Avertissement : ce texte est « une mise en plume », c’est à dire que je l’ai écrit à partir d’un plan détaillé que m’a fourni Arnaud. J’ai accepté, retrouvant là-dedans, nombre de mes fantasmes, ainsi que d’autres…
On m’avait donné l’adresse de ce petit restaurant situé sur la route quelques kilomètres avant Anvers. Il faut toujours se méfier de ce que l’on raconte. Certains ayant vécu des trucs suite à des circonstances exceptionnelles ont vite tendance à généraliser. Mais bon, je passais par-là, autant aller voir !
Une soubrette me demande mon choix. Jolie petite poitrine, assez piquante, la tenue est assez limite pour un restaurant « tout public ». Le décolleté s’arrête le plus bas possible, s’il descendait encore, on verrait les tétons… Quant à la jupette, c’est du mini de chez mini. Les yeux sont d’un bleu assez exceptionnel, tout cela relevé par un maquillage savant et sans aucune outrance. Un vrai plaisir des yeux.. Elle à la voix très suave, quoiqu’un peu rocailleuse. Encore une qui doit fumer ses trente clopes par jour, on ne peut pas être parfait ! Elle se présente, elle s’appelle Lydia.
Je commande une moule frite et une bonne pinte de bière.
Je déguste tout cela, c’est bon, c’est appétissant sans toutefois être exceptionnel. Je me demande néanmoins quand va venir le temps de la sollicitation. En attendant, je jette un regard circulaire, il y a peu de client, une quinzaine sans doute, que des hommes à l’exception de deux couples. Il y a une autre serveuse. Elle me flashe encore plus que la précédente. Faut dire que j’ai des goûts un peu spéciaux. Un grand machin d’un mètre soixante quinze, légèrement carré, blonde vénitienne bronzée. Sa tenue laissait ses épaules et une partie de son dos dénudé, je m’aperçus alors qu’il était constellé de tâches rousses. J’adore ! Quant aux formes ? Mon dieu !! Le visage est peut-être moins agréable que celui de sa camarade, mais que voulez-vous, elle m’excite davantage. J’appris un peu plus tard qu’elle se nommait Greta !
J’attends qu’on vienne me proposer un dessert. Cette maison n’a pas l’air d’être la reine de l’organisation. J’attends. J’attends et pour tromper mon attente, je décidais de faire un petit pipi. Les toilettes sont sur le chemin des cuisines. C’est assez mal éclairé et j’ai laissé mes lunettes sur la table. Les deux urinoirs sont occupés, aucune importance, je pisserais dans la cabine. Mais je rêve ou quoi ? Comment ais-je fait pour ne pas voir du premier coup d’œil ce qui se passait ?
Un type est en train de pisser et à côté de lui, il y a Greta qui lui raconte je ne sais pas quoi, et la main de cette dernière est sans ambiguïté sur le sexe du monsieur. Alors là ! Je n’en reviens pas ! Je me demande s’il est autorisé de faire le voyeur dans cet établissement, donc je ne bouge pas. J’ai alors droit à un magnifique sourire de Greta Je ne sais plus où me foutre ! J’ai dû rougir ! Elle a retiré sa main du membre de l’homme. J’espère ne pas les avoir interrompus et je me dirige vers la cabine. J’ai alors l’idée de ne pas la verrouiller, pressentant qu’il pourrait peut-être se passer quelque chose. Je me débraguette, et ça ne rate pas, la porte s’ouvre…
– Je peux entrer ?
C’est complètement surréaliste !
– Bien sûr !
Elle rentre, et me fout carrément la main à la bite. Avoir cette beauté à quelques centimètres de mes yeux me transportait dans un état second.
– Hum, c’est mignon, tout ça !
Je ne sais pas si c’est mignon, mais ça bande instantanément. Je crois alors qu’elle va me masturber, mais elle se contente de me tripoter quelques secondes.
– Je passe à 13 h 20 ! Tu viendras me voir ?
– Oui !
J’ai répondu « Oui », mais je ne sais même pas de quoi il s’agit ! Greta a disparu, je peux à présent pisser en paix puis retourner à ma place !
Pas étonnant que le service soit si long, ces dames ne peuvent pas être partout !
