Souvenirs de vacances. par Jules01

Nous avions rencontré Jacques et Laetitia au cours d’une soirée d’enfer.
Depuis nous avions bien sûr repris contact et au fil des week-ends coquins
chez les uns ou chez les autres, une solide amitié était née entre nos deux
couples. Une de ces amitiés où le plaisir du sexe a toute sa place et qui
permet, au fur et à mesure que tombent les tabous, de découvrir de nombreux
et – oh combien – savoureux plaisirs ! Je ne peux d’ailleurs pas m’empêcher
de vous raconter un souvenir de ce dernier été. D’autant qu’il s’agit d’un
souvenir qui a révolutionné notre vie sexuelle déjà bien riche. La
complicité intime entre nous quatre était donc devenue si forte qu’avec
Jacques et Laetitia, nous avons décidé de nous faire une semaine de vacances
en commun. Vacances coquines comme il se doit.

Nous avons donc loué une villa sur la côte landaise, avec piscine, de
grandes chambres avec des lits larges et profonds… Bref, le rêve. L’incident
dont je veux vous parler s’est déroulé trois jours après notre arrivée. La
mer n’était qu’à une petite centaine de mètres de la maison et ce jour-là,
nous étions partis au village voisin faire le plein de provisions, lorsque
nous sommes rentrés nous avons trouvé un mot de Jacques et Laetitia nous
prévenant qu’ils nous attendaient à la plage. Le temps de nous changer, de
nouer un paréo autour des reins et de remplir le sac, nous voilà partis à
travers la forêt en direction des vagues de la grande bleue.
C’est en traversant les dernières dunes avant la plage que nous avons
entendu des petits cris et des éclats de rire qui venaient de derrière une
grosse butte de sable. Immobiles, nous nous sommes regardés Eric et moi et
j’ai vu à son sourire qu’il pensait à la même chose que moi. L’endroit était
particulièrement désert et il y avait toutes les chances que ce couple – car
à bien écouter ils étaient au moins deux – soit nos chers coquins de Jacques
et Laetitia. Si je suis volontiers exhibi, je sais être aussi voyeuse
parfois et Eric n’est jamais le dernier pour mater un couple en train de se
donner mutuellement du plaisir. C’est donc sans même nous concerter que,
très doucement, nous nous sommes approchés de l’origine des cris. Planqués
derrière le feuillage d’un tamaris, nous avions une vue imprenable.

Vous connaissez l’histoire de Barbe Bleue et des placards qu’il ne faut pas
ouvrir ? Et bien je ne m’en suis souvenue qu’après avoir découvert Jacques
et Laetitia en pleine action. Mais sur le coup je n’ai pas été loin d’être
aussi estomaquée que la femme de Barbe Bleue découvrant les têtes coupées
des ex-femmes de son ogre d’époux. Faut dire que la scène ne manquait pas de
piquant.
Jacques se tenait debout derrière les somptueuses fesses de Laetitia,
pointant son sexe rose à moitié bandé vers cette raie culière qu’Eric et moi
apprécions tant. La coquine se tenait les mains en appui sur ses cuisses, le
dos cambré de désir, et regardait son homme par-dessus son épaule en lui
disant de son sourire le plus coquin :

– Alors tu es sûr ? Plus une goutte ? Oh s’il te plait, encore un peu,
j’adore quand tu me chauffes comme ça !

Visiblement très concentré, Jacques ne fut pas long à accéder au souhait de
Laetitia.
Splashhhhhhhh. D’un coup d’un seul, un long jet de pisse est sorti de sa
verge, inondant l’intimité de notre belle amie qui sous le choc se mit à
gémir quelque chose comme  » ouiiiiiiiiii ! vas-y, inonde-moi le cul mon
amour ! « . J’avoue ne pas avoir bien écouté tant cette vision m’a retournée.
Je n’étais pas choquée, n’allez pas croire ça. J’étais tout simplement
subjuguée. Voir ma douce amie se régaler de se faire ainsi littéralement  »
pisser au cul  » a fait jaillir une drôle de boule au creux de mon ventre. Un
coup d’œil à Eric, histoire de voir sa réaction. Il était muet comme moi,
fixant la scène comme s’il voulait se la graver pour toujours dans ses
souvenirs. Et sous son paréo, c’était visible, le salaud bandait comme un
âne. J’ai eu envie de lui saisir la queue mais devant nous, Laetitia s’était
retournée et les mains jointes contre son ventre, priait son mari de
s’allonger avec ces mots prometteurs  » C’est ton tour maintenant mon cochon
 » …. Et Jacques de s’allonger sur le sable pour mieux laisser sa belle
l’enjamber, heureux visiblement du point de vue unique dont il jouissait sur
l’intimité imberbe de Laetitia. Eric s’est alors rapproché de moi et il s’et
mis à me commenter la scène en murmurant à mon oreille :

