Souvenirs de jeunesse 5 – Partouze chez Clémentine par Gerald01

Souvenirs de jeunesse
5 – Partouze chez Clémentine
par Gerald

Bruno prit le volant et après avoir traversé les encombrements du centre ville, nous arrivâmes au domicile de l’esthéticienne.

Elle nous accueillit avec chaleur et nous embrassa tous les trois sur la bouche ; elle habitait un grand loft d’environ 300 m2 aménagé avec beaucoup de goût. Tout de suite, elle nous proposa de nous mettre à l’aise et de passer au vestiaire. Tandis que Bruno se déshabillait entièrement, à part son string, Sylviane enleva son blouson et sa jupe et me retira mon manteau.

Clémentine me félicita pour ma tenue et elle me dit qu’elle avait ici des amis qui sauraient apprécier. Quand elle nous accompagna dans la grande salle, l’ambiance était déjà chaude ; la plupart des convives étaient nus ou vêtus de façon sexy ; certains dansaient, d’autres baisaient par terre sur les tapis ou sur les canapés.

Clémentine était vêtue d’une mini robe transparente qui ne cachait absolument rien car elle était nue en dessous. Elle nous entraîna au bar et nous proposa un punch.

« Il est très doux dit elle, peu alcoolisé et avec quelques épices aphrodisiaques : gingembre, ginseng, guarana ; avec ça, pas de risque de panne et c’est la grande forme toute la nuit ».

Il y avait au moins cent cinquante invités, légèrement plus d’hommes que de femmes et un grand nombre de blacks car Clémentine avait beaucoup d’amis antillais. Tous les quatre nous prîmes place sur des coussins posés à même le sol. Clémentine enlaça Sylviane et l’embrassa à pleine bouche en la caressant ; Sylviane retira la fine étoffe qui couvrait le corps de son amie puis elle s’allongea tête bêche sur elle en me disant de venir lui lécher le cul pendant qu’elles se broutaient le minou.
Je m’agenouillais derrière elle tandis que Bruno, baissant son string, pris place devant la bouche d’une belle black qui était allongée à côté de nous et se faisait prendre par un de ses compatriotes.
Je léchais l’anus de Sylviane avec application, m’enfonçant en elle profondément comme elle l’aimait. Rapidement, sa chatte se mit à dégouliner de mouille sur la langue de sa copine ; elle me demanda alors de la prendre ; je pointais mon gland contre sa chatte et m’enfonçais sans effort jusqu’aux couilles. Clémentine continuait de la lécher et me gratifiait par moment de quelques coups de langues sur les roustons.

Sylviane commença à gémir ; j’accélérais la cadence et ayant atteint mes limites, j’éjaculais au fond de sa chatte. Quand je me retirai, Clémentine m’emboucha et nettoya ma bite gluante à grands coups de langue. Puis Sylviane me demanda de m’asseoir par terre ; elle se mit debout, cuisses écartées et les jambes à demi fléchies au dessus de ma bouche.

« Ouvres vite et bouffes dit elle ; fais moi ma toilette » ; je fis ce qu’elle demandait et avalais tout le foutre que je venais de lui donner.

« C’est son plat préféré dit elle à sa copine ; il adore ça ; l’autre jour je lui ai fait bouffer le foutre d’au moins trente mecs à cette salope ».
« Pas mal répondit Clémentine ; mais ce soir tu peux lui faire battre son record ; il y a assez de donneurs et tout à l’heure, j’organise un gang bang ; je vais me faire prendre par plus de 60 types à la suite et si tu veux, il pourra me nettoyer ».
« Bonne idée dit Sylviane, mais avant j’ai d’autres surprises pour lui ».

Bruno, qui se faisait toujours sucer, retira sa bite de la bouche de la fille et lui balafra le menton et les lèvres de plusieurs traînées gluantes et blanchâtres qu’elle s’empressa de lécher en passant sa langue sur ses lèvres pulpeuses avant de le reprendre en bouche pour en extraire les dernières gouttes.

Son copain qui s’activait toujours sur elle se mit à gémir. Sylviane lui fit signe ; il se releva rapidement et se mit devant moi en me présentant son énorme pieu d’ébène tout gluant de mouille.

« Tu vas voir dit Sylviane à sa copine ; c’est un spécialiste de la pipe ; allez me dit elle, ouvres la bouche et fait lui une démonstration de tes talents ».

J’ouvris la bouche en grand et avalais la bite visqueuse au maximum ; elle était vraiment trop longue pour que je fasse gorge profonde et son épaisseur m’obligeait à ouvrir les mâchoires au maximum.
Tout en faisant aller et venir mes lèvres sur la moitié du membre, je le masturbais en même temps ; le résultat ne fut pas long à venir ; tout en gardant les lèvres serrées, je le laissais se vider dans ma bouche ; les giclées furent abondantes, j’avais la bouche pleine. Je continuais à faire coulisser mes lèvres le long de sa tige quelques secondes et vu la quantité qu’il venait de m’envoyer, le sperme s’écoulait aux commissures de mes lèvres. Je ressortis son membre puis le frottait sur mes lèvres et mon menton pour récupérer tout ce qui avait coulé ; j’avalais ensuite le tout puis nettoyais son gland à coups de langue comme une chatte lèche ses petits ; son sperme avait un arrière goût épicé plutôt agréable.

