Les séances de Joy 4 – Professeur très particulière par Eddy
Après ce troisième rendez-vous, je fus quelque temps sans nouvelles de Carole jusqu’au jour où elle me passa un petit coup de fil. Elle avait en fait envie de papoter. Elle tombait bien, quand je suis décidée, je peux être une véritable pie. Incidemment, elle me demanda si je n’avais pas un jour de congé à prendre.
Hé ! Ce coup-là, elle va me le faire à chaque fois ou quoi ? Mais cela dit, pas un instant, je n’ai cherché à ruser, je le lui indique donc…
…et le jour en question…
– Allô Joy ! C’est Carole ! Tu veux qu’on s’amuse un peu cet après-midi ?
– Bien sûr !
– Bien sûr… qui ça ?
– Bien sûr ma maîtresse adorée !
– Humm ! J’aime quand tu me parles comme ça !
– Mais j’aime te parler comme ça !
– Tu vas venir chez moi et tu apporteras un bouquin de poésie !
– Un bouquin de poésie ?
– Oui ! N’importe lequel, et grouille-toi, je te veux chez moi dans une heure !
Et elle raccrocha.
Complètement imprévisible, la Carole, je ne discutais même pas ! J’étais trop impatiente et trop contente d’avoir ce coup de fil. Toute la matinée, je trop impatiente, et trop contente d’avoir ce coup de fil. Toute la matinée, je l’avais attendu, je m’étais déjà habillée pour l’occasion d’une petite robe noire que je venais d’acheter, un truc tout simple, assez court et assez décolleté, le genre de fringue que les hommes remarquent. Je m’étais mis aussi une jolie petite culotte en dentelle noire, avant de me souvenir qu’elle m’avait ordonné de ne jamais en porter. Pas bien grave, m’étais-je dis, je la retirerais tout à l’heure ! Je m’étais dit que nous retournerions peut-être au restaurant, là où servait Suzy, la petite asiatique, et puis les heures passèrent… Toujours rien ! Elle jouait avec mes nerfs.
Un bouquin de poésie ! Oui, mais lequel ? C’est que j’en ai des livres de poètes ! Des Français ! Des canadiens ! Des anglo-saxons et même des arabes ! Et pourquoi lui apporter un bouquin ? Elle n’en a pas, elle ? Sur le rebord d’une planche traînait les » Fleurs du mal » ! Allons-y pour les » Fleurs du mal » ! Voici de toute façon un bon choix ! Pourquoi était-il donc sorti de sa rangée ? Ah ! Oui ! Un de mes complices internautes s’était amusé à m’envoyer un message vocal en récitant » les métamorphoses du vampire « . J’avais bien rigolé en le recevant, c’était déclamé avec un mélange d’emphase et d’accent parisien au résultat assez cocasse. Allez, un coup de peigne, un petit coup de maquillage, un soupçon de parfum et très consciemment et sans le moindre état d’âme je partis me faire faire des tas de petites misères par ma belle et troublante maîtresse !
– Dans quel état vais-je encore revenir ?
Je sonne. Un peu fébrile, néanmoins, Carole est si imprévisible, elle peut très bien m’accueillir en me roulant un patin, comme en me foutant une paire de claques histoire de me signifier que la séance a d’ores et déjà commencé. En fait ce ne sera ni l’un ni l’autre, ce sera le petit bisou très » copine « . Moi, j’aime bien les maîtresses qui me font des bisous ! Elle s’est vêtue d’une nuisette violette très vaporeuse en dessous de laquelle on perçoit nettement une guêpière en cuir. Les tétons de ses seins nus, eux, frôlent le tissu diaphane et sont érigés tel de gros bourgeons. Sa chatte rasée n’est protégée par aucune culotte.
– Bonjour ma chérie ! Rentre, j’ai follement envie de jouir cette après-midi !
Et moi donc ? Je rentre dans le studio… Et là… le choc !
– Oh !
– Quelque chose ne va pas ?
Si ça va très bien, mais c’est tellement inattendu ! Un type est attaché au mur. Il est tout nu, il est noir, il est magnifique, ni trop musclé, ni pas assez, une peau splendide, un sexe qui sans être monstrueux est néanmoins de bonne taille. Il est bâillonné et son corps porte des marques de flagellation. Et toujours est-il que la situation commence à m’exciter, très, mais alors très sérieusement…
– Il est mignon ? hein ? Me précise Carole. Il est venu me voir ce matin pour une domination. C’est un prince africain, paraît-il, il est en voyage au Québec pour quelques jours. Il m’a invité à aller lui rendre visite dans son pays cet été, je crois bien que je vais accepter. Son truc, c’est d’être attaché, et il voulait l’être le plus longtemps possible.
