A 10 heures, Vanessa sonne chez le professeur Martinov. Elle ne sait pas trop dans quoi elle se lance, mais sait que si elle réussit, elle empochera une prime substantielle, et puis ce jeu l’amuse.
C’est Béatrice qui lui ouvre, les deux femmes se toisent quelques instants.
– Bonjour, je désirerais voir le professeur Martinov.
– Vous n’avez pas rendez-vous ?
– Non, mais je souhaiterais m’entretenir un court instant avec ce monsieur, c’est urgent et confidentiel.
– Une seconde, je vais voir s’il peut vous recevoir.
Béatrice informa donc le professeur qu’une « pétasse rousse » désirait le voir. S’il s’était agi d’un chauve à moustaches, il n’aurait peut-être pas accepté l’entretien, mais une « pétasse rousse », vous pensez bien…
On fit entrer Vanessa dans le petit bureau où nos deux chercheurs recevaient leurs visiteurs.
« Merde, la blondasse ne décolle pas, ça va foutre mes plans en l’air. » Fulmine Vanessa
– Euh, j’aurais souhaité m’entretenir de façon confidentielle avec monsieur Martinov…
– Pourquoi ? Je gêne ? Railla Béatrice.
– Béatrice est mon associée ! Crut devoir ajouter le professeur.
– C’est confidentiel ! Confirma Vanessa en éclairant son visage du plus beau de ses sourires.
Béatrice n’insiste pas et sort de la pièce.
– Bon, je vous laisse tous les deux ! Ne faites pas de bêtises !
Vanessa en profite pour déboutonner le haut de son chemisier. L’échancrure de son soutien-gorge est désormais bien visible. Martinov, qui n’est pas complètement fou, loin de là, flaire le chantage à la testostérone.
« Soyons sur nos gardes ! »
– Je serais directe, et je vais jouer cartes sur table. Je viens vous proposer un petit arrangement de vous à moi !
– Un arrangement de quoi ?
– Au sujet du drone !
« Oups ! »
Et c’est là que tout peut se jouer ! L’interlocuteur aurait été un chauve à moustaches (encore lui !) Martinov eut éconduit l’importun, éventuellement manu militari, oui mais voilà l’interlocutrice n’est pas un chauve à moustaches mais une superbe rousse à la poitrine aguichante. Donc plutôt que de la jeter, le professeur préfère attendre de savoir jusqu’où elle peut aller et en même temps profiter du spectacle ! On ne se refait pas surtout à cet âge !
– Mais concrètement ?
– C’est tout simple ! Je souhaite juste effectuer une petite vérification technique sur ce drone, ça ne prendra que deux minutes et après je m’en vais !
« C’est donc la complice du type qui a téléphoné vendredi ! C’est quoi cette salade ? »
Sauf qu’en l’occurrence, Martinov n’avait pas besoin de mentir.
– C’eut été avec grand plaisir, mais voyez-vous, l’objet n’est plus chez moi, je l’ai confié à un confrère pour des analyses complémentaires.
– Ah !
– Comme vous dites !
– Mais vous allez le récupérer ?
– Oui, mais je ne sais pas quand ?
« Ça se complique ! » Enrage la belle escort-girl.
– Je suppose qu’à priori, vous n’aurez pas convenance à me communiquer les coordonnées de votre confrère ?
– Vous supposez fort bien !
– Même en faisant un petit effort ? Parce que je peux être très gentille vous savez ?
Il commence à avoir chaud notre bon professeur. Très chaud !
– N’y pensez même pas !
– Si, si, j’y pense un peu quand même ! Parce que pour vous, quel serait le préjudice ? Hein ? Je ne vous vole rien, je vérifie juste un truc et on en reste là ! Ça vous plairait que je vous montre ma poitrine ?
– Mais vous n’êtes pas sage !
– Ah, vous avez remarqué ?
– Et vous croyez que je vais satisfaire à votre demande pour si peu ?