« Putain, c’était géant dit il en souriant de toutes ses dents ; je suis encore en forme et je te prendrais bien le cul maintenant ».

Sa bite était en effet toujours aussi raide et aussi grosse.

« Tout à l’heure lui dit Sylviane ; viens d’abord t’occuper de moi » ; puis s’adressant à Clémentine, elle demanda si Darry était de la fête.

Clémentine répondit que oui et parti aussitôt à sa recherche tandis que Sylviane invitant le black à se coucher sur le dos s’empala sur la grosse queue noire en se l’introduisant elle même avec précaution dans la chatte. Montant et descendant sur le pieu en gémissant, sa mouille dégoulinait sur les grosses couilles recouvertes de quelques poils crépus. Puis, la ressortant entièrement, elle positionna le gland à l’entrée de son cul et se laissant descendre ; s’assit dessus en se l’enfonçant totalement jusqu’aux couilles avec un grognement de plaisir.

« Ha que c’est bon dit elle, elle est grosse, je la sens bien ».

L’énorme bite entrait et sortait de plus en plus vite ; elle était énorme ; aussi grosse que le gode qu’elle avait utilisé sur moi la dernière fois. Elle se laissait bourrer à vive allure tout en se masturbant comme une furie. Soudain, elle hurla de plaisir et inonda le ventre de son partenaire d’un flot de mouille fluide et visqueuse. Tandis qu’elle récupérait un peu, il continuait à la limer mais avec plus de douceur. Puis elle se leva et me dit :

« À toi maintenant, assieds toi dessus, elle est encore toute raide ».

Je pris alors position au dessus de la bite et l’empoignant d’une main, je frottais le gland contre ma rondelle puis commençais à l’introduire petit à petit, délicatement. Sa queue était énorme et forçait l’anneau en douceur. Sylviane vint derrière moi et m’appuyant sur les épaules de toute ses forces, elle m’obligea à me l’enfoncer d’un seul coup jusqu’au bout, ce qui m’arracha un cri de douleur.

« Empales toi bien dessus espèce de salope dit elle, tu la sens bien là, c’est mieux qu’un gode hein ».

Une fois que la bite fut totalement entrée, la douleur s’estompa. C’est à ce moment là que Clémentine revint, accompagnée d’un athlète noir doté d’un sexe monstrueux. Sa bite ballottait entre ses jambes et bien que n’étant pas en érection, elle pendait jusqu’à mi-cuisses ; on aurait dit un sexe de cheval.

« Eh bien, on ne s’ennuie pas à ce que je vois ; je te présente Darry ».

Tout en montant et descendant sur la queue qui avait fini par trouver sa place, je ne pouvais détacher mon regard de la bite monstrueuse qui se trouvait à hauteur de mon visage. Sylviane me dit :

« Maintenant, tu vas sucer Darry, et quand il sera assez raide, il prendra la place de son copain ».

Cessant mes va-et-vient sur le pal d’Omar, je laissais mon enculeur manœuvrer à sa guise tandis que j’empoignais la verge chevaline. Elle me remplissait complètement la main et je n’arrivais même pas à en faire le tour ; approchant ma bouche de son gland, je n’arrivais à le faire rentrer qu’à moitié ; il était vraiment trop gros ; son odeur puissante m’envahissait les narines.

Après avoir tenté en vain de le faire un peu plus pénétrer dans ma bouche, je me contentais de le lécher comme une glace tout en le branlant. Salivant au maximum, ma langue courait tout autour de son gland en insistant sous la couronne là où c’est le plus sensible. Le résultat attendu fini par se produire ; au bout de quelques minutes je me retrouvais avec une énorme queue dans la main, lourde et raide ; elle avait pris des proportions vraiment démesurées.

« Voilà, c’est bien comme ça dit Sylviane ; il est prêt ; mets toi à quatre pattes et nettoies la bite d’Omar pendant que Darry t’ouvre le cul ; c’est un beau morceau ; 26 cm de long et 6 de diamètre ; il va t’éclater le cul ; allez, en place ».

Elle réclama du lubrifiant à Clémentine. Celle ci revint quelques secondes plus tard avec un pot qu’elle lui tendit en disant :
« C’est du spécial grosse pénétration ; il contient un très léger anesthésique et il à la faculté de relâcher les petits muscles ; avec ça le sphincter s’ouvre sans problème ».

Je me mis à quatre pattes et Sylviane m’enduisit l’anus de cette crème en faisant pénétrer deux doigts dans mon cul. Darry pris position derrière moi tandis qu’Omar, toujours allongé par terre, me présentait sa bite devant le bouche.

