Service d’étage 1 – Viva Cuba ! par Boris_Vasslan_et_Arnaud
(carnets de voyage, bisex, lesbos et uro)
Viva Cuba !
Avertissement : ce texte est « une mise en plume », c’est à dire que je l’ai écrit à partir d’un plan détaillé que m’a fourni Arnaud. J’ai accepté, retrouvant là-dedans, nombre de mes fantasmes, ainsi que d’autres...
Bonjour ! Je m’appelle Arnaud, j’ai trente ans, en fait un peu plus. Je devais aller cette année en club en Tunisie avec Madame. Mais Madame est partie avec mon meilleur ami. Comme quoi ça n’arrive pas qu’aux autres ! Ça m’a fait drôle au début, et puis il a bien fallu que je m’organise. J’ai failli ne pas partir en vacances, et puis sur Internet, je suis tombé sur ce truc : Huit jours à Cuba en pension complète, hôtel de luxe, animation et tout le bazar pour un prix dérisoire. Ça me va tout à fait. En plus, il se trouve que je parle pratiquement couramment l’espagnol. Donc tout est parfait ! Je me suis donc inscrit.
C’est sous un soleil radieux que nous atterrissons à La Havane où un car nous emmena directement à l’hôtel « Agua Azul »
L’accueil est très sympa. Punch de bienvenue et le « Gentil Organisateur » nous livre quelques évidences et pas mal de banalités ainsi qu’un certain nombre de renseignements indispensables au bon déroulement de notre séjour. Il aura quand même cette phrase que sur le coup, je trouvais fort surprenante :
– Il est possible que vous soyez sollicité par une partie du personnel qui vous proposera des services, disons… sexuels. Il n’y a pas lieu de vous en offusquer. Contentez-vous de refuser poliment mais fermement. Elles n’insisteront pas… Cela dit chacun est libre de faire ce qu’il veut !
LUNDI
Ce discours m’avait amusé, mais je n’y pensais plus du tout quand en fin d’après-midi alors que je revenais de mon premier contact avec cette magnifique plage de sable fin, voilà que l’on frappe à la porte. La soubrette de l’étage en tenue de… soubrette, petite jupette noire, mini tablier blanc, petite coiffe… tout ça, tout ça… une petite merveille ! Un décolleté d’enfer laissant deviner une poitrine bien pourvue, un sourire d’ange, une magnifique peau noire…
– Je m’appelle Chaza, je viens changer l’eau des fleurs !
– Ah ! Faites !
– Si vous le désirez, je peux vous aider à prendre votre douche, ou alors je peux vous faire un massage pour vous relaxer !
C’était donc vrai, ce que disait le G.O. Bien sûr l’offre est tentante, mais je sais encore draguer tout seul et peux me passer des services de professionnelles aussi belles et aussi expertes soient-elles ! J’essaie d’être le plus sec possible, cela ne m’est pas facile, je n’ai pas un naturel méchant :
– Je vous remercie, je n’ai besoin de rien !
– OK ! Soyez tranquille, je ne vous le proposerais plus !
Ah ! Ça non, elle ne me le propose plus, et elle s’en va s’occuper des fleurs. Mais seulement, faut voir comment elle s’en occupe, des fleurs ! Elle a une façon de se pencher en avant, telle que sa jupe se relève, me dévoilant une magnifique paire de fesses au milieu desquelles une minuscule culotte semble complètement perdue. Je n’arrive pas à décrocher mon regard de cet insolite spectacle, tandis que mon slip de bain se gonfle d’une érection somme toute bien compréhensible ! C’est à ce moment-là que je me suis dit que je pourrais peut-être faire une dérogation à mes sacro-saints principes :
– Euh, mademoiselle ?
– Si señor !
– Je crois que j’ai changé d’avis !
– Comme c’est curieux ! Et qu’est-ce qui vous a fait changer d’avis comme ça, mon petit monsieur ?
Elle se marre, elle rigole, elle est très nature. J’adore ça !
– Devine !
– Hum ! Monsieur est très joueur ! Donc vous voulez quoi ? Le bain ou le massage ?
– On n’a qu’à faire le bain, j’allais justement en prendre un…
– Alors, pour le bain, j’ai trois formules, l’ordinaire, la spéciale et la très spéciale !
– Faut m’expliquer !
– Alors l’ordinaire, je t’aide à prendre ton bain, je te frictionne le dos, je te shampouine, on se caresse, mais il n’y a pas d’attouchement sexuel. Mais c’est bien ! C’est très relaxant !
– Voyons la spéciale !
– C’est la même chose, sauf qu’il y a le sexe en plus !
Elle me raconte tout ça avec un air coquin, fallait voir !
– Et la très spéciale ?