– Comment ça, « pour si peu » ? Vous êtes gonflé, vous ! Vous n’aimez pas les jolies poitrines ? Minaude-t-elle
– Si, si bien sûr ! Mais…
– Mais quoi, je vous demande un petit renseignement de rien du tout, en échange, je vous en fous plein la vue, c’est équitable, non ?
Martinov est déstabilisé, il se dit que ce qu’il aurait de mieux à faire serait de virer cette intrigante, il ne sait trop comment faire, mais tente d’improviser.
– Ecoutez mademoiselle, nous allons mettre fin à cet entretien…
– Vous ne savez pas ce que vous perdez !
– Si, mais dans la vie, il faut parfois faire des choix douloureux !
– Dans ce cas, vous n’avez pas fait le bon !
– Restons-en là !
– Et contre une pipe, vous me le donneriez le renseignement ?
– M’enfin ?
– Vous ne dites pas non !
Eh oui, le professeur Martinov ne dit pas non, mais pas uniquement pour des raisons dites lubriques, mais parce qu’il venait de naître en lui une idée qu’il n’aurait pas hésité à qualifier de géniale :
– Je vais vous laisser quelques secondes, je me renseigne auprès de mon confrère, je vais lui demander s’il peut consentir à vous recevoir.
– Mais je vous en prie, faites donc, cher ami !
Martinov rejoint Béatrice.
– Qu’est-ce qui se passe, t’es tout rouge, c’est la nana qui te fais cet effet-là ? Tu devrais faire attention à ta tension !
– J’ai une idée, je t’expliquerai tout à l’heure, je monte là-haut téléphoner à Romain, essaie d’occuper la fille pendant ce temps-là, j’ai pas trop confiance !
– Bien chef !
Béatrice toise Vanessa qui surprise de cette intrusion se reboutonne un peu son haut avec un petit sourire forcé.
– Fait chaud ici !
– Ah ! Vous trouvez !
« Jolie plante, mais elle devrait suivre un petit régime ! J’espère qu’elle n’est pas en train d’entortiller mon petit professeur ! »
– Le professeur vous prie de l’excuser, il doit téléphoner, je vous fais un café ?
– Volontiers, avec un nuage de lait, si vous avez !
– Mais bien sûr !
« Tu veux pas des croissants non plus pendant que tu y es ? »
Béatrice s’absente deux minutes, revient avec deux cafés et s’assoit devant Vanessa. Les deux femmes ne savent quoi se dire bien que Béa brûle de provoquer la jolie rousse.
– Ça se passe comme vous voulez avec le professeur Martinov ?
– Nous négocions ! Répond Vanessa.
– Je suis sûre que vous êtes une négociatrice redoutable !
– Redoutable, je n’en sais rien, mais disons que c’est mon métier, je fais du public-relations.
Béatrice ne peut s’empêcher d’éclater de rire.
– Excusez-moi, je ne voulais pas me moquer !
– On ne juge pas les gens sans les connaître, j’ai appris ça à l’école, ça m’est resté !
– Je ne vous juge pas !
– D’une certaine façon, si ! Et je ne souhaite pas continuer cette conversation qui ne sert à rien…
– Mais…
– Peut-être un jour aurons-nous l’occasion de négocier ensemble, je me ferais un plaisir de vous montrer ce que je suis capable de faire.
– Mais…
– Maintenant, racontez-moi ce que vous voulez, je ne vous répondrais plus. J’aimerais bien boire mon café tranquille. Ah, vous avez oublié le sucre !
Béatrice se retint de lui répondre une vacherie genre « t’as pas besoin de sucre, t’es assez grosse comme ça ! ». Elle estima inutile de provoquer un clash qui pourrait nuire à Martinov. Mais elle l’avait saumâtre
« Cette salope a réussi à me déstabiliser. Elle ne perd rien pour attendre. Quelque chose me dit que je devrais pas tarder à la croiser de nouveau, et là je n’aurais aucune raison de me retenir. »
Béatrice revient avec du sucre, puis elle s’assoit devant Vanessa, sort son téléphone portable et entame une partie de solitaire.