– Tu as vu comme elle est indécente ? Regarde cette cochonne, elle
s’accroupit sur Jacques et joue avec sa queue, elle se la passe et repasse
sur l’entrée de son minou pisseux, quels coquins ces deux-là, j’aurais
jamais pensé qu’ils pouvaient jouer à ces drôles de jeux là, et avec tant de
plaisir ! Regarde, elle lui sourit, ça se précise, je n’entends pas ce
qu’elle lui dit mais… Ça y est ! Regarde, elle lui pisse dessus !

Et en effet, à moins de trois mètres de nous, Laetitia avait ouvert les
vannes et d’entre ses lèvres roses et lisses, sortait un fabuleux jet
d’urine formant une belle courbe parfaitement tendue vers le ventre et le
sexe de Jacques. Dans un flash mental intense, je me suis vue à la place de
Jacques, les jambes écartées sous le jet de mon amie, avide de sentir sa
chaleur liquide gicler contre mon clitoris.
Mais qu’est ce qui me prend ! Je deviens folle ? C’était trop tout d’un
coup. J’ai pris le bras d’Eric et sans rien dire, je l’ai tiré en arrière à
l’écart de la scène dont nous avions été les témoins.
En silence, nous avons marché vers le chemin menant à la plage. Je lui
tenais la main,, ou plutôt je lui serrais la main si fort qu’à un moment, il
a secoué son bras en me demandant gentiment d’arrêter de lui broyer les os.

– Pardon mon chéri mais j’avoue que ce que nous venons devoir m’a
bouleversé.
– Moi aussi tu sais.
– Toi aussi ? J’ai vu ça, tu bandais comme un malade sous ton paréo !

Eric s’est arrêté et en enlevant le tissu qu’il portait autour des reins m’a
démontré que c’était toujours le cas. Mon amour de coquin, jamais en manque
d’une occasion pour provoquer une nouvelle découverte entre nous ! Vous
ai-je dit que je l’adore ainsi ? Alors au lieu de détourner les yeux et de
rester collée à mes pensées, je lui ai proposé une petite halte dans un
bosquet que nous avions déjà fréquenté assidûment la veille et l’avant
veille. Bien entendu, Eric ne fit pas mystère de l’excitation qu’il avait
ressentie. J’ai bien dû lui avouer que moi aussi, ce spectacle très privé ne
m’avait pas laissée indifférente. Nous étions allongés sur le sol côte à
côte et j’avais ma tête posée au creux de son épaule. J’avais glissé ma main
sous mon ventre et je me caressais le minou distraitement tout en parlant
avec Eric.

– C’est vrai que je n’ai même jamais fait pipi devant toi mon pauvre amour.
Dire que j’ignorais que cela te plairait ! Je me demande si j’oserais malgré
tout. Je suis assez cochonne, ça tu le sais. J’adore te sucer et même te
glisser un doigt dans ton petit trou gourmand. Tout comme j’adore toutes les
cochoncetés que tu me fais avec ta langue, tes doigts, ta bite ou un vibro.
Mais là, j’avoue que je ne sais pas pourquoi, cela me tente et en même temps
cela m’effraye.

– De quoi ?. De t’imaginer en train de faire pipi devant moi ? Tu sais mon
amour, ça serait un si beau spectacle !

Là je me suis mise sur le côté et je l’ai regardé fixement.

– Tu es sûr ? Tu aimerais me regarder ?
– Un peu mon neveu ! s’est-il écrié.