Puis elle réagit en regardant sa montre.
– Il va bientôt falloir que je le détache ! Faudrait-pas non plus qu’il profite trop des bonnes choses. Mais pour l’instant je vais lui remettre ses pinces.
Carole saisit alors deux pinces crocodiles et les accrocha après ses mamelons.
– Regarde comme il aime ça ! Rien que ça, ça le fait bander, ce salaud !
Je voyais bien qu’il bandait, je n’étais pas aveugle ! Mon dieu ! Ce sexe qui se dressait lentement… Et moi qui étais là comme une conne à ne rien pouvoir faire, sinon mouiller inexorablement l’endroit où aurait dû être ma culotte si j’en avais mis une… mais… oups… je réalise à ce moment que justement, j’avais complètement oublié de la retirer ! Ça allait être ma fête !
Carole rajouta une pince à chaque testicule provoquant un râle chez l’homme perceptible malgré le bâillon.
– Tu sais ce que je lui ai fait ce matin ? J’avais un autre visiteur. Je les ai obligés à se sucer la bite mutuellement. Tu aurais vu comme il aime, ça, sucer… une vraie petite pute !
La simple évocation de ces moments eut pour effet de rendre à la verge du soumis sa raideur maximale ! L’engin était magnifique, une colonne de chair couleur chocolat à croquer, surmonté d’un gland luisant où perlait déjà une goutte de pré-jouissance. De jolies couilles, à la fois plissées et bien remplies ! Humm !
– Et attend, ce n’est pas tout, il va te dire lui-même comment ça s’est terminé cette affaire, ce matin !
Elle lui retira alors son bâillon.
– Allez, explique à ma copine ce que tu as fait après !
– Je me suis fait enculer, maîtresse !
Aussi sec, elle lui remet le bâillon, elle voulait juste l’entendre dire ça, puis Carole se baisse, prend l’engin dans sa main, imprime quelques mouvements de masturbation, avant de se le fourrer dans la bouche. Elle me regarde avec un coup d’œil complice. J’en ai marre, bon dieu, d’être passive. Je m’approche à mon tour de la verge de ce bel homme, mais Carole m’interpelle :
– Toi ! Pas touche ! Ce sera ton dessert si tu es sage ! Pour l’instant tu restes tranquille !
Drôlement frustrant cette affaire ! Mais où veut-elle en venir ? Elle va me rendre folle ! Et Carole qui continue à sucer l’autre ! Je pensais qu’elle se limiterait à un ersatz de fellation, juste comme ça pour me montrer, pour m’exciter. Non pas du tout ! Elle lui fait désormais un véritable pompier en règle. Et cela avec une ardeur qui fait plaisir à voir. Ses mouvements de bouches sont ponctués de clap-clap sonores. Elle veut donc le faire jouir ! La salope ! Elle m’avait pourtant dit que je pourrais y avoir droit tout à l’heure ! Quoique rien ne soit compromis… Le soumis râle soudain sous le bâillon, Carole retire vivement les pinces attachées aux testicules, puis les autres. D’un mouvement de bouche, elle essuie les dernières gouttes de sperme, se relève, s’approche de ma propre bouche et me roule une pelle, alors qu’elle n’a pas encore déglutit la semence du mâle. Je suis dans un état second. Elle peut à ce moment me demander n’importe quoi ! Elle le sait, et je sais aussi maintenant au bout de trois séances qu’elle n’en abusera pas, mais…
– A poil !
Ah ! Enfin ! C’est un choix que je peux réaliser assez vite… mais elle va se rendre compte maintenant que j’ai une culotte… Aïe ! Je fais quoi ? Je prends les devants, je lui dis, je me cache, je fais l’idiote ? Si seulement elle pouvait regarder ailleurs ! Qu’est-ce qu’elle a à me fixer pendant que je me déshabille ? Voilà que je me mets à avoir la tremblote !
– C’est quoi, ce truc ?
– Je suis désolée, maîtresse !
– Tu es désespérante ! File-moi ce chiffon !
Je lui tends.
– Tu m’as l’air dans un drôle d’état ! Me dit Carole, remarquant l’état de mon entrecuisse. Ne bouge pas je reviens !