– La très spéciale ? C’est comment dire… très spécial !
En disant cela, elle ouvre des yeux tout ronds.
– C’est du sexe complètement débridé. Je te pisse dessus, je te lèche le trou du cul et tu peux même me sodomiser !
– Je prends celle-là !
– Hum ! Tu es un gros cochon toi ?
– Pourquoi gros ?
– On fait cela tout de suite ?
– Ben, oui ! Je t’ai dit que j’allais prendre mon bain, de toute façon !
– Bon, le temps de prévenir la réception… pour ne pas qu’il me cherche !
– Ah ? Parce que la direction est au courant ?
– Officieusement ! Officieusement !
Ah ! L’officieux ! Que voilà un mot qui en a couvert des hypocrisies… Mais enfin, en la circonstance, j’aurais mauvaise grâce à jouer les moralistes !
Elle revient quelques minutes après :
– Voilà ! Je vais être à toi ! Rien qu’à toi pendant un petit moment !
Et sans autre cérémonie, elle se déshabille. Bon dieu, qu’elle est belle, Chaza ! Ses seins sont impressionnants et semblent défier les lois de la pesanteur (oh : le cliché !). Je suis impatient de toucher sa peau au magnifique reflet chocolaté !
– Quand même dit-elle, espiègle. L’ordinaire ne marche pas, on se demande pourquoi ? Tu es sûr que tu ne veux pas une ordinaire ?
– Non ! Je ne tiendrais pas le coup longtemps !
– Ah ! Là là ! Les hommes ! Bon, dit-donc, toi ! Tu vas le retirer ton slip de bain. Tu ne vas pas prendre une douche avec ça, tout de même ?
Je m’exécute donc et envoi valser mon unique vêtement, dévoilant ainsi ma nudité à ma séduisante cubaine !
– Oh ! Mais c’est quoi ce vilain zizi qui ne bande même pas pour la belle Chaza. Je vais devoir arranger cela ! Dans la très spéciale, on ne va dans le bain qu’avec un zizi tout gros !
Et voilà donc la Chaza qui m’attrape le sexe, le masturbe un petit peu. Elle fait ça très bien et le résultat ne se fait pas attendre. Je bande à présent fort joliment. Elle me tient alors le sexe et le tire comme elle le ferait d’une laisse et m’emmène :
– Allez ! Direction, la salle de bain !
Elle me demande alors de lui sortir les produits nécessaires, à part les sels de bains et le shampoing, je ne vois pas bien ce que je peux lui fournir ?
– Tu ne veux pas que je rase ?
– Me raser ? Non ! J’ai fais ça ce matin !
– Mais non ! Je ne parle pas de la barbe, mais des poils ! Te raser tout le corps !
– Hein ? Mais pourquoi faire ? Non merci !
– C’est génial, je te le ferais un jour !
Si elle se figure que je vais lui permettre de faire son petit numéro tous les jours, elle se fout le doigt dans l’œil ! Aujourd’hui, c’est un coup de folie ! D’accord, j’assume ! Mais il n’y aura pas de suite !
Tandis que l’eau coule, elle me lave les cheveux, me massant le cuir chevelu de ses mains expertes. Puis les grandes manœuvres commencent. Elle me demande de me mettre assis dans la baignoire, mais de façon à ce qu’elle puisse se placer derrière moi. Résultat, je sens ses seins recouverts de mousse qui s’amuse à faire des glissades dans mon dos. Je ne vous dis pas l’effet. De ses mains elle me caresse tout le corps, du moins ce qui lui est accessible dans cette position. Elle me masse le dos, les épaules… Ses mains cherchent mes tétons, testent leur sensibilité. Elle ne va pas être déçue, j’adore ce truc-là ! Du coup elle sert plus fort. Je m’abandonne complètement, je crois que je suis en bonnes mains !
Elle me fait ensuite mettre à quatre pattes dans la baignoire (oui, à quatre pattes !). Je ne cherche pas trop à comprendre et m’exécute. La position lui permet de me caresser les fesses avec ses mains d’abord, puis avec les seins ! Oh, ce contact de ses seins sur mes fesses ! Inimaginable !
– Cambre-toi mieux !
– Pourquoi faire ?
– Ah ! Ah ! Je vais m’occuper de ton petit trou !
– Ce n’est peut-être pas nécessaire !
– Et, dis donc, toi ! Et si ça me fait plaisir à moi de te le faire ?