J’ai enfin eu droit à mon dessert. Il est tout de même extraordinaire de constater la pauvreté de la carte des desserts dans ce genre d’endroits. Même pas la possibilité de bouffer une simple poire. Je bouffe d’un air maussade une crème caramel de série Z. Il est 13 heures et des brouettes !
C’est alors que Lydia s’approche de moi !
– Ça va ? Bien mangé ?
– Ça va !!
– Vous désirez autre chose ?
– Que proposez-vous ?
– Un café, un alcool, un cigare, un câlin ?
– Un câlin ?
– Oui, un câlin avec moi ?
– Et ça consiste ?
– C’est un petit strip-tease qui dure dix minutes. Vous allez pouvoir me voir à poil !
– Juste un strip-tease ?
– Oui !
Je suis un peu déçu, du coup, je me demande si je vais accepter.
– Ce n’est pas un câlin, alors ?
– Si, c’est un câlin pour les yeux, et puis vous avez le droit de vous masturber pendant la séance. Je passe à 13 h 30. Mais si vous préférez voir Greta, elle va passer tout de suite à 13 h 20 !
A l’évocation du nom de Greta, je change tout de suite d’avis. Elle m’indique qu’il faut prendre un ticket à la caisse en même temps que je m’acquitterais de l’addition de mon repas.
Nous sommes quatre à vouloir assister au spectacle de Greta, ce n’est pas énorme, mais qu’importe ? La prestation a lieu dans une petite salle sans siège et faiblement éclairée.
– Bonjour les mecs, je vais vous dévoiler tous mes charmes, mais attention, je ne le ferais que si vous vous branlez devant moi. Alors je vais vous demander de baisser vos pantalons, vos slips et vos caleçons et je commence !
Mon voisin de gauche s’exécute, je l’imite les autres aussi. La sono nous crache une musique très piano-bar et Greta tournicote à son rythme, envoyant prestement valser le tablier, puis la jupe, puis le petit haut. Au bout de deux minutes, elle est déjà en sous-vêtements. Comme Lydia passe à 13 h 30, ça veut dire qu’il reste huit minutes. Ça me paraît bien expéditif, ce truc !
Viens alors le sacro-saint moment où elle va retirer ses bas. Elle met un temps infini à exécuter cette action qui ne m’émeut pas plus que ça ! Ça y est, il ne reste plus que le slip et le soutien-gorge et… 5 minutes au « grand maximum ».
Je me masturbais jusqu’à présent que mollement, pour ne pas dire symboliquement, mais la vue de sa superbe poitrine maintenant libérée me remotiva sérieusement.
Il se passa alors quelque chose d’étrange, mon voisin de gauche qui bandait lui aussi joliment effectua un quart de tour sur lui-même, dirigeant son sexe vers moi. Il ne dit rien, il regarde son sexe, il regarde le mien, il me regarde. J’avoue ne pas bien comprendre. Il tend timidement une main vers ma bite. Je le laisse faire. Me voici en train de me faire branler par un mec. Ça ne me dérange pas plus que ça ! Greta s’approche alors de moi, m’attrape la main et la dirige vers le sexe du gars. Ah, bon ! On va faire dans la masturbation réciproque ! Pourquoi pas ? La situation, je l’avoue, m’excite. Il reste moins d’une minute et Greta est toujours en slip. Elle joue avec ses fesses toutes rebondies, toutes excitantes. C’est quand même super mignon une paire de fesses avec des taches de rousseurs ? Non ? Et puis… Zlouf ! Elle enlève le slip, écarte les jambes libérant devant le public ébahi une fort jolie quéquette ! Elle salue l’assistance. Nous sommes trois à applaudir, la quatrième quitte la salle en bougonnant.
– Voilà, merci Messieurs, ceux qui veulent assister au show de Lydia doivent reprendre un ticket à la caisse !
C’est ce qui s’appelle rester sur sa faim ! Je me reculotte.
– Attendez, tous les deux !
Attendre quoi ? Greta s’approche de moi et de mon voisin masturbateur :
– Si vous le désirez, on peut se faire quelque chose de plus sérieux tous les trois ! Ça vous dirait ?
Bien sûr que ça me dit, j’espère simplement qu’il ne s’agit pas d’un attrape gogo… L’autre est partant aussi. On nous explique qu’il faut aller acheter un ticket « rose » à la caisse.
– Un ticket rose, s’il vous plait ?
– Avec Greta ou avec Lydia ?
