Récompense avortée par Patrik

Récompense avortée par Patrik

Petite anecdote vicieuse, inspirée d’une lecture sur un forum…
Bonne lecture 🙂

Quand je me suis mariée avec Jean-Pierre, je n’imaginais pas qu’il puisse être si soumis, mais ce fut finalement, par la suite, une bonne découverte, car ça m’a ouvert des tas d’horizons et de possibilités. Dès le départ quand je l’ai fréquenté, je le savais un peu faible, mais pas à ce point. Mais à quoi faiblesse peut être une force…

Pour faire simple : plus j’humilie mon mari, plus il en redemande.

Les premiers mois, j’étais un peu gênée, mais on s’y fait très vite. Je n’ai pas une nature à me morfondre, je comprends très vite les avantages et les inconvénients d’un contexte donné. Depuis, je mène mon toutou du bout de la queue et je profite doublement des plaisirs de la vie.

Ça va faire à présent deux ans que je lui impose une cage de chasteté, ce qui ne m’empêche nullement de me faire sauter ailleurs, et souvent devant ses yeux, c’est encore « plus bon meilleur » ! Et il en redemande, le petit salopiaud ! Quand je disais que c’était une sacrée chiffe molle, je ne mentais pas !

Ce soir, tandis que nous sommes tous les deux dans le salon, comme je suis de bonne humeur, j’ai donc décidé, dans ma grande bonté d’âme, d’offrir une petite gâterie à mon sous-homme :

– Comme tu as été sage ces derniers temps, petite lopette, tu vas avoir droit à une petite récompense.
– Ah oui ? Laquelle, chérie ?
– Tu vas pourvoir frotter ta bite de bébé sur le devant de ma petite culotte en dentelle. Ça va faire facilement deux mois que tu ne l’as pas fait, non ?

Mon mari n’a pas vraiment une si petite bite que ça, mais ça le rabaisse. Il est vrai que certains de mes amants sont terriblement bien dotés par la nature, et que ce sont ceux-là que je ramène volontairement à la maison, juste pour lui en flanquer plein la vue et le rabaisser encore plus. Je reconnais que je ne déteste pas être bien remplie, mais parfois, trop c’est trop !

Néanmoins, de tous mes amants, c’est Fabien que je préfère, et celui-ci a le kiki tout à fait normal, comme mon mari, quoique qu’un peu plus épais, mais sans plus. Je pense même que c’est avec Fabien que j’aurais dû faire ma vie. Mais à bien y réfléchir, avec lui comme tendre amant et Jean-Pierre comme pourvoyeur de fond, j’ai finalement le beurre et l’argent du beurre. Sans oublier plein d’autres amants qui me font découvrir la diversité des corps masculins…

Mon mari chouine :

– Tu dirais trois mois, presque quatre…
– Ah bon ? Que le temps passe vite… allez, enlève ton pantalon et ton caleçon que je retire ta cage de chasteté.

Il s’exécute, puis j’ouvre sa cage avec la clé qui me sert de pendentif. Mon mari pousse un long soupir de soulagement. Sa queue toute molle et chiffonnée se déroule lentement, presque comme un serpentin flasque. C’est curieux à voir, mais moi, ça m’amuse. Au début, sa cage était assez grande, mais celle qu’il porte actuellement est miniature, et dedans, son pénis est plié comme pas possible dans tous les sens, et c’est tout un cirque quand il doit uriner. De plus, je ne parlerais même pas des gros problèmes qu’il a quand il bande !

Et j’adore le faire bander !

Il garde souvent sa cage durant la semaine, puis je le libère un peu, juste le temps que sa queue se détende un peu et que je me moque allégrement de sa nouille bien avachie. Parfois, je lui offre une liberté de deux-trois jours, à condition qu’il file droit, exauçant tous mes désirs. Il y a deux mois, je me suis offert une petite fantaisie en lui imposant un petit anneau dans son frein, ce qui n’a pas été une partie de plaisir pour lui, mais c’est moi qui commande. Qu’il ne se plaigne pas trop, nous avons été dans une boutique spécialisée lui faire ce piercing. Depuis, je le promène en laisse dans toute la maison. Idem le weekend dernier, à l’intérieur et aussi dans le jardin clos, mais cette fois-ci, à quatre pattes et aussi dans les orties.

Impériale, j’ôte ma jupe, présentant mes longues et belles gambettes à ses yeux. J’approche mes cuisses puis, remuant mon bassin, faisant danser sous sa vue mon mignon pubis orné d’une belle lingerie en dentelle noire, je lance à ma lopette :

– Allez, petit vicieux, frotte ta tiote courgette sur ma culotte !
– Ah oui ! Enfin ! Merci, merci !

Je m’assieds sur le dos du canapé afin d’être à la bonne hauteur tout en me reposant un peu :

– Et si tu tiens le coup, j’ôterais ma culotte, et je viendrais frotter ma chatte toute lisse contre ta petite queue.

Ah, ma chatte toute lisse, mon mari en est tout fou. D’ailleurs, c’est lui qui l’entretient, qui la rase, qui l’épile, qui la masse, et qui la lèche parfois. Mais ce n’est pas lui qui en profite, ou si peu ! On ne donne un si bel abricot aux cochons, sauf à ceux qui savent faire vraiment jouir les femmes.