Vanessa se retient de lui envoyer une vanne afin de lui signifier qu’elle n’a pas besoin de chaperon, mais comme elle s’est promis de ne plus lui parler…
« Si je te retrouve, ma blondasse, on va bien se marrer ! »
Et elle aussi, sort son portable, c’est pratique les portables, ça permet de se donner une contenance.
Evidemment le lecteur se demande quand aura lieu cette confrontation qui menace d’être explosive ! Le lecteur devra patienter.
Pendant ce temps, Martinov patiente aussi, le portable de Romain Framboisert ne répondant pas, il essaie de le joindre à son travail sur son numéro professionnel, et là, sa secrétaire lui demande d’attendre cinq minutes…
– Ah, Martinov ! Excuse-moi, j’étais avec un client chiant. Je suppose que tu appelles pour le drone ? Je n’ai pas encore eu le temps de m’en occuper…
– Non, non, je ne suis pas si pressé, mais tu te demandais comment retrouver son propriétaire.
– Oui ?
– Ben j’ai peut-être une piste…
Et le professeur lui résume le coup de fil du faux Savourey, et la visite de la rousse.
– Hum ! Elle pourrait venir chez moi disons à 18 h 30 et je pourrais par exemple la faire suivre par Edith. Je vais peaufiner tout ça, dis-lui que c’est d’accord. Elle est comment la fille.
– Une jolie rousse, un tout petit peu dodue, non pas dodue, pulpeuse on va dire ! Jolie sourire…
– J’ai hâte de la voir !
Martinov redescend gai comme un pinson, libérant Béatrice de sa mission de garde chiourme.
– Il était réticent, mais finalement il est d’accord ! Annonça-t-il à Vanessa.
– Ben vous voyez, on finit toujours par s’arranger !
– Ce sera à 18 h 30, rue des Archives.
– Chez qui ?
– Je vous le dirais quand j’aurai eu ma petite récompense.
– La confiance règne ! Mais en fait c’est moi qui prends les risques. Imaginez que vous me fournissiez une adresse bidon ?
– Ça ne m’a même pas effleuré l’esprit !
– Moi si !
– Alors on fait comment ?
– Je suppose que vous êtes un gentleman, alors je prends le risque. On fait ça où ?
– Montons dans ma chambre.
– On y va approuva-t-elle en saisissant son sac à main au passage.
Vanessa demande à Martinov de baisser son pantalon puis de s’assoir sur le bord du lit. Il obtempère mais soulève également sa chemise.
– Ah, je vois, tu vas te pincer tes tétons en même temps ?
– A moins que vous vous en chargiez ?
– Tutoyons-nous, je préfère. En fait le deal c’était juste une pipe ! Alors je vais te faire une pipe et crois-moi je vais m’appliquer, mais ce sera juste une pipe.
Vanessa prend la bite du professeur dans ses mains et commence par faire joujou avec, décalottage, petits mouvements de masturbation, caresses sur les couilles. L’endroit est propre à part une légère odeur d’urine, cela aurait cassé le charme de lui demander se faire une rincette.
Elle approche sa langue et se met à lui léchouiller le gland avec agilité. Le geste est si efficace que le professeur commence à pousser des petits cris. Il se pince lui-même les tétons mais aurait préféré que la fille lui fasse.
Après cette entrée en matière, la jeune escorte embouche le pénis et se met à le sucer en cadence.
– Oh ! la !
– Un problème ? demande la fille
– Non, c’est bon !
– Qu’est-ce que tu crois, je suis une pro !
– Admettons que je veuille faire plus de choses.
– Tu voudrais me voir à poil ? Me faire l’amour ? Me sodomiser ? On peut même faire des petites spécialités. C’est toi qui vois, moi je ne te force pas, ce n’est pas mon genre.
– Une demi-heure ? C’est possible.
– Mais bien sûr mon biquet, on paye d’avance ! Lui précise-t-elle, c’est 150 mais comme je te devais une pipe, ça ne fera que 100.
