Radio Fantasme, petit délire radiophonique par Jean-Sébastien Tiroir

Radio Fantasme, petit délire radiophonique
par Jean-Sébastien Tiroir

Nous sommes dans les locaux de Super Sexy Interdit FM. Il est 2 heures du matin et les studios sont pratiquement déserts. Jean-Sébastien Tiroir et Cathy Roflan, sa pulpeuse collaboratrice sont prêts à prendre l’antenne

– Bonne nuit à tous et à toutes ! Ici Monsieur Tiroir votre animateur préféré, assisté de la voluptueuse Cathy et de son 95 D ! Et bienvenue dans notre émission favorite  » Radio Fantasmes  » Cathy quel va être le thème de ce soir ?

– Le thème d’aujourd’hui sera :  » L’amour dans des lieux insolites  »

– Tout un programme ! Je vous répète la règle, il ne faut pas improviser mais lire un petit texte que vous avez écrit vous-même et comme on est à la radio vous avez même le droit de faire des fautes d’orthographes, personne ne les verra ! Allons-y, et j’espère qu’aujourd’hui nous aurons des filles!

– Allô !
– Bonne nuit Jean-Sébastien !
– Vas-y raconte-nous ton fantasme !

– J’étais dans un camping fin juillet à Anglet ou il m’est arrivé une aventure peu commune. Ma femme me dit un soir d’aller laver la vaisselle au sanitaire. « – Ok pas de problème chérie ! » J’avais presque terminé quand tout à coup une superbe fille rentra dans les sanitaires, elle me regarda, et m’indiqua de la suivre d’un clin d’œil, ce que je fis. Elle m’attira dans une douche non loin, et mit directement sa main sur mon sexe. Elle enleva mon caleçon et pris ma queue dans sa bouche, jamais, je n’avais été sucé comme ça. Sa langue passait sur mon gland et me faisait frémir. Je n’en pouvais plus, je lui ai dit que j’allais jouir et qu’il fallait qu’elle se retire, elle insista pour que j’éjacule dans sa bouche. Je me suis laissé aller et lui ai envoyé quelques giclées qu’elle avala goulûment.

– C’est pas mal ! Tu as quelque chose à rajouter ?
– Oui il y a une morale à cette histoire !
– Une morale ? Ah bon laquelle ?
– Les femmes ! Continuez de faire la vaisselle !

– Rigolo va ! Vous pouvez voter pour cette histoire elle s’appelle le camping. Allez, on enchaîne…

– Allô Monsieur Tiroir!
– Vas y

– Je me souviens d’une fellation que ma femme m’a pratiquée dans la voiture tandis que nous roulions sur une petite route pour rentrer chez nous, un soir, il n’y a pas très longtemps.
Je roulais (très) doucement pour apprécier pleinement cette caresse buccale pour laquelle ma femme se laissait guider par les sursauts de la voiture sur la route cahoteuse.
Et me souviens surtout qu’en traversant un village, j’ai dû m’arrêter à un stop où un piéton indiquait sa route à un cycliste. Ce dernier se trouvait donc à notre droite et n’a manqué de voir à quoi était occupée mon épouse (qui, elle, n’a rien vu !). J’ai redémarré rapidement, non sans voir dans le rétro l’air interloqué du cycliste qui commençait à raconter au piéton ce qu’il venait de voir.
Ma femme a continué ses caresses et n’a pas tardé à me faire jouir. Génial !

– M’ouai, on va appeler ça la voiture, donc vous pouvez voter pour la voiture ou pour le camping, on en prend une autre !

– Allô Jean-Sébastien !
– Vas-y

– Tiens, mézigue j’ai eu une expérience dans une rame de métro (à heure creuse, certes, mais quand même), la cochonne était assise en face de moi, à l’heure de Jacques Dutronc, et elle voyait bien que je matais ses jambes jusqu’a la limite de sa mini-jupe. Autant dire que je me contorsionnais un max pour voir la couleur de sa culotte. La dessus, elle a fini par se laisser aller à me montrer l’objet de ma convoitise… niet culotte ! Glups ! N’étant pas de marbre, mon pauvre jean a commencé à accuser une violente protubérance, la rame étant déserte, et souhaitant garder une certaine pudeur, je vous laisse imaginer la suite…

– C’est tout ?
– C’est tout !
– Et la suite ?
– Ben justement je vous la laisse imaginer !

– Ah bon, on a donc 3 histoires, le métro, la voiture, le camping et toujours pas de filles, on en prend une autre !

