, faudrait pas non plus nous prendre pour des imbéciles, Il s’est débattu et ses ecchymoses sur le visage ne sont pas dues à la strangulation. C’est tout, mesdames; vous pouvez disposer.

Quelques heures plus tard, je m’arrangeais pour « coincer » Elvira.

– Maintenant que tu n’as plus rien à craindre, tu peux peut-être me dire ce qui s’est passé.
– Non ! Je peux juste te dire que quand nous avons appris incidemment que nous pouvions rentrer dans sa cabine, on s’est toutes concertées, nous n’étions pas toutes d’accord, mais la majorité était pour qu’on lui fasse sa fête ! Après on a décidé que notre responsabilité serait collective. On va donc dire que nous l’avons tué toutes les onze, et je ne te donnerais pas d’autres détails.
– Alors, n »en parlons plus.

Le plan avait donc parfaitement fonctionné. Cela dit je n’étais pas très fier de moi ! J’avais agi comme un salaud en faisant faire le travail par d’autres, et en me donnant le beau rôle ensuite. Personne n’est parfait ! Me direz-vous, n’empêche que je me demande pourquoi je n’ai pas eu les couilles de faire ce travail moi-même.

Hofjom est complètement transformé depuis sa nouvelle hypnose. Il glande et pour s’occuper il s’est mis à draguer. Il partage désormais sa couche avec Dorine l’une des filles que nous avons récupérées sur Dermoula 7. Tout va donc bien de ce côté-là.

A suivre

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5 réponses à Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 15 – Sexe et crime à bord du Rosamonda par Nicolas Solovionni

  1. Fleur02 dit :

    Se gouiner dans l’espace profond, là ou personne ne peut nous entendre crier notre jouissance…

  2. Biquet dit :

    Moi, je préfère le sexe au crimes 😉

  3. Forestier dit :

    Ces coquines vont finir par me rendre fou ! On se régale, on déguste !

  4. Archiboldo dit :

    Les gouines sont partout… même dans l’espace !

  5. Baruchel dit :

    passionnant, excitant, envoutant, et si agréable à lire

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