– Mon portefeuille est en bas
Vanessa choisit alors de faire confiance au professeur craignant que cette diversion soit de nature à le démotiver.
– Allez, c’est parti, on a dit une demi-heure, mais je ne regarde pas ma montre, ce n’est pas mon genre. On se met à poil. Attention les yeux, je vais t’en mettre plein les mirettes.
Vanessa se déshabille « normalement » c’est-à-dire sans lenteur calculé ni précipitation inutile. Elle enlève tout, sans lui faire le numéro du soutien-gorge, puisqu’elle estime que ce client-là, elle ne le rêvera plus jamais.
Ah, j’en vois quelques-uns qui voudrait savoir ce qu’est le « numéro du soutien-gorge » ! Alors j’explique.
Imaginons que Vanessa au lieu d’être toute nue ait conservé son soutif et se comporte comme si elle allait le garder. A tous les coups, le client va demander : « Tu n’enlèves pas ton soutien-gorge ? », et Vanessa de répondre : »si je vais l’enlever, puisque c’est demandé si gentiment ! ». Pour le client ce qui est en fait un acte obligé, se transforme en faveur. C’est du marketing ! C’est un classique ! Fin de la digression.
Martinov bave de concupiscence devant la plastique de la belle.
« Un peu dodue, mais ce n’est pas pour me déplaire ! »
Comme beaucoup de bonhommes, le professeur fait une fixation sur les seins des femmes.
– Je peux t’embrasser les seins !
– Tu tètes pas, tu mordilles pas, sinon tu peux y aller, ils sont à toi.
Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à Tonton Martinov qui se jette sur le néné droit de la belle. Et vas-y que je le lèche, que j’aspire et que je recommence. Et évidemment il bande comme un taureau.
Mais le professeur a de l’éducation et s’en voudrait de passer pour un soudard, il se dégage alors avec un sourire satisfait.
– Et l’autre ? Lui dit Vanessa, il va être jaloux !
(Ça aussi c’est du markéting)
Alors il recommence avec le sein gauche ce qu’il a prodigué au sein droit.
Contrairement aux prostituées de rues qui refusent le baiser sur la bouche, les escorts-girls accepte de le faire, aussi le professeur est-il surpris (agréablement surpris, bien sûr) quand Vanessa lui offre ses lèvres pour le plus doux des baisers.
– Bon assis toi, je vais te sucer.
Martinov s’assoit donc sur le rebord du lit. La fille lui embouche de nouveau la bite tandis que ses petits doigts agiles viennent lui pincer ses bouts de seins. L’homme sent son plaisir monter.
– Attends, je ne voudrais pas jouir trop vite ! Prévient-il
– Pas grave, je t’ai promis une demi-heure je resterai une demi-heure, même si tu jouis, mais bon, je vais essayer de temporiser.
Délaissant la verge de l’homme, elle s’intéresse alors à ses testicules qu’elle prend en bouche pour les faire rouler, puis elle a une autre idée : sa main passe sous le sexe, franchit le périnée et un doigt vient taquiner le trou du cul du professeur.
– Tu aimes ?
– Oui !
– Je l’enfonce ?
– Vas-y !
Un second doigt rejoint le premier et c’est parti pour une série de va-et-vient dans l’anus de Martinov qui se pâme de plaisir.
– T’aimes ça, mon cochon ! Dommage que je n’aie pas apporté un gode.
– Mais j’en ai un ! Répond le professeur par réflexe.
– Eh bien, sors-le, je vais t’enculer avec !
Aussitôt dit, aussitôt fait et voilà Vanessa qui sodomise allégrement notre vert professeur lequel n’avait vraiment pas programmé ce genre de chose pour cet après-midi.
– T’es vraiment un petit cochon, toi ! Tu ne serais pas un peu gay ou un peu bi !
– Légèrement bi, on va dire, légèrement bi !
– T’as déjà sucé des bites ?
Martinov revient un moment à la réalité et se rend compte qu’il est parti pour faire des confidences sexuelles à une parfaite inconnue.