L’argument est sans parade. Je me laisse faire. Elle m’éponge d’abord l’endroit. Sage précaution ! Avaler de la mousse ailleurs que dans un verre de bière n’a rien de terrible. Puis très vite je sens sa langue qui frétille ! Curieuse sensation ! Cette caresse autrefois extrêmement populaire à tendance à se perdre… allez donc savoir pourquoi ? En tous cas c’est à la fois très agréable physiquement et très troublant psychologiquement. Mais, bon dieu, on n’est pas là pour faire de l’analyse freudienne ! C’est bon, c’est l’essentiel ! Mais que voici un doigt qui devient impertinent ! Elle ne va quand même pas me foutre un doigt ? Si ! Elle le fait !
– Oh ! Ben, non ! Protestais-je sans grande véhémence.
– Oh ! Ben, si !
Je la laisse donc aller et venir de son index dans mon petit trou, tandis que son autre main passe entre mes cuisses et se livre à un étrange massage testiculaire. Elle me demande ensuite de me tenir à demi couché sur le dos !
– Je vais t’arroser !
Chic ! J’adore ce truc, que je n’ai que rarement eu l’occasion de pratiquer. Elle m’enjambe debout, s’accroupit un tout petit peu, et un joli filet doré me dégringole sur le sexe. C’est chaud, c’est doux, c’est agréable, c’est excitant. Elle remonte, elle arrose mon ventre, mon torse…
– Tu voudrais goûter ?
– Un petit peu !
Elle dirige alors le jet sur mon visage, m’offrant le champagne de son corps. Elle rigole, elle s’amuse !
– Tu sais, j’adore faire ce truc là !
Elle se livrera alors à un curieux exercice que j’aurais l’occasion de lui voir pratiquer plusieurs fois pendant mon séjour. Elle plonge la main dans une petite sacoche qu’elle avait apporté et qu’elle avait posé sur le rebord de la baignoire. Elle semble se livrer à quelques savantes manipulations, puis met quelque chose dans sa bouche. Elle se penche alors vers mon sexe, et après en avoir essuyé la mousse, elle me le gobe et effectue alors quelques mouvement de fellation ! Oh, très peu ! Mais qui suffisent à mon bonheur ! Je regrette quand même qu’elle ne continue pas davantage ! Mais la super-pipe ne doit pas être incluse dans ce genre de prestation ! J’ai alors la stupéfaction de constater que mon sexe est revêtu d’un préservatif ! Elle a réussi l’exploit de me le placer uniquement avec la bouche ! Sans me demander quoique ce soit, elle s’empale ensuite sur ma verge. Elle fera juste quelques mouvements, puis se retire. Je me demande ce qu’elle fabrique, puis je comprends. Elle se repositionne, mais cette fois ci en présentant son anus à mon gland !
– Ne bouge pas !
Je ne bouge pas ! Elle s’introduit doucement, lentement, puis la pénétration étant réalisée, elle commence à mouvementer après avoir pris la précaution de retirer la bonde :
– Pour ne pas éclabousser partout ! Me précisera-t-elle !
A ce rythme-là, je ne vais pas tenir bien longtemps. Je finis par jouir dans son cul de mon membre pressé par ses chairs les plus intimes.
Très professionnelle, elle me lavera le sexe, puis me fera un rinçage complet, avant de me bouchonner avec une serviette de bain.
– Allez, je me sauve ! C’est sympa avec toi ! A plus tard !
Même pas un bisou, rien ! J’aurais voulu au moins la tenir un peu dans mes bras, lui offrir un peu de tendresse, et pourquoi pas la faire jouir. Enfin, je ne vais pas me plaindre, le trip était super !
Mardi
Cette Chaza m’a poursuivi dans mes pensées, je lui offrirais bine un truc qui lui ferait plaisir ? Mais je ne sais pas trop ! Des fleurs ? Un bijou fantaisie ? Et puis il faudrait que je trouve les mots pour lui dire que je n’entends pas me livrer à d’autres « prestations »… Un coup de folie, c’est un coup de folie ! Je ne regrette rien, mais bon !
– Buenas dias !
Justement la voici ! Putain qu’elle est belle ! Ne pas craquer ! Surtout, ne pas craquer !
– Bonjour Chaza !
– Ça va depuis hier ? C’était bien notre petit truc ?
– Super !
– Tu remettrais bien ça, hein ? Dit-elle, très chatte.
– Non !
Du coup elle a l’air étonnée.
– Pourquoi ne pas profiter des bonnes choses ?
– Tu vas me ruiner !
– Au cours du peso, ça m’étonnerait !
Quelle idée j’ai eu d’aller chercher des arguments aussi cons ?
– N’insiste pas, s’il te plait, c’était très bien, je ne regrette rien, mais je ne souhaite pas recommencer.
– OK ! Je n’insiste pas, je ne t’en parlerais plus ! C’est seulement dommage que tu n’ais pas essayé le massage, ça t’aurais plu !