Du coup je vais satisfaire ma curiosité :
– Euh ! Lydia, c’est aussi un travesti ?
– Désolé, je ne vous le dirais pas, me répond la grosse gérante, il faut aller voir son show pour le savoir.
– Bon ! Alors un ticket avec Greta !
– Ok ! Ce sera pour 16 heures !
– 16 heures ! Pas avant ?
– Avant, elle est occupée !
Je jette un regard interrogatif à mon acolyte, ça ne le gêne pas, je donne donc mon accord.
– Mais qu’est-ce qu’on va faire en attendant ?
– Allez faire un tour, ou alors restez ici, il s’y passe parfois des choses amusantes l’après-midi ! Et pour Monsieur ?
– Un ticket rose également avec Greta ! Répond mon complice.
– Ce sera donc à 16 h 30 !
– Non, 16 heures, elle nous prend en même temps !
– Ah ! D’accord ! Remarquez tant que vous y êtes, Lydia est libre à 16 heures ! Vous ne voulez pas faire un truc à quatre ?
– Pourquoi-pas ? Si Monsieur est d’accord ? Répondit-il en se tournant vers moi…
Le type se présente, il se prénomme Vincent, il n’est pas véritablement un habitué des lieux, mais il connaît un peu, il est déjà venu…
– Alors, tu sais pour Lydia ?
– Non, les filles tournent pas mal ici, elles viennent d’Anvers. Souvent il y a un travesti et une fille, mais ça n’a rien de systématique.
– On fait quoi en attendant ?
Je jette un coup d’œil dans la salle, il reste six hommes seuls, attablés, ils ont fini de déjeuner et attendent probablement leur tour devant une choppe de bière. Il reste aussi l’un des deux couples.
– Il y a un billard au premier, sinon on peut jouer au flipper… mais je me demande… me répond Vincent… Viens avec moi et laisse-moi faire, je suis presque sûr de mon coup.
Je le suis, intrigué, il s’approche de la table du couple, ils ont la quarantaine passée tous les deux. Monsieur est plutôt quelconque, chauve et légèrement bedonnant, mais comme on dit, il a une bonne bouille. Madame est une grande blonde habillée assez classique et coiffé à la Greta Garbo ! Elle a, ma foi, de forts jolis restes.
– Le truc c’est de ne surtout pas passer pour des voyous ou des détraqués, il faut faire sympa ! Me chuchote Vincent.
On est maintenant tout près d’eux :
– Bonjour je m’appelle Vincent
Ces braves gens nous accueillent avec le sourire, mais n’en décroche pas une.
– Vous attendez quelque chose ?
– A vrai dire, non ! C’est bien calme cet après-midi ! On va partir, on reviendra peut-être ce soir !
Vincent ne répond pas, mais se place à côté de l’homme en se mettant ostensiblement la main sur la braguette et en se la frottant de façon assez suggestive. Il fallait voir le regard du type ! Tout cela ne dura que quelques instants. Et puis il effectue un petit mouvement de hanche pour rapprocher l’accès de son entre jambe de la chaise de l’homme qu’il est venu importuner. Celui-ci, les yeux troubles, la bouche sèche, se lance et touche la braguette de Vincent, lequel lui rend la politesse en touchant à son tour à son centre stratégique. Et c’est tout !
– On vous laisse, on va aux toilettes ! Allez viens, toi ! Me dit-il en me donnant une grande tape sur les fesses.
On arrive aux toilettes.
– Normalement, ils devraient débouler, tu prends l’homme ou la femme ?
– La femme si j’ai le choix !
– No problems ! On invertira peut-être si on a le temps, sort ta queue et branle-toi, façon décontractée, ils ne devraient plus tarder !
Putain, que cette situation peut être excitante, on est là tous les deux en train de se masturber devant les urinoirs de ce très curieux restaurant.
– On va se branler mutuellement, ça les excitera encore davantage. Ils devraient être là, je ne sais pas ce qu’ils fabriquent ?
C’est Madame qui arrive la première. Elle est écarlate.
– Charmant spectacle, n’est-ce pas Hubert ? Dit-elle à l’adresse de son mari qui la suivait immédiatement.
Mais déjà Vincent a collé sa main sur le pantalon du dénommé Hubert qu’il entreprend de débraguetter, le vêtement tombe par terre avec un petit bruit étouffé, suivit du caleçon.