Sa bite que je trouvais grosse tout à l’heure semblait ridicule en comparaison de celle de son copain. J’ouvris la bouche et l’engloutis tandis que Darry frottait son énorme gland contre ma rondelle ; Sylviane lui empoigna la queue et la rentra en force dans mon cul. Le gland finit par passer en m’ouvrant le sphincter que je ne contrôlais plus ; puis il s’enfonça à fond ; je ne ressentais pas de douleur, mais la sensation était terrible ; j’avais l’impression de me faire empaler tant la profondeur de pénétration était importante.

Le seul moment désagréable fut quand il passa le coude formé par le colon à une vingtaine de cm de profondeur ; je me cambrais un peu plus et la sensation désagréable disparut.

« Bon sang dit Clémentine ébahie, il a tout pris d’un seul coup sans broncher ; je sais bien que la crème est efficace mais quand même, il a des capacités remarquables ».

Darry resta enfoncé entièrement sans bouger pendant quelques secondes puis il se mit à limer en ne se retirant qu’à moitié ; tout en continuant de bouffer la bite d’Omar, je commençais à gémir de plaisir.

« Ça te plait ma salope dit Sylviane, tu la sens bien celle là, je t’ai gâté ».

Puis elle encouragea Darry en l’excitant et lui disant :

« Vas y, bourres le bien, défonces le, éclates lui le cul ».

Darry se mit aussitôt à me limer avec plus de vigueur ; je ressentais un certain échauffement plutôt agréable et mon érection était au maximum. Il me pénétrait maintenant avec toute la longueur de son membre en riant et en disant :

« Alors, y a bon banane noire, tu me sens bien là ; hum grogna t il, je vais te la donner à manger dans quelques secondes, et tu vas goûter à mon jus de banane ».

Omar ne put résister plus longtemps, et avec un râle de plaisir il gicla dans ma bouche une quantité de sperme presque aussi abondante que la précédente ; je laissais tout couler sur son gland de manière à faire profiter du spectacle ma maîtresse, puis je le nettoyais entièrement en léchant tout le foutre répandu sur sa bite.

« Oui, vas y ma salope, dit Sylviane ; régales toi ; bouffes tout ; tu es comblé là ; un dans chaque trou et que des morceaux de premier choix en plus » ;

Puis elle s’adressa à Darry :

« Quand tu sens que ça vient, tu te retires vite et tu lui mets dans la bouche ».

A peine sa phrase terminée, Darry se mit à souffler :

« Ha oui, le jus de banane est en train de monter, ça va pas tarder à venir ».

Soudain il se retira et eut tout juste le temps de présenter sa bite chevaline devant mon visage ; j’ouvris la bouche en grand et tirant la langue je le léchais sous le gland tandis qu’il se masturbait ; son odeur et son goût étaient très fort ; compte tenu de la profondeur de pénétration, il m’avait fouillé jusque dans le colon. Sylviane et Clémentine me regardaient faire en se caressant mutuellement. Son sperme gicla en flots épais et abondants et je dus incliner légèrement la tête en arrière pour éviter le débordement. Il n’en finissait pas de gicler et son foutre s’étalait sur ma langue et glissait dans ma gorge. Quand il eut terminé, j’avalais tout ; il était un peu épicé, comme celui de son copain et je me demandais si cela était dû à leurs origines ou bien au cocktail.

Sylviane m’ordonna de bien lui nettoyer la queue et de ne rien laisser. Je passais ma langue tout autour du gland puis, sur toute la longueur de l’énorme pieu d’ébène lui rendant sa propreté originelle.
Pour me récompenser, Sylviane m’apporta une coupe de cocktail que je bus avec plaisir et je lui confiais que je n’aurais pas cru être capable de prendre un tel morceau dans le cul avec autant de plaisir.

« Tu peux faire mieux encore dit elle, tu verras, il y a encore de la marge, mais la rapidité de tes progrès m’épate je l’avoue ».

Clémentine nous proposa de faire un petit tour dans la salle ; des couples, des trios et même des groupes baisaient de tous les côtés ; nous aperçûmes Bruno, tête bêche sur un black tandis qu’une femme lui fouillait le cul en enfonçant son poing entier jusqu’à la moitié de l’avant-bras ; je n’en revenais pas qu’une telle chose soit possible.

« Tu vois me dit Sylviane, bientôt tu en seras capable et c’est moi qui te ferais ton premier fist fucking ».

Clémentine se dirigea vers l’estrade pour commencer son spectacle.
Un banc de musculation trônait en son centre. Elle prit la parole et expliqua ce qu’elle attendait puis s’allongea sur le banc.

A suivre

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Une réponse à Souvenirs de jeunesse 5 – Partouze chez Clémentine par Gerald01

  1. Chandernagor dit :

    Les obsédés du Guiness ont encore frappé 🙁

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