Quand même, quelque chose me turlupine, et alors que j’aurais dû tourner la conversation, je lui demande :
– Dis-moi ? Pour ma curiosité personnelle, à part le bain et le massage, tu propose aussi d’autres trucs ?
– Bien sûr, le bain et le massage sont des prestations de base, ce que l’on propose tout de suite aux clients potentiels, mais il y a plein d’autres choses. Je peux te faire un petit strip-tease, un numéro lesbos avec une autre fille, des séances à trois, à quatre, de la pose photo, et même du SM, on a un petit local pour faire ça, mais moi je n’en fais pas !
– Des photos, ça m’intéresse, on fera ça, mais pas aujourd’hui, je t’en reparlerais ! D’accord ?
– D’accord ! Je vais changer l’eau des fleurs !
Alors comme la veille, elle se recasse en deux, me dévoilant à nouveau ses longues jambes, ses cuisses galbées et son petit cul rebondi. La même pose qu’hier ! Non, pas tout à fait, car aujourd’hui, elle n’a pas mis de culotte ! Les mêmes causes vont-elles produirent les mêmes effets ? Mon dieu, que c’est beau ! Ma quéquette commence à frétiller… Putain on ne vit qu’une fois !
– Chaza ?
– Si Señor !
– Finalement, ce petit massage on va le faire !
– Esta bien.!
Et saisi d’une pulsion irrésistible, je me lève de mon fauteuil et me précipite pour lui embrasser les fesses. Elle rigole !
– Alors, les massages, il y a trois formules…
– Je sais. L’ordinaire, la spéciale et la très spéciale !
– Pas tout à fait, il y a l’ordinaire, la spéciale et la brésilienne !
– C’est quoi la brésilienne ?
– Tu verras bien, je vais te la faire !
– Je ne t’ai pas dit…
– Laisse-moi faire !
Après nous être déshabillés, elle me fait d’abord coucher sur le ventre dans la position traditionnelle du massé. Mais cette partie sera plus symbolique qu’autre chose. Elle me fait rapidement mettre sur le dos et en fait de massage, se met à me tripoter le bout des seins. Doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Elle les tourne, les tire. Résultat, je ne tarde pas à bander comme un cerf en rut !
– Plus fort !
– Hum ! Tu ne serais pas un peu maso des seins ?
– Juste des seins !
– Ah oui ? Dommage, je t’aurais bien donné une petite fessée !
– Je croyais que tu ne faisais pas de SM ?
– Ce n’est pas du SM ! Quoi qu’avec toi ça m’amuserait sans doute ?
Elle continua à serrer. Je comprendrais plus tard sa stratégie : trouver les points sensibles de façon à provoquer une érection puissante. Cela atteint, le sujet peut accepter plus facilement ce qui suit…
Car ce qui suit… mes bons amis…
Elle me fait de nouveau mettre sur le ventre. Elle commence par m’écarter les globes fessiers et comme la veille, elle m’humecte l’anus de sa langue. Je commence à prendre goût à ce truc là Puis un doigt me pénètre, suivi d’un deuxième. Elle pratique avec un savoir-faire remarquable, me provoquant des spasmes de plaisir. Et puis quelque chose de plus gros cherche à me pénétrer. Je panique ! Mais la chose est à présent à moitié introduite. Elle m’a foutu un gode dans le cul ! Il est muni d’un vibrateur. Elle l’actionne. Whaah… la sensation ! Elle laisse l’effet s’installer en moi, puis me fait placer à quatre pattes, et dans cette position, elle active d’une main le vibro, le faisant entrer puis ressortir, tandis que l’autre main me masturbe. Je ne tarde pas à exploser !
J’ai comme un coup de chaud. Je suis épuisé et j’ai un peu mal au cul. Chaza à l’aide de petites lingettes me nettoie le sexe, m’essuie le cul et m’éponge mon front bouillant de sueur malgré la climatisation.
Mercredi
Je ne suis plus sûr de rien, si Chaza me propose un truc, je sais que j’aurais du mal à refuser, sauf à prendre le parti d’être franchement désagréable. Ce matin je lui ai fais livrer des fleurs, un magnifique bouquet. J’avais préparé une carte sur laquelle était indiqué :
» En souvenir des plaisirs que tu m’as donné.. Mais sois gentille, restons-en là »
Au dernier moment j’ai refait le carton, supprimant la dernière phrase. Depuis plus de nouvelles ! J’attendais ne serait-ce qu’un petit coup de fil. Non ! Rien ! Il va être 17 heures. L’heure à laquelle elle vient s’occuper des plantes. J’attends, anxieux. Elle ne vient pas. 17 h 30 personne ! 18 heures, toujours pas là. Après tout c’est peut-être son jour de repos ! Mais alors qui s’occupe des plantes ? Mais c’est vrai que les pauvres ne sont sans doute qu’un prétexte. 18 h 30 je ne l’attends plus ! Je me verse un truc à boire et m’apprête à prendre une douche. On frappe. Chaza ! Putain ! Que je suis content de la voir… mais elle n’est pas seule !
