Poésies Érotiques – VI – par Pierre Louÿs
1870-1925

Oui, ton con se mouillait les lèvres,
Il était chaud, vide et poilu.
Mais ce soir, Margot, j’ai voulu
Enculer une de tes chèvres.
Et vraiment les mots diraient mal
Ô Bergère ! avec quel bien-être
Je pousse mon vit qui pénètre
Dans l’anus de cet animal.
(1927 – publication posthume)

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