– Mais, ça ne vous regarde pas, chère amie ! Répond-il avec un ton de grand seigneur.
– Et t’as aimé ça ?
– Mais je n’ai jamais dit que je l’avais fait.
– Tu ne l’aurais jamais fait, tu m’aurais répondu « je ne l’ai jamais fait », ce n’est pas ce que j’ai entendu comme réponse.
– Mais t’es une vraie sorcière !
– Oui, mais une gentille sorcière ! Alors, c’est bon de sucer des bites ?
– Je n’ai pas trouvé ça désagréable.
– Et tu t’es fait prendre aussi ?
– T’en as beaucoup des questions comme ça, continue avec le gode, c’est trop bon.
– Tu sais je vais t’apprendre une chose, tous les hommes ont un côté bisexuel, la plupart se refusent à l’admettre, se mentent à eux-mêmes ou font dans l’hypocrisie, mais c’est comme ça. Au moins toi tu n’es pas hypocrite, j’apprécie.
Mais elle eut le tact de ne pas continuer cette conversation. Retirant avec beaucoup de doigté le gode du cul du professeur, elle lui demanda si cela lui dirait de l’enculer, avec capote, bin évidement mais Vanessa en escort-girl bien consciencieuse en avait toujours en permanence dans son sac à main. Vous pensez bien que Martinov n’allait pas dire non.
Vanessa se met en levrette, les cuisses écartées, le popotin relevé, offrant une vue imprenable sur tous ses trésors.
– Oh ! Que c’est beau ! S’exclame le professeur !
Il trouve ce postérieur tellement troublant qu’il refreine l’envie de lui flanquer une fessée, il n’a pourtant rien d’un sadique, notre bon professeur Martinov, mais que voulez-vous, les pulsions…
Alors, bandé comme un arc et excité comme une puce, il pénètre le cul de la belle sans autre forme de procès et la lime jusqu’à ce qu’il jouisse en grognant.
– Et bien voilà ! Ça t’a plu ? Demande-t-elle.
– Oui, c’était bien, c’était sympa !
– Mais où tu vas ! Reste ici, la demi-heure n’est pas finie. Je vais te faire un petit câlin !
Martinov eut alors la surprise de voir la fille le caresser doucement et lui faire des petits bisous sur les lèvres.
« Je rêve ! »
– Dis-moi, question indiscrète, ta secrétaire, elle ne va pas trouver ça drôle qu’on se soit isolé une demi-heure ?
– Béatrice ? Oh, elle en a vu d’autres !
– Qu’entend tu par-là ? Qu’elle serait aussi coquine que toi ?
– Pour le coup ça devient indiscret !
– Bon, on va y aller, un dernier bisou ? Et en bas n’oublie pas de me payer.
En redescendant, ils croisèrent Béatrice.
– Alors la négociation a aboutie ? Railla-t-elle.
– Ce fut parfait, répond Vanessa, entre gens raisonnables on peut toujours trouver un terrain d’entente.
Béatrice s’abstint de répondre par une vacherie, il n’y a qu’au cinéma qu’on a toujours la bonne répartie au bon moment.
Martinov sorti son portefeuille, Béa qui avait tout compris, ou presque, fit semblant de ne pas voir le professeur rétribuer la belle pour son excellent service.
Une fois Vanessa partie, le professeur expliqua à Béatrice :
– Elle va se pointer chez Framboisert qui refusera de lui donner le drone, mais il va s’arranger pour remonter sa piste, et il saura qui est l’inventeur de ce machin.
– Hum ! si ça marche, c’est pas mal ! Et il t’a fallu une demi-heure de tête-à-tête avec elle pour arriver à ce résultat.
– Un tête-à-tête bien agréable !
– Ben voyons !
A suivre
Trop belle la photo
Maud-Anne toujours fidèle a elle-même ! J’aime le personage de Vanessa
Les galipettes du professeur Martinov sont toujours aussi coquines. toutes les occasions lui sont bonnes et celle-ci il n’allait pas la louper. Dommage que Béatrice ne participe pas mais je suppose que ça viendra