– Buenas Dias ! Je te présente Carita !
En matière de formes la Carita n’a rien à envier à Chaza, le visage est peut-être moins joli, mais c’est un beau brin de fille.
– Bonsoir
– Muchos gracias para los flores ! C’est la première fois qu’on m’offre des fleurs ici ! Ça fait plaisir d’être considéré comme autre chose qu’une simple pute !
– Ça m’a fait plaisir de te les offrir !
– On va changer l’eau des fleurs à deux ! Faut bien qu’elle apprenne ! me dit Chaza en minaudant
– Faites !
C’est un jeu, toujours le même, mais cette fois, elles sont deux à se plier le corps jusqu’à ce que les jupettes se soulèvent afin de me montrer tout en haut de leurs longues cuisses, leur petit cul tout nu. Elles rigolent !
– Alors, le spectacle te plait ?
– Ravissant ! Vous me proposez quoi ?
– On a plusieurs formules…
– Je sais, l’ordinaire, la spéciale et la très spéciale !
Elles se regardent, éclatent de rire.
– Tu as tout compris, l’ordinaire, on te fait un petit spectacle lesbos, et tu te branles en nous regardant. La spéciale, on vient s’occuper de toi à la fin et la très spéciale, on s’occupe de toi, mais encore mieux !
– Allons-y pour la super…
Alors les deux filles se déshabillent, puis elles tendent une sorte de bâche en plastique sur le sol. Quelle idée ? Comme s’il ne serait pas plus simple de faire cela sur le plumard ? Puis je comprends, elles se versent sur le corps une espèce d’huile et s’en enduisent entièrement. Rien que de voir cela est extrêmement excitant. Ces belles peaux marrons rendues luisantes me font un tel effet que je me débarrasse déjà du slip de bain qui constituait alors mon unique vêtement. Les deux femmes commencent par s’embrasser goulûment en un baiser interminable tout en se pelotant un peu partout, puis elles entament un étrange corps à corps au cours duquel leurs seins glissent les uns contre les autres, puis contre leur dos, contre leurs fesses, contre leurs cuisses. Ça n’arrête pas, chaque partie d’un corps veut être en contact avec une autre. La transpiration se mélange à l’huile, leur corps dégouline, leur chatte ruisselle et toujours ce ballet des formes qui se rencontrent, se séparent, se rejoignent jusqu’à ce moment extraordinaire où Chaza fera glisser son téton sur le clitoris de Carita qui s’abandonnera sous l’effet de cette insolite caresse !
Je crois qu’elles en ont terminé. Mais non ! Chaza sort d’une sacoche une espèce d’objet en plastique d’environ cinquante centimètres. C’est un double gode. Elles s’en introduisent chacune une extrémité, puis commencent à s’agiter frénétiquement. C’en est trop, je ne vais plus arriver à me contrôler et déjà ma main caresse mon sexe de façon de plus en plus évidente.
– Viens !
J’arrive, je bondis, je me précipite. J’ai alors droit au massage à l’huile, et tandis que Chaza me mordille le bout des seins, Carita m’introduit une extrémité du double gode dans mon trou du cul. Je ne dis rien, je me laisse faire. Comme la veille, un plaisir trouble ne tarde pas à m’envahir.
– C’est bon, hein ?
– Super !
– Tu préfères celui-là, ou l’autre avec le vibrateur ?
– Je n’en sais rien !
– C’est bien les godes, mais ça ne vaut pas une vraie bite ! Philosophe soudain Chaza.
– Je n’en sais rien, je n’ai jamais essayé ! Répondis-je pensant évacuer le sujet.
– Il faut tout essayer ! reprend la jolie cubaine
– D’accord, mais je ne suis pas pressé !
Et tandis que Carita continue de me besogner l’anus, Chaza se met sur moi en position de soixante neuf. Elle attrape ma queue et commence à la sucer. Cette fois, elle s’y attarde, je vais enfin avoir ma première vraie fellation cubaine. Et en plus cadeau magnifique, je peux lécher sa bonne petite chatte, elle est délicatement parfumée, elle sent la femme, un délice, j’active ma langue, m’enivre de son sexe, essaie de parvenir le plus profondément possible, puis je joue avec son clitoris. Elle fait manifestement des efforts pour retarder ma jouissance, mais allez donc résister longtemps à un régime pareil, vous ! Je vais jouir, je le sens ! Elle l’a senti aussi, stoppe sa fellation. On peut retarder un tout petit peu encore la jouissance. C’est alors que profitant de cette très courte pause, elle lâchera dans ma bouche quelques gouttes de son délicieux pipi, puis elle replongea vers mon sexe, qui cette fois se libéra à grand jet de sperme trop longtemps contenu.