– Oh ! Jolie bite ! Dira Vincent qui la masturbe quelques instants et qui se la fourre ensuite carrément dans la bouche.
Le manque de place se fait cruellement sentir. Madame s’en va dans la cabine, qu’elle laisse bien sûr ouverte, et comme si elle s’apprêtait à pisser, elle soulève sa jupe, baisse sa culotte et s’installe sur le siège. Elle a la chatte rasée avec un petit tatouage représentant une petite fleur. C’est trop mignon ! Je m’accroupis devant elle et commence à lécher.
– Vous pouvez me sucer, mais autant vous prévenir tout de suite, j’ai réellement envie de pisser !
– Ce n’est pas un problème, tout le plaisir sera pour moi !
Je la lèche. Sa chatte est délicieuse, une odeur un tout petit peu forte, mais bien agréable. Ma langue explore tout ce qu’elle peut explorer, je lui sucerais bien le trou du cul, mais la position n’est pas adaptée !
– Arrêtez un instant, s’il vous plaît !
Ce vouvoiement est insolite, je me recule un peu, je comprends qu’elle « pousse » afin de libérer son envie de pipi. Et puis ça y est, une goutte, un petit jet. Je plonge mon visage, j’en avale un petit peu, j’adore ça ! Je ne peux toutefois pas tout boire, je me recule pour laisser le liquide s’écouler, puis je vais pour reprendre…
– Donnez-moi donc votre bite, je vais m’occuper de ma chatte toute seule !
Ah, bon ? Ce n’est pas un problème ! Je me relève donc et viens près d’elle. Elle a ce geste qui peut paraître inopportun dans une telle situation, mais que je trouve pour ma part parfaitement normal, de vérifier l’état de salubrité de mon membre viril. Rassurée, elle me le gobe. Et tandis qu’elle me besogne, j’assiste à cet incroyable spectacle : Monsieur Hubert est plié en deux devant la cabine et se fait proprement sodomiser par Vincent qui s’excite en parlant :
– Ça te plait de te faire enculer par une bonne bite pendant que ta femme taille une pipe ? Hein ? Hein mon salaud ?
– Oh ! Mais c’est très excitant, une fois !
– Et toi la salope, ça te plait de sucer une queue pendant que ton pédé de mari se fait mettre une pine au cul ?
C’est alors que j’entends cette incroyable réplique :
– Ne me traitez pas de salope ! Vous pourrez le faire quand vous m’aurez sauté, et ce n’est pas demain la veille ! Continuez donc ce que vous faisiez en silence, j’ai besoin de concentration !
Vexé, le Vincent ! Il ne le montrera toutefois pas, et déchargera en silence dans le fondement d’Hubert. Quelques instants plus tard, j’en faisais de même dans la bouche de Madame. Elle eut alors ce geste rare, de retirer quelques gouttes de sperme de sa bouche pour de ses doigts les porter à sa chatte et finir de se masturber ainsi !
– Venez ! Me dit la femme en sortant de la toilette.
Elle ne s’adresse qu’à moi, pas à Vincent ! Elle me file sa carte.
– Voilà, je me prénomme Florence, si un jour vous repassez à Anvers, venez donc nous… comment dites-vous dans votre langage… nous enculer ? C’est bien ça ?
– Ce sera avec grand plaisir, Madame !
Il est 16 heures ! C’est Greta qui vient nous chercher, et elle nous emmène dans une petite chambre, avec (heureusement) un grand lit. Tout le monde se met à poil ce qui me permet de constater que Lydia est bel et bien une femme. Je ne me lasse pas d’admirer ces deux magnifiques créatures. Je me demande laquelle je préfère. Sans doute Greta, malgré tout. Cette ambiguïté est si troublante !
– Bon, ce n’est pas évident de faire un truc à quatre ! Nous prévient d’emblée Lydia. On va faire de notre mieux. Le plus simple serait sans doute de vous dominer. De la domination soft, vous êtes d’accord ?
– C’est à dire ?
– C’est à dire qu’on vous donne des ordres, des instructions si vous préférez, et vous les exécutez sans broncher, comme si c’était un jeu.
Ça me paraît bizarre, son truc, mais cela convient fort bien à Vincent, je m’incline donc :
C’est Greta qui commence à ordonner :
– On va commencer par continuer ce que vous n’aviez pu finir tout à l’heure pendant le strip. Branlez-vous mutuellement la bite ! Je veux les voir bien raides !