Devant ce spectacle, son engin commençant à se raidir, Jean-Pierre s’exclame, tout en salivant :

– Ah ! Depuis le temps que j’en rêve !
– Je sais, je sais ! Et si tu n’éjacules pas trop tôt, alors je t’autoriserais à rentrer ta petite bite dans mon vagin.
– Je veux aller dans ta chatte ! Je veux juter en toi !

Je n’aime pas trop que mon mari mette sa semence en moi, il ne le mérite pas. Seul un homme, un vrai, peut le faire. Alors je réfléchis un peu, puis j’annonce la couleur :

– Ok, d’accord, Jean-Pierre. Mais je te préviens, petite fiotte, si tu jouis avant d’être en moi, rebelotte, la cage pendant au moins quinze jours ! C’est à prendre ou à laisser.
– Tout ce que tu veux, mais je prends ! Ça fait trop longtemps que je n’ai pas eu ce plaisir !
– Très bien, grosse lopette. Et n’oublie pas : ta docilité est la condition sine qua non que tu restes mon mari.

Je suis en position de force, mon mari a besoin de moi, même si c’est une relation toxique. Je suis la seule à pouvoir exaucer ses désirs de soumission, même si parfois j’abuse, car le rôle de domina me plait bien et que ça m’amuse de l’humilier et de l’avilir. De plus, je ne travaille plus, c’est lui qui ramène les sous à la maison, et durant ce temps, j’en profite pour imaginer d’autres humiliations et aussi pour le tromper copieusement.

Et en ce qui concerne les cochonneries et les turpitudes, j’ai une bonne imagination ! J’ai déjà fait subir des tas d’avanies à mon mari : pinces, chaînes, plugs, fouet, cravache, cire et j’en passe. J’adore lui marcher dessus avec mes talons-aiguilles. Il me sert très souvent de chauffeur afin qu’il me dépose chez mes amants. Il couche parfois sur le seuil de la porte de notre chambre quand un beau mâle (ou plusieurs) me fait sentir l’extase entre ses cuisses. Fréquemment, il me nettoie de sa langue après la baise, et j’en passe…

Encore heureux qu’Internet existe afin que je puisse avoir de nouvelles idées ! Il n’y a pas si longtemps, j’ai invité des copines tandis que mon homme était habillé en soubrette, kiki et fesses à l’air, pour faire le service et subir des sévices. Mon dieu qu’il a dégusté ce jour-là, les femmes sont décidément cruelles ! J’ai même failli avoir pitié de lui !

Certaines personnes diront que je me comporte en grosse salope, mais je n’ai jamais déclaré que j’étais une sainte ! D’ailleurs, à ce propos, je sens que je vais le prouver à nouveau dans quelques secondes…

– Ah au fait, petit scarabée, hier, j’ai oublié de te dire…
– Tu as oublié de me dire quoi, chérie ?

Tandis que mon soumis déjà bien excité se frotte comme un caniche en rut entre mes graciles jambes, j’énonce lentement et distinctement :

– Pendant que tu étais au boulot en train de gagner mes sous, ton grand ami Daniel est venu à la maison, accompagné par Laurent, un type que tu ne connais pas, un balaise costaud comme Daniel, un vrai mâle, lui ! Pas comme toi.
– Oui… oui… Et alors ?

À prime vue, ce petit con est trop occupé à faire son frotti-frotta sur ma culotte pour faire attention à mes insinuations. Je reconnais néanmoins que cet anneau qui frotte sur le tissu me fait du bien, mais ce n’est pas une raison. Alors, vicieusement, je continue :

– Et tu sais quoi, petite larve ? Ils m’ont enculée à fond tous les deux, à tour de rôle avec leurs grosses bites, et j’ai joui à fond comme la vraie salope que je suis !
– Ah non ! Arrête !

Perverse, j’insiste d’une voix suave et sensuelle :

– Oh si, ils m’ont tellement enculée dans le trou du cul, que ma rondelle a eu de mal à se refermer, et que leur sperme a dégouliné ensuite sur mes cuisses !
– Ah nooon !

Gagné !! Mon mari est en train d’éjaculer sur ma petite culotte ! Je suis fière de moi. Finalement, il ne méritait pas du tout de venir explorer ma mignonne vulve si délicate. Elle ne devrait être réservée qu’aux vrais mâles, ce qui en ont dans les burnes, pas à ce genre de sous-asticot même pas capable de se contenir trente secondes !

Tandis que mon mari continue de se vider dans divers hoquets, salissant ma belle culotte en dentelle, faussement navrée, je soupire :

– C’est idiot pour toi que tu aies joui avant… Résultat, pas de frotti sur ma chatte toute lisse, pas de visite dans mon vagin, et à nouveau la cage !

Sa bite complétement avachie, ma lopette se rebiffe faiblement :

– Chérie, t’as triché avec ton histoire d’enculage !
– Quoi, grosse bouse !? T’ose-me contredire ? Un mois de cage pour t’apprendre le respect !

C’est ainsi que j’ai eu royalement la paix durant un mois, tandis que le lendemain soir, je l’ai obligé à tenir la chandelle (au sens propre comme au sens figuré, car il a dû tenir en main un gros cierge) tandis que Daniel et Laurent sont venus lui démontrer sous ses yeux, en long, en large et en travers, que j’étais une parfaite grosse salope à enculer bien profondément.

Que la vie peut être belle quand on est mariée avec une vraie lopette !

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2 réponses à Récompense avortée par Patrik

  1. Géminiani dit :

    Original, ça change et c’est bien écrit

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