Je n’en revenais pas ! À peine si j’ai réfléchi quand je lui ai dit de me
passer la bouteille d’eau. J’avais très soif tout d’un coup. Je lui ai tendu
la bouteille ensuite car lui aussi, tout aussi subitement, semblait avoir le
palais bien sec. Et là, a commencé un jeu comme nous n’en avions jamais
imaginé. Subitement, nous avons parlé d’autre chose. Du temps qu’il faisait.
De la maison et des vacances. Du boulot et des collègues. Bref, de tout sauf
de ce que nous étions en train de nous préparer tandis que la bouteille
d’eau passait d’une main à l’autre. Entre nous, la tension montait
subtilement, gorgée après gorgée, regard après regard. Je sentais mon ventre
s’alourdir en même temps que la drôle de boule que j’avais ressentie en
voyant Laetitia se faire pisser sur la raie des fesses ne cessait de
grandir. Cela me faisait lourd, cela me faisait chaud. Un vague sentiment de
honte pointait son nez de temps en temps, surtout lorsque je m’imaginais en
train d’uriner jambes écartées devant un Eric fasciné.
Un long moment nous sommes restés ainsi, lui se caressant le sexe sans
vergogne devant moi comme il sait que j’aime le voir faire, et moi, faisant
glisser mes doigts de mon minou et mon clito, les yeux mi-clos, et souriante
de plaisir. En cet instant, nous étions seuls au monde avec notre désir de
briser ce tabou qui ne demandait plus qu’à céder. Aussi, quand j’ai vu Eric
me faire signe de la main de m’approcher de lui, je me suis relevée, comme
soulagée, et j’ai eu d’emblée ma fourche au niveau de son nez. Il a suçoté
amoureusement mes lèvres qui ne réclamaient que sa douceur pour apaiser le
feu qui le parcourait depuis un bon moment déjà. Ses mains sont venus se
poser sur mes hanches et j’ai senti, à la pression qu’elles exerçaient vers
le bas, qu’il voulait que je m’accroupisse au-dessus de lui. Entre mes
cuisses, j’ai senti le bout dur de son sexe qui venait se coller à l’entrée
de mon minou.

Lorsque son jet est venu m’inonder la chatte, j’ai cru éprouver l’effet
d’une décharge électrique. C’était du 100.000 volts à la seconde ce jet ! À
deux mains, j’ai écarté mes lèvres sous cette douche intime et d’un doigt,
je me branlais le clito comme une folle.

– Oui, mon amour ! Comme je t’aime d’avoir osé ! C’est chaud, incroyable
comme c’est chaud ! Garde m’en je t’en prie ! Je veux te sentir encore et
encore couler sur moi comme ça. C’est trop génial !

J’ai pris le sexe d’Eric d’une main tandis qu’il coulait encore et je l’ai
promené sur mes cuisses – c’était délicieux – et sur mon intimité offerte
béante sur lui. Son visage était à la fois tendu et apaisé, satisfait
d’avoir ainsi répondu à mon désir et ravi d’en avoir éprouvé un nouveau.

– Jamais je n’aurais pu croire que cela aurait été aussi bon Eric ! Je sens
que je vais devenir dingue de ces jeux là ! Hummmm… C’est vraiment cochon à
souhait. Tout ce qu’on aime ! Si tu savais comme cela m’a excité de voir
Laetitia se faire arroser le cul, et comme cela m’excite que tu me l’ai fait
! Comme elle est belle ta queue, luisante de pisse et dure comme du bois !
Branle toi comme je me branle maintenant…. Branle toi pendant que je laisse
venir en moi cette envie qui me vrille le ventre. Arrête maintenant, je vais
descendre sur toi. Là, oh que c’est bon de te sentir en moi ! Et voilà, je
la sens qui vient cette cascade. Oh mon dieu… J’ai les deux qui viennent en
même temps Eric ! C’est fou, je vais jouir en pissant !!

Et dans un spasme incontrôlable, je me suis lâchée. À mon tour, j’ai ouvert
mes vannes intimes sur mon mari qui, fou de joie, me pistonnait la matrice
comme un sauvage. D’après lui, il y a eu quelques secondes où je suis restée
immobile, le regard fixe et tous les muscles figés, comment tétanisée par la
jouissance qui venait de me submerger.

Inutile de vous dire que depuis ce jour, notre vie sexuelle à deux a été
subitement enrichie de nouvelles possibilités érotiques dont nous ne nous
sommes plus jamais privés. Et que nous avons passé une fin de vacances avec
Jacques et Laetitia proprement inoubliable ! Si, si … J’ai dit proprement.
Très proprement même !!!

jules8@francite.com

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Une réponse à Souvenirs de vacances. par Jules01

  1. Biquet dit :

    C’est très mignon, tout ça !

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