Une petite douche à trois, un peu de ménage et ces demoiselles s’en vont !
Que m’arrivera-t-il demain ?
Jeudi
Je m’attendais à beaucoup de choses, sauf à ce que le lendemain soit le jour du… laveur de carreaux !
Il est 17 heures, l’heure de Chaza ! On frappe ! Un mec ! Un métis assez clair de peau. Pas mal, mais je ne fantasme pas sur les hommes ! Il est uniquement vêtu d’un slip (de bain ?) qui m’a l’air bien moulant ! Qu’est ce qu’il veut celui-là, il a un seau à la main et une sorte de raclette.
– Señor ! Je suis José ! Je viens laver les carreaux !
Ah ! Bon ! Je n’avais pas remarqué qu’ils étaient sales, mais bon ! Ce qui m’embête c’est qu’il va être là au moment où Chaza va se pointer, ça me gêne un peu. Mais enfin, je suppose qu’il n’en a pas pour trois heures !
– Faites !
C’est alors que le gaillard me fit cette époustouflante proposition :
– Si vous voulez, señor, je peux faire les carreaux tout nu !
– Quoi ? Non merci ! Sans façon !
– Comme vous voulez, señor, je n’insisterais pas !
Et le voilà en pleine activité. Monsieur astique les baies vitrées avec une ardeur toute professionnelle. Il fait cela en se tortillant du cul d’une façon obscène. Il peut toujours le tortiller son pétard, s’il croit m’impressionner… Quand je raconterais ça aux copains… Et puis je ne sais pas ce qui m’a pris, curieux comme je suis je me suis demandé jusqu’où il oserait aller (à moins qu’inconsciemment… Allez savoir ?)
– J’ai changé d’avis, faites-les donc à poil les vitres ! Après tout on ne voit pas cela tous les jours !
– J’ai trois formules…
Non ! Pas lui ! Au secours !
– Je sais !
Il ne m’écoute pas !
– L’ordinaire, c’est juste un show pendant que je fais les carreaux. La spéciale, on peut faire à la fin des attouchements sexuels et bucco-sexuels…
J’aime bien le » bucco-sexuel » !
– Et puis, reprend-il, la très spéciale, où l’on va pour ainsi dire encore plus loin !
– Nous nous contenterons de l’ordinaire !
Il a l’air déçu, le biquet, il retire son bénouse, m’exhibe son cul et sa bite. J’en n’ai rien à foutre ! Quelle mouche m’a donc piqué d’avoir accepté ce truc ? Constatant mon manque de réactivité, il retourne à ses carreaux. Je le regarde à peine. Chaza ne devrait plus tarder. Avec qui va-t-elle venir aujourd’hui ? Deux copines, trois copines, douze copines ? Il serait peut-être temps d’arrêter tout ce bazar ?
Finalement elle se pointe toute seule.
– Tiens, José est là ! Tu as pris une spéciale ?
– Non, une ordinaire !
– Tu as tort !
– Peut-être ! Et toi tu va me proposer quoi ?
– Hum ! Aujourd’hui je te propose une improvisation !
– C’est quoi ?
– Ben justement, on ne peut pas savoir d’avance, enlève-moi ce slip et laisse-toi faire !
– Euh ! On va peut-être attendre que monsieur soit parti ?
– Mais non ! Il ne nous dérange pas du tout !
– Moi, ça me gêne !
– On va essayer, et si vraiment ça t’embête, on attendra qu’il ait fini !
Et sans attendre ma réponse, elle baisse mon slip, se met elle-même à poil et entreprend une nouvelle fois de m’astiquer les tétons ! Ah, Ça, elle a bien fait de découvrir ma zone érogène préférée ! Je bande de façon très correcte au bout d’à peine deux minutes. Que va me faire cette diablesse aujourd’hui ? Elle fait alors signe à José de s’approcher.
– Mais, protesta ce dernier, Monsieur, n’a pas pris une spéciale…
– Mon pauvre José, ce que tu peux être lourd, parfois !
Elle prend la queue de José d’une main, la mienne de l’autre et nous masturbe.
– Tu vois ce que je fais ? C’est excitant, je branle deux queues en même temps ! Tu as déjà fait l’amour à trois ?
– Oui !