Elle réapparaît quelques minutes après avec une paire de ciseau à la main. Cette cinglée va me bousiller ma culotte, elle n’est pas bien, ça coûte cher une culotte ! Mais d’un autre côté la punition n’est pas si sévère, elle aurait pu me jeter purement et simplement.
– Allez, destroye-la !
Je fous un coup de ciseau dans ma pauvre culotte, ça me servira de leçon, la prochaine fois je ferais attention, et je croyais en avoir fini avec cet incident, c’était bien mal connaître ma maîtresse !
– Va jeter les morceaux !
J’y vais.
– Tu fais quoi ?
– Ben, je cherche la poubelle…
– Je ne veux pas de ces saloperies chez moi, tu vas me jeter ça dehors !
Ah ! bon et je fais comment, je ne vais tout de même pas jeter les débris par la fenêtre, alors je ramasse ma robe pour la remettre…
– Je ne t’ai pas dit de te rhabiller !
– Je ne vais quand même pas aller jeter ça dehors à poil ?
– Si !
Elle exagère, je ne peux pas faire ça ! Je m’apprête à lui dire que le jeu est fini, que je reprends mes billes ! Et puis, je ne sais pas, je me fais le film dans ma tête, trois étages à descendre, jeter ce truc sur le trottoir sans se montrer, remonter, il doit y en avoir pour environ deux minutes. Ce serai bien le diable si je rencontrais quelqu’un ! Et puis si je rencontre quelqu’un, qu’est-ce que j’en ai à foutre, ce sera quelqu’un que je ne reverrais jamais. Lui prouver que je peux le faire…
– Bon j’y vais !
Je dégringole les marches comme une dingue, je traverse le hall comme une fusée, j’entrouvre la porte de l’immeuble, je jette la culotte au dehors, je remonte aussi sec, je suis en nage, je suis à l’affût du moindre bruit, pour l’instant tout va bien. La porte ! Horreur ! Elle l’a refermée ! Non mais c’est quoi, ce cirque ? Faudrait pas que ça devienne une habitude ces petites conneries sur le palier (voir le numéro 2). Je tambourine ! Pas de réponse ! Non, mais elle ne va pas me laisser toute seule à poil dans l’escalier. Je frappe encore, je frappe plus fort ! Et puis je me dis que c’est idiot, elle joue, elle sait très bien que je suis là ! Et puis si je me mets à tambouriner, je vais ameuter le voisinage, ce n’est pas ce qu’il y a de plus intelligent à faire. J’attends, mon cœur bat la chamade ! Ça fait cinq minutes que je suis là nue comme une grenouille. Et je vous assure que c’est long 5 minutes dans des conditions pareilles. Ne pas craquer, surtout ne pas craquer ! l’attente est interminable !
Enfin la porte s’ouvre !
J’ai dû la bousculer pour entrer encore plus vite. Elle a l’intelligence de ne pas s’en offusquer.
– Pardon maîtresse !
Je me retiens, j’ai peur que mes nerfs tombent. Elle change tout de suite de sujet :
– Bon, alors qu’est-ce que tu m’as apporté comme bouquin ?
– Les » Fleurs du mal »
– Tu ne t’es pas trop cassée, je vois !
– J’ai pris le premier qui venait !
– Tout à l’heure, toi aussi tu vas prendre le premier coup qui va venir… Dans ce bouquin, est ce qu’il y a des poèmes que tu aimerais apprendre par cœur ?
– Oh ! Mais j’en connais déjà plusieurs, maîtresse !
Clac !
Et une gifle ! Une ! Il y avait longtemps ! Je me disais aussi !
– Dis donc, petite nullité, je ne t’ai pas demandé de répondre à côté de la question !
– Oh ! Pardon maîtresse ! Mais je n’ai pas dû bien comprendre !
– Je veux que tu en apprennes un par cœur, là tout de suite, un que tu ne connais pas encore. Allez, je te laisse choisir !
Mais c’est quoi de cirque ? Je n’y comprends rien. Il est où le fantasme derrière cet ordre absurde ?
– Il faut que je choisisse un poème et que je l’apprenne par cœur, c’est cela ?
– C’est exactement cela !
– Bon, d’accord !
– Et tu as choisi quoi ?
– Pourquoi pas les » Métamorphoses du Vampire » ?
– Hum, fait voir que je le lise d’abord !
Elle le lut assez vite.
– C’est bizarre ton truc, mais ça me plait bien, tu as fait un bon choix. Maintenant tu vas te foutre au coin et tu as dix minutes pour le savoir par cœur, et sinon ça va barder !