– Allô ! Cathy !
– Non c’est Jean-Sébastien !
– J’aurais voulu faire un bisou à Cathy
– Elle est partie faire pipi, Cathy, je lui transmettrais ; Vas-y

– C’était un dimanche après-midi, en plein été, il faisait une chaleur torride, et croyez-moi quand il fait chaud à Lyon, ça fait pas semblant. Je devais prendre le train à la Part-dieu pour rentrer sur Metz. Mais franchement, avant de partir j’avais envie de faire l’amour à ma copine.
Il me restait plus de 2 heures avant le départ, alors une petite balade dans le centre commercial était le mieux à faire. Je n’arrêtais pas de la titiller, de l’embrasser, de la tripoter, histoire de lui faire comprendre qu’elle allait prendre une bonne ramonée… Elle me dit qu’elle avait envie d’aller aux toilettes. Je l’ai suivie, les chiottes étaient désertes… Quelle bonne aubaine ! On y rentrait largement à deux !
Une fois nos vessies soulagées, il était logique qu’on passe à des choses plus sérieuses, donc un début en levrette, puis elle finit assise sur moi sur la cuvette… la chaleur était au top ! Bref ce petit jeu dura une petite demi-heure et fini dans une super jouissance.
En sortant des toilettes, ruisselants de sueur, on s’est aperçu qu’environ dix personnes attendaient devant la porte ! La gueule qu’ils faisaient nous a pliés de rire !

– Pas mal ! Je récapitule. On a donc la voiture, le camping, le métro et les toilettes, et toujours pas de nanas

Allez, un autre auditeur ! On vous écoute.

J’avais ce jour là, rendez-vous avec la responsable d’un chenil; car je devais livrer un dalmatien à une bourgeoise des beaux quartiers

Quand je suis arrivé, il n’y avait personne, j’ai remarqué la porte de ce qui devait être une arrière-salle, j’ai poussé la porte, et la un spectacle fantastique m’attendais : la responsable à poil et en levrette se faisait sodomiser par son dalmatien qui la bourrait en haletant et en faisant gigoter sa queue. J’étais ébahi par ce spectacle que l’on ne voit guère tous les jours

« Venez, jeune homme ! » M’a dit la responsable, je vais vous sucer la bite pendant que le chien m’encule.

– Eh bien elle est sévère, celle-ci ! On a donc la voiture, le camping, le métro, les toilettes et le chenil, et toujours pas de nanas

– Allô !
– Bonsoir Jean-Séb !
– Vas-y

Avec ma femme nous pratiquons l’échangisme, il y a quatre mois nous avons rencontré un jeune couple 19 et 20 ans. Nos deux femmes bi jusqu’au plus profond de leur âme se font souvent des câlins très intimes sous nos regards excités, un jour nous avons cédé à leur insistance : Les deux mecs devaient se faire de gros câlins voire beaucoup plus sinon on faisait ceinture ce soir-là.

Pendant que nous pratiquions un 69 torride (c’était ma première fois avec un homme et quelle excitation !!!!!) j’ai senti les doigts d’une des deux femmes me fouiller l’anus. J’ai demandé à mon jeune amant de me pénétrer. Sous ses assauts et les regards excités de ces deux chiennes, j’ai connu l’un de mes plus profonds orgasmes.

– A ben voilà qui change un peu, mais tu es hors sujet, c’était les endroits insolites ce soir.
– Ça se passait sur une falaise, et même que de temps en temps un gros hélicoptère venait nous survoler

– Bon vous allez pouvoir voter ! La voiture, les toilettes, le métro, le camping, le chenil ou l’hélicoptère. En attendant un peu de musique !

Jean-Sébastien souffla un peu, cette émission l’épuisait, mais c’était quelquefois amusant voir surprenant, Cathy lui communiqua les résultats du vote, l’hélicoptère arrivait bon dernier, c’était toujours pareil, dès que les fantasmes devenaient un peu particulier, c’était le rejet, il froissa le papier et le mit à la corbeille. Cathy attendit un moment et lui indiqua qu’il était temps de reprendre l’antenne

– Repasse un disque, on va les faire poiroter.
– Ça m’excite toutes ces conneries !
– A qui le dis-tu ! Allez viens, tu as trois minutes pour me sucer !
– Si on que trois minutes, je ne fais rien du tout !
– S’il te plait ?

Jean-Sébastien sorti son sexe de sa braguette et Cathy vint s’agenouiller, elle lui imprima quelques mouvements de masturbation avant de le lécher du bout de la langue, puis de l’engloutir dans sa bouche. Le disque finissait, il fallait vraiment reprendre l’antenne. Il avait envie de proclamer  » l’hélicoptère  » vainqueur, mais se ravisa, il fallait respecter un certain consensus, alors tandis que Cathy continuait de le pomper de plus belle il déclara :

– L’histoire qui a gagné ce soir c’est…. Je vous le donne en mille… C’est…  » le studio de radio !

Cathy abandonna sa pipe pour partir d’un fou rire nerveux, tandis que Jean-Sébastien recoupait précipitamment l’antenne.

© 2000 Jean-Sebastien Tiroir – Eté 2000.
monsieur_tiroir@hotmail.com

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6 réponses à Radio Fantasme, petit délire radiophonique par Jean-Sébastien Tiroir

  1. Keith dit :

    Je crois me souvenir qu’il y avait une émission un peu comme ça il y a une vingtaine d’années, c’était peut-être sur Sky Rock

  2. Landerneau dit :

    Et on s’amuse et on rigole…

  3. Breton dit :

    A défaut de bander, j’ai bien rigolé !

  4. jacquet dit :

    Merci pour cette partie de rigolade

  5. Fridor dit :

    A la manière de Jean Yanne !

  6. Orlando dit :

    Mieux travaillé, c’eut été parfait !

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