Oui, certes ! Mais de façon classique, c’est à dire les deux messieurs s’occupant de la dame. Mais était-ce à cela qu’elle pensait ? Et puis me revint alors en mémoire cette soirée, il y a quelques années qui s’était terminée en orgie. Un type m’avait alors défié de faire comme il disait « des trucs » avec lui. J’avais relevé ce défi, qui s’était d’ailleurs limité à un très court échange de pipes ! L’affaire m’avait alors fort troublé, à ce point que je m’étais efforcé de la chasser de ma mémoire, sans trop savoir vraiment pourquoi !
Chaza s’était assise sur le canapé, José et moi étions debout de part et d’autre d’elle, de part et d’autre de ses mains qui nous masturbaient. Et puis elle nous suça, alternativement. Jusque là tout allait bien ! La situation était tranquille…
Quoique la vue de ce sexe bandé ne me laissait pas complètement indifférent ! Pour ne pas dire plus !
Il est sans doute alors temps de poser l’énigme ! Pourquoi tout à l’heure, les exhibitions fessières du José ne me faisaient ni chaud, ni froid, alors que maintenant, j’avais du mal à détacher mon regard de son sexe ? Je n’ai pas la réponse ! Pas encore !
Au moment même ou ces interrogations jaillissaient en un flash dans mon esprit; Chaza choisit de faire ce geste d’une ambiguïté totale consistant à superposer les deux verges enduites de sa salive et de les faire coulisser ainsi l’une sur l’autre. Devant tant de trouble, ma respiration se saccadait, ma bouche se faisait sèche. Mais comme si ça ne suffisait pas, elle dirigea alors nos mains vers la pine de l’autre, et nous dit simplement :
– Branlez-vous !
José avait déjà démarré, je savais quelle serait la prochaine étape, le prochain stade sans savoir si je le craignais ou si je l’attendais. Mais pour le moment de façon très mécanique je masturbais cette verge qu’il ne me déplaisait pas d’avoir en main !
– Alors elle est comment la queue de José ?
– Elle est très belle !!
J’ai répondu cela spontanément, sincèrement, dans deviner quel piège contenait cette anodine question.
– Alors suce-là !
Je n’ai même pas hésité, je me suis baissé et je l’ai mise dans ma bouche. C’était le pas à franchir, le reste fut plus facile, ou du moins coula plus de source. Je léchais, je suçais, sans doute maladroitement, sans aucune arrière pensée, un peu comme le gourmet qui au restaurant, découvre un goût qui lui était inconnu. Je suis sur une autre planète, sur un autre monde, là où les lois du sexe ne sont pas les mêmes que sur Terre, et c’est dans cet état d’esprit que vint l’ordre si redouté :
– Allez, tu es prêt, maintenant donne ton cul !
Je balbutiais une protestation de pure forme, sachant bien que j’allais « y passer » !
– Tu verras ! C’est meilleur que le vibro, c’est meilleur que le dildo !
Tout se passa alors comme dans un songe, je m’accroupis dans la position classique du sodomisé. José me pénétra, il le fit très bien et pendant qu’il me besognait, Chaza qui avait rampé sous mon corps me suçait la verge. Nous prîmes, José et moi notre plaisir en même temps.
J’aurais pu conclure cette étonnante séance dans le doute et l’incertitude si deux évènements assez extraordinaires ne s’étaient pas alors produits…
Le premier, c’est qu’en nous retirant et nous redressant, nous avions laissé Chaza au sol, sur le dos. Elle ne se relevait pas, ne nous voyait même pas et se masturbait frénétiquement. Elle eut un orgasme quelques minutes plus tard qui la fit pousser une série de petits cris.
J’en fus ému jusqu’au larmes, mais ce ne fut rien à côté de ce que je ressentis quand se redressant, elle m’embrassa sur la bouche en un long et vigoureux baiser.
Vendredi
Ce jour là le passage de Chaza dut extrêmement bref. Elle me dit simplement qu’elle ne restait pas, que par contre, on se verrait le lendemain, et que ce soir j’aurais une curieuse surprise.
Une surprise ? Après tout ce qui m’était arrivé, que voulez-vous qu’il m’arrive comme surprise supplémentaire ?
Quelques instants plus tard, on frappait. J’ouvre. J’avais déjà entre aperçue cette géante hollandaise blonde comme les blés et aux formes sculpturales. Elle me parla en anglais :
– Good evening, my name ‘s Herma !
– Enchantée !
– Chaza m’a parlé de vous !
– Ah ?
– Elle nous a dit que vous seriez d’accord pour venir boire le champagne avec moi et mon mari !
Pas très discrète finalement la Chaza, je flaire la partouse échangiste, mais faire cela avec cette déesse nordique est inespéré. Je ne vais pas refuser.
– Pourquoi pas ?
– Dans une demi-heure ?
– OK !