C’était donc cela !
– Et interdiction de te retourner ! Me précise mon imprévisible maîtresse. Allez apprendre un poème en dix minutes, vous ? Je ne dis pas que c’est impossible, faut voir ce que certains acteurs de théâtre arrivent à s’ingurgiter, mais bon, faut quand même un certain entraînement…
– Retourne-toi !
Déjà dix minutes ? C’est passé trop vite ! Evidemment je ne suis pas prête ! Mais ça, ça fait partie du jeu. Je le sais très bien… mais…
– Oh !
Je ne peux m’empêcher de rigoler. Carole s’est changée pendant que j’essayais de mémoriser cette foutue poésie. Un tailleur très chic, un chemisier blanc boutonné jusqu’au col, d’épaisses lunettes en écailles, les cheveux relevés en un chignon par ailleurs assez approximatif. Elle tient une règle à la main, une règle très basique, très scolaire, en bois, carré, d’environ 50 cm de long.
– Récite !
– Je ne suis pas prête !
– Récite !
– » La femme cependant de sa bouche de fraise – En se tordant ainsi qu’un serpent sur la braise – Et pétrissant ses seins tout imprégnés…
– Stop ! Tu mélange tout !
– Oui, je recommence !
– Donne-moi tes doigts… non pas comme ça… Tu réunis tous les bouts de tes doigts… voilà !
Et shlack ! Un coup de règle carrée !
– L’autre main !
– Whaah ! Ça fait vachement mal ce truc-là !
– Ah ! Tu trouves ? Mais c’est peut-être un peu normal, c’est à la domination que nous sommes en train de jouer, pas au scrabble !
Je tendis la main, ce truc ne me disait rien qui vaille, mais puisque ça faisait partie du jeu…
– Allez ! Deuxième tentative !
– Je ne suis pas prête, Carole !
– Je ne suis pas prête, qui ça ?
– Je ne suis pas prête, Maîtresse !
– Récite !
– » La femme cependant de sa bouche de fraise – En se tordant ainsi qu’un serpent qui la baise…
J’avais pris cette fois le parti de carrément la provoquer, c’était plus fort que moi !
– Rhabille-toi et fous le camp !
– Non ! Maîtresse ! Vous voyez, je ne suis pas sage, j’ai vraiment besoin d’être dressée !
Clac !
La gifle dut magistrale ! Une larme perla au coin de mes yeux !
– La prochaine fois tu y réfléchiras à deux fois avant de te foutre de ma gueule. Maintenant, redonne-moi tes doigts, je vais te donner dix coups sur chaque main
– Non !
– On dit : » Oui, maîtresse » !
Je lui tendis mes mains. Carole frappait avec un sourire sadique, après les dix coups j’avais les doigts complètement engourdis. Elle me tendit alors la règle. Je la pris, interloquée sans savoir ce que je devais faire de cet objet. Devrais-je à mon tour lui taper sur les doigts ?
– Tu la pose par terre, et tu vas t’agenouiller dessus, et tu vas continuer à apprendre ton poème.
Ah Bon ? C’est tout ? Oui c’est tout ! Mais je conseille à ceux qui ne connaissent pas cette petite plaisanterie d’essayer ! Le faire sans poser les mains au sol est d’ailleurs pratiquement impossible ! Carrément l’enfer ! C’est inconfortable comme ce n’est pas permis, cette saloperie de règle marque les chairs du poids de notre corps. J’ignore combien de temps elle me fit rester dans cette position, toujours est-il que d’une part cette poésie me semblait apprise et qu’autre part j’en avais ma claque !
– Récite !
Un jeu est un jeu. Je me doutais bien que même si je faisais une erreur, elle trouverait quand même à redire. Je récitais…
– Tu as fait trois fautes !
C’était peut-être vrai ! C’était peut-être faux ! Comment savoir ? Carole m’ordonna alors de coucher mon buste sur la table, puis d’écarter un peu les jambes de telle façon que mes fesses soient bien dégagées. Le premier coup de règle carré me surprit, le contact avec la peau n’a rien à voir avec celui d’un martinet ou d’un autre instrument de flagellation. Non ça n’a rien à voir, il s’agit d’un coup sourd, moins sec, moins cinglant, mais peut-être plus frappant. Le coup en lui-même porté avec une force moyenne n’est pas bien terrible, c’est sa répétition et ses accumulations qui sont les vraies sources de la douleur. D’ailleurs au bout d’une cinquantaine de tapes, Carole eut l’extrême fantaisie d’apporter un miroir. Je ne me souviens pas avoir eu un jour les fesses aussi rouges !