C’est donc la troisième branlette réciproque de la journée. Je vais finir par devenir un spécialiste !
– Hum ! Faite voir ça ! Intervint Lydia. Pas mal ! C’est bien raide, mais ça ne vaut pas celle de Greta ! Allez donc la sucer !
Whaah ! Le pied ! On se positionne de part et d’autre de la bite du travelo et on le suce, on le lèche. Ce n’est pas forcément très pratique, alors au lieu de faire du simultané, on se la refile à tour de rôle. Elle ne tarde pas à bander magnifiquement. Tout à l’heure, pendant le strip, elle pendouillait, là elle se redresse avec fierté, elle nous nargue ! J’en veux encore, j’en redemande, j’en reprends, je ne me lasse pas de sucer une aussi belle chose !
– Tu es trop gourmand, me dit Lydia, laisse-en un peu pour ton copain, tu va aller maintenant le sucer derrière !
J’aime moins ça, c’est très clair ! Mais ça a son charme, je m’amuse à fureter de la langue dans son trou du cul au goût légèrement âcre malgré qu’il soit propre !
– Allez ! Caressez-le partout! Embrassez-le !
On ne se le fait pas dire deux fois, Vincent et moi le recouvrons littéralement de baisers, les cuisses, le ventre, les seins bien sûr, sa magnifique poitrine et ses gros tétons marrons.
On essaye diverses positions, après nous être occupés de Greta, nous nous sommes occupés de Lydia, lui léchant à tour de rôle les seins, la chatte, le cul. Hélas le temps passe bien trop vite !
– Mettez-vous à genoux tous les deux, relevez vos fesses et ouvrez votre trou du cul, vous allez voir ce que vous allez voir !
– C’est que… j’aurais préféré… tente d’intervenir Vincent.
– Qu’est-ce que tu as à rouspéter, toi, tu étais d’accord pour que l’on fasse ça en domination, alors tu ne discutes pas et tu ouvres ton cul mieux que ça et d’ailleurs on va commencer par toi !
Avant qu’il ait le temps de dire ouf, Greta lui enduit le trou du cul de gel lubrifiant, puis ayant revêtue une capote le pénétra assez brutalement provoquant un cri de Vincent que les pilonnages du travesti transformèrent bientôt en râle de satisfaction !
J’attends, anxieux, mon tour, il vint vite. A l’instar de Vincent, la pénétration me fit mal, puis tout se calma et je succombais au charme de cette perverse pratique.
La conclusion approchait, hélas ! Lydia choisit de me chevaucher – ça tombe bien, j’adore cette position, ce n’est pas vraiment fatigant – tandis que Greta faisait jouir Vincent dans sa bouche d’une fellation experte.
Je quitte ce restaurant, fourbu mais content. Arrivé à ma voiture, je range un peu mes affaires. Je regarde le carton que m’a refilé Florence. Pourquoi pas ?
– Allô, Florence !
– Oui
– C’est Arnaud, euh, une idée comme ça, si je passais ce soir ?
– Mais c’est une excellente idée, cher ami, passez donc, passez donc !
Quelle journée !
© Boris Vasslan – Alençon Août 2001
Belle histoire ! Pourquoi ne pas écrire uue suite ?
Une suite 20 ans après ? Remarque pourquoi pas, mais il me faudrait une trame !
Pourquoi pas une situation d’inceste, on va dire par exemple que Hubert et Florence ont un garçon et une fille (majeurs bien sûr) ett qu’ils baisent tous ensemble…
T’es un sacré coquine quoi (ou une sacrée coquine, je ne connais pas ton sexe) L’idée me plait bien, je vais m’y mettre, mais patience…
Merci de ce retour
J’attend donc cette suite 😉
Les histoires d’inceste me font mouiller
Je suis une fille très coquine
Bises ♥♥♥
et voilà, je l’ai écrite
http://wp.vassilia.net/histoires/les-libertins-danvers-par-boris-vasslan
Sucer des bonnes bites bien raides et se faire enculer comme une salope, il n’y a rien de meilleur
Cette aventure est véritablement délicieuse, la montée de l’excitation est parfaitement maîtrisée, c’est vraiment très bandant et d’ailleurs je bande