A l’heure dite, je me rends dans leur chambre. Ils sont nus tous les deux. Je scotche sur les seins d’Herma. Deux magnifiques globes peu bronzés et au galbe parfait. Sur la petite table basse nous attendent des verres, des amuses gueules, du Coca, du rhum blanc et du citron. De quoi faire du « Cuba libre ». Je ne comprends pas bien, j’avais entendu parler de champagne, mais bon, après tout ce n’est pas le but ultime de cette visite de voisinage. Herma me demande de me déshabiller, puis prépare les cocktails. Nous trinquons, nous échangeons pas mal de banalités d’usages en grignotant quelques cacahuètes et autres machins trucs « spécial apéritifs » Et puis Herma se lève pour aller chercher quelque chose. J’en profite pour admirer sa resplendissante chute de rein. Elle revient avec une bâche en plastique. Ce doit être une mode dans cet hôtel. Je me dis : » Ça y est, on est bon, pour la partouse à l’huile » Et bien là, il n’y a pas d’huile, Herma me demande gentiment de m’installer sur la bâche. Elle me masturbe un petit peu, puis me suce ! Quel plaisir divin, mais trop bref ! Le but de la chose était simplement d’assurer mon érection. Elle m’enjambe alors et me prévient :
– Je vais t’offrir mon champagne !
Ça y est, j’ai compris ! Une quantité incroyable d’urine surgit de sa chatte, m’aspergeant la queue, elle remonte très vite tout en continuant de pisser, vers mon visage et tandis qu’elle me colle carrément sa chatte sur ma bouche, je sens que quelqu’un veut faire quelque chose avec ma bite. Je réalise alors que le mari d’Herma est tout bonnement en train de s’introduire ma verge dans son cul. Je ne tarde pas à décharger et tandis que je tentais de récupérer mes forces, j’eus droit au spectacle très conjugal d’Herma et de son mari qui se sautaient littéralement dessus, non sans m’avoir dit auparavant de ne pas m’éloigner, et terminèrent de façon fort classique leur trip sexuel de la journée.
Ces braves gens se montrèrent ensuite fort corrects, me payèrent le restaurant, dans lequel assis à côté d’Herma je pus la peloter toute la soirée avec les encouragements du conjoint.
– Vous savez, le champagne, c’est notre truc. Ce n’est pas si souvent que nous avons l’occasion de rencontrer des gens qui partagent notre fantasme.
Ils prirent ensuite congé, m’indiquant qu’ils allaient passer la nuit « en amoureux »
Samedi
17 heures ! Je ne suis pas encore devenu fou, mais ça ne devrai pas tarder. Chaza entre ! Surprise (encore une !) Elle n’est pas en tenue de soubrette, mais elle a revêtu une petite robe bleue aux larges motifs fleuris.
– Voilà, c’est mon jour de repos. Demain tu vas repartir, je ne te reverrais plus. Alors j’ai pensé que…
Sa voix se trouble
– Qu’est ce qui se passe, Chaza ?
– Dis-le-moi, si tu me trouve idiote, je ne t’en voudrais pas… Je voulais…
Elle sanglote.
– Chaza, je t’assure que je t’écoute, parle-moi !
– Je suis dingue ! Je voulais t’offrir, je dis bien t’offrir, une nuit, une longue nuit d’amour avec moi !
Du coup, ce sont mes propres yeux qui se troublent
– Oh ! Chaza !
Nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre !
Dimanche (épilogue)
Le G.O. s’approche de moi
:
– Dites donc, vous ! J’ai appris que vous en aviez bien profité !*
– Faut pas se plaindre !
– Vous savez, on a un « séjour » dans le même genre au Brésil, avec des travestis parmi le personnel… je peux vous inscrire si vous voulez…
A peine hypocrite le G.O !
– Pourquoi pas ?
Oui, pourquoi pas ? On ne vit qu’une fois, autant tout essayer, mais ce n’est sûrement pas cela qui me fera oublier ma petite Chaza !
© Boris Vasslan – Alençon Août 2001
Pas trouvé la suite !
Elle est là
http://wp.vassilia.net/histoires/service-detage-2-brazil-brazil-par-boris-vasslan-sur-une-idee-proposee-par-arnaud
Cela m’étonnerai fort qu’il existe un tel lieu à Cuba
Il s’agit d’un récit de fiction, pas d’un reportage vécu 😉
Joli carnet de voyage
C’est très bien fait avec une montée en puissance de la « perversité » au fil de l’action. Le style est décontracté et décomplexé, bref j’ai adoré et ma bite aussi.
Un carnet de voyage bougrement excitant
Si ça se passe vraiment comme ça à Cuba, je sens que je vais y aller faire un tour cet été ! LOL