– Récite !
Une nouvelle fois, je récitais ce poème, essayant de m’imaginer quelle sorte de punition m’infligerait encore l’esprit pervers de ma diabolique maîtresse !
– Tu vois quand tu veux ! Je n’en peux plus, moi ! Déshabille-moi ! Déshabille ta maîtresse !
Je ne me le fis pas dire deux fois, je lui retirais alors sa veste de tailleur, puis sa jupe, le chemisier…
– Maintenant ; à chaque pièce de vêtement que tu vas m’enlever, je veux que tu m’embrasses !
Oh ! la la ! Que ce n’est pas du tout un problème ! Je l’embrassais sur le ventre, sur le cou, dans le dos, sur les bras. Dégrafant les bas du porte-jarretelles, lui embrassant les cuisses, les mollets, puis le pied, allant même jusqu’à me permettre de lui sucer un peu l’orteil. J’enlevais ensuite le soutien-gorge et lui embrassait les seins.
– Et Joy de sa bouche de fraise…
– Si tu me vampirise, gare à toi ! Répondit-elle amusée.
Je me prenais d’une telle frénésie en suçant ses tétons que j’en oubliais le reste.
– Finis de me déshabiller, Joy !
Oh ! Que oui je vais finir, je retire le porte jarretelles, puis la culotte puisqu’elle en a mis une, j’embrasse bien sûr ses jolies fesses bien galbées. Je pense d’abord ne pas trop m’attarder par ici, mais je me ravise. Ce petit trou brun et plissé me tente de trop et je ne résiste pas au plaisir d’y fourrer ma langue. Il s’ouvre légèrement à ce contact humide. Le goût est particulier, en fait ça sent la merde, mais je suis dans un tel état que ça ne le dérange pas.
– Vas-y met un doigt dans mon cul !
En fait je suis contente qu’elle me le demande, le doigt s’enfonce, je le fais aller et venir, puis il faut bien le ressortir, pas trop propre.
– Il est comment ce doigt ?
– Il est un peu sale, maîtresse. Dois-je le lécher pour le nettoyer !
– Bien sûr ! Lèche la bonne merde de ta maîtresse !
Je le lèche comme si j’avais fait ça toute ma vie, En fait, ce n’était pas la première fois que je me livrais à ce genre de choses et j’avais pu constater que le goût n’a vraiment rien d’abominable, et puis c’est tellement pervers !
Putain ! Je n’en peux plus ! Mais qui va s’occuper un peu de moi ? Juste un peu ? Carole a pivoté, offrant son sexe à ma bouche. Elle s’assoit carrément sur la table, je trempe ma langue dans son humidité, ça coule de partout, j’adore ce goût très légèrement sucré du plaisir féminin qui se répand. Je joue un peu à lui sucer la chatte m’enivrant de son odeur. Déjà sa respiration se saccade, je lui porte alors l’estocade, mettant en contact le piercing de ma langue avec son clitoris. Elle explose, bruyamment comme d’habitude ! Ah ! Ce sourire lorsqu’elle reprend ses esprits ! Rien que ce sourire valait la peine de venir ici !
Alors Carole me prit par la main, et me conduisit vers le beau mâle toujours attaché. Et tandis que ma maîtresse le délivrait, j’enfournais enfin son merveilleux sexe dans ma bouche, me régalant de la texture de cette peau si douce, de cette raideur pleine de promesse. Et puis soudain je n’y tins plus. Après tout, elle me devait bien cela la Carole. Fermement je lui demandais :
– Je veux qu’il me prenne !
– On va s’occuper de toi tous les deux ! Répondit alors Carole. Et toujours le même sourire. Mon dieu, elle va me faire fondre celle-ci !
Elle me fit installer sur la table, sur le dos, me fit relever les jambes, tout en les écartant un peu, et tandis que ma maîtresse approchait sa bouche de ma chatte, le sexe de l’homme noir prenait délicatement le chemin de mon intimité la plus étroite…
FIN DE L’EPISODE
Eddy Stokien – Le Cap d’Agde – 8/2001 Première publication sur Vassilia, le 02/09/2001
Bravo Eddy 😉
De la domination « made in Eddy ». Ça change d’autant que le scénario (on devrait dire le jeu de rôle) est assez bien vu. En tout cas, moi, ça m’a émoustillée
C’est qui Joy ?
Une ancienne collaboratrice du site qui habitait au Quebec 😉